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De la haute trahison !

Publié le vendredi, 03 février 2023

Ketakandriana Rafitoson remet de fait en cause l’appartenance  des Iles Eparses dans le giron de la République Malagasy. En effet, la directrice pays de l’ONG Transparency International Initiative Madagakasikara (IT-IM) fustige la cause nationale. Elle défend ouvertement la position de la France selon laquelle ces petites îles font partie intégrante du territoire français.
La directrice pays de l’IT – IM, au cours d’une interview accordée au quotidien français « Le Monde », à l’entame de l’année nouvelle 2023, portant sur plusieurs sujets touchant les relations entre les deux pays, Madagasikara et la France, émit un avis pour le moins controversé concernant la revendication des Malagasy en vue de la restitution des îles Eparses au sein du territoire de la République Malagasy. Ketakandriana Rafitoson prend le contre-pied de Madagascar « je m’interroge sur les liens qui nous unit à ces îles. Ce sont des terres inconnues par nous auxquelles nous ne nous identifions pas. La plupart des Malagasy ignorent où elles se trouvent ». Totalement déconnectée des réalités historiques et juridiques de la Grande île par rapport à ces îles se trouvant à l’intérieur des eaux territoriales malagasy, elle ignore ou fait semblant d’ignorer les faits.  Mais quelle effronterie !
Inutile d’aller consulter un historien de renom ni demander l’avis d’un juriste international confirmé   pour en déduire qu’il s’agit nettement de la haute trahison à l’encontre des intérêts incontestablement vitaux de la Nation. Un rejet flagrant des principes fondamentaux de la cause nationale ! En fait, Ketakandriana Rafitoson, à travers son approche conceptuelle, désavoue la cause nationale. Une cause envers laquelle tous les citoyens, dignes de la souveraineté nationale, sont appelés à se joindre, à se donner la main afin d’unir la force car rappelons-le à juste titre que « l’union fait la force ».
Le Syndicat des enseignants-chercheurs et chercheurs-enseignants de Madagasikara (SECES), lors de son dernier conseil rejette en bloc le concept de « gestion en commun » des îles Eparses en tandem avec la France. Le Syndicat des Professeurs des universités malagasy met en avant la souveraineté indiscutable de Madagasikara sur ces petites îles. Une cause reconnue à deux reprises par la Communauté internationale via l’Assemblée générale de l’ONU.
Certains observateurs entièrement acquis à la cause nationale se demandent « pourquoi une activiste de la trempe de Ketakandriana Rafitoson, une intellectuelle engagée, s’égare-t-elle dans des positions à polémiques et contradictoires de ce genre ? » C’est de la haute trahison !
A en suivre de près le parcours de Ketakandriana en sa qualité de directrice de l’IT-IM surtout ces derniers temps, on ne s’étonne guère de ce geste inapproprié. Allons de fil en aiguille.
L’International Transparency – Initiative Madagascar, dirigée par Ketakandriana Rafitoson et Rakotomalala Dominjique (PCA) dépose une plainte en simultané et auprès du PAC (Antananarivo) et auprès du Parquet national financier (PNF) de Paris contre le Groupement national des opérateurs de vanille (GNV) pour corruption entre les années 2014 à 2021. Une démarche que les opérateurs de la filière vanille contestent vivement. Ils considèrent l’acte de l’IT-IM comme une atteinte à l’honorabilité et à la crédibilité du Groupement.
En tout état de cause, la démarche adoptée par Ketakandriana au détriment de la cause nationale s’inscrit dans la ligne droite d’une haute trahison.


La scène culturelle est de nouveau en deuil. Un début d’année difficile et triste pour la musique rock malagasy. Après le départ de Nary Guy, l’un des fondateurs du groupe Nary Arthur, ainsi que Tax Bouta du groupe Rapadango il y a trois semaines de cela, ce sont les fans et chanteurs de rock qui sont tombés des nues, mercredi dernier. Le rock perd un autre de son clan. La jeune « lead vocalist » du groupe Nisea, du nom de Narda Henrie Salohinjanahary, vient de déposer définitivement le micro à l’âge de 23 ans.
Elle était jeune, jolie et talentueuse. Narda avait tout pour entamer une belle carrière musicale, mais le destin en a décidé autrement. Aucune information n’a été communiquée concernant les raisons de son décès. La triste nouvelle a été annoncée par ses proches dans la journée du mercredi 1er février. Celle-ci a été ensuite relayée sur les réseaux sociaux par les fans et membres du groupe. En effet, tous ceux qui ont connu cette jeune artiste lui a rendu hommage sur le réseau social Facebook. Les fans se souviennent encore de la dernière apparition scénique du groupe Nisea qui remonte à quelques mois dans le fameux sous-sol du No Comment Bar, sis à Isoraka.
Pour rappel, le groupe Nisea est né en 2010. C’était au mois d’octobre de la même année que ses membres ont mis les pieds au studio pour enregistrer leur premier single. Depuis ce moment, ils n’ont pas cessé de chercher tous les moyens afin de concrétiser leurs projets. Composé de six membres, à savoir Narda, Vonindraza, Finks, Tahina, Haga et Bryan, le groupe Nisea a choisi de jouer du rock symphonique, ce qui le différencie des autres groupes de rock existant à Madagascar. Même si Narda et ses amis n'ont pas connu le même succès que « The Dizzy Brains » ou encore Kristel, ils ont produit quelques très beaux tubes comme « Fatomaty » ou encore « Tafiotra ». Depuis mercredi, une veillée funèbre s’est tenue à son domicile sis à Tsiadana. Par la suite, son corps a été transféré à Andina Ambositra où a eu lieu son inhumation, hier. La Rédaction du journal La Vérité s’associe au deuil de sa famille et au monde de la musique rock à qui nous adressons également nos sincères condoléances.
Sitraka Rakotobe



Des femmes enceintes et allaitantes parmi les bénéficiaires. 100 femmes vulnérables provenant de plusieurs quartiers de la Commune d’Anosiala Ambohidratrimo ont bénéficié de 4 mois de formation professionnelle sur la vannerie. Il s’agit d’une initiative de l’entreprise Arte Nostra, avec le soutien de l’Organisation internationale du travail (OIT) et en partenariat avec le ministère de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle (METFP) et également celui de l’Artisanat et des Métiers. « Nous n’avons imposé aucun critère de sélection. Toutes celles qui voulaient apprendre le métier étaient les bienvenues, y compris les femmes enceintes et celles allaitantes. Après leur formation, nous les avons directement embauchées afin qu’elles aient un revenu décent », avance Tiana Ramarijaona, présidente-directrice générale de ladite entreprise. C’était jeudi dernier à Anosiala, lors de la cérémonie de remise de certificats pour ces artisanes, désormais professionnelles dans le tissage de raphia.
Suzanne Razafinirina fait partie des femmes vulnérables formées qui travaillent actuellement à Ambatomena Anosiala. « Je suis mère de 3 enfants, dont deux déjà scolarisés et le dernier en bas-âge. Je me suis dit qu’il est maintenant temps de travailler pour améliorer mes revenus, au profit de mes enfants. Après les mois de formation, laquelle a commencé depuis le 1er août 2022, je sais maintenant tisser des sacs et chapeaux en raphia. C’est mon premier emploi et je compte rester ici puisque rares sont les entreprises qui acceptent les mères qui viennent au boulot avec leurs enfants », nous confie cette artisane. Pour sa part, Mampionona Heriniaina sait tisser des sacs et paniers en raphia après la formation. « J’ai dû abandonner l’école en classe de 7ème, il y a 2 ans. Depuis, je ne faisais rien de spécial à la maison jusqu’à ce que mes amies m’aient encouragé à participer à cette formation », témoigne la jeune femme âgée de 16 ans.
Les produits artisanaux fabriqués par les femmes formées par Arte Nostra sont destinés à l’exportation. D’ailleurs, l’entreprise exporte ses produits en raphia dans le monde depuis 2009 jusqu’à maintenant. « La formation dispensée à ces femmes répond aux besoins du marché international », reconnait Gabriella Vavitsara Rahantanirina, METFP. « Madagascar impressionne le monde grâce à ses produits artisanaux de qualité, ainsi que par nos artisans et créateurs réputés. Ce genre de formation y contribue largement », ajoute Sophie Ratsiraka, ministre de l’Artisanat. Pour sa part, le Directeur pays de l’OIT reconnait le fait que le renforcement de l’employabilité des femmes dans le domaine de l’artisanat permettrait de faire avancer la justice sociale afin de vaincre les inégalités. « Les femmes artisanes formées sont désormais autonomes, en effectuant un métier leur générant des revenus décents. Elles pourront facilement envoyer leurs enfants à l’école », souligne-t-il. D’ailleurs, Arte Nostra a créé une école primaire, où sont scolarisés les enfants de ses milliers d’employés, composés majoritairement par des femmes vulnérables. Opérationnel depuis la rentrée scolaire en septembre dernier, l’établissement est ouvert tant aux enfants des employés que ceux du voisinage.
Patricia Ramavonirina



Fraîchement nommé gouverneur de la Banque centrale de Madagascar (BFM), Aivo Handriatiana Andrianarivelo considère la maîtrise de l’inflation et la stabilisation de la situation de la monnaie nationale comme étant ses principaux objectifs durant le temps de son mandat à la tête de la BFM. Ayant prêté serment hier à la Cours suprême à Anosy devant les plus hautes autorités étatiques et la haute sphère économique du pays, le gouverneur compte ainsi redorer le blason de l’ariary qui a été, ces temps-ci, plus que malmené. En effet, face aux monnaies de référence que sont le dollar et l’euro, la monnaie nationale a enregistré l’une de ces plus fulgurantes dépréciations durant les derniers mois.
Effectivement, le seuil des 5.000 unités de la monnaie nationale équivalant à 1 euro a été presque atteint au début du mois de janvier pour se stabiliser présentement vers les 4.600 unités. Un phénomène qui n’a de précédent que la situation de l’ariary au début des années 2000, plus précisément en 2004 où l’euro était passé de 1.000 ariary à 3.000 ariary en l’espace de deux mois, et ce malgré la crise de 2002 où l’ariary n’a subi que de faibles impacts causé par les grèves. Bref, cette situation est en grande partie générée par la hausse de la demande interne de l’euro pour assurer les opérations d’importation durant la période de fin d’année, explique un économiste. Mais elle pourrait également résulter du redressement de l’euro face au dollar avec l’atténuation de la crise de l’énergie au niveau international.
Importation
Depuis 2003 et 2004 et jusqu’à aujourd’hui, nous constatons toujours une tendance à la hausse de la demande en importation qui n’a jamais pu être satisfaite par rapport à la capacité d’exportation du pays. En parallèle, notre flux d’Investissement direct étranger (IDE) peine à combler cette situation malgré que l’on soit dans un régime de change flexible avec une forte mobilité des capitaux. Le manque d’incitation pour les IDE, et donc de rentrée des devises, ainsi que notre capacité d’exportation n’arrivent pas à combler l’offre de devises disponible sur le marché interbancaire par rapport à nos besoins en importation. Ce qui pourrait, au final, apporter des risques d’inflation importés en plus de l’inflation interne déjà existante sur le marché local.
En réalité, les importateurs se réfèrent aux valeurs de départ des marchandises et par rapport aux prix en euros ou en dollars. Si la valeur de ces monnaies de référence est en hausse, il est logique que cela impactera inévitablement sur la valeur des marchandises importées et qui seront achetées avec l’équivalent en ariary qui est en déclin. Impact qui sera ainsi répercuté sur le pouvoir d’achat du consommateur final. Face à cela, des solutions structurelles peuvent être avancées, notamment le renforcement et l’amélioration de l’environnement des affaires afin d’inciter encore davantage d’IDE et de flux de capitaux étrangers. Il s’agit d’assoir la viabilité du marché financier pour pouvoir s’armer face aux risques de change. Par exemple, si une entreprise est effectivement cotée en bourse, cette dernière sera ainsi valorisée selon les fluctuations des monnaies de référence et par rapport à la valeur de l’ariary avec sa volatilité.
Hary Rakoto



Faciliter les réponses d'urgence pour sauver plus de vies. Le centre national de gestion des risques et des catastrophes au sein du Bureau national (BNGRC) est désormais opérationnel. Ce centre a pour mission de coordonner les opérations de riposte aux situations d'urgence. D'après le Coordonnateur résident du système des Nations unies à Madagascar, Issa Sanogo, Madagascar subit les conséquences du changement climatique et les catastrophes engendrent de plus en plus de dégâts. "Ce centre permet d'anticiper, répondre et suivre l'évolution de la situation. Outre la réduction des risques et des catastrophes, cela permet de sauver des vies et participer au développement du pays", soutient-il. La Grande île est exposée à de nombreux aléas naturels tels que cyclone, inondation et sècheresse, aux aléas biologiques comme les épidémies et pandémies, aux aléas anthropiques comme les incendies. La pauvreté ainsi que la vulnérabilité ne font qu'aggraver la situation, en plus du changement climatique.
A travers la mise en place de ce centre, il s'agit de donner une impulsion nouvelle au partenariat entre les groupes sectoriels humanitaires et ce en assurant le leadership du BNGRC d'une part et d'autre part, de trouver des mécanismes efficaces pour garantir la synergie des acteurs humanitaires et de renforcer la coordination multisectorielle en matière de gestion de risques et de catastrophes. C'est une initiative du BNGRC, soutenue par les Nations unies à travers le Programme alimentaire mondial (PAM) et le programme des Nations unies pour le développement (PNUD).
Le PAM a contribué, entre autres, à la réhabilitation du centre, aménagé un call center, fourni des matériels informatiques pour la gestion des urgences, drones et accessoires pour l'évaluation des risques, le mapping et la cartographie en urgence. Le PNUD, quant à lui s'est concentré sur les travaux de réhabilitation du Bureau national pour la mise en place de ce centre et étoffer le parc informatique.
L'inauguration du bâtiment, des matériels et équipements sis au siège du BNGRC s'est tenue hier. Le Premier ministre, Ntsay Christian ainsi que le ministre de l'Intérieur et de la Décentralisation, Tokely Justin, ont honoré de leur présence cette cérémonie.
Anatra R.

LA UNE DU 03 FEVRIER 2023

Publié le jeudi, 02 février 2023

Les Barea de Madagascar affronteront les Mena du Niger ce vendredi 3 février pour le match de classement du Championnat d’Afrique des nations (CHAN). Le match de la troisième place se jouera plus précisément au Stade olympique Miloud-Hadefi d’Oran. La Confédération africaine de football (CAF) aurait refusé la tenue de la partie à Annaba.

La rencontre n’a pas été déplacée comme le demandait le Comité d’organisation du CHAN 2022. Selon nos informations, c’est l’engouement du public du Stade du 19 mai 1956 situé à Annaba qui aurait motivé cette requête.

Les deux équipes s'étaient séparées sur un score nul et vierge en match amical lors de la préparation des deux équipes en Tunisie avant le rendez-vous d’Algérie. Ce sera aussi un combat d’honneur pour les Barea qui visera un podium historique dans l’histoire du football malagasy. 

C’est plutôt la bande à l’entraineur du Niger, Harouna Doula, coach des Mena , qui détient les faveurs du pronostic, du fait qu’elle va évoluer dans un stade où elle a tous ses repères après y avoir disputé tous les matchs de groupe depuis le début du CHAN.

Toutefois, cela risque de ne pas suffire pour les « Mena », pour s’adjuger la médaille de bronze de ce CHAN, surtout que l’adversaire a laissé une très bonne impression pendant ses précédentes sorties, et ce, malgré son élimination devant le Sénégal dans un match qui a vu les Barea jouer en dessous de leurs véritables moyens.

Si on se base sur les compositions des précédents matchs, voilà ce à quoi devraient ressembler les onze de départ, mais des changements sont à prévoir pour ce match avec moins d’enjeu.

Recueillis par E.F.

Ci-dessous, les compos probables :

Niger : M. Djibo – Garba, Katakore, Souley, A. Djibo – Abdoulaye, Aboubacar, Kassa – Seyni – Ibrahim, Bilyamine.

 

Madagascar : Nina – Tantely, Berajo, Datsiry, Tantely A. – Dax, Rojo, Lalaina – Tsiry, Jean-Yves, Koloina.

 

Les zones humides sont considérées comme une partie vitale de l'écosystème. Elles sont les premières sources de la vie et le début de la chaine alimentaire essentielle à la survie des espèces. Ainsi, il est primordial de les préserver de la destruction par les actions humaines. C'est dans cette optique que la date du 2 février a été consacrée à célébration de la Journée mondiale des zones humides (ZH). Cette année, le ministère de l'Environnement et du Développement durable a choisi Torotorofotsy, dans le District de Moramanga pour effectuer un reboisement et une campagne de sensibilisation sur l'importance des ZH.

Une histoire très émouvante, qui a fait verser des larmes à Ambohimahitsy. La petite Christianah (6 ans) n'a plus donné signe de vie depuis lundi après-midi dernier dans ce même quartier où elle résidait. Ses parents, avec l'aide de la Police et de la Gendarmerie, ont émis un avis de recherche, via notamment les réseaux sociaux, photo et signalement de l'enfant à l'appui. Mercredi après-midi dernier, l'affaire a connu un rebondissement très triste car la mort a emporté la victime. En effet, le corps sans vie de la petite, qui se serait probablement noyée par accident, du moins selon les explications de sa maman, a été retrouvé en train de flotter à un angle mort du site d'un gisement de pierre, qui a été transformé par la circonstance en une sorte de mare, donc un piège mortel à cause de son eau assez profonde, du fait des récentes et incessantes pluies s'abattant sur le pays. 

Tension à Ambohitsaina. Des locataires des logements estudiantins d’Ankatso se sont manifestés dans la rue, dans la matinée d’hier, en bloquant la circulation. Ils ont exprimé leur ras-le-bol et leur colère face à la coupure de l’alimentation en eau dans la cité universitaire depuis 5 mois. « Nous n’en pouvons plus. Cela fait maintenant 5 mois que nous n’avons plus accès à l’eau dans nos logements. Nous sommes obligés de payer des personnes pour chercher de l’eau dans les bornes-fontaines. Le bidon jaune coûte 1.000 jusqu’à 1.500 ariary, alors que nous en consommons en moyenne 3 bidons par jour, ce qui constitue une somme conséquente », déplorent les étudiants grévistes. « Nous avons lancé des appels de détresse et sollicité de l’aide de la part des autorités compétentes, mais en vain », ont-ils ajouté.

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Editorial

  • Fidèle engagement
    La lutte continue ! Mialy Rajoelina, la Première dame, ne lâche point. Fidèle à son engagement dans la lutte pour le bien-être de la famille, l’épouse du Président accepte volontiers d’être la marraine de la campagne nationale de vaccination contre la poliomyélite, première vague, qui s’est tenue du 14 au 17 mai dans tout Madagasikara.

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