En pleine recrudescence. Rien que pour la semaine dernière, les autorités de la Région de Menabe ont intercepté près de cinq cas d’exploitation illicite de bois précieux. Les exploitations se multiplient, malgré la descente effectuée par le ministre de l’Environnement et du Développement durable au mois de juin dernier, pour trouver des solutions pérennes afin de limiter au maximum la dégradation de l’environnement dans cette partie du pays. « Lors d’une descente de ratissage, nous avons notamment appréhendé des charrettes transportant illégalement des bois précieux dont 34 planches et 4 longrines de palissandre à Ankisirasira, 3 longrines d’Anakaraka et 10 poteaux de katrafay à Tanambao ainsi que 160 planches d’arofy et 50 bois ronds à Ampasy.
Une véritable tentative de discrédit contre le Président de la République de Madagascar Andry Rajoelina est visiblement en cours depuis quelques semaines. Une vaste campagne médiatique à charge, qui a suscité le courroux de bon nombre de citoyens malagasy, mais également des citoyens étrangers, notamment sénégalais, qui dans une tribune diffusée sur un site sénégalais, a mis les pieds dans le plat pour dénoncer un funeste projet. Pour ce site, « la méthodologie n’est pas sans nous rappeler celle qui fut toujours employée par le camp occidental lorsqu’il s’est agi de porter atteinte à l’intégralité morale d’une personnalité politique opposée à sa boulimie prédatrice ».
La descente du Président Andry Rajoelina et son épouse pour la distribution des aides sociales à Antananarivo s'est poursuivie hier dans l'Atsimondrano, plus précisément à Itaosy. Avant l'arrivée du Chef de l'Etat, la Commune de Bemasoandro Itaosy a été le théâtre d'une manifestation des habitants des Fokontany qui ont émis des réclamations et brandi des banderoles à défaut d'inscription de leurs noms dans la liste des bénéficiaires. Le Président a ainsi fait le déplacement sur les lieux pour écouter les doléances de la population.
L'association des Clubs de Football Elite de Madagascar (CEFM) a interpellé la Fédération Malagasy de football via une lettre officielle ce lundi. La CEFM demande une rencontre avec les responsables de la Fédération afin de trouver une issue favorable pour la suite de la compétition. « Nous souhaitons l’organisation d’une réunion pour aborder ensemble deux sujets importants : la fin de la saison 2019-2020 avec une décision commune sur la suite à donner à notre compétition inachevée et la future saison 2020-2021 », mentionne cette lettre.
Une émission télévisée journalière. Les candidats aux examens du CEPE, BEPC et baccalauréat de cette année auront plus d’une demi-heure par jour pour renforcer les révisions à domicile, à quelques semaines des sessions. L’émission intitulée « TVM Mibôsy », produite par la chaîne nationale avec le ministère de la Communication et de la Culture, vise à leur aider à mieux préparer et faire face aux examens. Ceci avec les leçons, exercices et techniques inculquées aux candidats durant l’émission qui dure 30 à 45 minutes.
Pour le moment, l'homme pointé du doigt d'avoir assassiné la petite Adriana (7ans) à Ambohimandamina, à Mahajanga, est encore introuvable. Cette affaire risque d'être explosive en cas d'arrestation du suspect, étant donné aussi que c'est la première fois qu'un drame de ce genre s'y produit, confie une source. Sur place, l'atmosphère est déjà électrique du fait que les Majungais sont impatients de voir le fugitif être épinglé. « A Mahajanga, les mots justice populaire sont fréquemment sur les lèvres ».
Abus de pouvoir, népotisme, détournement. Des habitants issus de divers Fokontany d'Antananarivo et périphéries dénoncent ces injustices concernant la distribution de l'aide présidentielle « Sosialim-bahoaka », entre autres le « Vatsy Tsinjo ». Les chefs de Fokontany ainsi que les membres des comités de distribution mis en place sont les principaux auteurs pointés du doigt. « Une enquête a été menée auprès de notre foyer et, normalement, nous aurions dû être inscrits dans la liste des bénéficiaires des aides octroyées par l'Etat au profit des plus vulnérables.
Depuis la semaine dernière, le nombre des cas de guérison dépasse quotidiennement les 300 patients rétablis. En 7 jours, 2 563 patients équivalents au nombre des cas actifs hier ont été déclarés hors du danger. Actuellement, ils sont 8 825 personnes testées positives au coronavirus à avoir rempli les critères de rémission, selon le Centre de commandement opérationnel (CCO) - Covid-19, sis à Ivato. Rien qu’hier, 381 patients ont recouvré la santé dont 333 vivent dans la Région d’Analamanga. Selon le Professeur Vololontiana Marie Hanta Danielle, porte-parole dudit centre, nombreux sont les patients guéris même en ayant suivi le traitement à domicile. Le protocole de sortie recommandé par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a permis à 312 personnes infectées, soignées chez elles, de sortir indemnes. Les 48 individus restants ont été hospitalisés au niveau des hôpitaux spécialisés et centres de traitements Covid-19.