Nos archives web

Bravo !

Publié le mercredi, 29 septembre 2021

Le Chef de l'Etat Rajoelina Andry Nirina et son épouse rentrent au pays au terme d'un voyage qui les a conduits successivement à Paris, New-York et Washington (USA). Une mission délicate et cruciale que la délégation a accomplie brillamment.

 

A Madagascar, plusieurs causes sont imputables aux feux de brousse, principale origine de la déforestation dans le pays. La création de pâturage en fait partie. En effet, les éleveurs de bœufs brûlent des parcelles afin d’avoir de l’herbe fraîche pour leurs troupeaux. Même considérée comme étant archaïque, cette pratique reste encore monnaie courante dans les principales régions où la filière bovine est une activité essentielle.

Recours possible. Sur les trois cent opérateurs ayant demandé un agrément pour l’exportation de vanille dans le cadre de la campagne en cours, un quart seulement a eu droit au précieux sésame accordé par le ministère de l’Industrie, du Commerce et de la Consommation. Ce département ministériel avance des mesures d’assainissement de la filière comme argument à cette réduction considérable de la liste des personnes autorisées à exporter l’or vert de Madagascar.

Reconduit à son poste, le sélectionneur des Barea de Madagascar a écarté quelques joueurs de sa liste pour les deux prochaines journées des éliminatoires de la Coupe du monde. Il maintient en revanche sa confiance en Hakim Abdallah, muet devant les buts en sélection jusqu'ici.

 

Tous les indicateurs presque tous au vert! Durant la Rencontre des Entrepreneurs Francophones, à la fin du mois d’août dernier, le Président de la République, Andry Rajoelina, a annoncé une réouverture éventuelle des frontières pour le mois prochain si toutes les conditions sont respectées. Suite à cette annonce, des réunions de préparation ont été organisées pour préparer cette réouverture. Toutefois, il est indispensable de rassurer les voyageurs sur les mesures prises pour offrir un séjour agréable et sécurisé.

LA UNE DU 30 SEPTEMBRE 2021

Publié le mercredi, 29 septembre 2021

La une du 29 septembre 2021

Publié le mardi, 28 septembre 2021


La décongestion et l’amélioration de l’image de la ville figurent parmi les priorités du maire de la Commune urbaine d’Antananarivo, Naina Andriantsitohaina, depuis son accession au pouvoir. Après l’assainissement du centre-ville et ses alentours, la construction des marchés à étages pour Behoririka, Anosy et Coum 67 Ha, la Mairie se concentre actuellement sur la mise en place de nouveaux plans de la circulation. D’ici peu, la circulation à Antanimena, Ankorondrano et Ambodivona aura une meilleure image. Depuis quelques temps, la CUA a travaillé sur le réaménagement de ces axes afin qu’ils puissent accueillir le trafic routier, vu le nombre en constante augmentation des véhicules qui circulent chaque jour dans cette partie de la ville. 
Outre l’installation d’une autre voix menant vers Ankorondrano, le rond-point a été élargi. L’ancien axe menant vers Ankorondrano, en face de l’église Jesosy Mamonjy, a été divisé en deux. Sur ce, les véhicules venant d’Ankazomanga et qui veulent rejoindre Ankorondrano doivent emprunter directement la petite voie. Par contre, ceux qui veulent rejoindre Ankazomanga doivent prendre l’ancienne route située devant l’église Jesosy Mamonjy et menant vers VITAFOAM, avant de faire un détour vers le boulevard de l’Europe. D’après les explications, la suppression du rond-point a pour objectif de diminuer les accidents de la circulation dans cette section ainsi que la confusion entre les automobilistes. En effet, plusieurs d’entre eux ne savent plus qui a la priorité et la situation se termine toujours par un échange verbal avec les agents de la circulation ou entre automobilistes.
En parallèle avec ces travaux, les agents de la circulation sensibilisent déjà les usagers sur le nouveau plan de la circulation. En conséquence, des embouteillages sont constatés durant les heures de pointe puisque ces derniers ne sont pas encore habitués à ce nouveau plan. Certains ont même dû prendre quelques instants de reflexion avant de rouler sur cet axe durant les heures où les agents de la circulation quittent les lieux.
Anatra R.




Achat de terrain, héritage domanial à départager impliquant une mutation par décès, litige foncier, etc. Ce sont les sujets les plus abordés au bout du fil pour le Centre d'informations administratives et d'orientations ou IVOTORO (« Ivon’ny Torohay ») situé à Nanisana, depuis son opérationnalisation en novembre 2019. Selon Harimé Sylvia Randrianarivo, directrice du centre, environ 70 % des appels reçus au sein de ses bureaux évoquent le domaine foncier. Toutefois, le manque de collaboration avec le ministère de l'Aménagement du territoire ainsi que celui de la Justice désavantage le système d’information et de conseil. « Nous manquons considérablement de données par rapport à ce sujet, surtout quand il s’agit d’un conflit. On a tendance actuellement à considérer le centre "Ivon’ny Torohay" comme une boîte de doléances », a-t-elle évoqué. 
En outre, les informations concernant l’attestation d’artiste, le passeport, la certification des diplômes du baccalauréat, la délivrance des attestations de BEPC/classe de seconde et l’autorisation d’ouverture d’hôtel et restaurant, intéressent également les concitoyens. A cela s’ajoutent la création d’entreprise, la délivrance d’autorisation d’enseigner. « Au cours des deux premiers mois après l’ouverture du centre IVOTORO, nous avons recensé près de 200 appels par jour. Cette affluence a progressivement diminué jusqu’à atteindre en moyenne 30 appels au quotidien. Nous remarquons par contre une hausse des demandes d’information après chaque événement majeur dans le pays, par exemple un examen officiel », a souligné Harimé Sylvia Randrianarivo.
A moins d’un an de son opérationnalisation, ledit Centre d’informations administratives et d’orientations recense près de 39 800 appels reçus. 45 % de ces appels proviennent de la Région d’Analamanga. Hier, afin de marquer la Journée internationale de l’accès universel à l’information (IDUAI), ayant pour thème « Le droit de savoir - Construire en mieux avec le droit d’accès à l’information », le ministère de la Communication et de la Culture y a organisé une journée portes ouvertes. « Nous allons renforcer les actions de sensibilisation et de partage d’informations auprès des citoyens. Nous appelons ainsi les entités concernées à collaborer, notamment pour mettre à jour leurs informations. Il faut savoir qu’une personne bien informée peut mettre fin à la corruption », a souligné Lalatiana Andriatongarivo, n°1 du ministère de la Communication et de la Culture.
Il faut souligner que le centre IVOTORO, en tant que service de conseil et d’orientation, fournit aux usagers les informations nécessaires concernant leurs demandes de procédure administrative via la ligne 640. A travers ce service, il contribue ainsi à une administration de proximité, transparente, accessible et efficace, tout en œuvrant concrètement pour la bonne gouvernance et la lutte contre la corruption, ainsi que la mise en place d’une communication au service du développement pour les citoyens. Non seulement, « Ivon’ny Torohay » est un centre d’appel, mais il œuvre également à contrôler et suivre les doléances reçues de la part des usagers auprès services proposés par chaque institution et les différents ministères.
K.R.

Mouroirs ou gouffres de malheur !

Publié le mardi, 28 septembre 2021

Hécatombe sur les routes nationales. Les accidents graves se succèdent. Des vies humaines succombent. Des innocents, femmes etenfants ou toute une famille, périssent. Trop de morts d’homme. Trop, c’est trop ! 
Durant les dix dernières années, les accidents routiers causant des morts se multiplient en nombre et atteignent un niveau de gravité qui dépasse l’entendement humain. Les taxis-brousse et les camions décrochent le triste palmarès.
D’emblée, la part de responsabilité de chacun est légitimement à rétablir de façon urgente et prioritaire et ce afin de déterminer les voies et les moyens pour en sortir. Il faut à tout prix mettre un terme à la catastrophe. Les routes nationales, provinciales voire régionales réduites à des dimensions de mouroirs ou de gouffres de malheur sont inadmissibles et inconcevables. En se hasardant à décortiquer le pourtour de la responsabilité des accidents récurrents de circulation notamment ceux des taxis-brousse, on risque de patauger dans un enchevêtrement des rôleset d’actes où personne n’est responsable.
Selon les enquêtes menées par la Direction générale de la sécurité routière (DGSR), 10 % des accidents trouvent leur origine dans la défaillance technique. Ce qui revient à déduire que 90 % des accidents mortels proviennent des responsabilités d’horizons divers.
Dans tous les cas de figure, chacun tente de se dédouaner en ne voulant pas porter le chapeau de ces morts d’homme de trop. Tinoka Roberto, le ministre des Transports monte au créneau et dénonce la gabegie qui prévaut dans ce secteur stratégique. Le transport terrestre pour un pays en développement comme Madagasikara tient un rôle plus qu’incontournable.
La DGSR, les services publics rattachés (ATT, etc.), les Forces de l’ordre,les propriétaires, les coopératives nationales, les conducteurs et les usagers ont chacun leur part de responsabilité à assumer comme il se doit. Une chaine de responsabilités dans laquelle on ne s’y retrouve pas exactement.
La DGSR, la pièce maitresse réglementant la capacité de circulation de tous les véhicules à Madagasikara, occupe le rôle primordial dans la mise aux normes techniques de toutes les voitures circulant sur le territoire national. A l’heure actuelle, cet organisme mène un combat sans appel contre la corruption. Dieu seul le sait, comment se comporte la lutte !
L’ATT, principal responsable public, parvient-il à maitriser le secteur ? On attend de sa part une gestion drastique et rigoureuse des transports terrestres. Des réglementations sévères, auxquelles tous les professionnels de la route doivent obligatoirement se plier, s’imposent. La discipline et le contrôle sur route semblent faire défaut.
Les Forces de l’ordre ont une lutte particulière à affronter à savoir « la petite corruption » lors des contrôles de la Police routière. En fait, tout se résume à payer des « écolages » à chaque point de contrôle.
Les propriétaires et les coopératives portent sur les épaules de lourdes responsabilités. L’anarchie règne ! Le recrutement des chauffeurs doit correspondre à des critères stricts. La capacité à conduire des véhicules allemands tels les Sprinters ou les Crafters, des bolides aux courses folles, exige des compétences particulières sinon une maturité au volant.
Pour remédier à ce chaos résultant d’une gestion mal agencée d’un secteur crucial provoquant d’énormes dégâts humains et matériels, il ne suffit pas de hausser le ton mais de mettre sur les rails des mesures cohérentes et surtout de les appliquer scrupuleusement.
Ndrianaivo

Fil infos

  • A défaut d’armes et d’argent cachés - Pillage et vandalisme à Mantasoa
  • Lutte contre la corruption - L’ENMG plaide pour une transmission rapide des preuves
  • Groupe Sodiat - Des comptes réduits à zéro
  • Déplacement du PRRM à Dubaï - Une visite « stratégique », selon le Gouvernement
  • Statistique agricole - Lancement du 3e recensement général de l’agriculture
  • Gel de certains comptes - Manifestation des employés du groupe Sodiat à Mandrosoa Ivato
  • Concertation nationale - Un début cacophonique
  • La Gen Z et les OSC - Pour une charte de la Transition
  • BIANCO Fianarantsoa - Détournement de plus de 8 millions Ariary à l’IFIRP
  • Conjoncture - Départ surprise du président de la CENI

La Une

Recherche par date

« December 2025 »
Mon Tue Wed Thu Fri Sat Sun
1 2 3 4 5 6 7
8 9 10 11 12 13 14
15 16 17 18 19 20 21
22 23 24 25 26 27 28
29 30 31        
Pub droite 1

Editorial

  • Double test !
    Selon le programme établi et publié à la presse, il y aura ce jour du lundi 15 décembre un premier face-à-face officiel entre les députés et les membres du Gouvernement. Une première séance officielle de « questions – réponses » entre les parlementaires de l’Hémicycle et les ministres et cela en vertu de l’art. 102 de la Constitution précisant le cadre global du rapport entre l’Assemblée nationale et le Gouvernement, entre les membres du Législatif et ceux de l’Exécutif.

A bout portant

AutoDiff