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Un Salon baptisé « Youth Corner », organisé par le ministère de la Jeunesse, se tient depuis hier jusqu’à ce jour au Stade Barea Mahamasina. L’évènement, dont l’entrée est gratuite, est ouvert à tout public, surtout les jeunes. « ‘‘Youth Corner’’ vise à mettre les jeunes en lien aux différentes opportunités nationales, régionales, sous-régionales, francophones et internationales existantes tenant compte des thématiques-clés relatives à l’éducation pour la paix, à l’éducation environnementale et à l’éducation anti-corruption, au civisme, au renforcement de la démocratie, aux loisirs sains, interactifs et éducatifs. ‘‘ Youth corner ’’ est aussi l’occasion de capitaliser les Formations en Life Skills Fanoitra. », selon un responsable de l’évènement.

En l'espace de quelques heures seulement, deux personnes ont succombé à la suite d'une série d'accidents qui a endeuillé la Capitale et sa banlieue. A commencer par les plus récents enregistrés au cours de la journée d'hier. A Analamahitsy, un chef de famille d'une cinquantaine d'années a trouvé la mort après qu'il s'est fait renverser ou plutôt passer accidentellement sous un taxi-be de la ligne 183 en marche. D'après plusieurs sources concordantes, le piéton aurait eu subitement un malaise, qui a provoqué sa chute accidentelle. Manque de pot pour lui, ce taxi-be est passé à sa hauteur juste au moment où il allait s'effondrer au sol, rendant ainsi le choc inévitable.

A un peu plus d'une semaine du début des épreuves du baccalauréat de l'année 2022-2023, les autorités préviennent tous ceux qui sont tentés de diffuser des faux sujets des épreuves sous quelques formes que ce soient. En effet, les réseaux sociaux ont récemment fait l'objet de publication des arnaqueurs qui prétendent avoir des sujets d'examen pour la session du BEPC. Cependant, il n'en est rien, les sujets en question étaient simplement des faux. Les coupables ont été arrêtés et traduits devant la Justice.

Plusieurs routes nationales feront l’objet de travaux de réhabilitation d’urgence. Ainsi, la route nationale n° 2 (RN 2) reliant Antananarivo et Toamasina figure dans ce programme. Plus précisément, il s’agit des parties du centre-ville de Moramanga et le tronçon entre Antsampanana et Brickaville. En tout, ce sera 99 kilomètres à réparer.

Une autre route créant également la grogne des usagers, en raison de son mauvais état, est la RN 6. Elle comptabilise le plus de distance à réhabiliter avec 377 km. Il y a également la RN 7 reliant la Capitale à Antsirabe. Par ailleurs, 53 km de route nécessitent une réhabilitation entre la ville d’Ambositra et la Commune d’Ambodiala. Enfin, pour l’axe qui va de Moramanga à Amboavory (RN 4), un tronçon de 57 kilomètres nécessite également des travaux de réhabilitation.

L'Armée 

Publié le vendredi, 07 juillet 2023

Crainte et adulée ! Doutée et sollicitée ! Courtisée et critiquée ! L'Armée malagasy évolue au cœur d'une kyrielle de contradictions et par les temps qui courent, marche sur des œufs.

L'Armée vient à peine de fêter ses 63 ans dont l'année de naissance coïncide avec celle de l'indépendance du pays. L'Armée incarne l'identité d'un Etat indépendant et matérialise, simultanément, la dignité et la souveraineté de la Nation. Un Etat sans Armée est une coquille vide !

Créée peu avant la date de l'indépendance du 26 juin, le 13 mai 1960 exactement, l'Armée malagasy jouit d'une grande notoriété auprès de l'opinion. Discrète et parfois invisible, elle reste cloitrée, jusqu'à un certain temps, dans sa tour d'ivoire dans la caserne. Le Général Gabriel Ramanantsoa fut le premier chef d'Etat-major de l'Armée, un ancien officier de l'Armée française.

Les membres du groupe « Tana Gospel Choir » (TGC) continuent à faire des étincelles en Europe. Après avoir débuté en fanfare sa tournée européenne à Paris, le groupe a décidé d’effectuer une dernière prestation pour satisfaire ses fans, toujours dans la Capitale française. En effet, la troupe TGC offrira ce dimanche un concert gratuit à l’église protestante FPMA Yvelines Fahazavana, encore sous le thème intitulé « Misandrata ianao ». 

Le Président de la République Andry Rajoelina n'a toujours pas dit s'il va se représenter à la prochaine élection présidentielle. Mais rien du point de vue légal et politique n'aurait pu l'empêcher de se présenter en 2018 comme cette année. C'est l'avis exprimé par un juriste, la ministre de la Communication et de la Culture et non moins porte-parole du Gouvernement, ainsi que le professeur agrégé des facultés de droit, Joël Andriantsimbazovina. 

Brickaville et Vatomandry ont été les énièmes localités à s’équiper de nouvelles industries de transformation dans le cadre du projet ODOF ou One district One factory. Ainsi, Brickaville, s’est vu doter une usine de transformation de banane tandis que Vatomandry a été équipée d’une chambre froide destinée à la production de glace alimentaire mais également pour la conservation des produits halieutiques dont regorgent les eaux qui entourent ce District. La glace produite par cette unité industrielle à Vatomandry n’est pas seulement consacrée aux poissons, mais profite également aux bouchers du bazar où ils pourront stocker la viande non épuisée. 

La une du 07 juillet 2023

Publié le jeudi, 06 juillet 2023


Deux millions d’euros. C’est le total des montants des contributions de l’Union européenne et de la France au basket fund élargi qui va couvrir les élections générales. Ces déclarations d’intention ont été annoncées de manière officielle hier au cours d’une conférence de presse à Alarobia au siège de la Commission électorale nationale indépendante. Sur ces deux millions d’euros, un est issu de l’Union européenne, et l’autre de la France. L’Allemagne a annoncé hier également sa contribution à ce fonds commun pour les élections au travers d’un fonds africain. Cependant, la hauteur de la contribution n’est pas encore connue. Ces fonds viendront s’ajouter au budget estimé par la CENI pour l’élection présidentielle à venir dans le pays.
Un budget de 80 milliards d’ariary a été fixé par l’organe en charge de la préparation et l’organisation des élections pour ce scrutin prévu en fin d’année. La moitié de cette somme, soit environ 40 milliards d’ariary, est prévue dans la loi de Finances initiale. Le gap restant doit être financé par les partenaires techniques et financiers du pays, à travers notamment le fonds commun pour les élections communément appelé basket fund. La contribution de l’UE et la France à hauteur de 2 millions d’euros soit 10 milliards d’ariary, vient combler une partie du gap.
Sans compter la contribution à déterminer de l’Allemagne, 30 milliards d’ariary restent donc à trouver au minimum pour à la fois la présidentielle et les autres élections à venir. « Nous espérons lancer une dynamique pour que d’autres partenaires de Madagascar qui sont présents ici se manifestent rapidement », commente Isabelle Delattre, ambassadrice de l’Union européenne, qui espère que le basket fund atteindra les alentours de 8 millions d’euros au total avec la contribution d’autres partenaires techniques et financiers.
Pour rassurer face à ce gap, le président de la CENI Dama Andrianarisedo soutient que des discussions restent en cours avec le Gouvernement. Il évoque par ailleurs la possibilité par le Gouvernement de prendre un décret d’avance en dernier recours.  Notons que contrairement à 2018, l’UE annonce qu’elle n’enverra pas une mission d’observation électorale classique, à savoir une mission d’experts électoraux, dont les attributions seront à peu près les mêmes mais en « version réduite ».  Des recommandations sont attendues à l’issue de cette mission.
A ce propos, la diplomate affirme que la baisse de la contribution de l’UE, il était de 1,5 million d’euros pour le précédent cycle électoral, n’a pas de lien avec la faiblesse de la mise en œuvre de certaines des recommandations de la précédente mission d’observation électorale de l’UE à Madagascar, nécessitant la modification du cadre légal des élections. Si des modifications restent possibles, à l’heure actuelle, Isabelle Delattre affirme que l’UE sera attentive à certains progrès réalisables à brève échéance qui ne nécessitent pas une modification de ce cadre légal. Cette organisation affirme être attentive au renouvellement des mandats des membres des organes de contrôle de la vie publique et politique, à la préservation de la liberté d’expression. Elle attend également la publication des résultats par bureau de vote pour assurer que ces élections seront « crédibles et donc incontestables ».
L.A.

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Editorial

  • De la honte et du gâchis
    La messe est dite ! Tel un couperet, le verdict irrévocable et définitif est tombé. Les autorités suprêmes du football africain, la CAF, confirment la sentence : le Stade Barea n’est pas homologué. Le vin est tiré, il faut le boire ! Les Barea joueront ailleurs. La Fédération malagasy du football (FMF) doit choisir et soumettre incessamment aux instances continentales les stades où l’équipe nationale jouera ses prochains matchs.De la honte ! Du coup, le sentiment de souveraineté et de fierté autour du grand Stade Barea s’écroule comme un château de sable. Quelle a été la fierté de tous les Malagasy notamment les amoureux du ballon rond quand le pays s’est offert de ce « bijoux » sinon de ce « trésor ». Les épris du sport-roi de l’océan Indien à même du continent africain enviaient certainement le privilège des malagasy. Nos amis les Comoriens, les Seychellois, les Mauriciens et…

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