Après un silence radio pendant plusieurs mois, l'affrontement entre les parties adverses de l'église Jesosy Mamonjy refait surface. Et cette fois-ci, toutes les Régions sont en ébullition. Après l'église Tsarahonenana, les fermetures se sont suivies à Brickaville, Ambanja. Actuellement, la menace plane à Ambositra. Une décision qui n'est pas conforme aux doctrines de l'église, selon des fidèles. Hier, certains parmi ces derniers, issus de l'église Jesosy Mamonjy 67 Ha, appuyés par leurs pairs venant de Fianarantsoa, Mahajanga, Amoron'i Mania, Analanjirofo ont porté des banderoles devant le portail de l'église située à Ankorondrano.
La situation est plus que critique au niveau des sites de rétention d'eau de la compagnie nationale d'eau et d'électricité (JIRAMA). Avec la période sèche qui a commencé plus tôt que prévu cette année, une opération de pluie artificielle est en gestation afin de remplir les barrages des centrales hydrauliques. En effet, après une descente effectuée sur plusieurs barrages par le ministère de l'Energie et des Hydrocarbures, il a été révélé que l'eau vient cruellement à manquer.
Le campus universitaire fut et reste un champ miné au sein duquel se suivent et ne se ressemblent pas d’ultimatums et des chantages. Enseignants et étudiants, de véritables maîtres-chanteurs, se rivalisent dans les actes de perturbation et de déstabilisation. Des démonstrations de… farce qui finissent par lasser l’opinion et ternir l’image de l’université, le temple du savoir. Pour leur part, l’administration universitaire et le ministère de tutelle, le département de l’Enseignement supérieuret de la Recherche scientifique, brillent par leur silencesinon par leur incurie qui, à la longue, sème le trouble. De la complicité ou de la conspiration, du complot ou de l’impuissance voire de l’incompétence ! C’est selon ! En tout cas, rien ne va pas dans ce « monde » qui est celui du savoir et de la recherche. Le fond du problème tourne d’une question de sou.
Optimisme. A l’heure de la célébration de la journée internationale des coopératives qui s’est déroulée le week-end dernier à Miarinarivo, les représentants des petits producteurs agricoles de la région ainsi que de tous secteurs confondus ont montré un positivisme affiché à travers la cinquantaine de stands observés sur les lieux de festivités. L’évènement aura été l’occasion pour les professionnels du secteur agricole et de l’élevage, venant notamment des Régions de Bongolava, d’Analamanga, d’Analanjirofo, d’Anosy ou encore de Vakinankaratra d’échanger à travers des séances de B to B. Cependant, l’un des objectifs principaux de la tenue de cet évènement à Miarinarivo était de chercher des axes d’amélioration de la production, des financements et des recherches de marchés pour les coopératives de la Région d’Itasy qui se comptent à près de 400 jusqu’à présent.
La 30ème édition de l’incontournable « Manal’azy vita bacc », initié par le chanteur Olombelo Ricky, a encore réussi à drainer la foule ce week-end. Samedi soir, Vazimba Production et Original Events se sont donné comme mission d'enflammer le théâtre de verdure d’Antsahamanitra. D’ailleurs, Olombelo Ricky et son équipe n'ont pas fait les choses à moitié. Le chanteur a proposé un show convivial dont le seul mot d'ordre était de déstresser les jeunes qui ont passé les épreuves du baccalauréat. Normalement, comme les précédentes éditions, l’événement devait se dérouler jeudi dernier, juste après la dernière épreuve. Mais avec l’incident survenu mercredi soir, les organisateurs ont décidé de reporter le concert d’Olombelo Ricky samedi dernier. Un changement de programme qui n’a pas empêché le public de venir s’amuser en masse.
« Dans le respect de la valeur intellectuelle et dans ma conscience professionnelle, mon statut d’enseignante ne me laisse indifférente à la triche et aux fraudes. Je ne pourrais pas permettre de laisser tromper les candidats avec un sujet qui a circulé de partout et qui crée des inégalités de chances entre les candidats ».
Ainsi s’est exprimée la ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Pr Elia Béatrice Assoumacou, dans les sillages des vagues soulevées par la controverse liée à l’examen du baccalauréat qui a pris fin vendredi soir. Depuis sa nomination à la tête du ministère en 2020, jamais la sociologue de formation n’a été confrontée à une aussi vive problématique.
Imaginez ce pauvre adolescent qui fut projeté à une vingtaine de mètres du point d'impact, avant qu'il n'atterrisse brutalement plus loin, et au beau milieu de la chaussée. Idem pour son père, qui a failli passer par-delà la digue même ! Cela laisse penser à l'extrême brutalité des chocs. La portion de la route digue passant près de l'Akoor a été le théâtre d'un horrible accident de la circulation. Un 4x4 Toyota Hilux appartenant à un parlementaire a, lors d'un dépassement, percuté un vélo qui a roulé devant lui, et a manqué de pulvériser une moto, qui l'a également précédé. Ce drame a coûté la vie à un adolescent de 13 ans de cette bicyclette, et des graves blessures sur son père, qui est dans un état critique.