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Plus de 16 000 personnes bénéficient chaque jour des repas chauds dans la Commune urbaine d’Antananarivo, c’est-à-dire, 925 par Arrondissement. L’opération « Kaly tsinjo », afin de soutenir les personnes vulnérables, a été entamée dans la ville d’Antananarivo, hier. Initié par le ministère de la Population, de la Protection sociale et de la Promotion de la femme, le projet durera 78 jours. Après la crise sanitaire due à la Covid-19, la majorité d’entre les ménages malagasy font face à des difficultés financières. Ainsi, ils n’arrivent plus à se nourrir correctement et deviennent fragiles face à la propagation de diverses maladies. Pour cette première phase, les 6 Arrondissements de la Capitale, outre les 11 Districts de Madagascar à savoir Toamasina, Fénérive Est, Fianarantsoa, Toliara, Betroka, Bekily, Ampanihy, Beloha, Tsihombe, Ambovombe et Amboasary, sont les principales cibles. « En tant que mesure d’urgence, ce sont les familles les plus défavorisées qui seront les principaux bénéficiaires de ce projet. D’ailleurs c’est le critère pour recevoir les tickets « Kaly Tsinjo » », explique Randriamanjara Andrianiaina, directeur de la promotion au sein de ce ministère. Et bien évidemment, les autres Régions recevront ainsi leur part, continue –t-il. Afin de lutter contre la gabegie, le ministère travaille en étroite collaboration avec le Fokontany et les députés de chaque Arrondissement. Ces derniers sélectionneront les bénéficiaires.
Pour rappel, le "Kaly Tsinjo" est un projet destiné aux plus vulnérables dans le cadre de l'urgence sanitaire. Le Président de la République Andry Rajoelina avait indiqué que cette aide sera octroyée gratuitement à ces bénéficiaires et viendra en complément des "Vatsy Tsinjo", "Tosika Fameno", "Vary mora" et autres "Tsena mora".
A ce sujet, pour la Région Sud de Madagascar, qui est la plus touchée par le Kere, la population ne recevra pas des repas chauds, mais plutôt des vivres, selon les consignes du Président de la République. Pour la troisième fois, le ministre de tutelle et son équipe ont effectué une descente dans le Sud afin d’apporter un soutien à la population.
Anatra R.


Place à la publication des dépenses. Le ministère de l’Economie et des Finances s’est limité auparavant la mise à la disposition au public les financements reçus dans le cadre de la lutte contre la Covid-19. Afin de faire preuve de plus de transparence, un rapport sur les dépenses est disponible dans le site web. Il s'agit du montant précis du total des marchés publics attribués depuis le mois de mars jusqu’à la fin du mois d’octobre. Les informations dévoilent la base de l’engagement jusqu'à la base du paiement en passant par les marchés publics attribués, et les bénéficiaires des contrats. Le total du chiffre s’élève à 25 309 015 039 ariary. Près de 90 marchés ont été effectués au cours des sept derniers mois dont la majorité est allouée à la fourniture comme les matériels d’urgence, les habillements dans le cadre de la lutte contre le coronavirus, les fournitures ménagères. Le mode de passation s’est généralement déroulé en appel d’offres.
Provisoire    
Selon les responsables, certaines données issues de ces différents logiciels n'ont pas été forcément saisies par les organismes avec une indication précise de "Covid-19". C’est le cas de l’achat de fournitures de bureau qui n'est pas indiqué s'il est fait dans le cadre de la Covid- 19 ou dans le cadre normal des activités de l'organisme. Il faut encore procéder à une validation ex-post de ces données par chaque ministère, ordonnateur de ces dépenses. « Les informations contenues dans cette plateforme restent encore provisoires et à analyser avec fine précaution. Elles se mettront automatiquement à jour au fur et à mesure de l’obtention de la validation des données par les organismes publics ayant exécuté ces dépenses. Nous osons espérer que cette plateforme contribue de manière significative à l’objectif de transparence budgétaire, et mène vers une meilleure optimisation de la gestion des finances publiques », soulignent les responsables
Vers une priorisation de l’entrepreneuriat local
Dans le projet de Loi de finances initiale (LFI) 2021 et dans le cadre du Plan Marshall, le Gouvernement priorisera les entreprises locales lors de l’octroi de marché public à compter de l’année prochaine. La promotion de l’entrepreneuriat des femmes et des jeunes sera particulièrement mise en avant, entre autres via l’appui aux métiers artisanaux et aux petites manufactures agro-alimentaires. A l’instar de la construction de la maison de la vanille à Antalaha, le Gouvernement compte également prioriser les filières pourvoyeuses de devises afin de valoriser les avantages comparatifs de Madagascar et améliorer sa position géoéconomique. L’optimisation du mécanisme de rapatriement de devises est par la même occasion renforcée.
Solange Heriniaina


Le Salon international de l’habitat (SIH) a entamé sa 22ème édition, hier, au Parc des expositions Forello Tanjombato. Après tout ce qui s’est passé cette année, avec la pandémie de coronavirus et ses impacts sur l’économie nationale mais aussi mondiale, cette édition tend alors vers la relance ainsi que la mise en chantier de tout Madagascar. Le SIH s’active alors pour relancer la consommation mais surtout pour faciliter l’accès de toute la population malagasy à un logement décent.
L’Etat projette de construire 50 000 logements d’ici 2023. Dans cet esprit, l’Agence nationale d’appui au logement et à l’habitat (ANALOGH) avec le vice-ministère de l’Habitat et des Nouvelles villes sont donc sur tous les fronts. « 800 logements sont actuellement en construction dans plusieurs villes du pays comme Antsirabe, Antsiranana, Nosy-Be, Morondava mais aussi Toamasina et Toliara. Pour la Capitale, un programme développé par l’ANALOGH visera à construire des logements similaires à ceux sur l’axe Tsarasaotra-Ivato dans d’autres quartiers», a annoncé le vice-ministre en charge de l’Habitat et des Nouvelles villes hier, au cours de l’ouverture officielle du salon. Ainsi, les logements sociaux présentés par ANALOGH sont alors les produits phares de cette édition. Ils seront particulièrement mis en avant dans plusieurs stands pour offrir la possibilité aux visiteurs d’envisager d’avoir un jour sa propre maison. Chacun pourra alors découvrir dès aujourd’hui, toutes les offres disponibles et accessibles selon son budget.
Toutefois, pour atteindre cet objectif, « le secteur privé et le secteur public doivent travailler main dans la main, ainsi que les collectivités locales et les structures de toute sorte», rajoute ce responsable. Reliant tous les acteurs du domaine de la construction, « le SIH met alors en place tous les leviers nécessaires pour que ces programmes de logements sociaux puissent être concrétisés et répondre aux besoins de la population» renchérit Michel D. Ramiaramanana, président du comité d’organisation de l’événement.
Mais, le Salon international de l’habitat offre également aux visiteurs les outils pour mettre en œuvre leurs projets de construction ou faire avancer leur idée qui a été mise en pause durant le confinement.   

Un jour, un sponsor...

CNAPS: Une attention particulière pour les acteurs dans la construction
La Caisse nationale de prévoyance sociale (CNaPS) participe à la 22ème édition du Salon international de l’habitat, en tant que sponsor officiel. Pour cette édition, la CNaPS portera une attention particulière aux acteurs dans le domaine de la construction. « Récemment, nous avons signé une convention de partenariat avec le Syndicat des entrepreneurs en bâtiments et Travaux publics (SEBTP). C’est une des raisons qui motivent notre présence à cet événement, sachant que parmi nos membres, nous avons beaucoup de cotisants travaillant dans le secteur, employés et employeurs confondus. Ces quatre jours sont alors une occasion pour les rencontrer directement», soutient un responsable au niveau de la CNaPS. Ainsi, ces personnes pourront demander conseil au niveau du stand de la CNaPS. L’équipe présente sur les lieux peut également traiter directement des dossiers ou des demandes. 
Cette démarche s’inscrit notamment dans la volonté de la CNaPS à placer ses adhérents au centre de toutes ces préoccupations. A l’aube de l’année 2020, elle a effectivement pris une décision importante de changer sa culture d’entreprise. « Parce que couverture sociale veut aussi dire accompagner chaque personne et chaque famille tout au long de sa vie, depuis la naissance jusqu’à la retraite, cette perspective parfois oubliée deviendra le centre des préoccupations de chaque employé» soutient Mamy Rakotondraibe, directeur général de la CNaPS.
Malgré ces personnes cibles, la CNaPS reste quand même à l’écoute de tous les visiteurs souhaitant avoir des informations ou des conseils.
 

Sénatoriales - La liste IRMAR lance sa campagne

Publié le jeudi, 19 novembre 2020


La liste Isika rehetra miaraka amin’ny prezida Andry Rajoelina (IRMAR) candidate aux élections sénatoriales du 11 décembre prochain lance sa campagne électorale. Une cérémonie s’est tenue à l’Arena Ivandry en présence notamment de Christine Razanamahasoa, présidente de la plateforme IRMAR et présidente de l’Assemblée nationale ainsi que certains des leaders de cette coalition présidentielle comme Norbert Lala Ratsirahonana. La liste sera pour rappel conduite par Herimanana Razafimahefa. L’ancien Secrétaire général du ministère de l’Education nationale sera notamment accompagné par l’ex-sénateur Sylvain Rabetsaroana qui figurera en tant que second dans la liste numéro 1 sur la liste électorale. L‘IRMAR a pris l’engagement de soutenir les Communes, les maires et les conseillers municipaux ou communaux dans leurs activités, indique Herimanana Razafimahefa. Une priorité sera aussi d’aider à la recherche de financements pour les Communes. Les craintes vécues par les élus ont été entendues. La liste IRMAR a affirmé que l’une de ses priorités sera de garantir plus de sécurité pour les élus communaux contre les pressions de toutes sortes afin de permettre à ces élus de se focaliser sur les projets de développement.
Redonner ses lettres de noblesse aux élus communaux, apporter son appui technique et financier aux Communes, renforcer la communication entre les collectivités et l’Etat central ainsi que les partenaires techniques et financiers, favoriser le développement harmonieux, équitable et inclusif, apporter un soutien à la lutte contre l’insécurité, sont des points figurant dans un pan du programme de la liste IRMAR dévoilé hier. Un programme issu de descentes sur terrain à la rencontre des acteurs de la Province d’Antananarivo. La liste IRMAR se veut justement être à l’écoute et relayer les besoins des élus, des citoyens et des acteurs publics comme privés. La liste IRMAR se dit par ailleurs ouvert à l’idée d’élaborer une proposition de loi issue de la base. Durant les 20 prochains jours, jusqu’au 9 décembre, la liste de candidats de l’IRMAR compte venir écouter les grands électeurs des 20 Districts que compte la Province d’Antananarivo. Une campagne qui devrait commencer ce jour dans le District de Miarinarivo. Notons que Christine Razanamahasoa a tenu à faire une mise au point durant la cérémonie d’hier. Elle indique ainsi qu’il n’y a aucune liste, à part l’IRMAR, qui peut se prévaloir d’avoir eu la bénédiction du leader de la coalition, l’actuel Chef de l’Etat. La tenante du perchoir de la Chambre basse de Tsimbazaza appelle ainsi les élus sous la bannière Orange à faire preuve de vigilance afin d’obtenir la victoire. L’espoir formulé par l’ancienne ministre de la Justice est un coup double dans la Province d’Antananarivo.
La rédaction

L’esprit est particulièrement perturbé par cette période inédite. Les deux artistes, Nantenaina Fifaliana et Inès Ramerison ont donc voulu matérialiser leur ressenti à travers leur exposition, «Instantanés de Résilience », actuellement à Asàra, au sein de l’immeuble Atrium Ankorondrano, jusqu’à l’année prochaine. Vu l’intitulé, l’exposition se centre ainsi sur le renouveau, la reconstruction ou encore la réparation. « Résilience est un mot puissant, maintes fois galvaudé mais qui trouve tout son sens ici et maintenant. Nantenaina fusionne alors son regard photographique avec son style cinématographique où l’humain et l’environnement restent au cœur de ses œuvres » exprime Ihoby Lysiane Rabarijohn, consultante en ingénierie culturelle. «Cette exposition met en exergue l’obsolescence de l’amour. Je voulais raconter la résilience de ceux qui ont perdu quelque chose dans cette vague de consommation, que ce soit seul ou ensemble, nous passons tous par ce processus de guérison. Au départ, je voulais valoriser les métiers " qui réparent" mais au fur et à mesure, cela s’est étendu vers d’autres domaines. Dans le contexte actuel, je voulais montrer qu’on peut se reconstruire et devenir encore plus beau et plus fort » décrit ce photographe et réalisateur, qui a obtenu le premier prix aux Rencontres du Film Documentaire de l’océan Indien, en 2015, à Toamasina avec Anay ny Lalana.
Dans cet esprit de réparation, Inès Ramerison s’est inspiré du «Kingutsi», the Art of Broken Pieces. « C’est un art très courant au Japon. Il consiste à réparer des vases avec de l’or. Une fois réparé, ils deviennent alors plus valeureux et plus beaux. C’est une métaphore que j’ai transposée sur les photographies de Nantenaina. Nous voulons surtout transmettre aux gens que même après une grosse blessure, on peut renaître », rajoute la plasticienne. Les douze photos composant «Instantanés de Résilience » seront présentées par Asàr’Art en partenariat avec Atria à partir d’aujourd’hui. Une rencontre avec les artistes sera même organisée demain pour que le public puisse échanger avec le thème de la résilience, mais surtout créer un lien.       
Rova Randria


163 danseurs, chanteurs et musiciens ont été à l’origine du show culturel et artistique en marge de la cérémonie d’inauguration du Palais de Besakana et celui de Manjakamiadana le 6 novembre dernier. Grâce à leurs prestations, le ministère de la Culture et de la Communication (MCC) leur a remis une « attestation de validation des acquis de l’expérience des trois disciplines suite à leur participation au stage bloqué de 50 heures », hier au Bibliothèque nationale Anosy.
 « Vous vous êtes donnés corps et âme durant les 50 heures de répétition. Vous vous êtes surpassés de danseurs interprètes en amenant de la créativité à vos arts. Vous avez validé vos acquis d’où la remise de cette attestation », lance la ministre Lalatiana Andriatongarivo.
Pour Jonah Safidy, l’un des danseurs, sa contribution à cette promotion de la culture a été une expérience positive, non seulement il a découvert d’autres figures de la danse notamment la danse d’inspiration traditionnelle mais a validé son deuxième cycle. « Je suis danseur auprès du service de la culture de l’université d’Antananarivo depuis 2016. J’ai déjà participé à d’autres événements mais jamais de telle envergure. Cette attestation certifie qu’il me reste ainsi le dernier cycle pour décrocher une licence de danseur reconnu au niveau international », se réjouit-il.
Dans son intervention hier, Holy Razafindrazaka, actuelle directrice du CNEMD chargée de piloter la partie artistique et culturelle de l’inauguration du Palais de Besakana et du Palais de Manjakamiadana, a remercié le ministère de la Communication et Culture en la personne de Lalatiana Andriatongarivo d’avoir accordé au centre une confiance tout au long de cette mission à haut niveau comparant aux concerts programmés habituellement.
La renaissance de l’Anatirova nouvellement appelé Rovan’ny Madagasikara est entrée dans l’histoire du Centre national d'enseignement de musique et de danse (CNEMD) à Ampefiloha. Jamais dans l’histoire de centre, récemment réhabilité et restructuré, de telle prestation culturelle et artistique réunissant tous les disciplines n’a été organisée.
K.R.


Vers le début de l’après-midi jeudi dernier, les éléments de la brigade des stupéfiants Anosy ont procédé à l’arrestation de deux jeunes hommes de 18 ans chacun pour usage et trafic d’héroïne aux 67ha.
En effet, les suspects auraient été surpris en train même de démarcher. Ce double coup de filet de la Police serait le fruit d’une dénonciation de la part de certains informateurs qui agissent sous le couvert d’anonymat.
Bien que la Police n’ait trouvé qu’une infime quantité de cette drogue dure sur les concernés, on peut dire que ces derniers sont des spécialistes en la matière. Car s’ils achètent le gramme à 50 000 ariary auprès du fournisseur, ils fractionnent ensuite l’héroïne en 7 petits fragments dont l’un est ensuite proposé à 5 000 ariary au client.
Le cas de ces deux jeunes démarcheurs n’est qu’un exemple parmi tant d’autres qu’a connu le quartier des 67ha. Bien avant eux, plusieurs autres petits dealers, Africains inclus, ont été déjà arrêtés, sinon emprisonnés depuis. Mais cela semble n’avoir pas d’effet chez les trafiquants, qui travailleraient pour un réseau occulte auquel toute une zone d’ombre persiste encore à leur sujet.
F.R.

La une du 20 novembre 2020

Publié le jeudi, 19 novembre 2020

Il y a quelques jours de cela, l'épouse d'un colonel a été traduite, pour la deuxième fois, devant la Cour criminelle du Pôle anti-corruption ou PAC des 67Ha, pour usurpation de fonction auprès des deux plus hautes institutions du pays. Au terme des débats, le juge prononce la sentence : deux ans de réclusion ferme pour l'accusée. Le préjudice s'élève à près de 1,5 milliard d'ariary. Sa victime : une coiffeuse d'Ambohidrapeto et ses clientes.

 

Un vecteur de changement. La jeunesse représente la moitié de la population à Madagascar, d’où son choix dans la mise en œuvre de divers projets. C’est le cas pour la protection des espèces marines menacées dans le Nord de l’île, notamment les tortues marines et des dugongs, à travers une campagne de sensibilisation touchant plus de 2000 élèves. Il s’agit d’une initiative de C3 Madagascar, la seule ONG dédiée à la conservation de l’environnement marin dans cette région de l’île, appuyée par l’Union européenne par le biais de son projet ECOFISH et Tusk.

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Editorial

  • Agir ensemble !
    Dans le cadre des préparatifs du Sommet de la Commission de l’océan Indien (COI) prévu les 24 et 25 avril derniers, la conférence ministérielle des pays membres ont jeté les bases du pourtour des actions à entreprendre au sein de l’espace indianocéanique. Les membres de Gouvernement de chaque Etat ont tracé au mois de mars les fondamentaux sous la forme d’engagements à soumettre aux Chefs d’Etat pour le Vème Sommet de ce mois d’avril passé à Anosy Antananarivo, Madagasikara.

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