Finalement, la délégation malagasy d'haltérophilie, composée de 4 athlètes et du directeur technique national, a pris le vol vers Nairobi, hier, à bord d'un jet privé. Il s'agit des deux frères Eric et Tojo Andriantsitohaina qui évolueront respectivement dans les catégories (-57kg) et (-61kg), de Elarion Ricardo Ramiaramanana (-55kg) et de Rosina Randafiarison (-45kg), l'unique femme qui représente Madagascar à cet ultime rendez-vous avant les Jeux olympiques. A peine arrivés, les athlètes malagasy ont frappé fort d'entrée en remportant 2 médailles d'or, un d'argent pour Elarion Ricardo chez les moins de 55kg et 3 de bronze pour Eric Andriantsitohaina pour les moins de 57kg pour la première journée. Son frère Eric Andriatsitohaina sera en lice ce jour.
Facilitation de la prise en charge des victimes, transport des aides d’urgence, rapidité dans le secourisme. Tels sont les objectifs du Bureau national de gestion des risques et des catastrophes (BNGRC) dans le cadre de la construction d’une annexe à Toamasina. Cette infrastructure est composée d’un magasin de stockage d’équipements et de vivres pour faire face aux éventuelles catastrophes.
S'agit-il du premier cas de thrombose survenu à Madagascar ? Telle est la question que se posent les personnes à l'affût de l'actualité suite au décès du docteur Hasina Raherimamdimby, survenu 24 heures après l'administration de la première dose du vaccin Covishield. Déjà qu'une semaine après de sa disparition, aucune information portant sur la cause de son décès n'a été révélée voire entendue, un doute s'installe.
108 km de routes en pavés construites en quelques mois, sur les 250 km comme défi à réaliser pour cette année. La Région d’Analamanga a pu effectuer ces travaux malgré le contexte sanitaire actuel et ce avec ses propres moyens. « Grâce à une bonne gestion du budget, nous avons pu nous acquérir d’une troisième niveleuse en plus des deux déjà achetées, outre le compacteur, pour assurer les travaux routiers.
La guerre est déclarée ! Les Forces armées, militaires et gendarmes, promettent les « pires châtiments » aux dahalo. Une escouade de cent-cinquante dahalo lourdement armés attaqua trois villages du District de Midongy du Sud le dimanche 23 mai. Morafeno, Ampahatelo et Benonoka, des localités reculées, ont été donc la cible le jour de Pentecôte.
Après la fête de Pentecôte, les ménages sont actuellement en pleins préparatifs de la fête des mères. Pour réjouir les mamans lors de cette journée spéciale qui leur est dédiée, les grandes enseignes proposent plusieurs idées cadeaux. A l’instar de la société « Baolai », qui met à la disposition du public un large panel d’appareils électroménagers neufs de premier choix. Pour ne citer que les Laser tv 100 pouces, Smart tv et téléviseurs LED, disponibles entre 22 et 85 pouces ( tous garantis 1 an), Gsm, subwoofer, cuisinières à gaz et électriques, synthétiseurs, machines à laver, climatiseurs, fer à lisser ( cheveux ), réfrigérateurs, tables de mixage, fours à micro-ondes,…
Au centre des discussions. Les employés de la compagnie aérienne malagasy refusent aujourd’hui la décision du conseil d’administration d’opérer à un chômage technique prochainement. Une rencontre entre les deux parties a ainsi été organisée mardi dernier, pour trouver une issue à toute cette situation. Jusque-là, les discussions continuent toujours parce que les deux protagonistes n’ont pas encore trouvé de consensus.
Près de deux ans après son adoption par les députés, les sénateurs ont, eux aussi, finalement adopté hier, en séance plénière, la proposition de loi modifiant et complétant certaines dispositions de la loi n° 2011-013 du 09 septembre 2011 portant statut de l’opposition et des partis d’opposition présentée par le député Jean Brunelle Razafintsiandraofa.
Entre 2016 et 2020, environ 160 jeunes femmes malagasy ont rejoint clandestinement Oman, Arabie Saoudite ou encore le Koweït. Hier, l'une de ces affaires à scandale, a été jugée au Pôle anti-corruption ou PAC aux 67ha. Au terme des débats desquels on trouve les accusés formés d'un jeune couple de passeurs dont Harilala Finoana Nantenaina Rakotovololona (28 ans), le mari et non moins technicien en bâtiment de son état et son épouse nommée Gabriella Lovanantenaina Ramorarison, alias Lova (24 ans) ont été condamnés chacun à cinq années de réclusion criminelle. « Il s'agit d'un allègement de peine sinon d'une peine équilibrée puisque les accusés ont fait un aveu », déclare la présidente tenant session de la CCO du PAC d'Antananarivo à l'issue de l'énoncé de la sentence.