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Quid du « famadihana » !

Publié le vendredi, 27 septembre 2019

Qu’il nous admette, pour peu qu’il soit, de s’émanciper des échauffourées des élections et les tiraillements voire des tensions autour de la vie politique, et cela, pour se donner l’occasion de faire une petite escapade et scruter la vie du terroir. En réalité, si en villes les attentions sont obnubilées par les enjeux des élections et accaparées par les actions du Gouvernement, dans les campagnes par contre notamment dans le pays profond, dans le terroir, du moins sur les Hautes Terres, le souci et les préoccupations sont ailleurs.

Tout est possible. Actuellement, avoir une connexion Internet chez soi reste encore un luxe inaccessible pour la grande majorité des ménages malagasy. Le prix exorbitant des services liés à ce réseau informatique mondial empêche ainsi les consommateurs d’y avoir accès. « Pour cause, nous sommes aujourd’hui dans un pays où les produits de télécommunication sont taxés comme des produits de luxe, avec des droits d’accise de 8 % en plus de la TVA (taxe sur la valeur ajoutée) de 20 %. Et d’après une étude, il y a un lien direct entre le taux de taxation et le taux de pénétration ou d’usage.

Lors de sa descente à Fianarantsoa dans la Haute-Matsiatra hier, Andry Rajoelina, le Président de la République, a donné son avis sur le débat entourant la nomination récente des gouverneurs de Région. L’occasion pour lui également de donner des ordres aux nouveaux patrons des Régions. Durant son discours à Fianarantsoa, le Chef de l’Etat indique ainsi que les gouverneurs seront dotés de plus de pouvoir. Le changement d’appellation des chefs de région correspond, dit-il, aux responsabilités qu’auront les gouverneurs. Et lui de préciser ainsi que les gouverneurs seront dotés d’un budget et de plus de pouvoir que de simples chefs de Région.

 

Une réalité triste et douloureuse ! Tel est le constat qui ressort de l’étude menée par Transparency International – Initiative Madagascar (TI-IM) dans le cadre du projet « Tsaboy ny gasy », financé par l’Union Européenne pour mesurer le coût et les impacts de la corruption dans le domaine de la santé à Madagascar. Selon les résultats de cette étude présentés hier au Louvre Antaninarenina, près de 65% des Malagasy auraient été victimes de la corruption dans le domaine de la santé.

 

Dès l’annonce du décès de l’ex-Président français Jacques Chirac, le Président de la République Andry Rajoelina et l’un de ses prédécesseurs en l’occurrence Didier Ratsiraka ont réagi face à cette triste nouvelle. « Jacques Chirac était un grand homme d’Etat pour la France mais aussi un acteur de premier plan pour le renouvellement des relations entre le continent Africain et la France », a fait remarquer le Président Andry Rajoelina dans la lettre de condoléances qu’il a adressée à son homologue français, Emmanuel Macron. Ses actions et ses engagements laissent un héritage riche aux futures générations, précise Andry Rajoelina avant  d’axer son message sur l’apport du défunt aux relations franco-malagasy.

LA UNE DU 28 SEPTEMBRE 2019

Publié le vendredi, 27 septembre 2019

RN1 - Une collision fait 1 mort

Publié le jeudi, 26 septembre 2019

Encore une fois, la RN1 et particulièrement la localité d’Ambatomirahavavy, ont été les théâtres d’un accident mortel. Vers 18h30 mercredi, un cycliste a perdu sa vie dans des circonstances effroyables. Un taxi-be assurant la liaison entre la Capitale et Imerintsiatosika l’a percuté. Souffrant de terribles commotions et autres lésions, la victime avait été évacuée d’urgence vers l’HJRA Ampefiloha.

 

La magnitude du séisme enregistrée par l’Institut et observatoire géophysique d’Antananarivo (IOGA) ne cesse d’évoluer durant ces 100 ans. Une secousse d’une magnitude de 5,9 sur l’échelle de Richter est la plus puissante enregistrée dans le pays, d’après Ramanantsoa Andry,  responsable du laboratoire séismologie et inflation, au sein de l’IOGA. Cependant, aucun dégât énorme n’a été enregistré jusqu’à maintenant. Face à cette situation, 28 sites sont à surveiller de près dans le pays dont la partie Nord-ouest de Madagascar.

Tous les Centres de documentation d'information (CDI) issus des établissements publics   à  Madagascar renferment des  dossiers communiquant leurs attributions et leurs missions respectives vis-à-vis  de l'Etat et en guise de redevabilité envers les citoyens malagasy. Toutefois, l'accès à ces informations publiques demeure toujours une grande complication. Pour ce problème d'application du droit à l'information, la corruption à Madagascar n'est pas prête d'être déracinée.  

Haro aux intox !

Publié le jeudi, 26 septembre 2019

Madagasikara à l’image des pays en proie à la pauvreté ambiante n’arrive pas à se délier de l’emprise des rumeurs ou des intox. Tout le monde sait bien le mythe du « téléphone arabe » ou de la « radiotrottoir » valable dans plusieurs pays du Tiers-monde. Dame rumeur et Monsieur intox font la loi à tel point qu’on assiste à l’enracinement d’une certaine culture dépravante qui prend en otage la sérénité de la vie quotidienne. Madagasikara a été toujours le théâtre de folles rumeurs et des sales intox.

 

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Editorial

  • Risque imminent
    « Jamais deux sans trois ! » Cet adage traditionnel et populaire du XIII ème siècle français semble se vérifier malgré l’évolution du mode de pensée notamment en milieu urbain suite aux progrès de la science et de la technologie. Le 24 février 2022, une guerre qui ne dit pas son nom s’éclate entre l’Ukraine et la Russie. Et cela pour cause, l’incursion des soldats russes sur le sol ukrainien. L’Ukraine, ancienne République socialiste et fédérative de Russie du temps de l’Union des Républiques socialistes soviétiques (URSS), une des 16 républiques qui forment l’empire soviétique, devenue « indépendante » après la chute du mur de Berlin la nuit du 9 au 10 novembre 1989, rejette catégoriquement l’entrée illégale de l’armée russe dans le territoire ukrainien et entre en guerre contre la Russie. Une guerre qui bouleversera le schéma géostratégique en Europe centrale, en particulier, et en Europe occidentale jusqu’au-delà de…

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