mardi, 26 avril 2022

La une du 27 avril 2022

Publié dans La Une


Triste nouvelle. Emmanuel est malade depuis le début de l’année. C’était hier que madame Hery, l’épouse de l’acteur, a fait savoir que le célèbre comédien de la saga « Malok’ila » est atteint de la maladie de Parkinson. Ce n’est qu’après les analyses que sa famille a découvert la triste nouvelle. « Au début, nous avons cru que ce n’était qu’une simple maladie passagère suite à une fatigue. Mais après avoir effectué l’analyse IRM qui est un examen pour le diagnostic différentiel entre la maladie de Parkinson et le syndrome parkinsonien, le médecin a déclaré qu’il est atteint de la maladie », explique sa femme. Par ailleurs, grâce au traitement, l’état actuel de l’acteur ne s’avère plus être grave. « Cela fait maintenant deux mois que mon mari suit des traitement médicaux. Et je peux vous affirmer qu’aujourd’hui, Emmanuel va mieux. Il est capable de parler, manger, bref il a repris de la  force. Vraiment, il va bien. Par contre, il devra encore faire beaucoup de progrès pour pouvoir bien marcher sur ses pieds. J'ai décidé de faire savoir aux gens qu’Emmanuel est atteint de la maladie de Parkinson afin d'encourager les autres victimes de cette maladie, et également de dire si quelqu’un pourrait nous donner des conseils pour mieux la combattre », rapporte toujours sa femme.
Vaillance
Emmanuel Andriamahefa, âgé de 61 ans, et sa femme ont deux enfants. Dorénavant, Emmanuel mène un nouveau combat, celui de faire face à sa maladie. L’acteur n’est plus à présenter pour les fans du cinéma malagasy. Il a fait ses débuts dans la saga « Malok’ila ». Convaincu de son talent, la maison de production Scoop Digital lui a donné un rôle dans d’autres feuilletons tels que « Adisanina », « Gisa mainty »,… Même si depuis quelques années, on ne le voit plus à l’écran, il n'en demeure pas moins que cet acteur est présent dans les mémoires des malagasy, et ce grâce à ses œuvres qui font toujours rire et satisfaire les férus du 7ème art. « Nous aimerons présenter nos sincères remerciement à tous ceux qui nous ont aidés et soutenus, notamment les fans du cinéma malagasy, les maisons de production et les personnes de bonne foi. Grâce à vos aides financières, morales et avec tous vos encouragements, la santé d’Emmanuel s’est beaucoup améliorée », conclut sa femme. On sait aujourd'hui que la carrière cinématographique d’Emmanuel Andriamahefa aura duré bien plus d’une dizaine d'années. Mais malheureusement, après le diagnostic de sa maladie, l’épouse de ce dernier affirme que l’acteur ne jouera désormais plus de la comédie.
Sitraka Rakotobe

Publié dans Culture


Le quartier d’Androva à Mahajanga s’était réveillé avec une découverte macabre, hier. En réalité, nul n’a soupçonné une seconde qu’un sac fermé, de façon assez hermétique que des inconnus ont jeté dans une décharge publique   de ce quartier, renfermait un cadavre. En effet, le corps sans vie d’une femme de nationalité malagasy, encore dans la fleur de l’âge, car ayant entre 25 et 30 ans, selon la Police, se trouvait à l’intérieur. Entre autres détails qui méritent d’être mentionnés, une très longue corde nouait tout le corps de la victime, qui semble être recroquevillée sur elle-même, les jambes légèrement remontées vers le haut.  
D’après l’enquête, ce sont des sans domicile fixe, qui en farfouillant comme à leurs habitudes dans la benne à ordures, ont fait cette horrible découverte en premier, vers 9h du matin. Du coup, ces vagabonds ont informé les riverains. A leur tour, ces derniers ont rapporté les faits auprès du Fokontany. Rapidement, les responsables en son sein en ont fait part à la fois au Bureau municipal d’hygiène ou BMH et surtout la Police de la cité des Fleurs.
Pour le moment, tout un mystère plane encore sur cette affaire. L’hypothèse d’un meurtre crapuleux semble être la plus plausible. A preuve, un médecin du BMH qui a fait le constat, a avancé que des traces de bleu auraient été observées sur la victime. Ce qui sous-entendait que le(s) tueur(s) l’auraient rouée de coups jusqu’à ce que mort s’ensuive.   D’après toujours un diagnostic du médecin, le décès aurait remonté vers 3h du matin.  Mais c’est là que le bât blesse car on ne sait où, ni par qui.  « En revanche, on ne lui a trouvé aucune trace d’agressions sexuelles, ni des blessures », confirme une source d’information locale.  Aucun autre complément d’information n’a été encore divulgué, rendant ainsi impossible d’apprendre davantage sur la victime. Car à entendre dire également notre correspondante locale, la malheureuse serait une inconnue, du moins aux yeux des riverains. Ces derniers soupçonnent que le meurtre aurait été consommé dans un autre endroit, hypothèse que la Police n’a confirmée, ni infirmée.
Comme pour nourrir le mystère sur le compte de la disparue, aucun de ses proches ne s’était guère manifesté à la morgue de l’hôpital d’Androva, du moins pour réclamer la dépouille, selon cette source. De plus, les réseaux sociaux et les chaînes privées locales n’ont pas cessé de multiplier un communiqué à ce dessein, histoire d’exhorter la famille de la défunte à venir sur place pour vérifier et confirmer. Jusque tard dans la soirée d’hier, les Forces de l’ordre semblaient être muettes quant à l’évolution de cette affaire.
Franck Roland

Publié dans Politique


Adapter le programme de l’Etat aux demandes et desiderata de la population du District d’Ikongo, tel fut l’un des sujets au centre des discussions lors de la rencontre entre le député et non moins vice – président de l’Assemblée nationale représentant l’ex – chef - lieu de Province de Fianarantsoa, Jean Brunelle Razafitsiandraofa et le conseiller spécial à la Présidence en charge de des affaires politiques, Soja Jean André dit Kaleta à Ambohitsorohitra, hier. Il a également été question de la possibilité d’accélérer les projets de développement au profit de cette localité. Le parlementaire a adressé ses remerciements à l’endroit du Président Andry Rajoelina pour la nomination de deux nouveaux conseillers spéciaux : l’ancien sénateur Soja Jean André et le Général Ravalomanana Richard, en l’occurrence. Deux personnalités dotées d’expériences dans les affaires nationales et surtout dans le domaine politique.
La nomination de ces conseillers a également permis de réduire l’écart qui sépare les parlementaires, porte – paroles de la population et le Président de la République, patron de l’Exécutif. Le député élu à Ikongo ne manque pas de relever l’existence d’une certaine distance entre le Gouvernement et les membres de l’Assemblée nationale.
Fidèle au parti TGV
Outre la question liée au développement, les échanges entre les deux hommes ont également porté sur des sujets politiques. Le député d’Ikongo a pu effectuer un compte- rendu relatif aux nombreuses doléances des communautés locales. Ce fut également l’occasion pour ce membre de l’Assemblée d’apporter des éclaircissements concernant ses relations avec le Chef de l’Etat. « Je n’ai aucun problème avec le Président », a – t – il indiqué en marge de la rencontre avant d’ajouter qu’il est également en bons termes avec le parti TGV (Tanora malagasy vonona). Selon lui, il est du devoir du bureau politique de recadrer, d’apporter un conseil ou de faire un rappel à l’ordre en cas de constat d’une déclaration qu’il juge contraire à la ligne ou à la discipline de parti.
Pour rappel, ce parlementaire avait fait quelques déclarations virulentes pointant du doigt certains projets de l’Etat qui, selon lui, allaient à l’encontre des priorités dans certaines Régions de l’île. Des déclarations qui lui ont valu un rappel à l’ordre de ses homologues parlementaires élus sous la bannière Orange. Le député affirme avoir « reçu et pris en considération » les consignes du bureau politique et respecter les règles qui régissent la formation politique. Il réitère son appartenance au parti TGV et œuvre en faveur de ce groupement politique.
La Rédaction

Publié dans Politique
mardi, 26 avril 2022

Mission accomplie !

Le Président Rajoelina Andry rentre au pays. Un déplacement qui l’a conduit principalement au pays de l’oncle Sam, plus précisément à Washington, et dont l’importance vitale pour le pays, pour les 25 millions de Malagasy, n’est plus à démontrer.
En fidèle serviteur de la Nation, le Chef de l’Etat rend compte au peuple des résultats de son voyage. Une mission, en dépit des écueils et les pièges qu’il fallait déjouer, a été accomplie.
Rajoelina Andry, un authentique homme de parole, place très haut la concrétisation de ses engagements et des objectifs qu’il s’est fixé à travers l’Initiative pour l’émergence de Madagasikara (IEM) et condensé pour être plus lisible et visible dans les 13 points de  « Velirano ». Notons au passage que le « Velirano » n’est autre que la version réduite de l’IEM accessible au commun des mortels. Un souci personnel du numéro Un du pays de manière à ce que tous les citoyens puissent avoir une bonne visibilité des grands objectifs à atteindre et surtout pour pouvoir les suivre. Bref, une manière d’associer les concitoyens à tous les efforts en vue du redressement du pays. Mais la bonne volonté de concrétiser ses promesses est une chose mais avoir les moyens de les réaliser en est une autre !
Le déplacement du Chef de l’Etat à Washington s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre pratique des concrétisations. Le déplacement a eu un franc succès. On suppose facilement que les débats et les négociations auprès des décideurs des Institutions de Bretton Woods ne relèvent point ni de la sinécure ni d’une partie de plaisir. Réussir à convaincre les fins experts et les dirigeants de la Banque mondiale (BM) et du Fonds monétaire international (FMI) à approuver une décision de financement n’est pas une évidence en soi ! Il fallait au préalable les rassurer de la nécessité de ces actions à entreprendre dans l’intérêt de la Grande île. Il fallait aussi leur prouver et les mettre en confiance que les techniciens et les dirigeants malagasy disposent les qualités nécessaires pour gérer au mieux les aides et prêts accordés. A ce titre, ils se réfèrent impérativement à la gestion des aides et dons alloués auparavant. Nous ne sommes pas sans savoir que le FMI et la BM ne « badinent » pas dans la gestion des fonds accordés (transparence, respect total des procédures, etc.).
A Iavoloha, le Président Rajoelina a eu le plaisir d’annoncer que les bailleurs traditionnels et les investisseurs américains roulent pour les projets soumis à leur endroit et cela avec effet immédiat.
La réhabilitation et la construction des routes figurent au premier plan. La RN 10 reliant Andranovory à Ambovombe sera bitumée entièrement. Les travaux financés par la BM débuteront incessamment. La réhabilitation de la RN13 reliant Ambovombe à Taolagnaro n’attend que le feu vert de l’UE qui ne saura tarder afin que les chantiers commencent très prochainement. De même, la construction du pipeline d’eau entre Ankaramena et Ambovombe verra le jour. Et la route entre Ihosy et Betioky et celle de Betroka et Ambovombe auront leur part de réhabilitation. En somme, tout le Sud entrera dans une nouvelle ère de développement.
Incontestablement, le locataire d’Iavoloha vient de réaliser une mission accomplie sans oublier la bonne nouvelle pour les agents de l’Etat.
Ndrianaivo

Publié dans Editorial


Des enfants abandonnés à leur naissance, d’autres orphelins, quelques-uns déscolarisés ou encore ces mineurs qui travaillent pour subvenir aux besoins de leur famille. Nombreux se demandent comment les aider, quelle procédure à suivre pour pouvoir les récupérer et les élever. Selon la loi n° 2017-014 du 6 juillet 2017 relative à l'adoption, article 7, l'Autorité centrale de l'adoption malagasy, dénommée sous le sigle ACAM, est l’organe désigné par l’Etat pour exécuter les obligations et fonctions relatives à l’adoption. La déclaration judiciaire d’adoptabilité d’un enfant relève du ressort exclusif de l’ACAM qui établit la liste des enfants adoptables sur tout le territoire malagasy. Ladite Autorité centrale dépend du ministère de la Population, de la Protection sociale et de la Promotion de la femme (MPPSPF). Ces obligations et fonctions relatives à l’adoption sont visées par la Convention de La Haye du 29 mai 1993 sur la protection des enfants et la coopération en matière d’adoption internationale, notamment celle d’un enfant malagasy. La politique de protection de l’enfant privé de soins parentaux ou risquant de l’être, signée en 2004, régit aussi l’adoption. A travers cette interview, Narijaona Elda, coordonnateur de l'Autorité centrale de l'adoption malagasy auprès du MPPSPF a livré quelques réponses aux différentes questions simples mais qui ont besoin de réponses.
La Vérité (+) : Comment peut-on recourir à l’adoption à Madagascar ?
Narijaona Elda, coordonnateur de l'Autorité centrale de l'adoption malagasy (-) : Si une personne veut adopter un enfant à Madagascar, il existe deux possibilités. Si l'adoptant habite à Madagascar, il devra passer par l'ACAM. Mais s'il se trouve à l'étranger, un Organisme agréé pour l’adoption (OAA) devra traiter le dossier.
(+) : Qui peut adopter ? Quel enfant peut-on adopter ?


(-) : Toute personne répondant aux critères mentionnés par la loi n° 2017-014 du 6 juillet 2017, relative à l'adoption, peut adopter un enfant. Et seuls les enfants ayant obtenu le consentement de leurs tuteurs, délivré par un juge des enfants, peuvent être adoptés.
(+) : Y-a-t-il une différence entre l’adoption par une famille malagasy et étrangère ?
(-) : Les catégories d'adoptants sont les mêmes. Seul le processus du traitement des documents de demande dans l'ordonnance reste différent pour chacun de ces deux cas.
(+) : Quel genre de personne s’intéresse le plus à l’adoption des enfants malagasy ?
(-) : Nous avons souvent constaté que les personnes ne pouvant pas avoir d’enfant ou ayant des difficultés à en concevoir sont les plus intéressées.

Dossier réalisé par Kanto Rajaonarivony

Publié dans Société


Questionnement. Au lendemain de la déclaration des autorités quant à l’incontournable hausse du prix du carburant, l’incertitude s’installe. D’un commun accord, l’Etat et les opérateurs du secteur pétrolier reconnaissent qu’une révision des prix est à présent inévitable à cause de la situation mondiale qui prévaut. Notamment la crise entre la Russie et l’Ukraine qui, tôt ou tard, allait impacter sur la fluctuation du marché au niveau international. Et comme Madagascar est encore loin d’être autonome en matière d’énergie fossile, le pays qui se trouve encore dans l’obligation d’importer son carburant à hauteur de 100% ne peut alors échapper au bon vouloir du prix du pétrole d’outre-mer. « Le marché est dynamique. Il est compliqué d’avancer des chiffres avec précision pour ce qui est de la hausse qui s’appliquera prochainement. Tout dépend du dénouement des négociations entre l’Etat et les opérateurs pétroliers qui sont actuellement en cours » explique Olivier Jean-Baptiste, directeur général de l’Office malgache des hydrocarbures (OMH) joint au téléphone hier. Ses propos qui viennent appuyer les mêmes dires de ce responsable à l’occasion d’un point de presse qui s’est tenu à l’OMH la semaine dernière où il expliquait que si l’on se réfère aux prix du brut à l’international, le prix à la pompe changerait presque tous les mois. « Suivant le marché, selon le solde de lissage, les passifs et autres paramètres, l’écart entre la vérité des prix et ceux à la pompe peut changer du jour au lendemain, il y a eu des fois que cet écart s’affichait à 600 ariary, d’autres fois, cela a atteint les 900 ariary, parfois c’était négatif et parfois c’était parfaitement équilibré », a-t-il détaillé. Pour rappel, depuis 2017, les prix affichés dans les stations-service étaient en effet quasiment en- dessous du « prix de référence calculé » (PRC) issu de la structure des prix, prenant notamment en considération le cours du pétrole sur le marché international, celui de l’ariary mais aussi les marges et les taxes. Cette différence a ainsi creusé le passif envers les entreprises. Pour éviter de rembourser de sa caisse, l’Etat se sert de la différence entre les deux prix à son avantage pour payer ce passif. Lorsque le PRC est inférieur au prix affiché dans les stations-service, les marges obtenues par les compagnies pétrolières serviront ainsi à l’apurement du passif. Par ailleurs, les prix à la pompe n'ont pas varié depuis juin 2019 pour Madagascar. Mais pour les pays insulaires voisins, chaque premier jour du mois, les stations-service ajustent leurs tarifs aux décisions préfectorales de manière à afficher une réelle vérité des prix. D’ailleurs, si l'an dernier, le cours du pétrole s’est effondré à cause de la pandémie mondiale, le phénomène a permis aux autorités de lisser le déficit financier de l'OMH. Ainsi, si les consommateurs sont pour le moment épargnés, de leur côté, les finances des pétroliers locaux sont totalement dans le rouge du fait de l’énorme distorsion entre prix à la pompe fixé et hausse brutale du pétrole, le tout aggravé par les impayés de la JIRAMA, lesquels se chiffrent à des centaines de milliards d’ariary. Cette situation fait peser deux énormes risques sur l’économie nationale. Le premier est d’ordre financier et systémique comme une défaillance des distributeurs qui est possible et pourrait entrainer tout le secteur financier dans une spirale destructrice. Le second qui viendrait consécutivement, serait que les sociétés pétrolières n’auraient plus les moyens financiers auprès de leurs banques pour importer, ce qui pourrait entrainer tout le pays dans une crise sans précédent si les prix qui sortiront de la négociation restent au désavantage des pétroliers.
La rédaction

Publié dans Economie


Depuis hier après-midi,  la ville de Tuléar et d'autres localités situées dans le District de Toliara I-II ont été sous l’influence du système Jasmine ayant apporté des rafales de vent de 80 à 100 km/h. Des arbres et des poteaux ont commencé à tomber, sans parler des toits de maisons emportés par le vent. A l'heure où nous mettons sous presse, cette tempête tropicale a déjà atterri sur St Augustin/Toliara II, plus précisément vers 17 heures locales.  D'après la Direction générale de la météorologie (DGM)  sise à Ampandrianomby, à son entrée, elle a apporté un vent moyen estimé à 90 km/h, accompagné par des rafales de 100 à 130 km/h. Elle s’est déplacée vers l’Est-Sud-Est à une vitesse de 23 km/h. « Pendant son passage, elle va traverser le Sud du pays, d’Ouest en Est. Après s'être affaiblie graduellement au cours de cette nuit, elle va ressortir en mer sur Atsimo-Atsinanana dès aujourd'hui au stade de dépression résiduelle », ont indiqué les prévisionnistes. Et d'ajouter  que l’avis d’alerte rouge (danger imminent) a concerné hier soir Toliara I-II, Sakaraha et Betioky. Tandis que l'alerte jaune (menace) touche Morombe, Ankazoabo, Benenitra et Ampanihy. « Les habitants sont priés de rester à l’abri face au risque de cumuls pluviométriques abondants, surtout dans les Districts de Betioky, Benenitra, Ampanihy et Bekily. Les fortes rafales de vent se poursuivront encore dans les heures qui viennent. La mer sera forte voire très agitée. Les usagers maritimes des côtes ouest et sud sont priés de ne plus sortir en mer », ont averti Météo Madagascar.
En cette matinée, le temps restera assez chargé en couverture nuageuse avec quelques pluies résiduelles sur l'ensemble du grand Sud et Ihorombe. Ailleurs, on aura un ciel dégagé à partiellement nuageux. Le vent du sud commencera à prendre place en gagnant en force progressivement en fin de matinée. Et cet après-midi, les pluies résiduelles apportées par Jasmine s’abattront encore sur Atsimo-Atsinanana, Androy et Anosy. Quelques averses localement orageuses seraient attendues du côté d'Alaotra-Mangoro, Atsinanana et Sambirano. Le ciel sera progressivement nuageux sur les hautes terres centrales et l'ensemble des plateaux de l'ouest. On aura également du temps venteux un peu partout.
Recueillis par K.R.











Publié dans Société

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Editorial

  • Menace permanente
    Un amateur du cruciverbisme risque une fois de tomber sur un énoncé « menace permanente » un mot de dix cases : « INSECURITE ». On ne cesse point d’insister sur la nécessité primordiale et cruciale d’évoquer les problèmes récurrents liés à l’insécurité qui règne dans le pays qui est justement une menace permanente pour les hommes et leurs biens.

A bout portant

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