Nos archives web

Les agents de première ligne des Etats francophones d'Afrique se réunissent présentement au Radisson Blu, en vue du renforcement du réseau régional sur la détection de trafic illicite des matières nucléaires et radioactives. Cet évènement est organisé dans le cadre de la mise en œuvre du plan intégré d'appui en matière de sécurité nucléaire à Madagascar, par l'Agence Internationale de l'énergie atomique (AIEA) à travers l'Institut National des sciences et techniques nucléaires (INSTN-Madagascar), en coopération avec la Douane malagasy.


Le ministre des Sports sort de son mutisme après la polémique autour du forfait de Madagascar aux jeux de la Commission de la jeunesse et des sports de l’océan Indien. Et ce, au cours d’une interview donnée à la presse en marge de l’accueil des Ankoay champions d’Afrique de basketball 3x3 hommes, dans lequel il se met à livrer la position officielle. Le ministre Tinoka Roberto Raharoarilala préfère mettre en avant le peu d’enjeu autour des jeux de la CJSOI, pour expliquer l’absence de Madagascar. Il évoque aussi la priorité accordée par le Gouvernement aux Jeux des îles de l’océan Indien qui vont se dérouler à Madagascar en hiver prochain. « Nous estimons qu’il s’agit de rencontres amicales, sans classement. Sans vouloir dévaloriser ces jeux, il faut souligner qu’il n’y a pas de classement à l’issue de ces jeux » dit-il, rajoutant qu’il n’y a pas « d’étapes à franchir pour réaliser d’autres choses après ». Le membre du Gouvernement estime qu’il faut « se concentrer sur les athlètes » et faire en sorte « d’en envoyer le maximum à l’extérieur et de solliciter des experts à venir nombreux à Madagascar ». L’objectif est, selon ses propos, que la Grande île soit numéro un aux JIOI. Et le ministre d’expliquer en outre que l’Etat a une politique en matière de sports et que les décisions ne sont pas prises en douce.
Ce faisant cependant, le ministre des Sports ne fait que rejeter de l’huile sur un feu encore vivace après la grosse déception de nombreux athlètes suite à une non-participation à ce rendez-vous sportif destiné aux jeunes de l’océan Indien qui se déroule depuis dimanche et jusqu’à ce dimanche à Maurice. Si la participation à ces jeux n’était pas une priorité, beaucoup se demandent ainsi pourquoi le sujet a été soumis en Conseil des ministres en juillet dernier. De la même manière, il faut également se demander pourquoi ne pas avoir communiqué officiellement ce forfait dès le mois de juillet. Au lieu de cela, le ministère a laissé les athlètes qui se sont préparés depuis plusieurs mois voire années, dans l’ignorance jusqu’à la veille du début des compétitions. Les propos du ministre contredisent également ceux de plusieurs sources officieuses qui assurent que Madagascar a négocié avec les autorités mauriciennes jusqu’à la dernière heure et ne doit son forfait qu’à la fermeté des interlocuteurs qui ont mis en avant la clôture des engagements des athlètes. Notons que le ministre a souligné durant son entretien à la presse qu’il ne faut pas politiser le sport. Il a aussi pesté contre ceux qui préfèrent véhiculer en mal les moindres défaillances, reconnaissant sans le dire donc l’existence d’une défaillance derrière le forfait de Madagascar à ces jeux de la CJSOI…
 La rédaction
 

La une du 7 décembre 2022

Publié le mardi, 06 décembre 2022


La rumeur d’une motion de censure contre le Gouvernement Ntsay avait circulé ces derniers jours dans les salons. Beaucoup avaient  alors cru qu’il s’agissait d’une manœuvre  - une de plus  - venant des adversaires du pouvoir en place, en l’occurrence des opposants issus du RMDM, lesquels ne cessaient de mener des actions subversives en vue de mettre en place un régime transitoire où ils pourraient participer sous le prétexte d’une crise dans le pays.
Grande fut cependant la surprise en apprenant, hier, que le coup viendrait en fait de l’intérieur du régime même. En effet, selon les informations qui ont atterri au sein des rédactions tard hier dans la soirée,  ladite motion de censure aurait été orchestrée au sein de l’Assemblée nationale par Christine Razanamahasoa, la présidente de cette Institution elle-même. Cette dernière, pour se justifier et en même temps afin de persuader ses pairs issus du camp Orange de Tsimbazaza, aurait prétexté que l’initiative viendrait du Président de la République, Andry Nirina Rajoelina. Une information, qui, après recoupement, a été formellement démentie hier même par Iavoloha.
Outre Christine Razanamahasoa,Tinoka Roberto et Siteny Andrianasoloniaiko, entre autres, seraient les initiateurs de cette sordide manigance. Un trio auquel il faut ajouter les personnalités qui, sur les photos que nous publions ici, ont été surprises en train de concocter ce qui n’est ni plus ni moins qu’un coup de couteau dans le dos de Andry Nirina Rajoelina. Celui-là même qui les a pourtant fait rois.
A quelques mois des élections présidentielles, cette affaire va secouer et recomposer le paysage politique malagasy. Nous en reparlerons abondamment dans nos toutes prochaines éditions.
La Rédaction

Basket-Fiba3x3 - Retour des héros malagasy

Publié le mardi, 06 décembre 2022


Un titre de champion continental et vice-champion d’Afrique. Un bilan plus que positif ramené par la sélection masculine, championne d’Afrique, et féminine malagasy, vice-championne,  de la Fiba 3x3 Africa  Cup 2022 en Egypte. Ils n’y sont pas restés longtemps sur place afin de montrer au plus vite à leurs compatriotes leurs trophées de guerre.
« Ce résultat n’est autre que le fruit d’un travail de longue haleine que nous tous avons réalisé. Et je tiens ici à remercier ceux qui ont conjugué leurs efforts avec la fédération et les joueurs », a déclaré le président de la Fédération malagasy de basket-ball (FMBB), Jean Michel Ramaroson hier à l’aéroport international d’Ivato. Là où les artisans de ce bel exploit à leur première participation à la compétition ont été accueillis par la grande famille de la balle au panier malagasy ainsi que des représentants du mouvement sportif en l’occurrence le Comité olympique malagasy (COM). C’est une petite foule en délire qui a salué à sa juste valeur la performance d’Arnold, Livio, Elly et Fiary qui ont ramené au pays la médaille d’or de l’Africa Cup 2022 en surclassant en finale les Egyptiens,20-17. Une première place qui leur ouvre le chemin vers le championnat du monde en Autriche dans le courant du mois d’août de l’année prochaine. Cette participation à une phase finale du sommet mondial constitue également une grande première pour la sélection masculine.
Pour la sélection féminine, le ticket pour le mondial  passe par Israël au mois d’avril prochain. Là où aura lieu le tournoi de qualificatif et les trois meilleures sélections nationales obtiendront leur place en Autriche.  Du pain sur la planche pour les filles de la Grande île qui rêvent de rejoindre leurs homologues malagasy en Autriche.
Avec le sérieux de la FMBB dans la gestion et la préparation des athlètes,  le rêve de la sélection féminine pourrait se réaliser. Et un coup de pouce de l’Etat tant pour les deux sélections que pour celle des U-18, en lice aussi au championnat du monde, est le bienvenu.
Rata


Sur une note d'optimisme ! Pour clôturer sa visite à Madagascar, la vice – présidente de la Banque mondiale pour l’Afrique de l’Est et Australe, Victoria Kwakwa a rencontré le Président Andry Rajoelina au cours d’une audience hier au Palais d’Etat d’Iavoloha.
Un long entretien de plus de trois heures durant lequel les deux personnalités ont eu l’occasion de passer en revue les différents domaines d’intervention de cette institution financière dans le pays. A l’issue de la rencontre, le Chef de l’Etat et la vice – présidente de la Banque mondiale ont tour à tour fait des déclarations.
D’emblée, le Président Andry Rajoelina a reconnu que l’institution est un partenaire stratégique pour le pays. « Les liens de coopération avec la Banque mondiale n’ont cessé de se consolider. Je constate une implication mutuelle dans les projets de développement», a – t – il souligné tout en souhaitant que cela se poursuit et s’accélère. Dans la foulée, le numéro un de l’Exécutif a annoncé des travaux soutenus dans les prochains mois.
Des défis et des opportunités
Pour sa part, la vice – présidente de la Banque mondiale a mis en avant la vision du Président de rattraper le retard de développement accumulé par Madagascar. Elle a constaté que la Grande île fait face à de nombreux défis mais aussi dispose de multiples opportunités.
« Je tiens à saluer votre énergie et votre vision pour faire face aux défis », a déclaré Victoria Kwakwa. Malgré les nombreuses crises mondiales auxquelles la Grande île ne peut échapper, elle évoque particulièrement le fait que le pays a pu maintenir la stabilité macroéconomique et maintenir la dette à un niveau raisonnable contrairement à d’autres pays. Elle fait notamment allusion à la crise sanitaire liée à la Covid19 ou encore les impacts de la guerre en Ukraine.
« J’ai confiance que ce sera avec la vitesse d’un TGV que le Gouvernement sous votre impulsion va lancer des réformes pour rattraper le retard de développement et parvenir voire dépasser le niveau de vos voisins africains », a indiqué cette éminente responsable de la Banque mondiale. L’institution financière qui se dit prête à accompagner Madagascar vers la croissance inclusive.
Sandra R.




Les pros ont ouvert le bal du championnat de Madagascar 2022 ce 6 décembre et ils n’y sont pas allés de main morte.
Le trio de tête est particulièrement déchaîné : Fanomezantsoa Randrianasolo réalise le par. Devant lui, on retrouve un Johary Raveloarison bien déterminé à défendre son titre, et qui fait un excellent score de -5.
Les golfeurs de la catégorie pros s’en sont donné à cœur joie hier, au golf du Rova Andakana. Le golfeur malagasy de 55 ans, Jean  Baptiste Ramarozatovo a pris la tête du championnat de Madagascar avec 5 coups d'avance devant Johary Raveloarison, champion de Madagascar en titre.
Jean Baptiste Ramarozatovo a réalisé une carte de 62 pour devancer son confrère Johary du club golf du Rova, de 4 coups (66). Les deux hommes ont réussi une carte de moins parmi les 64 golfeurs qui se sont lancés hier. Randrianasolo Fanomezantsoa partage le podium provisoire du classement avec une carte +1 (71).
Trou en un pour Johary
La journée d’hier a été marquée par un exploit de Johary Raveloarison sur le terrain.  Après avoir connu un léger relâchement à partir du trou numéro 10, il se réveille subitement et réalise l’exploit : il fait un hole in one au trou numéro 14.  Le joueur malagasy, tenant du titre sortant a réussi un « trou en un », c'est à dire faire entrer sa balle dans le trou en un seul coup au trou numéro 14 sur un par 3  sur une distance de 141m. Et dans la tradition du golf, un tel exploit se fête avec tous les golfeurs présents dans le green.
Cette pépite golfique lui permet au passage de remonter nettement au classement, pour une deuxième place provisoire bien confortable.
Ony Marchand, l’unique dame de la compétition, glisse au 37eme du classement après avoir réalisé une carte +13 (83) à l’issue de ce premier tour.
Elias Fanomezantsoa

Classement à l’issue du 1er tour

        Jean Baptiste Ramarozatovo +8 (62)
        Johary Raveloarison +4 (66)
        Randrianasolo Fanomezantsoa -1 (71)
        Rasolofoarimanana Julien -2 (72)
        Roalahy Emmanuel-3 (73)
        Randriarimanana Augustin -3 (73)
        Raherison Raymond -4 (74)


Les dates des premiers examens officiels pour l'année scolaire 2022-2023 ont été publiées. Selon le décret gouvernemental n° 32731/2022/MEN du ministère de l'Education nationale datant du 5 décembre 2022, qui régit le calendrier de mise en œuvre, d'ouverture et de clôture des inscriptions aux examens d'Etat du CEPE et du Brevet d'études du premier cycle (BEPC) au titre de l'année année scolaire 2022-2023, l'examen du CEPE aura lieu le mardi 20 juin 2023, tandis que les épreuves du BEPC se tiendront du lundi 3 juillet au jeudi 6 juillet 2023.
En ce qui concerne les inscriptions, elles sont ouvertes du lundi 23 janvier à 8h au vendredi 24 mars 2023 à 16h pour l'examen d'Etat en vue de l’obtention du Certificat d'études primaires élémentaires (CEPE), et du lundi 30 janvier à 8h au vendredi 30 mars 2023 à 16h pour l'examen d'Etat du BEPC. Lors de l'annonce faite par le directeur général de la pédagogie au sein du ministère de l'Education nationale (DGP/MEN), Raoniherijaona Andriamikatsilavo, à cet égard, il a encouragé les élèves, les parents et les proviseurs à traiter au temps convenu les documents nécessaires afin d'éviter la pression de dernière minute. Il a également souligné que l'examen du CEPE est toujours inclus dans le système éducatif actuel à Madagascar. A cet effet, la « loi d'orientation » pour changer le système éducatif, notamment à travers la suppression de l'examen du CEPE, devrait encore passer par plusieurs étapes.
Recueillis par Anatra R.



Chaque année, Madagascar célèbre avec tous les autres pays africains, la Journée de l’industrialisation en Afrique. Cette célébration pour notre pays s’est faite par un atelier de partage et de sensibilisation sur l’industrialisation et sur la mise en œuvre de la résolution sur la 3è décennie de développement industriel de l’Afrique, organisé par le ministère de l’Industrialisation, du Commerce et de la Consommation, en collaboration avec L'Organisation des Nations unies pour le développement industriel (ONUDI). Compte tenu de la place qu’occupe le secteur industriel dans l’économie malagasy, les actions du Gouvernement dans ce secteur contribuent à la réduction de la pauvreté à travers les activités génératrices de revenus, au développement de l’agrobusiness, à la promotion de l’entrepreneuriat en général, à l’autosuffisance alimentaire, et inéluctablement à l’émergence économique du pays. Cependant, il est vrai qu’il y a encore du chemin à parcourir pour atteindre notre objectif commun qui est d’emmener Madagascar sur une croissance durable et inclusive, mais il est sûr que tous ensemble nous pouvons avancer d’un même pas pour pallier les problèmes et faire de notre pays une nation prospère. « La marche vers l’industrialisation sera encore longue mais notre industrialisation est en marche. N’a-t-on pas dit qu’il ne peut pas y avoir d’industrialisation sans énergie. C’est plus que vrai que pour alimenter l’industrialisation, il faut une énergie stable et avec un coût maitrisé. Or la   réponse au défi énergétique que nous vivons aujourd’hui se trouve sous notre sol. Nous avons les réserves minières et naturelles suffisantes pour être autonome en énergie et le développement de l’autoproduction est la solution » a avoué, dans son discours, Edgard Razafindravahy, ministre de l’Industrie, du Commerce et de la Consommation.

Production locale

On ne peut évidemment pas parler de transformation des ressources locales si on n’évoque pas  l’agribusiness . C’est la réponse à l’autosuffisance alimentaire. Ainsi 2 grands projets de sucrerie prévus à Vatomandry et à Morondava sont en cours et permettront de couvrir les 120 000 tonnes de besoin restant en sucre dans le pays. Pour la farine, la capacité de production nationale a fortement augmenté depuis quelques années. La prochaine étape consistera à augmenter la valeur ajoutée locale puisque la production actuelle se base encore sur du blé importé. Dans le riz et l’huile alimentaire, il reste des opportunités d’investissement. Par ailleurs, nous continuons encore à importer 600 000 t de riz par an et 70 000 t d’huile par an. Il en est de même pour le savon où nous importons encore la moitié de nos besoins. De plus pour la production à petite échelle, il est probable que nous ne ressentons pas encore l’impact du projet One District One Factory, mais depuis plusieurs mois maintenant, le ministère expérimente avec les petites industries locales, l’exploitation des zones pépinières industrielles. Une mini-sucrerie à Boeny, une autre dans l’Anosy, une mini-huilerie dans l’Amoron’i Mania, une autre dans la Région de Bongolava, et enfin, un broyeur à manioc à Ambohimasoa, ont été installés au cours de l’année, à titre d’expérimentation. Certains ont été concluants, d’autres un peu moins mais cela nous servira à préparer les localités. Ainsi 75 unités industrielles sont sur le point d’arriver à Madagascar.

Hary Rakoto




L’émission de gaz carbonique est l’un des facteurs favorisant le réchauffement de la planète. La réduction de l’émission de CO2 sera l’un des enjeux majeurs de ce siècle si l’on veut renverser la vapeur. A cet effet, il faudra changer notre façon de consommer les produits électroniques, en particulier les Smartphones et les ordinateurs.
Avec plus de 50 millions de tonnes produits en 2019, soit plus de 6 tonnes de déchets électroniques produits par heure, nos anciens équipements « tech » constituent une source majeure de déchets dans le monde. On devrait atteindre 74 millions de tonnes de déchets électriques et électroniques (DEEE) en 2030.
Ainsi, à Madagascar, le projet « Net Zéro Carbone » a été lancé hier par Orange Madagascar. Il consiste à atteindre l’émission nulle de gaz à effet de serre d’ici 2040. Pour cela, le recyclage et la réutilisation de matériels informatiques et électroniques seront mis en avant.
En effet, en utilisant le système dit « économie circulaire », la réutilisation de vieux matériels toujours opérationnels aura des impacts positifs palpables d’ici 3 ans. Le recyclage va diminuer la consommation en matière électronique et d’empreinte carbone servant à la fabrication de nouveaux équipements.
Les Smartphones reconditionnés sont déjà mis en vente à Madagascar. Leurs prix très bas sont d’ailleurs très attractifs. Les premiers résultats de cette initiative sont attendus dès 2025. Il s'agit de réduire les émissions directes et indirectes de carbone à travers le numérique.
Le plastique, dérivé des carburants fossiles, est un composant important des appareils électroniques et électroménagers, avec les conséquences que l'on connaît sur l'environnement. Un Smartphone est composé d’environ 40 % de plastique, souvent mélangé à d’autres produits chimiques, ce qui ne le rend qu’en partie recyclable. Le reconditionnement n’est certes pas infaillible, mais la production d’un nouvel appareil produit 5 fois d’émission de carbone par rapport à ce procédé.
Les conséquences de la production de ces objets sur les réserves d’eau douce sont aussi désastreuses. En effet, il faut en moyenne 1.000 litres d’eau douce pour produire un téléphone et 1.500 litres pour produire un ordinateur. Des quantités non négligeables dans un contexte d’aggravation du stress hydrique dans de nombreuses Régions du monde.
Le groupe Orange affirme aussi que 55 % des énergies qu’il consomme viennent des sources renouvelables, a expliqué le directeur général d'Orange Madagascar. Ce dernier a ajouté que « la fonctionnalité Green permet aussi d'optimiser la consommation en fonction de l'usage de ce système. En outre, le groupe contribue également au développement des écosystèmes sol-plante-océan comme la plantation des mangroves qui assurent activement l'absorption du CO2 ».
Nikki Razaf

Fil infos

  • Ministre des Affaires étrangères du Japon - En visite à Toamasina ce week-end
  • Législatives - L'Opposition peine à concrétiser ses grandes annonces
  • Mission du FMI à Madagascar - Deux appuis financiers importants sur la table des négociations
  • ACTU-BREVES
  • Actu-brèves
  • Enseignement supérieur - L'université de Fenoarivo -Atsinanana officiellement inaugurée 
  • Administration - Le Président veut des collaborateurs loyaux et efficaces
  • Actu-brèves
  • JIRAMA - Le manager de redressement bientôt dans le ring
  • Lutte contre la corruption à Madagascar - Le CSI pointe du doigt les blocages institutionnels

La Une

Recherche par date

« April 2024 »
Mon Tue Wed Thu Fri Sat Sun
1 2 3 4 5 6 7
8 9 10 11 12 13 14
15 16 17 18 19 20 21
22 23 24 25 26 27 28
29 30          
Pub droite 1

Editorial

  • Une Opposition éreintée !
    L’Opposition politique que le pays a l’honneur ou le malheur de disposer aurait-elle les reins solides ? Apparemment non !En un quart de siècle d’existence, le « Tiako i Madagasikara » (TIM) montre déjà des signes d’usure, de faiblesse. Des rides avant l’heure trahissent le visage de ce parti fondé et présidé, d’une main de fer, par l’ex- magnat du lait, l’ancien Chef d’Etat Marc Ravalomanana dont l’empire économique s’effrite au fil des ans. Visiblement, le poids de l’âge pèse trop sur les épaules de « Ramose ». A soixante-quatorze ans, Ravalomanana peine à suivre le rythme mais il persiste à tenir la barre du parti. Ses lieutenants s’irritent de son entêtement. Mais on n’y peut rien ! Dada est intraitable. Et le déclin semble irréversible.Ibidem pour le « Rodoben’ny mpanohitra ho an’ny demokrasia eto Madagasikara » (RMDM), une plate-forme de l’Opposition concoctée par le pasteur Tsarahame et acolytes et…

A bout portant

AutoDiff