Après l'élection du président de l'université d'Antananarivo qui a vu la reconduction du Professeur Mamy Ravelomanana, d'autres scrutins ont été également organisés dont les élus sont actuellement connus.
« Je veux mourir madame ». Tel a été le mot de la victime de viols à répétition perpétrés par le chef de sa famille d’accueil. L’auteur des agressions sexuelles envers la jeune femme de 21 ans étant un « Mpiandry » connu au sein de son entité religieuse, également le premier responsable d’un « Toby », ou centre d’abri et de délivrance implanté du côté d’Antananarivo Avaradrano. Il n’est pas le seul dans l’histoire puisque son fils a également violé à plusieurs reprises la jeune lycéenne, laquelle passera son examen du Baccalauréat cette année.
Se serrer la ceinture. Dorénavant, les ménages sont obligés de le faire face à l’augmentation du coût de la vie. A cause de l’inflation qui mine le pays et le monde entier, les familles quelles que soient leurs classes sociales sont impactées par cette situation. Elles sont contraintes de changer leur mode de vie.
Baomihavotse RaharinirinaVahinala atterrit à la Présidence. Selon le décret présidentiel pris en Conseil des ministres, l'ancien membre du Gouvernement occupera désormais le poste tant convoité de directeur de cabinet civil de la Présidence, en lieu et place de Lova HasinirinaRanoromaro, mutée à la Direction de la Communication en qualité de directeur et porte-parole du Chef de l'Etat.
Neos ouvre le bal. 319 passagers du premier vol charter autorisé ont débarqué à l’aéroport de Fascene, hier en milieu de journée. L’enthousiasme se reflétait sur le visage de tous les autochtones présents. Partagés entre recul et optimisme, les acteurs touristiques de Nosy Be sont venus en nombre à l’aéroport de Fascene hier pour tâter le terrain à l’occasion de l’ouverture officielle du ciel de l’île aux parfums aux touristes internationaux.
Du sang neuf sur les œuvres de l’écrivaine et poétesse Clarisse Andriamampandry Ratsifandrihamanana. « Homeko làlana ianao. Rehefa folako aho, ry aiko», tel est l’intitulé du livre qui vient de sortir de sa tanière ce mois-ci. Un livre sur la biographie de cette grande figure de la littérature malagasy, co-écrit par ses enfants Lisy Zarasoa Ratsifandrihamanana et Lila Hanitra Ratsifandrihamanana. Avec 247 pages, l’œuvre est divisée en deux parties. La première relate sa vie personnelle à savoir son enfance, ses études, les membres de sa famille ainsi que son parcours professionnel.
Le kidnapping refait surface dans le District de Tsaratanàna. La localité de Tanambao, Commune Ambakireny, pleure ses morts. Les ravisseurs y ont assassiné froidement un chef de famille ainsi que ses deux garçons, leurs otages depuis le 10 avril dernier. Et pourtant, ce chef de famille était venu rencontrer les ravisseurs à l’endroit convenu pour payer la rançon, soit un montant de 60 millions ariary. “Sitôt que les bandits ont empoché cette somme, cela ne les a pas empêchés pour autant de tirer à bout portant sur l’homme.
Une famille à Morarano Gara (MLA) fait obstacle à la finalisation de la reconstruction de la RN44, un projet présidentiel financé par la Banque mondiale. Le titulaire du marché est en train de terminer les travaux de finition. Le bitumage proprement dit ayant été fini le 21 mars sur le lot 1 (Marovoay Gara-Amboasary Gara, 40 km), l’aménagement des accotements bat son plein.