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Lever de rideau. Le grand jour tant attendu par les créateurs, stylistes, modélistes, mannequins est enfin arrivé. Comme convenu, l'événement conçu pour promouvoir et développer l'univers de la mode et de la créativité baptisé « Mihamy Mada Fashion » a débuté hier au Palais national de la culture et des sports, situé à Mahamasina. Des professionnels du milieu et des acteurs de la mode se sont retrouvés sur les lieux. Dans son discours lors de l'ouverture de l'événement, la ministre de la Communication et de la Culture, Lalatiana Andriatongarivo, a martelé que l'objectif de « Mihamy Mada Fashion » est de permettre aux acteurs de la mode de vivre leurs talents.

Déraciner le fléau. L’expression résume l'ordre lancé par le Président de la République Andry Rajoelina, lors de son allocution d’ouverture du Colloque national du foncier au Centre de conférence international Ivato, mercredi dernier.

Le cauchemar continue. Certains parlent même d’un jeudi noir pour les jeunes femmes de la Capitale et ses environs à propos de leur disparition puis découverte mystérieuse. C’est justement le cas de cette jeune étudiante, la vingtaine, et qui est en 5e année à la Polytechnique de Vontovorona mais domiciliée à Tanjombato. Vers 17h, le même jour, des témoins l’ont vue alors en train d’errer sans but à Ambohijoky, localité voisine de Tanjombato, banlieue sud de la Capitale.

LA UNE DU 11 JUIN 2022

Publié le vendredi, 10 juin 2022


 Les captures illicites des produits halieutiques, notamment avec des matériels inadéquats ou encore le non-respect de la période de fermeture de la pêche, les incursions de navire industriel dans des zones restreintes et le transbordement en pleine mer vers un navire sans licence et sans enregistrement, coutent cher à Madagascar. Les effets de la pêche « illégale, non déclarée et non réglementée » (INN) peuvent être sévères, en particulier pour les Etats côtiers africains dont Madagascar. Les pertes économiques dues à cette pêche INN sont chiffrées à des milliards d’ariary par an pour la Grande île. « Madagascar perd annuellement entre 14 et 16 millions de dollars soit aux alentours de 60 milliards d’ariary à travers la pêche illégale, non déclarée et non réglementée » a souligné le Dr Mahatante Tsimanaoraty Paubert,  ministre de la Pêche et de l’Economie bleue, hier en marge de la célébration officielle de la journée mondiale de l’océan à Mahajanga, capitale de la pêche industrielle. Malheureusement, la pêche INN contribue non seulement à la surexploitation des ressources halieutiques naturelles mais a des impacts négatifs sur les efforts de reconstitution des pêcheurs déjà épuisés. Selon les Nations unies, plus des deux tiers des pêcheries dans le monde ont été surexploitées ou sont en situation de pleine exploitation, et plus du tiers sont en déclin. Et cette perte est évaluée à environ 23,5 milliards de dollars.  Pour y remédier, 12 vedettes rapides seront mises à la disposition des côtes de Madagascar pour des contrôles. Rappelons également que Madagascar a adhéré à la coopération régionale pour la lutte contre la pêche INN et les crimes de pêche connexes. Madagascar est devenu cette année le dixième Etat membre à rejoindre le Centre de coordination du suivi, du contrôle et de la surveillance de la SADC. La Grande île a aussi signé un accord sur les mesures du ressort de l’Etat du port (AMEP) avec 63 pays afin d’empêcher les poissons capturés illégalement d’accéder aux ports africains. Entré en vigueur en 2016, il s’agit du premier accord international contraignant à cibler spécifiquement la pêche INN par l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) relatif aux mesures du ressort de l’Etat du port.
Il est à noter que les données fournies par l'observatoire économique de la pêche et de l'aquaculture en août 2021 ont indiqué qu’en 2020, la contribution du secteur pêche et aquaculture au PIB malagasy a été estimée à 5,5% avec 10,09 milliards d’ariary de redevance. Cette même année, une production de 117 062 tonnes a été enregistrée. 

Pour la santé des océans…
Durant trois jours, du 8 au 10 juin, la journée mondiale des océans (JMO) est célébrée à Mahajanga sous le thème « Revitaliser les océans par l'action collective ». Les activités ont débuté mercredi dernier par le « Tagnamaro » ou Beach cleaning, effectué à Belinta et Petite plage suivi de deux conférences portant sur la contribution de l’économie bleue pour l’atteinte de l’autosuffisance alimentaire ainsi que l’avenir de l’espace maritime, programmées hier après-midi. Ce jour, un reboisement de mangroves, notamment 200 000 propagules, sur 20 ha est prévu à Ambalatany, Commune rurale de Boamanary.  A cette occasion également, les associations des pêcheurs ont aussi reçu des dons de la part de MPEB et ses partenaires privés dont des gilets de sauvetage, glacières et machines à coudre pour les activités alternatives des femmes des pêcheurs. Toujours est-il que le projet SWIOFISH2 appuie le MPEB dans la réalisation de toutes ses activités. Et cela afin d’améliorer l’aménagement des pêcheries prioritaires au niveau régional, national et communautaire et l’accès aux activités alternatives pour les pêcheurs cibles.
 K.R.

La une du 10 juin 2022

Publié le jeudi, 09 juin 2022

Agenda du week-end

Publié le jeudi, 09 juin 2022

Vendredi 10 juin
Mahery
Cet artiste s’avère un sacré performeur quand il chante avec son groupe. Cependant, Mahery est particulièrement aussi bluffant et touchant lorsqu'il donne un concert en solo. Si vous n’avez jamais vu ce chanteur en œuvre, notez dans votre agenda le cabaret intitulé « Majika Mahery » qu'il réalisera au Piment Café Behoririka, ce soir à partir de 20h 30. De la bonne musique au rythme des variétés malagasy et des prouesses vocales sont à prévoir. A ne pas rater !
Mamina
Un concert de musique brassant le folk, le « bà-gasy » et la « world music » avec des sonorités acoustiques. C’est ce que proposent Mamina, le gagnant du télé-crochet « Feo tokana gitara iray » ce soir à partir de 19h au restaurant Annexe Le Zoma, sis à Antaninandro. Armé de sa guitare, le jeune chanteur animera les lieux avec ses compositions acoustiques telles que « Masoandro », « Dify » ou encore son fameux morceau intitulé « Mila vonjy ny kanto gasy ». Une soirée musicale à consommer sans modération !
« Men in Blagues »
Chaque deuxième vendredi du mois, le centre « Ivon-toeran’ny Kolontsaina Malagasy » (IKM) accueille le fameux spectacle de rire « Men in Blagues ». Un évènement durant lequel des jeunes talents du spectacle humoristique, dans toute sa splendeur, émerveilleront le public. Encore pour cette fois-ci, les membres du  « Gasy Stand Uppers » apporteront de la joie aux férus des sketchs dans cette antre de la Capitale  pour un vendredi de fou rire. Le spectacle se tiendra de 15 jusqu’à 17h. Deux heures de blague et de rigolade avec des jeunes humoristes à l’animation. L’événement s’annonce déjà cocasse et promet d’être convivial. Ce sera une occasion de s’amuser à fond et de se déstresser pour ceux qui ont passé une semaine très chargée.
LJO & Sayda
La star actuelle de la musique urbaine, LJO et l’interprète du tube « Voay », à savoir Mr Sayda partageront la scène de l’espace Dera, ce soir, à partir de 20h 30. Une soirée qui promet des étincelles, puisque les deux chanteurs sont en ce moment des stars adulées par les amateurs de variétés, R’n’B, Afro musique. Une réjouissance qui promet de durer jusqu’au petit matin. Des tubes comme « Ampy anahy », « Hikeo » ou encore « Vokatry ny fo » et « Ampianaro aho » seront sûrement entonnés en chœur par le public. Sans aucun doute, il est temps de retrouver de la bonne vibration des jolies nanas qui se tortillent comme de belles déesses.
Bodo
Avec plus de trois décennies d’expérience, Bodo continue encore d’enchanter ses inconditionnels. Avant de s’envoler à l’étranger pour une tournée européenne, Bodo donnera rendez-vous ce vendredi pour une soirée unique. A partir de 20h, c’est à l’hôtel Le Louvre Antaninarenina que la diva rencontrera ses inconditionnels. Fidèle à son image, l’artiste va faire un récital qui devrait ravir ses nombreux admirateurs. Habituée à des scènes restreintes, Bodo sera cette fois-ci plus près du public, histoire de créer une ambiance « bon enfant ».
Samedi 11 juin
Jaojoby
Les événements s’ensuivent mais ne se ressemblent pas à l’Ibiza Club. Après un show animé le week-end  dernier par le jeune chanteur Ceasar, l’Ibiza Club Tana, sis à Ambatonakanga, accueillera demain soir Jaojoby, le roi du « salegy ». Les noctambules de la Capitale, surtout ceux du centre-ville, seront encore bien servis dans cette nouvelle soirée qui s’annonce chaude et explosive. Avec Jaojoby à l’appareil, on ne peut s’attendre qu’à un moment festif. Ce grand artiste émerveillera de nouveau le public avec ses anciens titres, à l’instar de « Mangala vaiavy », « Alimo »,…
Rivoglita Trio
Le groupe Rivoglita Trio n’est pas encore connu du grand public. Par contre, il a du talent à revendre. Sur la scène du No Comment Bar à Isoraka, demain soir à partir de 20 heures, le groupe fera découvrir ses œuvres à travers son style de musique qu’il définit comme une fusion acoustique. Rivoglita Trio a comme objectif de faire découvrir Madagascar et ses richesses naturelles à travers la musique. Rendez-vous donc demain soir sur la scène de No Comment Bar pour un moment de détente autour d’un verre et des apéritifs, en écoutant de la bonne musique.
Si.R


De plus en plus fréquentes et de plus en plus longues, les coupures de courant sévissent. Antananarivo est dans le noir et les plaintes des usagers fusent de partout. La JIRAMA tente tant bien que mal de se stabiliser. Depuis quelques jours, différents quartiers de la Capitale sont victimes de coupures d’électricité, de jour comme de nuit. Notamment Andraharo, Ambohimanarina, Talatamaty, Ambodimita, Ivato et Soavimasoandro avant-hier. Hier ce fut le tour d’Itaosy, d’Ampitatafika et ses environs de le subir. Selon les dernières explications « l’écart entre la production et la consommation d’électricité reste encore conséquent. Raison pour laquelle les délestages tournants doivent encore être programmés pour le moment jusqu’à ce que les 24MW produits par le groupe numéro 1 d’Andekaleka soient effectifs. Pourtant censés être opérationnels il y a quelques semaines, les essais techniques sur ce groupe semblent toujours être dans l’impasse. Même si la compagnie a tenté de rassurer les consommateurs la semaine dernière en annonçant que les pièces attendues de l’extérieur, pour la remise en marche du groupe hydroélectrique G1 de la centrale d'Andekaleka, sont déjà sur place et que les techniciens sont à pied d’œuvre dans leur montage afin de renforcer les 56 MW fournis actuellement par cette centrale. Et comme cette centrale assure quasiment la moitié de la consommation d’électricité d’Antananarivo, l’approvisionnement en électricité dans la Capitale et ses environs sera ainsi réduit le temps de tout remettre en ordre. Des prétextes qui ne passent plus auprès des consommateurs. « Nos clients cherchent l’électricité pour leur sécurité, et pour alimenter leurs appareils électroniques », signale le gérant d’un cybercafé en périphérie de la Capitale tandis qu’un travailleur indépendant craint de perdre ses clients européens dans la mesure où ces derniers ne considèrent nullement une coupure de courant comme un droit à l’incapacité de travailler. « Cette coupure représente une grande perte pour nous. Tous nos produits laitiers ne sont plus consommables », déplore Mariella, une épicière. Le temps que l’approvisionnement en électricité de sa boutique revienne à la normale, ces produits commencent à fondre. « En une demi-journée, mon fonds de commerce a été réduit presque à zéro. On comprend que l’approvisionnement en carburant des groupes de la compagnie nationale n’est pas simple. Cependant, il serait plus bénéfique que ces délestages respectent scrupuleusement des calendriers annoncés et qu’ils ne durent pas autant », ajoute-t-elle. Pour rappel, ce n'est pas la première fois que le RIA fait face à une coupure généralisée. Ce phénomène est devenu récurrent au cours de ces derniers mois où la plupart des usagers se plaignent de coupures durant un peu plus de trois heures ou même presque une demi-journée par moment.
Hary Rakoto
 


Séries noires !

Publié le jeudi, 09 juin 2022

Péril … noir en la demeure ! Des séries noires de rapt de jeunes filles suivi d’injection de substance hallucinogène forte affolent l’opinion publique, en général, les parents en particulier et notamment les autorités étatiques. Psychose dans la ville ! Terreur dans les esprits.
Il n’y a pas un jour sans que l’on rapporte à travers les médias des cas de kidnapping ou de rapt ayant pour cibles privilégiées les jeunes filles sinon de jeunes femmes. Du coup, observateurs, simples citoyens, dans les salons, sur la place publique, dans les taxi-be s’emballent dans les débats. Des questionnements sans réponses valables ou concrètes autour de quelques axes. Y aurait-il un cerveau ou une organisation qui télescope ou qui planifie des actes odieux ? Seraient-ce des tentatives de déstabilisation ? Seraient-ils des actes de terrorisme qui voudraient tout simplement ébranler les esprits ? D’autres séries de questions sans réponses claires aussi surgissent de nulle part. Dans quel but ? Ou dans quel intérêt ? Sinon, pour l’intérêt de qui ? Tellement opaques, ces phénomènes troublants entretiennent trop de zones d’ombre. Et les rumeurs vont bon train !
A en croire aux rapports des Forces de l’ordre, on a affaire à des actes organisés, planifiés ou centralisés dans la mesure où l’on remarque le même mode opératoire. Rapt ou kidnapping de jeunes par le moyen des véhicules tout-terrain aux vitres teintées. Et libération quelques temps après et les jeunes filles victimes sont droguées par des produits hallucinogènes durs. Une chose semble être sûre, à l’approche d’un évènement crucial pour l’avenir du pays, on fomente toujours des actes terrorisant la peuple. On crée des vagues de crime provoquant la psychose au sein de la population. Il y a toujours des malins abrutis capables de mijoter des troubles auprès des gens.
Une autre certitude surgit. On veut, parait-il, tordre le cou du régime Orange. On crée des cadres de vie difficiles à gérer qui, au final, risqueront de faire apparaitre l’incompétence des tenants du pouvoir à contrôler la situation. Effectivement, les Forces de défense et de sécurité (FDS) sont quelque peu dépassées par les évènements. Dans une certaine mesure, ils ont montré leur limite. Dans ce cas, l’objectif serait de mettre à nu l’inaptitude des dirigeants et ainsi créer des doutes au sein de la population.
L’hypothèse d’actes de déstabilisation, semble tenir debout. Quand le régime dirigé par Rajoelina s’ébranlera, une telle éventualité servira l’intérêt des détracteurs du pouvoir en place. Sans doute, les ennemis du régime Orange se frotteront les mains. Et le meilleur moyen de perturber la sérénité des tenants du pouvoir consiste à créer des troubles psychologiques auprès des concitoyens et d’engendrer des troubles à l’ordre public.
A tout cela s’ajoute les séries « noires » de la JIRAMA. Il n’y a pas non plus de jour ou de nuit sans que l’on ne subisse pas les coupures d’eau et surtout d’électricité. C’est vraiment la galère ! Le Chef de l’Etat, lui-même, devait faire la mauvaise expérience des coupures sauvages. Il n’hésite pas à le qualifier de sabotage. En effet, quand le délestage fait le sien en plein discours présidentiel, il y a de quoi à provoquer l’ire du numéro Un du pays.
Ndrianaivo


Divorce consommé entre le géant américain The Coca-Cola Company (TCCC) et la majorité de ses distributeurs africains. C’est officiel en tout cas pour la Grande île où Star vient d’annoncer, par voie de communiqué, l’effectivité de la fin de son partenariat avec le premier producteur mondial de boisson hygiénique.
Les bruits courraient déjà depuis quelques temps pour présager cette séparation. En effet, le leader mondial des boissons gazeuses retire peu à peu ses licences en Afrique à l’instar du Burkina Faso, la Côte d’Ivoire ou encore le Gabon. Autant dire que TCCC commence à changer son fusil d’épaule au grand dam des consommateurs africains qui se retrouvent, malgré eux, entre le marteau et l’enclume.
Coca-Cola, qui se définit comme une « entreprise de marketing » travaillant avec des « embouteilleurs » comme la Star qui se positionne comme des sous-traitants qui lui achètent du concentré qui n’est autre que la fameuse recette jalousement gardée. Ces sous-traitants produisent ensuite les boissons à partir de cette base, puis les distribuent. Pour s’assurer un droit de regard sur ces opérations, le groupe a pris des parts au capital de tous ses principaux embouteilleurs. Et comme la Star, filiale du groupe français Castel n’échappe pas à cette généralité, cette dernière était indissociable de la marque du géant américain.
Par ailleurs, au niveau du continent, depuis quelques années, le groupe français a décidé d’outrepasser des clauses de partenariat qui l’obligeaient à aligner le prix de ses propres produits sur ceux de l’américain, boostant ainsi ses ventes. Cependant, pour la défense de Castel, avant même leur partenariat, il possédait déjà ses propres marques qu’il n’a cessé de développer. Et c’est bien là ce qui irrite Coca-Cola après un quart de siècle de collaboration entre les deux groupes.
De ce fait, TCCC a donc changer son fusil d’épaule et envisage, après cette rupture de contrat, de confier la reprise de la licence de distribution des Coca, Fanta et autres Sprite à d’autres sociétés locales. La question qui se pose serait le mode de fonctionnement et de distribution de l’heureux élu qui reprendra le flambeau. Le nouveau distributeur devra alors soit mettre en place des unités de production locale et refaire comme son prédécesseur, soit importer directement le produit depuis le pays le plus proche de Madagascar, en l’occurrence l’Afrique du Sud où Coca a déjà une usine de production implantée depuis un bon bout de temps.
En tout cas si jamais le choix de l’importation emboîte le pas à la production locale, les coûts n’en seraient que décupler et impacteront inévitablement sur le prix des produits. Une option qui porterait désavantage tant à la marque internationale qu’aux consommateurs adeptes de cette boisson et encore moins pour l’économie du pays car cela signifierait une suppression d’un bon nombre d’emplois si des unités de production locale sont écartées.
Hary Rakoto
 


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Editorial

  • Au beau fixe !
     Le Président de la République de Madagasikara Rajoelina Andry NIrina a reçu en audience au Palais d’Etat d’Iavoloha la ministre des Affaires étrangères du Japon Yoko Kamikawa. Une rencontre que certains observateurs qualifient d’historique sinon d’inédite.Le Japon faisait partie des pays ayant noué une relation diplomatique avec la jeune République malagasy. L’empire du Japon était ainsi présent dès les premières heures du retour de la Grande île à l’indépendance en 1960. Seulement voilà, en soixante ans de relation diplomatique, c’est la toute première fois qu’une haute personnalité japonaise du rang de chef de la diplomatie ait pu effectuer une visite officielle au pays. Une grande première que nous, Malagasy, nous ne voulions pas passer inaperçue traduisant ainsi une relation au beau fixe entre les deux Nations voire entre les deux peuples.Le pasteur Ravelojaona, 1879 – 1956, fasciné par le parcours fulgurant de l’économie japonaise à partir du début du siècle…

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