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Dans un contexte ou le paiement de salaire sur un bon de caisse a fait des vagues depuis quelques jours, une nouvelle étape vient d’être franchie dans le déploiement de l’Application Unique pour la Gestion Uniforme des Ressources Humaines de l’Etat (AUGURE). Un nouveau module dénommé « AUGURE Compte Agent » a été développé pour améliorer les services offerts aux agents des Ministères et des Institutions. Selon les dernières mises à jour effectuées sur AUGURE, Madagascar compte actuellement 212.748 agents payés, d’où l’importance de ce nouvel outil, dont la cérémonie de lancement officiel s’est tenue hier au Centre de conférence international (CCI) sis à Ivato, en présence de la ministre de l’Economie et des Finances, Rindra Rabarinirinarison et son homologue du ministère du Travail, de l’Emploi, de la Fonction Publique et des Lois Sociales (METFPLS), Gisèle Ramampy.
Chaque agent aura désormais son propre compte et pourra disposer en temps réel de plusieurs informations le concernant sur un Smartphone ou un ordinateur portable, partout et à tout moment. Sans faire des déplacements inutiles entraînant des absences fréquentes dans les bureaux administratifs, il pourra s’y procurer divers documents tels que son avis de crédit, son certificat de travail/administratif, son attestation de non interruption de service, son état de service, sa décision de congé et son attestation de cessation de service.
Sécurisation budgétaire
Les démarches pour la délivrance des dossiers administratifs seront ainsi accélérées et l’accumulation d’arriérés d’avancement sera évitée. Les risques budgétaires par rapport à la prévision de la masse salariale seraient évités. Le ministère de l’Economie et des Finances (MEF), à travers la Direction Générale des Finances et des Affaires Générales (DGFAG), est appelé périodiquement à faire des réaménagements pour les dépenses occasionnées par le rappel de solde. Cette initiative contribue également aux actions de lutte contre la corruption que le MEF a célébrée durant tout ce mois de décembre. L’utilisation du compte « agent » met ainsi fin aux actions des personnes malveillantes qui soutirent de l’argent en contrepartie du traitement de dossiers des autres agents.
Pour les responsables en charge de la gestion des ressources humaines, un tableau de bord présentant la situation de chaque agent est mis à leur disposition. En bref, la transparence, l’accessibilité et la fluidité des informations sur la situation administrative et financière de tous les agents seront garanties. Côté sécurité, un QR code y est intégré pour prouver l’authenticité des informations. Pour consolider ses efforts dans l’innovation  numérique et la bonne gouvernance, le Gouvernement prévoit dans les deux prochaines années de doter chaque agent d’une carte d’identification biométrique. Cette carte attestera l’identité et les renseignements administratifs de son titulaire.
Hary Rakoto



48 heures après que des bandits ont assassiné froidement Mamod Goulamaly, ce commerçant Pakistanais de 36 ans à Behoririka, l'heure est encore à l'enquête. A preuve, la brigade criminelle n'a encore confirmé, ni infirmé face aux différentes informations avancées, et concernant au moins les agresseurs, lesquels n'ont pu être encore arrêtés. D'autant plus que les proches de la victime n'auraient pas encore porté plainte, selon une source policière. Ce qui veut dire aussi donc que la Police n'a toujours pas procédé aux arrestations de suspects dans l'affaire. Mais en attendant donc que la Police ne se prononce finalement sur cette affaire, on sait que, grâce à une autre source auprès du quartier de Behoririka, trois individus armés et portant des casquettes, ont commis le meurtre. Et leurs faits et gestes auraient été filmés par une caméra de surveillance.

Mieux, les assaillants auraient bénéficié de complicité auprès même de deux personnes de la connaissance de la victime. Selon cette source, encore officieuse, ce sont ces dernières qui auraient fait introduire les bandits chez le couple victime, en utilisant bien sûr une ruse. Ce stratagème diabolique aurait constitué chez les deux personnes suspectes à introduire les trois bandits auprès de leur patron sous prétexte que ces derniers auraient envisagé à faire un achat. La maitresse de maison se trouvait alors au balcon lorsque les agresseurs ont débarqué sur les lieux. N'ayant soupçonné rien de louche, la Pakistanaise les a alors reçus jusqu'à ce que ses cris d'épouvante sont parvenus à son mari. Réalisant qu'il s'agissait d'une attaque de bandit, Mamod a alors fermé la porte d'accès en la verrouillant de l'intérieur. En cause, l'un des malfaiteurs a traîné à l'endroit alors que ses complices ont pris la fuite après l'alerte. Le bandit imprudent s'est fait bêtement ainsi piéger. Mais ce fut de court moment. Ses acolytes, pour le sortir du piège a alors tiré à bout portant sur le Pakistanais, le touchant ainsi à la poitrine d'une seule balle. « Il y eut une détonation. J’ai cru que c’était un court-circuit. Mais des cris et hurlements et la vue de la victime gisant sur le pas de sa porte me font vite fait de me mettre face à la triste réalité », déclare un témoin à la scène.
Dire que ce commerçant spécialisé dans la vente de téléphone a voulu secourir sa femme lorsque celle-ci s’est fait brutaliser. Aux dernières nouvelles, la dame, après qu’elle a reçu des soins, serait entre de bonnes mains, celles de sa famille. Les époux auraient envisagé de rentrer au Pakistan le 4 janvier prochain. Enfin, la Police n’a également confirmé, ni infirmé l’information alléguant que les assaillants ont volé une somme d’argent chez les victimes. L’enquête suit son cours. 
Franck R.


Avec une seule puce de téléphone, il a réussi à amasser de façon malhonnête la somme de 40 millions ariary en l'espace de six mois seulement, et ce, à partir de janvier dernier. Récemment encore, ce suspect de 32 ans, puisqu'il en est agi un, a pu rafler 2 millions ariary pour la plus importante et 50 000 ariary pour la plus dérisoire. Ses principales victimes : les clients de cash point, lors d'une opération de dépôt de liquidités par mobile banking M'Vola. Et ces victimes se comptent par dizaine, selon la Police. Cet arnaqueur opère le plus plus souvent dans le quartier des 67ha et ses environs, mais aussi à Anosy. En cause, les cash point dans lesdits endroits brassent des sommes d'argent plus conséquentes. Son mode opératoire consiste à utiliser une puce de téléphone dont le code est par défaut. Cette situation permet au suspect de le modifier. En réalité, l'homme possède, outre sa puce personnelle, deux autres qu'il a acheté au coin de rue et avec lesquelles il se sert pour arnaquer les gens. Pour perpétrer son sale coup, il feint de faire la queue devant le cash point, comme s'il veut faire aussi un dépôt. Pendant cela, il épie et surveille sa prochaine cible. Là, avec son portable, il n'hésite pas à prendre discrètement la photo du cahier de comptabilité du préposé, lui permettant ainsi d'obtenir tous les numéros de téléphone de ses prochaines ou ses cibles de choix.
Employé de Telma
Mais il y a plus grave. Cet arnaqueur, pour mieux dissimuler ses forfaits, prétend être agent de l'entreprise de téléphonie mobile Telma. Voilà comment l'escroc attire ses victimes dans son piège : sitôt après qu'elles viennent d'effectuer une opération Mvola au cash point, elles reçoivent ensuite, soit un sms, soit un appel téléphonique. Dans ces messages, on leur avertit que leurs comptes Mvola avaient été simplement bloqués. Paniqué, le client victime s'empresse alors d'appeler le numéro de téléphone via lequel le message lui avait été envoyé. Là, le suspect le conseille donc de refaire une opération par mobile banking tout en forçant la victime de lui modifier son code, enfin le lui envoyer avec un autre numéro de téléphone. Une fois que l'arnaqueur obtient ce fameux code, il s'empresse alors de faire un retrait de liquidités auprès d'une DAB la plus proche. Et il prend tout. C'était de cette manière qu'il a trompé ses victimes, disons très nombreuses. S'apercevant finalement à quel point on les avait dupés, ces dernières ont donc porté plainte pour escroquerie. Ces plaintes ont servi de base au service de cybercriminalité de la Police à ouvrir une enquête. Le 16 décembre dernier, ses investigations ont porté leurs fruits. La police a tenu son homme à Ankaraobato. Ce dernier aura bientôt à répondre de ses actes devant le Parquet.
 Franck R.


Une rumeur concernant la démission du Pape François a fait le tour des réseaux sociaux. Cette information a engendré une discussion interminable au sein de la société. Face à cette situation, le Vatican a démenti cette information. Le Pape François serait prêt à signer une lettre de démission en cas de santé défaillante. Il avait confié en juillet dernier qu'il renoncerait à la papauté en cas de problème de santé. « J’ai déjà signé cette lettre de démission, il y a près de dix ans, dans l'éventualité où des problèmes de santé m’empêcheraient de remplir mes fonctions », s’explique-t-il dans une interview du journal ABC. Elle l’avait remise au secrétaire d'Etat du Vatican, Monseigneur Tarcisio Bertone, avant que ce dernier ne prenne sa retraite en 2013.

Le souverain pontife, actuellement âgé de 86 ans, souffre d'une affection du genou qui l'a contraint à se déplacer en fauteuil roulant ces derniers mois. Il poursuit toujours ses missions en tant que chef de l’Eglise catholique. Cependant, il a réduit ses déplacements à plusieurs reprises en raison de la douleur. « Je pense qu'à mon âge et avec cette contrainte, je dois me préserver un peu pour pouvoir servir l'Eglise. Ou, au contraire, réfléchir à la possibilité de me retirer », avait-il déclaré.

Le pape François, qui a fêté ses 86 ans samedi, a subi une intervention chirurgicale en 2021 pour réparer un rétrécissement des intestins et a été entravé par des douleurs aux genoux qui l'ont contraint à utiliser un fauteuil roulant pendant des mois.

Selon le Code de droit canonique de l’Eglise catholique, le souverain pontife peut renoncer à son mandat. « Il ne s'agit pas vraiment d'une démission, personne dans l'Eglise n'étant en mesure de l'accepter, comme le souligne le Code, mais d'un renoncement ».
En rappel, le Pape Benoît XVI avait démissionné en 2013 en raison d'une santé défaillante. Agé de 95 ans, il vit toujours au Vatican.
Recueillis par Anatra R.


En effervescence !

Publié le mardi, 20 décembre 2022

A quelques encablures des fêtes de fin d’année, la vie bouillonne. A son habitude, Noël signifie « fête de famille ». Et chaque famille de quelque condition que ce soit se procure les moyens  utiles sinon nécessaires pour que petits et grands puissent se réjouir.
Grandes surfaces, petits magasins, étalages sur les trottoirs, marchés de quartier sont pris d’assaut. De Behoririka, à Andravoahangy  tout comme à Tsaralalàna, à Isotry surtout à Analakely, tous les magasins, les trottoirs et les chaussées pour voitures sont bondés. Des marées humaines compactes où l’on ne pouvait plus marcher librement. On vend et on achète ! Les produits chinois inondent les étalages. Parallèlement, les vols à la tire, à l’esbroufe, les pickpockets pullulent. Ils se fondent dans la foule. Gare à ce qui se fait avoir !
Les missionnaires ont « importé » avec la nouvelle religion, le christianisme, dans la Grande île au XIX ème siècle comme partout ailleurs sur le continent, les réjouissances de fin d’année portant essentiellement sur la fête de la Nativité ou Noël, fête de l’anniversaire du Petit Jésus. Avant l’arrivée des missionnaires, les Malagasy notamment au cœur de l’Imerina n’avaient à célébrer chaque année qu’une fête à savoir le « Fandroana », le bain royal qui coïncidait traditionnellement et normalement avec le jour de l’anniversaire du roi ou de la reine. Il n’y a pas de date fixe. Le « Ny ambanin’ny lanitra » se livrait à une liesse populaire en l’honneur de la fête à la cour royale. Alors, l’une des raisons majeures qui expliquent la rage de la Reine-Mère vis-à-vis de la « nouvelle religion », c’était du fait qu’elle a « volé » la réjouissance de ses sujets. Un fait qui comble de joie et de fierté au monarque. Très jalouse de son identité et de sa souveraineté, Ranavalona 1ère n’a jamais toléré aux missionnaires qu’ils ont éclipsé « sa » fête nationale. Les faits sont là et restent et prennent même une dimension inquiétante !
Il n’y a pas que l’effervescence des fêtes de fin d’année, la fièvre de la chose politique s’en mêle aussi. Bien avant, la surchauffe de la politique envahit les acteurs de la vie politique nationale. Certains élus parlementaires montent au créneau. A Tsimbazaza, à l’Hémicycle, au Temple de la démocratie, disait-on, la traditionnelle menace de la motion de censure à l’encontre du Gouvernement a pris la dernière fois une dimension folle sinon une allure inattendue. Le Gouvernement de Ntsay fut à deux doigts d’être débouté. Il a fallu que le maître des céans, le locataire du Palais, tape sur la table, tire les oreilles et gifle pour que les enfants gâtés mal élevés se rendent comptent de la gravité de leurs actes et afin que la situation se calme, s’apaise du moins en apparence ! En tout cas, le régime Orange n’est encore sorti de l’auberge ! Et tout cela, dans un contexte économique morose.
 Le retour de la délégation malagasy de Washington pourrait changer la donne. Les résultats plus que positifs obtenus dans la Capitale fédérale apporteront un souffle nouveau ou réparateur. La continuité de l’African growth and opportunity Act forum et le retour gagnant au Millenium Change Corporation  contribueront certainement à améliorer et à redresser la situation du pays.


 
Les Lions de l’Atlas ont ébloui toute la planète après leur parcours historique à la Coupe du Monde Qatar 2022. Un exploit fruit de la vision clairvoyante du Roi Mohammed VI pour le développement du secteur du sport en général et du football en particulier, selon le sélectionneur national Walid Regragui.
Le sélectionneur national Walid Regragui a affirmé, mardi, que le Roi Mohammed VI accorde un intérêt particulier au développement du football au Maroc.
«On a la chance que Sa Majesté a mis beaucoup de moyens pour faire progresser le football au Maroc et c’est aussi, en grande partie, sa réussite aujourd’hui», a indiqué Regragui, lors de la conférence de presse d'avant-match de la demi-finale France-Maroc.
Il a ajouté que le rayonnement du football marocain est le résultat de l’attention particulière et permanente dont le Souverain ne cesse d'entourer le football national, louant la vision clairvoyante du Roi pour le développement du secteur du sport en général et du football en particulier.
Le sélectionneur des Lions de l’Atlas  a également évoqué la création de l’Académie Mohammed VI de football «qui fait partie du projet royal», notant que cette dernière a formé des joueurs talentueux qui évoluent actuellement dans l’équipe nationale, à savoir Youssef En-Nesyri, Azzedine Ounahi, Ahmad Reda Tagnaouti et Nayef Aguerd.
Il ajouté que le Roi «a mis les moyens dans les installations sportives au Maroc, avec la création de beaucoup de stades et de terrains d’entraînements», afin de développer le football national.


La population de la partie est de la Grande île vit l’inimaginable. L’hôpital de référence de Toamasina, la ville du grand port, la deuxième ville du pays, ne propose plus d’imagerie médicale. Le scanner de l’hôpital de Morafeno ne fonctionne plus depuis presque trois ans. Précisément depuis octobre 2019, selon des sources locales. L’onduleur qui fournit une protection au matériel médical contre les dommages coûteux causés par des interruptions d’alimentation inattendues serait tombé en panne. Une société privée réputée de la partie Est du pays a offert un onduleur pour permettre à la machine de fonctionner l’an dernier. Cependant, le scanner aurait également perdu l’âme.
Depuis, les patients sont tous simplement renvoyés chez eux sans traitement. Faut-il pourtant souligner qu’une maladie nécessitant une imagerie est souvent classée dans la catégorie des urgences. Le seul salut qui reste pour les patients, c’est souvent de rallier la Capitale Antananarivo. Cependant, tout le monde n’y a pas accès. Le coût n’étant pas accessible à toutes les couches sociales. Un citoyen de Toamasina indique que rien que l’évacuation sanitaire de Toamasina à Antananarivo coûte entre 7 millions Fmg à 12 millions Fmg. Notez que le scanner donne beaucoup plus de précisions que d’autres examens radiographiques simples. Utilisé souvent pour le cerveau, il est également utile pour d’autres parties du corps. Il aide à détecter des maladies non visibles à la radiographie et à l’échographie. Ils sont nombreux les malades dont l’état exige un examen de scanner avant d’établir un diagnostic et de sauver ainsi leur vie.
Contacté à propos de ce sujet, le ministère de la Santé par l’intermédiaire de la direction générale de la fourniture des soins affirme que les procédures pour la réparation du scanner sont en cours. Les pièces nécessaires à la réparation de la machine ont ainsi été importées par le ministère et sont arrivées dans le pays début novembre dernier. La balle serait ainsi dans le camp de la société représentante de la marque du fabricant du scanner à Madagascar. Cette entreprise qui, selon le DGFS, devait effectuer une descente sur Toamasina hier. L’on attend ainsi un dénouement heureux à cette situation dans les jours à venir car il s’agit d’une course contre la montre. En attendant la réparation de ce scanner, combien de patients mourront entre-temps ?
La Rédaction

LA UNE DU 20 DECEMBRE 2022

Publié le lundi, 19 décembre 2022

Pas de podium pour les Malagasy. En effet, les cinq athlètes malagasy reviennent les mains vides du Meeting de La Réunion d’athlétisme, le week-end dernier au stade olympique de Saint- Paul. La marche était trop haute pour les athlètes malagasy.

Fin tragique pour ce commerçant, un Pakistanais de 36 ans et répondant au nom de Mamod Goulamaly, en voulant secourir sa femme. Il a reçu quelques balles dans le corps, le fait des bandits. Cela s'est produit en début de soirée à Behoririka, hier. Les agresseurs non cagoulés, au nombre de 5, équipés d'armes à feu étaient venus l'attaquer, lui et son épouse d'une trentaine d'années, à leur domicile, qui sert à la fois de boutique à Behoririka. Effectivement, la femme de la victime n'a pas été épargnée non plus de cette attaque barbare. Quoique la dame ait survécu à ses graves blessures, elle était en urgence absolue, et il a alors fallu la transporter dans un centre de soins situé en centre-ville.

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Editorial

  • Foire de tous les espoirs
    La FEPA ferme ses portes. Le rideau est tombé sur la 16ème édition de la Foire de l’élevage et de la production animale. Un évènement de taille qui a suscité beaucoup d’intérêts et par conséquent a attiré une grande affluence surtout chez les jeunes en herbe en quête d’activités porteuses pour un lendemain enchanté. Sous l’égide du ministère de l’Agriculture et de l’Elevage (MinAE), la FEPA s’était tenue du 25 au 28 mars à Nanisana, dans la mythique enceinte dédiée à ce genre d’évènement. Selon les termes des organisateurs, la FEPA ambitionne d’éveiller les intérêts chez les jeunes sur l’importance des activités lucratives générées par l’élevage et la production animale en vue de la relance de l’économie du pays. A en croire l’affluence des visiteurs durant ces quatre jours d’affilée qui, en fait, ont envahi les stands et leur curiosité et leurs intérêts à suivre les exposés des exposants, la…

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