L'affaire sur la réélection de Marcel Rakotomalala pour un troisième mandat à la tête du Malagasy Rugby ne cesse de défrayer la chronique. Les ligues majoritaires contestent vigoureusement la réélection de Marcel Rakotomalala, à Toliara le 7 novembre dernier. Comme si le Comité olympique malagasy voulait défier l'État en ne considérant pas la présence du ministère de la Jeunesse et des Sports (MJS). Ce dernier étant le garant de la légalité de cette élection.
Les quatre suspects dont un touriste espagnol de 70 ans, dans l’affaire concernant l’agression sexuelle ayant débouché sur la mort d’un petit garçon de 7 ans à Morondava, dimanche dernier, ont été déférés au Parquet. Ce déferrement n’a pris fin que vers 22h mardi dernier, et à l’issue duquel tous les suspects ont été placés sous mandat de dépôt à la maison centrale de Morondava. Outre bien sûr l’Espagnol, la gérante de l’hôtel où les faits sont survenus, un surveillant de piscine et non moins maître-nageur, et un autre employé dudit établissement figurent dans cette liste.
La participation de Madagascar à la COP27 qui se tient actuellement à Sharm – El – Sheick, en Egypte a marqué les esprits, notamment suite au discours du Président Andry Rajoelina qui a, une fois de plus, interpellé les grands pays pollueurs sur le déblocage du fonds vert pour le climat. Un fonds destiné aux pays en voie de développement qui sont victimes du changement climatique.
Parmi les 4 établissements de la ville d’Antananarivo accompagnés par le groupe Filatex. L’Ecole primaire publique (EPP) d’Andrefan’Ambohijanahary étant la meilleure de la Capitale, voire de Madagascar, notamment en termes d’infrastructures, d’après le maire de la Commune urbaine d’Antananarivo (CUA), Naina Andriantsitohaina. Construit en 1911, cet établissement, considéré comme une institution, a été rénové par ledit groupe en 2017. Des travaux conséquents y ont été effectués, impactant positivement sur la scolarisation et le quotidien des centaines d’élèves. « La qualité des infrastructures impacte sur les résultats scolaires.
La République malagasy célèbre « la Semaine de la terre et de l'aménagement du territoire » durant la semaine du lundi 7 novembre. Le Département de l'Aménagement du territoire et des Services fonciers organise des séances de sensibilisation autour des terres et leurs aménagements. Le Département saisit en même temps l'occasion pour distribuer des « Karatany », genre Titre foncier au niveau des Fokontany, et des Bokin-tany (Titre foncier) aux paysans. Lesdits paysans deviennent définitivement des propriétaires des terres qu'ils ont aménagées depuis des générations. Un défi que le régime Orange de Rajoelina se donne la tâche de relever conformément au prescrit du Velirano. La sécurisation foncière s'inscrit dans l'ordre des priorités et des urgences que le Président de la République entend mener jusqu'au bout.
Surpêche, pollution et dégradation du climat. Ces problèmes changent l'océan d'une manière encore jamais vue auparavant. Ils vident nos océans de vie et menacent les stocks de poissons qui fournissent de la nourriture à des milliards de personnes et des moyens de subsistance à des centaines de millions de personnes. Face à ce contexte, un groupe de scientifiques d’ordre international se sont ainsi penchés sur une planification stratégique sur la restauration des océans. Ces derniers, membres de l’organisme Océan Pasture Madagascar (OPR-MG), filiale de l’Océan Pasture International, annoncent une solution africaine innovante pour atténuer le changement climatique via la restauration des océans.
En marge de sa participation à la COP27 en Egypte, le Président Andry Rajoelina a rencontré le directeur exécutif du PAM (Programme alimentaire mondial), David Beasly. Les deux parties se sont convenues sur l'élaboration d'un programme conjoint destiné à soutenir la population victime de kere dans le Sud de Madagascar. Au cours des discussions, le Chef de l'Etat a souligné qu'il est important de ne pas se limiter aux aides ponctuelles mais qu'il faudrait soutenir les ménages afin d'avoir des activités de subsistance. L'objectif étant de les rendre autonomes malgré les problèmes d'eau.
Les trafiquants de drogue misent sur des femmes malagasy pour faire passer de la drogue. Certaines se disent victimes de pièges. Certaines autres le font consciemment. Souvent, en tout cas, les « mules » sont dans le besoin, et constituent des proies idéales pour les trafiquants de drogue. Le cas de jeunes femmes, arrêtées ces derniers temps en possession de drogues, sur l’île sœur de Maurice et qui risquent jusqu’à dix, vingt voire trente ans de prison, illustre cette situation. Plus d’une dizaine de femmes originaires de Madagascar ont été arrêtées à l’entrée à Maurice, alors qu’elles tentaient d’y faire rentrer de la drogue. La nécessité économique est la première raison de cette situation. Cette précarité fait que beaucoup de femmes sans-emplois deviennent facilement la proie de cartels de la drogue, dans l’espoir de gagner de l’argent. En une dizaine d’années, les cas sont nombreux.