Encore plus ambitieuse, l’Association Pachamama, la mère du club RCTS (Rugby Club de Soavimasoandro), sise à  Imamba Soavimasoandro, sera dotée d'un complexe sportif.  Cette nouvelle a été officialisée par le président du club Avotra Andrianarisoa lors de l'habituelle journée des partenaires à  Soavimasoandro, chaque mois de novembre.
Cette année, la  cérémonie a été honorée par  l'ambassadeur de France à Madagascar, Arnaud Guillois et la vingtaine de partenaires de l’association notamment les Français résidents à Madagascar. Aujourd’hui,  RCTS est composé de 410 membres de 5 à 17 ans et de la catégorie senior hommes et dames. Ils sont 350 assidus à l’entraînement et aux activités éducatives organisées par le club à l’école de rugby et plus de 180 dans le club. Ces membres sont encadrés par 15 éducateurs bénévoles.
 Par ailleurs, les membres sont issus de tous les quartiers de la Capitale, d’Ambohidratrimo à Tanjombato, aux alentours de Soavimasoandro, Ilafy Ambohitrarahaba ainsi qu’Ivandry et Ankorondrano.
« Nos membres sont nourris dans notre centre deux fois par semaine. Et ce sont nos partenaires qui nous aident financièrement et matériellement. Notre budget de fonctionnement tourne autour de 40 millions d’ariary tous les ans. Notre dépense hebdomadaire est de 400 000 ariary. Outre la cantine, nos membres bénéficient également de suivi éducatif grâce à nos bibliothèques, qui leur permettent de se cultiver,  et celui sanitaire gratuitement », précise Mamison Ratsima, trésorier de l’Association.
Les dirigeants ne font pas de stigmatisation au recrutement des nouveaux membres. Actuellement, le centre en compte 80. 
« Cette année, nous  allons construire un complexe sportif. Un terrain mixte de basketball, volley-ball et handball sera bâti à côté de celui de rugby. Cela aidera les éducateurs à orienter les enfants vers d’autres disciplines en cas d’inondation de notre terrain de rugby notamment en cette saison de pluies», explique Daniel, le manager general de l’Association. En ce qui concerne le dispensaire, l’Association attend toujours son titre foncier pour pouvoir commencer la construction.
 RCTS veut encore remplir son armoire de trophées. Cette année, les dames ont été sacrées championnes de Madagascar D2 et les hommes champions de la section Andrefan’Iarivo et champions de Madagascar D1. Une grande première depuis 1999. En effet, à l’époque, RCTS portait encore le nom de Akon’i Soavimasoandro Tanora Firaisan-kina avant de changer de nom en 2000. RCTS va célébrer ainsi son 25ème anniversaire en 2025.
Elias Fanomezantsoa

Publié dans Sport
lundi, 28 novembre 2022

La une du 29 novembre 2022

Publié dans La Une


La culture urbaine, plus précisément le genre musical populaire « hip-hop » a connu son apothéose dimanche dernier. Une cérémonie au cours de laquelle plusieurs acteurs de la danse ont reçu des médailles d’honneur et de mérite. En effet, l’Arena Ivandry a été le lieu de rassemblement de tous les adeptes de la culture urbaine lors l'événement « African Championship Breaking ». Il s’agissait d’une compétition de danse « hip-hop » avec la participation de 11 pays d'Afrique et de l'océan Indien. Durant ce concours, bon nombre de jeunes danseurs malagasy ont représenté la Grande île. Ils ont montré leurs compétences.
La compétition a été répartie en quatre catégories bien distinctes. Dans la foulée, les représentants de Madagascar ont raflé les trois premières places dans les catégories B-Girl, B-Kid et Crew. Nicki a gagné la première place, suivie de Saphyrah et de Nomena dans la catégorie B-Girl. Dans la catégorie B-Kid, ce sont Erica, Njara et Trykking qui ont pris le podium d’assaut. En danse de groupe ou Crew, Moustik Crew et Baobab Crew ont dominé la compétition. Par contre, le Sénégalais EM a pris le premier trophée du concours B-Boy, s’ensuivent les deux Réunionnais Energy et Noahm.
A souligner que la manifestation était placée sous l'égide du ministère de la Communication et Culture. Aussi, à l'issue de cet événement, le grade de Chevalier de l'Ordre des arts, des Lettres et de la Culture a été décerné à sept danseurs et chorégraphes hip-hop. Neuf autres danseurs ont également reçu le grade d’Officier de l'Ordre des Arts, des Lettres et de la Culture et trois autres ont été intronisés au grade de Commandeur de l'Ordre des Arts, des Lettres et de la Culture, à savoir Angeluc Rehava, Herilantoniaina Ratsimbazafy et Haingomalala Ratsimbazafy.
Hip-hop
Aujourd’hui, la danse « hip-hop » qui fait partie de la culture urbaine est très appréciée par le public, surtout les jeunes. Par ailleurs, ce genre de musique populaire est pratiqué à Madagascar depuis 39 ans. Il s’agit d’une culture qui essaie toujours de prendre sa place et de réunir le monde de la danse, rendre hommage à la danse, célébrer son universalité en franchissant toutes les barrières politiques, culturelles et ethniques, rassembler l’humanité toute entière en amitié et paix autour de la danse qui est un langage universel. « La culture est un secteur qui contribue énormément au développement d’un pays. C'est pourquoi nous nous sommes fixé des visions et des objectifs à long terme, en privilégiant davantage les jeunes ayant du talent », a déclaré la ministre de la Culture et de la Communication, Lalatiana Andriatongarivo lors de la cérémonie.
Sitraka Rakotobe

Publié dans Culture



Un opérateur dans la filière « vanille », domicilié à Ambondrona, situé dans le cœur de la ville d'Antalaha, a été victime de vol associé à une attaque avec des armes à feu. Cela est survenu vers 1 heure, tôt le matin du 28 novembre dernier. Selon la victime, quatre individus armés de fusils de chasse sont venus chez lui pour tirer aussitôt deux coups de feu sur le mur et la porte principale. Par la suite, ils ont fait une intrusion dans la maison et ont dérobé une somme de 10.000.000 d’ariary, 90 kg de vanille préparée, une télévision à écran plat 32 pouces et un téléphone portable de marque Samsung. Malgré cela, aucune perte de vie humaine n'a été déplorée. En revanche, deux locataires furent brutalisés. Les victimes, deux hommes âgés de 44 ans et de 50 ans, ont reçu des coups assenés à l'aide d’un gourdin.

Sitôt informés, des éléments dirigés par le commandant de compagnie se sont dépêchés sur les lieux pour la constatation d’usage et mener l'investigation. Mesure prise : une réquisition téléphonique a été établie. Parallèlement à cela, l'EPJ de la compagnie de gendarmerie d'Antalaha, poursuit l'enquête. Par ailleurs, une sensibilisation de la population locale a été effectuée pour relancer l'alerte à temps, au cas où une attaque de ce genre se reproduit. Enfin, le commandant de compagnie d'Antalaha a ordonné d'intensifier la patrouille de nuit afin de retrouver les malfrats par tous les moyens. 

F.R.

Publié dans Société
lundi, 28 novembre 2022

A quand la fin ?

La saga perturbante de la JIRAMA aura-t-elle un dénouement un beau jour ? Il n’y a pas un jour sans qu’on parle, qu’on subisse les vicissitudes de la Compagnie nationale de l’eau et de l’électricité, la JIRO sy RANO MALAGASY (JIRAMA). Des promesses aux engagements non tenus, les usagers n’en supportent plus. Les agacements et les dépits atteignent le ras-le-bol.
Les maudits délestages ne datent pas d’hier. Les coupures intempestives d’électricité existaient avant la Quatrième République. Pour Antananarivo et périphéries, elles firent apparition durant le régime de Ravalomanana Marc de 2002 à 2009. L’ancien patron de l’empire du lait voulait apporter des solutions radicales dont entre autres la privatisation pour redresser la Compagnie. Une « solution » qui butait au refus catégorique de l’intersyndicale du personnel. Ayant échoué, Ravalo actait le plan B à savoir nommer un technicien étranger supposé expert en la matière, un Allemand, au poste de Directeur général. En six mois, la JIRAMA se dégrade encore plus. Au fait, elle descend aux enfers. Un expatrié payé très cher, en devises, crevait la moribonde caisse de la Compagnie.
Durant la Transition, les dirigeants ont hérité d’une Société d’eau et d’électricité dans un état critique sinon comateux. Rajoelina et son équipe tentèrent le tout pour le tout afin de ranimer le « malade admis en soins intensifs » mais le cas reste stationnaire. Sous sérum, le pronostic vital étant déclaré, les « médecins » tentent l’impossible.
En janvier 2014, le Président de la République Rajaonarimampianina, fraîchement investi à Mahamasina, promettait qu’il supprimera en trois mois les délestages. Une promesse et un engagement déclenchant un tonnerre d’applaudissements qui avaient fait vibrer tout le Stade Municipal. Mais jusqu’à la fin de son mandat fin 2018, les ennuis de la JIRAMA n’ont jamais été dissipés. Au contraire, ils redoublent de tensions. Ce qui explique, en partie,  son échec aux élections de 2018 lui barrant la route pour un second mandat.
En janvier 2019, le Président de la République Rajoelina nouvellement investi, évitait de promettre ou de s’engager à une échéance précise pour résoudre les délestages de la JIRAMA. A l’approche de la dernière année de son mandat, Rajoelina se trouve encore en plein  chantier de redressement. Il y aura  encore du chemin à parcourir. Les pauvres abonnés souffrent et vivent dans la tourmente.
Entre temps, la direction d’une part, le Conseil d’administration soutenu par le ministère de tutelle, de l’autre et en troisième position les deux tendances au sein de l’intersyndicale, tout ce beau monde passe le clair de leur temps à se chamailler, à se rendre la balle. Une vulgaire « passe à dix » qui, en fait, assombrit et ternit encore davantage l’image de la JIRAMA.
S’il faudrait faire table rase, une solution radicale, au niveau de la direction, CA y compris, il faut oser y passer de telle manière que cette entité de production d’électricité et d’eau puisse entamer un nouveau départ. Le curetage devra toucher aussi le ministère ! On ne discrédite ni minimise les efforts entrepris tels les évaluations seulement, il est temps de résoudre sans complaisance le problème.
A quand donc la fin sinon le dénouement de cette crise minant la Compagnie nationale et qui, parallèlement, sape le moral de la troupe.

Publié dans Editorial


Mutualisation des expériences autour des thèmes fédérateurs sur les enjeux actuels de la formation professionnelle. C’est en ce sens que le Fonds malgache de formation professionnelle (FMFP), en tant que membre actif du Réseau Africain des Institutions et Fonds de Formation Professionnelle (RAFPRO), accueille présentement la rencontre « Top Management 2022 » au Carlton, Anosy jusqu’à demain. Il s’agit d’un événement international qui regroupe les dirigeants des Institutions partenaires du réseau en Afrique. L’objectif de cette rencontre est de rechercher de nouveaux axes d’amélioration dans le secteur de la formation professionnelle, étant donné que le capital humain est une valeur clé pour la compétitivité d’une entreprise.

Dans un contexte où, d’ici quelques années, l’employabilité du capital humain sera un enjeu international, le maintien, le développement et l’acquisition de nouvelles compétences par des échanges de pratiques seront décisifs. Cette rencontre animée par le cabinet « Etude & Actions » est par définition le canal privilégié offert aux dirigeants des fonds et institutions de financement de la formation professionnelle en Afrique subsaharienne pour se ressourcer et mutualiser leur expérience avec leurs collègues du continent européen.

Par ailleurs, en ce qui concerne la problématique de l’employabilité, Rabearivelo Noelison, président du Conseil d’administration du FMFP a tenu à préciser « l’importance capitale du renforcement de capacité dans les secteurs spécialisés, à l’image d’une société d’envergure internationale œuvrant dans le secteur maritime et qui doit encore aller chercher de la main- d’œuvre spécialisée ailleurs qu’à Madagascar. Malgré un taux de chômage important, ce n’est pas normal que des situations où l’on doit encore importer de la main-d’œuvre puissent se produire. Une des raisons pour laquelle nous allons nous concerter durant ces trois jours pour trouver des solutions efficientes ».

Problématique de financement

Ces trois jours d’échange et de partage sont ainsi organisés à l’intention des élites issus des institutions de financement de la formation professionnelle en Afrique subsaharienne, mais également à tous les acteurs de la formation professionnelle qui traitent en profondeur des thèmes fédérateurs et transversaux sur les fondamentaux du management stratégique des organisations. Ainsi, le temps que durera cette rencontre, ces élites auront à se focaliser sur des thématiques d’envergure, à l’instar de « l’évolution personnelle au service du développement professionnel et l’impact sur la formation professionnelle » (FORPRO), « les actualités sur le financement de la formation professionnelle », ou encore « la transition numérique du système de formation professionnelle continue ». Au sujet des problématiques liées à la recherche de financement, N'dri Phillipe, secrétaire général du RAFPRO de souligner que « l’idée, c’est de diversifier les ressources des fonds. En ce moment, nous fonctionnons en grande partie sur la base des financements des entreprises. Mais les besoins sont énormes, les entreprises en attendent beaucoup de nous et nous devons retourner ces cotisations à travers le financement des formations. Par ailleurs, il y a aussi le secteur informel qui est un point important de l’économie pour lequel il faut tout de même libérer des fonds afin qu’il se structure, se formalise et contribue à son tour au développement économique ».

Hary Rakoto

Publié dans Economie


Le service de la météo l’a annoncé, cette semaine sera encore marquée par beaucoup d’orages sur les parties centrale et sud-ouest de Madagascar. Une partie du District de Betioky Atsimo, principalement, est actuellement la proie d’une pluie diluvienne et ce, pour le grand bonheur de la population.
« On l’a espéré, et voici que nos prières ont été exaucées. Les cultures peuvent ainsi avoir beaucoup de rendement cette année », explique le chef d’un village situé le long de la RN°10 au niveau de la commune rurale d’Ejeda.
En effet, un large front situé dans le sud du canal de Mozambique affecte le temps global de la Grande île. C’est ce front qui favorise la formation des orages. Il faut aussi faire attention aux foudres qui peuvent mettre en danger la vie des personnes. Sur la partie Est et celle Sud-est, malgré un temps légèrement dégagé le matin, des vents violents sont à prévoir.
A Betioky Atsimo, le kere sera peut-être évité avec l’abondance des précipitations de ces dernières semaines. La météo a confirmé la continuité de ces précipitations dans cette partie de l’île. Espérons que la grêle ne s’en mêle pas pour tout ravager.
Néanmoins, le point noir au tableau, c’est la dégradation de la RN°10. Déjà pas en bon état et fortement érodé par les vents, la pluie ne fait qu’achever le travail. Des crevasses et des effondrements sont rencontrés tout au long des voies. La route est devenue un véritable lit de rivière. Les usagers doivent donc redoubler de vigilance surtout ceux qui n’ont pas l’habitude de cette zone.
« La pluie cache les trous et les endroits dangereux, on a préféré attendre un peu que la pluie s’arrête avant de continuer notre chemin. La visibilité est très mauvaise, il vaut mieux arriver en retard qu’être en panne au milieu de nulle part. Il faut aussi penser à la sécurité des passagers », affirma un chauffeur lors de son arrivée au stationnement avec son Karandal tout boueux.
Nikki Razaf

Publié dans Politique


Pour son dernier jour de déplacement à Manakara (Région Fitovinany), le Président Andry Rajoelina a enchaîné les inaugurations d’infrastructures qui vont servir à la population locale. Le Chef de l’Etat a officiellement inauguré la « brise – lames » qui sert à protéger les côtes de Manakara Be contre l’érosion marine. Il était à la tête d’une forte délégation composée des sénateurs et des députés pro – régime dont la présidente de l’Assemblée nationale, Christine Razanamahasoa ainsi que des membres du Gouvernement dirigé par le Premier ministre, Christian Ntsay.
« L’Etat se focalise sur la mise en place d’infrastructures de proximité qui profiteront à la population », a souligné le Chef de l’Etat à l’instar de cette « brise – lames » construite en béton et s’étend sur 210 mètres, avec une hauteur de 5,10 mètres et une épaisseur de 2,4 mètres. La construction de cette infrastructure sert à pallier les éventuelles montées des eaux de mer comme ce fut le cas à la suite du passage des cyclones Batsirai et Emnati. Lors de  son passage  sur  les  lieux  en  2020,  le Chef de l’Etat avait déjà donné des consignes fermes afin de trouver des solutions durables.  Cette  infrastructure  servira  ainsi à  protéger  la  ville  et  notamment  les zones basses lors de la saison des pluies et des cyclones.
Beaucoup à faire
Au cours d’un bref discours, le Président Rajoelina a déclaré que « nous avons déjà effectué de nombreuses réalisations. Mais nous devons aussi admettre qu’il reste encore des chantiers à faire que nous n’avons pas encore pu réaliser ». Le numéro un de l’Exécutif a ainsi reconnu qu’il reste encore beaucoup à faire pour la population de Manakara comme la création d’emplois au profit des jeunes et des femmes, ou encore le soutien au secteur agricole. Autant de projets que le Président entend concrétiser avec le soutien de la population locale.
Le  « jardin  d'amour »,  ainsi que  la  route  longeant  la  côte  ont  également  été réhabilités  afin  d'embellir  la  ville de Manakara.  Des  éclairages  solaires  ont  été installés  le  long  de  cette  route  entièrement  construite  en  béton.  Le Président Andry Rajoelina  de réitérer  qu'aucune  Commune,  aucun  District,  et  aucune  Région  ne  sera  oublié, ni mis à l'écart en matière de développement.
S.R.

Publié dans Politique


Le nombre de personnes testées positives de la Covid-19 dans le pays ne cesse d'augmenter ces deux dernières semaines. Face à cette situation, le ministère de la Santé publique encourage la population tananarivienne à appliquer à nouveau les gestes barrières et appelle à la conscientisation individuelle au respect des dispositifs dont le port du masque, le lavage des mains avec du savon ou l'utilisation du gel désinfectant. « La période des fêtes approche. Sur ce, la circulation augmente, notamment dans les endroits publics comme les marchés, les salles de fête, les églises. Afin de se protéger contre cette maladie, tout un chacun doit être vigilant », soutient le ministre de la santé publique, le Professeur Randriamanantany Zely Harivelo, durant un atelier sur la préparation et l’organisation des formations sanitaires face à cette épidémie, lequel s'est tenu hier à Ambodivona. Il a particulièrement insisté sur le port du masque dans les transports en commun. D'ailleurs, c'est l'un des endroits les plus propices à la propagation du coronavirus.
Lui de rappeler et d’inciter également la population à vouloir se faire vacciner contre la Covid-19, notamment les personnes diabétiques et ayant une maladie héréditaire qui ne pourraient pas faire un traitement avec le CVO+.
Certes, la vaccination contre le coronavirus n’est pas obligatoire sur tout le territoire national et on devrait respecter ce choix, selon le ministre. Cependant, il met l’accent sur l’importance du vaccin sur le plan social et économique. Il a rappelé le même scénario du retour progressif des nouveaux cas de Covid-19, enregistré vers mi-novembre 2021. Afin d’éviter toute risque de recrudescence de cette maladie, il est important d’accroître la résistance  immunitaire. Le CVO+ est toujours  disponible auprès des points de vente y afférents, conclut-il.
En rappel, d'après la situation épidémiologique datant du 12 au 18 novembre dernier, 198 nouveaux cas ont été recensés dans le pays, ce qui mène à 264 le nombre de cas actifs. 3 patients présentent la forme grave de la maladie, notamment des difficultés respiratoires.
Anatra R.

Publié dans Société

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Editorial

  • Ragôva, aux cribles !
    Le gouverneur de la Région Analanjirofo limogé ! Ceux des Régions Vatovavy et d’Itasy « licenciés ». A qui le prochain tour ? Et les observateurs de s’interroger, « le locataire d’Iavoloha serait-il en train de passer aux cribles les Ragôva ? » De notre côté, on se pose tout bas la question « avions-nous été entendus ? » A travers nos colonnes, on n’a de cesse de réclamer l’évaluation périodique de nos « vice-rois ». Non pas par méchanceté à leur égard mais dans une démarche d’esprit qui se soucie de la sauvegarde de nos fragiles ressources publiques qu’il faille gérer à bon escient et aussi pour le bon fonctionnement des affaires nationales. Lesquelles évaluations périodiques permettront d’apprécier les travaux effectués sinon de constater les manquements itératifs des dits Gouverneurs ainsi que leurs impacts dans les Régions concernées. Un Gouverneur qui fait bien son travail contribue évidemment à l’essor…

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