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Les personnes vulnérables souffrent durant la saison hivernale, notamment celles qui vivent avec des problèmes respiratoires. En cette période où l'hiver s’installe, des maladies saisonnières comme la grippe, la gastro-entérite et la bronchiolite se propagent. Selon le docteur Marie-Claire, médecin traitant dans un dispensaire privé de la capitale, ces maladies saisonnières sont les principales infections dues à des virus hivernaux. La grippe est souvent considérée comme une maladie peu dangereuse. Ce qui est le plus souvent le cas lorsqu’elle touche des patients jeunes, en parfaite santé.

 

Certains estiment que la grippe est une maladie qui pourrait être prise à la légère. Mais en réalité, elle peut être grave, voire mortelle, en particulier chez les personnes fragiles, comme les personnes âgées ou atteintes de certaines maladies chroniques, les femmes enceintes, les personnes souffrant d’obésité ou encore les nourrissons.

 

La pollution de l'atmosphère ainsi que le froid aggravent la maladie. « Le froid et la pollution de l’air sont inséparables. Pourtant, ces phénomènes sont les ennemis des personnes ayant des malaises respiratoires. En cette période, elles devraient prendre soin de leur santé et consulter régulièrement le médecin », poursuit le docteur Marie-Claire.

 

En ce qui concerne la bronchiolite, elle est due à un virus qui touche les poumons et provoque un gonflement des bronchioles chez les enfants de moins de 2 ans. Ce virus est très fréquent et très contagieux. La maladie débute généralement par un rhume et une toux qui peuvent s’accompagner de sifflements au niveau des poumons. La gastro-entérite, quant à elle, est une inflammation du tube digestif. Elle peut entraîner des nausées, une perte d’appétit, des vomissements, des crampes abdominales, des diarrhées importantes, de la déshydratation, de la fièvre, une grande fatigue et des maux de tête.

 

Les précautions les plus importantes à prendre en cette saison hivernale consistent à adopter des habitudes saines. « Il s’agit de gestes simples qui nous aident à minimiser le risque d’attraper un rhume et la grippe saisonnière. D'ailleurs, la grippe pourrait devenir un problème de santé plus grave si les symptômes ne sont pas gérés efficacement », dixit le docteur. Pendant la période de froid, il est important de maintenir l’apport quotidien en eau, au minimum 1,5 litre. Elle permet au sang d’éliminer les toxines et de transporter l’oxygène et les nutriments essentiels dans le corps humain.

Anatra R.

Trop, c’est trop !

Publié le lundi, 26 mai 2025

Pour la nième fois, nous réitérons haut et fort cette expression populaire « Trop, c’est trop ! » pour décrire certaines réalités crues et donner l’alerte générale.

Trop d’accidents de route ! Le quotidien entre vos mains, La Vérité, sentit formellement le besoin de lancer un appel vibrant le jeudi 10 avril 2025, en page 4, sur la « nécessité de mesures radicales » sur la recrudescence des  accidents de route. Récemment, les accidents mortels de route successifs sur les nouvelles infrastructures routières sur les périphéries de la Capitale telles les Rocades-Est, de Tsaramasay, de Tsarasaotra, d’Ambohitrimanjaka de même sur les routes -  digues de Ampitatafika – Fenoarivo mais également sur les routes nationales, etc, défraient les chroniques. Tous les véhicules notamment les bolides et tous les moyens de transport, tout-terrain, deux-roues, les charrettes à bœufs, à mains, y passent. Trop de pertes en vies humaines, trop de dégâts matériels, des voitures réduites en état de ferrailles ! Trop de veuves, trop d’orphelins souvent en bas âges ! Trop de jeunes happés dans la force de l’âge !

Il importe de déterminer les causes majeures de ces accidents de trop pour en définir les mesures formelles sinon radicales à considérer. Faudrait-on organiser une table ronde autour de la laquelle des responsables publics, de hauts représentants  des Commandements Forces de l’ordre, des éléments de la société civile, des représentants des coopératives de transports, de simples citoyens aux fins de débattre publiquement les causes de ce « fléau » et ensuite rétablir les responsabilités dans les cadre des mesures à prendre. La visite de Jean Todt, l’envoyé spécial du Secrétaire général des Nations Unies, sur le sol malagasy, du 9 au 13 avril dernier, relative à cette question préoccupante illustre l’urgence absolue de tirer au clair le phénomène inquiétant. 

Durant ce séjour, le point focal de la démarche consiste à sensibiliser le public et les décideurs sur le caractère crucial et primordial de parvenir à maitriser la tendance inquiétante de la montée du nombre des accidents mortels de route. A la suite de la quatrième Conférence ministérielle mondiale sur la sécurité routière qui s’est tenue au Maroc en 2025 et des conclusions du Rapport mondial sur la sécurité routière en 2023, la mission de Jean Todt se voulait être un point de départ pour l’instauration des politiques plus efficaces et responsables. La visite diligentée par le SG de l’ONU au pays reflète l’importance majeure de remédier de manière efficiente le problème.

L’imprudence des conducteurs, la consommation d’alcool parfois jusqu’à l’état d’ébriété, excès de vitesse, la somnolence et l’inattention sont les principales causes d’accidents graves jusqu’à coûter la vie humaine. Selon les données fournies par la Direction générale de la sécurité routière (DGSR) en 2024 qui révèlent une réalité alarmante, 89 % des accidents de route à Madagasikara sont causés par l’imprudence des conducteurs. Evidemment, les autres causes susmentionnées ont chacune leur part de responsabilité. Selon certaine source, les accidents mortels de route figurent parmi les premières causes de mortalité à Madagasikara.

Trop, c’est trop ! Il faudra stopper l’ … hécatombe. Une politique nette et réalisable s’impose. Des mesures courageuses que tout le monde, tous les chauffeurs, sans exception se doivent de respecter  y compris les agents de sécurité routière chargés de contrôle. 

 

 

Les liens économiques et commerciaux entre Madagascar et les Emirats arabes unis continuent de se raffermir. Le Président Andry Rajoelina est à la tête d’une forte délégation pour prendre part au « Madagascar – Dubaï Business Forum » qui débutera ce jour à Dubaï. Le Chef de l’Etat a enchaîné les opérations de séduction auprès des grands investisseurs des Emirats arabes unis. Une série d’ « offensives de charme » qui a déjà porté ses fruits grâce à la présence de la compagnie Emirates à Madagascar depuis l’année 2024.

Le secteur privé malagasy sera à l’honneur au cours de ce « business forum » qui constitue à la fois un évènement économique et diplomatique. En effet, pas moins de 75 opérateurs économiques représentant 61 entreprises malagasy ont fait le déplacement dans la plus grande ville des Emirats arabes unis pour ce rendez – vous d’affaires avec les géants Emiratis, selon le ministre de l’Industrialisation et du Commerce, David Ralambofiringa. Ces hommes d’affaires malagasy sont à la conquête de nouvelles opportunités à Dubaï. D’autant plus que les membres du secteur privé de Dubaï viendront également en masse.  125 membres de délégation issus de près d’une centaine de sociétés émiraties sont attendues au cours de cette journée du forum.

Explorer les opportunités d’investissement

La rencontre entre le Président malagasy et les responsables de la Chambre de commerce de Dubaï, principal organisateur du forum, sera également un des moments forts de cette journée. Ce forum d’affaires constitue une plateforme unique qui permet de renforcer les partenariats entre les deux parties et faciliter la conclusion d’éventuels accords  en réunissant des acteurs clés des secteurs public et privé pour cultiver des réseaux et explorer des opportunités d’investissement. D’ailleurs, la visite d’une délégation d’opérateurs émiratis à Madagascar est aussi prévue d’ici l’année 2026. 

Ce rendez – vous d’affaires sera également une occasion pour le Gouvernement malagasy d’identifier les pistes de coopération avec les Emirats arabes unis dans plusieurs secteurs comme l’énergie, le tourisme, les finances, l’agroalimentaire, les nouvelles technologies, les infrastructures, etc. Arrivés à Dubaï depuis hier, plusieurs membres du Gouvernement accompagnent le Chef de l’Etat au cours de ce déplacement à Dubaï à savoir la ministre des Affaires étrangères, Rasata Rafaravavitafika, la ministre des Finances et du Budget, Rindra Hasimbelo Rabanirinarison ; le ministre de l’Industrialisation et du Commerce, David Ralambofiringa ; le ministre de l’Energie et des Hydrocarbures, Olivier Jean Baptiste, le ministre de l’Elevage et l’Agriculture, Hajarison François ; la ministre du Tourisme et de l’Artisanat, Viviane Dewa ; le ministre des Mines et des Ressources stratégiques, Rakotomalala Herindrainy Olivier et le ministre des Travaux publics, Rafidison Théodore.   

Sandra R. 

Le candidat N°1 du Parti, Asa vita no ifampitsarana, Paul Rakotoarivony, dans la course à la Mairie d’Andriamena, du District de Tsaratanàna, province de Mahajanga, conteste les résultats des élections communales 2024, parvenus au Tribunal administratif de Mahajanga, dans la Commune en question. « En effet, insiste-t-il, ce fut moi qui a obtenu le plus grand nombre de voix…Il n’y a eu aucune contestation, lors du dépouillement !». Contrairement  à ce qui a été remis au Tribunal administratif concerné qui a octroyé  ses résultats donnant la victoire au candidat numéro 2. Les attentions sont invitées à remarquer que les dossiers envoyés, d’Andriamena, respectivement à la CENI, au SRMV, au ministère de la Décentralisation et au Tribunal administratif de Mahajanga, selon notre interlocuteur, sont les mêmes.

Seulement, à la grande surprise de Paul Rakotoarivony, les contenus des  documents parvenus au  Tribunal administratif concerné  - donnent le plus grand nombre de voix au candidat N°2, pourtant au deuxième rang  lors du dépouillement à Andriamena,  et de ce fait - sont différents de ceux adressés à la CENI, du SRMV et des archives des bureaux de vote !

Paul Rakotoarivony porte plainte, entreprend des  investigations, et affirme avoir découvert que «  certains documents parvenus au Tribunal administratif en question, comportent des faux : les  chiffres sont modifiés et les  signatures fausses ! »

Les membres des bureaux de vote confirment cette version lors d’un point de presse. Paul Rakotoarivony a déposé une plainte contre l’auteur de cette infraction à la Loi, au Tribunal de Première instance d’Ambatondrazaka à ce sujet.

Par ailleurs, les membres des bureaux de vote d’Andriamena refusent aussi d’avoir été signataires des documents –«  truqués » - parvenus au Tribunal administratif de Mahajanga. Et acceptent d’être photographiés, devant la presse,  avec le plaignant. Tout comme les deux candidats-concurrents dont l’un «ancien député de Tsaratanàna et l’autre de l’IRMAR . L’affaire est au niveau du Conseil d’Etat.                                                     

Nandrasana

 

      

 

Coup de tonnerre. Le Sénat français vient d’entériner une mesure aux allures de séisme pour tout un pan de l’économie numérique locale. En effet, l’interdiction totale du démarchage téléphonique à compter de l’année 2026 est saluée en métropole comme une victoire contre le harcèlement commercial. Mais c’est tout un pilier entier de l’économie « offshore » qui s’apprête à trembler dans la Grande île. A Madagascar, où le secteur des centres d’appel fait travailler des milliers de jeunes, avec des estimations indiquant qu'il pourrait atteindre jusqu'à 80.000 emplois cette année.

Cette nouvelle soulève autant d’inquiétudes que d'interrogations. « On comprend que ce soit pénible pour les particuliers français de se faire appeler dix fois par jour. Mais ici, ces appels, c’est notre pain quotidien », témoigne Lova, 27 ans, télé-opérateur dans un petit call center sis à Itaosy. Pour lui, comme pour beaucoup de jeunes diplômés, parfois sans autre perspective d’emploi, le centre d’appels constitue un filet de sécurité sociale, aussi précaire soit-il. Si les grandes entreprises d’externalisation comme Webhelp, Vivetic ou encore Konecta (anciennement Comdata) semblent plutôt sereines, c’est une autre histoire pour les micro-structures et prestataires indépendants qui vivent principalement de la prospection téléphonique « B to C » (« Business to Consumers »),qualifiant les relations de professionnels vers des consommateurs finaux.

 

Tarissement des missions

« Ce sont surtout les petits "call centers" de couloir qui vont payer cher, parce qu’ils bossent presque uniquement sur du démarchage pur, donc vers les particuliers. La raison étant que le taux de transformation de ces démarchages en vente ou en rendez-vous est infime. Ce qui représente un risque de non atteinte d’objectif qui n’intéresse pas les grandes enseignes », confie un ancien cadre dirigeant de Konecta, sous couvert d’anonymat. Dans les grandes enseignes, le démarchage ne représente qu’environ 10 % de l’activité globale, sans compter les prises de rendez-vous « B to B » (« Business to Business »)  qui échappent aux contours de la nouvelle loi. Ces dernières pourront donc continuer à exister sous des formes indirectes. Néanmoins, à court terme, l’impact ne sera pas nul. L’interdiction française risque en effet de servir d’exemple à d’autres pays européens, ce qui pourrait accentuer le tarissement des missions déléguées vers des plateformes « offshore ». « Si cette nouvelle mesure s'étend à la Belgique ou à la Suisse, on sera perdu », résume crûment Faniry, manager dans un centre d’appels indépendant d’Ambodivona. Il reste à savoir si le secteur saura pivoter vers d'autres formes d’externalisation plus durables comme le support client, l’animation de communautés ou encore la gestion de contenus digitaux. Mais la transition ne sera pas simple pour tout le monde. En attendant, une partie de la jeunesse malagasy risque de voir disparaître, encore une fois, un maigre mais vital débouché professionnel. « On est toujours les premiers à trinquer quand les riches décident de changer les règles », conclut Lova, désabusé.

 

 

 

 

La Grande île prépare activement sa représentation à la Coupe du monde de slam-poésie 2024, qui s’est ouverte hier dans la capitale française. Arrivé à Paris dimanche dernier, le champion national, connu sous le nom d’Orad, de son vrai nom Radoniaina Ravalison, sélectionné pour porter haut les couleurs de Madagascar lors de cette compétition d’envergure internationale, se dit être prêt pour le grand défi.

La finale du Championnat national, organisée en décembre 2024 par l’association Madagaslam, a couronné le jeune homme comme le meilleur poète-slameur malagasy de cette année. Son talent et son engagement lui ont permis de se hisser à cette étape prestigieuse, où il aura l’opportunité de représenter son pays sur la scène mondiale. Ce mercredi, c’est sur l’estrade du Temple de Belleville, dans le 20e arrondissement de Paris, que le jeune artiste prendra la parole pour la première manche du tournoi. La compétition réunit des finalistes venus de plusieurs pays, entre autres la Russie, la France, le Royaume-Uni et la Belgique.

Chacun des participants devra présenter six textes originaux, écrits et interprétés par eux-mêmes, dans un cadre volontairement épuré où il n’y aura pas de décor, ni de costumes, ni d’accessoires, seulement la parole et l’émotion. La règle impose également un temps de parole limité à trois minutes par poème, encourageant la concision et l’intensité dans l’expression. Malgré la simplicité du cadre, l’enjeu est de taille pour notre candidat, qui a exprimé sa détermination à relever ce défi. Confiant, il avance que ses textes, porteurs de messages forts sur la société, la culture et l’identité malagasy, lui permettront de défendre avec authenticité l’honneur de Madagascar.

La participation de la Grande île à cette compétition, pour la quatorzième fois, témoigne de l’engagement continu de la jeunesse malagasy à promouvoir la poésie et l’art sous toutes ses formes. Au-delà de la compétition, cette aventure internationale est une vitrine précieuse pour la culture malagasy, permettant de mettre en lumière le talent local sur une scène mondiale. Elle constitue également une occasion unique de tisser des liens avec d’autres artistes, d’échanger des idées et d’enrichir la scène artistique nationale. La présence d’Orad, porteur d’un message d’espoir et de fierté, incarne cette volonté de faire rayonner Madagascar par la parole et la créativité. La compétition se poursuivra jusqu’au 1er juin, et tous les regards seront tournés vers le jeune slameur malagasy, dont l’engagement et le talent promettent de marquer cette nouvelle édition de la Coupe du monde de slam-poésie.

Si.R

L'affaire qui remonte jeudi dernier, reste à la fois une énigme et délicate. Un jeune père de famille, prénommé T., a succombé, probablement à la suite d'une agression, faits survenus jeudi dernier à Ambohipo. A la morgue d'un hôpital de Toamasina, ville natale de la victime, des bleus et des ecchymoses auraient été observés sur son corps, selon une source. De son côté, l'épouse du concerné, aurait expliqué à la famille que celui-ci se serait suicidé.

 

Renforcer le partenariat et les campagnes de réparation pour éliminer la fistule obstétricale à Madagascar d’ici 2030. Chaque année, le Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA) mobilise 250 millions de dollars en marge du programme d’élimination de la fistule obstétricale. Une maladie où les patientes sont victimes de discrimination venant de la communauté et de la famille. Ces femmes sont condamnées à la dépression, à l’isolement social et à une pauvreté accrue.

Depuis 2010, environ 12.291 femmes sont réparées grâce à la chirurgie. Cependant, beaucoup sont encore atteintes de la maladie, notamment dans les brousses où les sensibilisations y afférentes sont insuffisantes. 

 

La société civile prend les devants. Face à une situation nutritionnelle alarmante, les parlementaires et les organisations de la société civile (OSC) redoublent d’efforts pour mobiliser tous les acteurs, y compris les jeunes, dans une lutte résolue contre la malnutrition à Madagascar. Avec 39,8 % des enfants de moins de 5 ans souffrant de malnutrition chronique et 7,7 % de malnutrition aiguë, le pays fait face à un défi de santé publique sans précédent. A l’horizon de 2030, l’objectif est d’abaisser le taux de malnutrition chronique à 25,9 % et celui de la malnutrition aiguë à 3 %. Toutefois, ces ambitions nécessitent des réformes profondes du système alimentaire, pour garantir un accès équitable à une alimentation diversifiée et nutritive.

L’autre … mère 

Publié le dimanche, 25 mai 2025

On venait de célébrer, du moins pour ceux ou celles qui ont pu avoir les moyens de le faire, la « Fête des mères », de rendre hommage à toutes les mamans. Hommage juste, normal, légitime et que sais-je encore pour témoigner un minimum de geste de redevabilité à l’égard de celle qui est la source de vie de l’humanité. Lorsqu’un homme ou une femme réussit dans la vie, la première personne qui surgit dans sa pensée est bien souvent sa mère, bien avant son épouse ou son mari.  Souvenons-nous de cette image pathétique ou émouvante lors de la finale de la Coupe du monde au Qatar du 20 novembre au 18 décembre en 2022. Une finale que l’Argentine de Lionel Messi remportait. Lors de la remise solennelle de la coupe, les joueurs de l’Argentine, dirigés par Messi, ont été accompagnés respectivement par leurs mères ou leurs grand-mères.

 

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Editorial

  • De qui … !
    Ravalomanana Marc et Rajaonarimampianina Hery, les deux anciens Chefs d’Etat, se rencontraient dans la capitale française, à Paris, le 12 avril. Ils concoctaient quelque chose … d’anormal plutôt absurde. Les deux ex, Ravalomanana et Rajaonarimampianina, se disaient profondément préoccupés de la situation qui prévaut au pays et publiaient en effet un « Communiqué conjoint » ! Mais, de qui se moque-t-on !

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