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Alerte rouge !

Publié le jeudi, 04 février 2021

Ravalomanana et acolytes, les députés TIM et les ténors du RMDM sont malades. Atteints de multiples symptômes de maladie dont entre autres la pyromanie, ils se doivent nécessairement de suivre des traitements de choc. Effectivement, la pyromanie, cette tendance maladive à allumer un incendie sans raison valable ni sensée, est une maladie grave. Un tare qui affecte le comportement ou le mental. Cette maladie, dont il est question, présente réellement des dangers graves du fait qu'elle détruit de façon irréversible.

 Une rémunération de la protection de l’environnement. Baomiavotse Vahinala Raharinirina, ministre de l’Environnement et du Développement Durable, Richard Randriamandrato ministre de l’Economie et des Finances ainsi que Marie-Chantal Uwanyiligira, représentante permanente de la Banque mondiale à Madagascar ont signé, hier, l’accord de paiement pour la réduction d’émission à « Atiala Atsinanana ». La cérémonie s’est tenue au Carlton Anosy.

 

Tout principe a ses limites. Les termes faisant référence à la démocratie et la liberté d’expression reviennent fréquemment dans les discours politiques ces derniers temps. Pire, ils sont utilisés pour justifier des actes qui sortent pourtant des valeurs édictées dans une démocratie.

 

Presque un siècle après l’utilisation de la première autoroute au monde en 1924 en Italie, Madagascar aura la sienne en 2023. Le Président Andry Rajoelina a martelé maintes fois durant la campagne présidentielle et au début de son mandat la construction d’une telle infrastructure au pays. Il s’agit d’une grande première après plus de soixante ans d’indépendance. Une autoroute reliant Antananarivo à Toamasina sera construite. Antananarivo est la Capitale de Madagascar tandis que Toamasina possède le plus grand port du pays.

“Tsy hiamboho adidy aho mon général”. Cette phrase que tout bon nombre de Malagasy connaissent bien retentit un mercredi 5 février 1975 où, sous la pression du contexte politique inextricable de l’époque, le général de l’armée Gabriel Ramanantsoa a dû remettre entre les mains du jeune colonel de gendarmerie Richard Ratsimandrava les pleins pouvoirs. Voici quelques points de vue à ce propos

 

LA UNE DU 03 FEVRIER 2021

Publié le jeudi, 04 février 2021

La une du 4 février 2021

Publié le mercredi, 03 février 2021

Un point d’eau fonctionnel 10 jours après sa construction. Celui mis en place dans le Fokontany d’Antsahamasina, Commune rurale d’Ambohidrapeto-Itaosy, a débuté la construction de 46 forages dans la Région d’Analamanga. Ces points d’eau sont construits  sur les zones où l’accès à l’eau s’avère difficile, jour et/ou nuit. Parmi les sites déjà identifiés par la JIRAMA, à travers une carte élaborée au préalable, figurent Antsahamasina, Ambavahaditokana, Ampitatafika, Malaza, Andoharanofotsy, Andraisoro, Tsarahonenana, Ambatomaro, Ilafy, Antsampandrano, Ankadikely, Ambatomaro, Ankatso. « Des études techniques, hydrobiologiques et géophysiques ont été menées, non seulement pour identifier les zones d’implantation des forages, mais aussi pour la réalisation des travaux. De plus, une unité compacte de traitement bactériologique et physico-chimique, servant à éviter toute polémique sur la potabilité, sera mise en place dans chaque point d’eau construit », informe Voahary Rakotovelomanantsoa, ministre de l’Eau, de l’Assainissement et de l’Hygiène (MEAH). C’était lors d’une visite de chantier effectuée dans la matinée d’hier à Antsahamasina Ambohidrapeto. Le forage se fait sur les nappes d’arène, d’une profondeur de 25 à 60 mètres, pour assurer la qualité de l’eau.
Un site au profit d’un millier de personnes
Avec un débit d’un à 2 m3 par heure, le point d’eau construit à Antsahamasina Ambohidrapeto pourra servir 300 ménages composés d’environ 1 500 personnes, selon les informations émanant des techniciens. Il sera opérationnel d’ici une semaine, au grand soulagement des habitants. « Une fois ce forage construit, nous ne serons plus contraints d’attendre l’ "eau fantôme" qui coule seulement entre 3h et 6h du matin, tant auprès des bornes-fontaines et bassins lavoirs que dans les branchements particuliers. Notre problème d’approvisionnement en eau sera résolu dans quelques jours », se réjouit Olga Elizabeth Razanamiarintsoa, adjointe au président du Fokontany d’Antsahamasina. Quant à la gestion de l’eau, des responsables seront identifiés par site. « On a constaté ces derniers temps que certaines personnes puisent de l’eau dans des bornes-fontaines appartenant à d’autres Fokontany pour ensuite la revendre à 500 ou 1 000 ariary le bidon de 20 litres. Pour éviter tout abus et spéculation donc, le carnet de résident sera exigé pour ceux qui puisent de l’eau auprès des bornes-fontaines », souligne le numéro Un du MEAH.
Faut-il rappeler que la construction de ces 46 forages dans la Région d’Analamanga constitue une décision récemment validée en Conseil des ministres. Il s’agit d’une issue face aux problèmes persistants en matière d’approvisionnement en eau potable, engendrant la grogne des habitants. Cette situation d’urgence a toutefois entraîné la recherche d’une solution pérenne…
Recueillis par Patricia Ramavonirina


Mis sur le marché depuis vendredi dernier, le « Vary Tsinjo » est actuellement disponible auprès de 192 Fokontany d’Antananarivo. Ce produit est vendu à 1 500 ariary le kilo dans plus de 900 épiceries de la Capitale et les zones périphériques. D’après le ministère de l’Industrie, du Commerce et de l’Artisanat, le dispatching a commencé hier dans la ville de Toamasina. La mise sur le marché dans les autres Régions est en cours de préparation.
Des irrégularités constatées
La Direction de la protection des consommateurs, de son côté, effectue périodiquement des descentes. Tout comme lors du « Hetsika vidin’entana », leurs missions ont comme objectifs d’assurer l’approvisionnement et la répartition du « Vary Tsinjo » dans les épiceries, le respect de la structure des prix, des droits des consommateurs, ainsi que des lois et textes en vigueur. Des irrégularités nuisant à la protection des consommateurs ont été décelées à Ambohimirary, Ambohimanarina et Andavamamba dans la journée d’hier. Les équipes sur terrain ont procédé à une consignation provisoire des épiceries en attente des résultats d’enquête. Ces irrégularités concernent la non-règlementation des papiers, l’absence de la facture des produits et la hausse inexpliquée des prix.
Recueillis par Solange Heriniaina

Coup vache !

Publié le mercredi, 03 février 2021

Ahmad Ahmad reprend officiellement ses fonctions de président de la Confédération africaine de football (CAF) au Caire, en Egypte. Et cela des suites de la décision transitoire mais irrévocable du Tribunal Arbitral du Sport (TAS). Les instances de la FIFA, en dépit de sa toute-puissance sinon sa dictature dans l’univers du ballon rond à l’échelle de la planète n’y peut rien. Le TAS ira statuer son cas définitivement le 2 mars soit 10 jours francs avant l’élection du nouveau président de la Confédération africaine. D’emblée, la question cruciale se pose : « Ahmad va-t-il pouvoir s’aligner, de nouveau, dans les starting-blocks ? » Mais en attendant, il va retrouver son poste de président de la CAF.
Pour un camouflet en plein visage de la FIFA, c’en est un ! Pour cause, le 23 novembre 2020, les instances dirigeantes de la FIFA, sous l’impulsion implacable de son président Gianni Infantino, écartèrent le Malagasy Ahmad Ahmad, président en exercice de la CAF, de la course au poste de président auquel il s’est porté candidat à sa propre succession. En fait, selon la décision en question, Ahmad est suspendu pour cinq ans de toute fonction sportive. Une sanction sévère dont les ondes de choc atteignent certainement le pays d’origine du président sanctionné à savoir Madagasikara et même bafouant l’honneur de tout un peuple, tous les Malagasy. Evidemment, accusé de malversations qu’il juge infondées, Ahmad ne s’est pas laissé piétiner dans la boue. Il interjetait en appel auprès du TAS. Même à titre provisoire, il a gagné.
Seulement, la question de sa candidature hante les esprits. Dans tous les cas de figure, il s’agit d’un coup vache. L’arrêt du TAS sortait après que la FIFA a annoncé la sanction soit dix jours avant la date du scrutin. Et les noms candidats retenus ont été déjà publiés. Mais, Ahmad se réserve le droit de lutter. Il va remuer ciel et terre. En tout cas, après ce revirement de la situation ou ce rebondissement inattendu de ce qu’il convient d’appeler « Affaire Ahmad », les espoirs sont permis. Et qu’il va pouvoir continuer à apporter des changements au sein de cette Institution qui a la haute main sur le sport-roi en Afrique. Des pays comme le nôtre ont tiré des avantages, pas des moindres, grâce au vent de renouveau qui a soufflé au sein de l’instance dirigeante de la CAF. Madagasikara et d’autres Nations à l’instar de la Mauritanie n’a jamais pu franchir le cap du Canal de Mozambique durant les rencontres comptant pour les phases éliminatoires des finales de Coupes d’Afrique des Nations (CAN) qu’après les nouvelles dispositions apportées par le président Ahmad. En effet, la CAN était, des décennies durant, l’apanage des grandes formations composant le Top 10 à l’instar du Sénégal, du Cameroun, d’Egypte, du Ghana, du Maroc. Bref, les « mondialistes » du Continent noir. Une hégémonie imperturbable ! Les petits « poucets » n’avaient aucune chance de les détrôner. Mais désormais, la donne change, et c’est toute l’Afrique qui sort vainqueur…. 

Ndrianaivo

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Editorial

  • Agir ensemble !
    Dans le cadre des préparatifs du Sommet de la Commission de l’océan Indien (COI) prévu les 24 et 25 avril derniers, la conférence ministérielle des pays membres ont jeté les bases du pourtour des actions à entreprendre au sein de l’espace indianocéanique. Les membres de Gouvernement de chaque Etat ont tracé au mois de mars les fondamentaux sous la forme d’engagements à soumettre aux Chefs d’Etat pour le Vème Sommet de ce mois d’avril passé à Anosy Antananarivo, Madagasikara.

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