mercredi, 10 janvier 2024

La une du 11 janvier 2024

Publié dans La Une
mercredi, 10 janvier 2024

Et les gouverneurs ?

Qu’en est-il de ces « Vice-rois » ?
En ce nouveau départ pour un second mandat, quel sort est réservé à ces nababs ? Le Président de la République fraîchement investi le 19 janvier 2019 à Mahamasina, Rajoelina Andry Nirina, dans son discours inaugural, annonçait solennellement la mise en place des gouverneurs dans chaque Région, en lieu et place des chefs de Régions, et cela, devait-il déclarer tout haut, afin de booster le développement du pays à partir des Régions. Et pour ce faire, on va, ajoutait-il, leur allouer chacun un budget spécial et des engins. Cinq ans après, qu’en est-il exactement ? Pour être plus précis, quels résultats ?
Bilan, en tout cas mitigé ! Mi-figue, mi-raisin ! Un constat général qui s’impose. En réalité, le pays n’a pas trop « bougé ». Plutôt la stagnation l’emporte. Si certaines Régions, un nombre assez réduit, se démarquent par des actions concrètes, d’autres, la grande majorité, végètent, tournent autour du pot. Si certain(e)s gouverneurs, une minorité, se faisaient entendre par des rapports d’activités sporadiques mais palpables, plus que probants, d’autres, la majorité, se terrent dans un silence plus qu’éloquent. Pour se dédouaner, des gouverneurs déplorent le fait qu’ils n’ont pas pu faire grand-chose avec leurs engins faute de carburant sinon de réparations.
Dans la plupart des cas, ces « nababs » passent le clair de leur temps à se chamailler avec les représentants de l’Etat sur place. Traditionnelle bataille de clochers entre politiques et agents technico-administratifs. La guéguerre entre le gouverneur et le préfet de Région n’est plus un secret à tous. D’ailleurs, c’est un vieux contentieux entre chef de Région et préfet. En fait, il s’agit d’un problème de délimitation de plates-bandes, de compétences mal défini dès le départ. Le tout dans une ambiance de mégalomanie mal perçue ou de frustration mal gérée !
Compte tenu de cet état de faits mitigé sinon confus, le pays, les contribuables exactement, a légitimement le droit d’avoir des rapports précis, d’un bilan net sans complaisance sur la gestion des affaires de la Région ! Apparemment, en ce début du second mandat, le Chef de l’Etat est en train de faire table rase et cela afin de pouvoir repartir avec de nouvelles bases. Et pour en découdre, Rajoelina brandit tout haut le terme « assainissement ». Il n’y a plus de place pour les brebis galeuses. Tant mieux !
Pourquoi ne pas faire passer des tests aux futurs gouverneurs ? Sous d’autres cieux, les Gouverneurs prêtent serment devant la Justice avant d’entrer en fonction. Vu l’importance capitale que représente les charges et la mission vis-à-vis des intérêts supérieurs de la Nation, la nomination du gouverneur doit passer par des étapes susceptibles de détecter la vraie valeur morale et technique du prétendant. L’éthique axée surtout sur la probité et la compétence mérite de primer mieux  prioriser par rapport aux critères bassement politiques.
Le pays attend la mise sur les rails du nouveau Gouvernement. D’aucuns escomptent, avec un profond vœu, que ce soit un Gouvernement composé uniquement de concitoyens imbus de valeur morale donc répondant aux exigences de l’intégrité  et doué de compétences techniques propres aux besoins de la nation.
Qu’il en soit ainsi aux gouverneurs, choix dictés par le souci de loyauté, de fidélité et compétence.
Ndrianaivo

Publié dans Editorial

Les perceptions des personnes vis-à-vis des enfants handicapés divergent et peuvent dissuader la demande des services sociaux de base surtout pour les filles en situation de handicap. Les préjugés et croyances erronées au sujet du handicap sont très courants à Madagascar. Selon le rapport sur l’analyse de la situation des enfants handicapés à Madagascar paru en janvier 2023, dans de nombreuses communautés locales, les personnes handicapées continuent d’être perçues différemment. Dans la société malagasy, les enfants/adolescents (filles et garçons) handicapés continuent de faire face à des attitudes marginalisantes, ce qui crée un environnement où il est difficile pour eux de jouir d’un accès égal aux services au même titre que leurs camarades non handicapés. En effet, une moindre valeur est accordée à l’éducation de l’enfant handicapé en général. L’investissement dans l’adaptation de ces enfants handicapés est très souvent jugé inutile.
Les filles doublement handicapées
Le document indique aussi que cette situation est encore plus alarmante lorsqu’il s’agit des filles, car elles subissent les préjudices d’un double handicap : le handicap lui-même et le fait d’être une fille. Lors de l’enquête sur le terrain, il a été constaté que les enfants/adolescents non handicapés perçoivent leurs camarades handicapés différemment. De même, les enfants/adolescents handicapés ont des perceptions variées sur la façon dont les autres les perçoivent.
Ces différentes perceptions créent à leur tour une diversité de sentiments vis-à-vis des enfants et adolescents handicapés. Certains ressentent de la sympathie, de la peur, de l’admiration, ou encore de l’indifférence de la part de leurs pairs, ce qui souligne la complexité de la situation. Ce résumé met en lumière la nécessité de sensibiliser et d’éduquer pour favoriser une compréhension plus profonde et une acceptation des enfants et adolescents en situation de handicap au sein de la société malagasy.
Ainsi, il faut mettre en avant l'importance de sensibiliser les communautés locales aux besoins des enfants handicapés, en insistant sur le fait que l'éducation et la sensibilisation peuvent contribuer à changer les perceptions et à promouvoir l'inclusion. L’Etat doit prioriser la mise en place d’un système et un environnement dans lequel les enfants handicapés, en particulier les filles, ont un accès égal aux services de base, y compris à l'éducation, à la santé et à d'autres formes de soutien social.

Nikki Razaf

Publié dans Société


Il a été confirmé lors d'une enquête approfondie menée par la Direction des services vétérinaires (DSV) du ministère de l'Agriculture et de l'Elevage qu'une meute de chiens, assoiffés de sang, mord et malmène le bétail à Brickaville. Les autorités vont donc procéder à l'abattage massif de chiens errants à Brickaville à partir de ce jour. Une campagne de sensibilisation est en cours en amont afin que les propriétaires de chiens puissent mettre en sûreté leur animal de compagnie. Les chiens errants seront tués par poison puis enterrés dans une fosse commune.
C'est une affaire difficile pour les habitants. On pensait qu'il s'agit d'un animal inconnu qui vient attaquer un veau attaché la nuit. Une étude et des témoignages de personnes ayant vu un chien couvert de sang ont pu vérifier l’hypothèse de troupe de chiens errants.
Rappelons que depuis le mois d’octobre 2022 jusqu'à ce mois en cours, 40 bovins ont été retrouvés avec des morsures au visage, aux oreilles et à l'abdomen. La plupart d'eux sont morts suite aux morsures. La cible de la meute était particulièrement les veaux âgés de quatre mois à quatre ans et demi.
Selon toujours les explications du DSV, les attaques sont dues à l’accoutumance des chiens à la viande du zébu de l’abattoir de la ville. En effet, auparavant cet abattoir n’était pas clôturé et les canidés avaient libre accès pour se rassasier sur les carcasses et le sang des zébus abattus sur les lieux. Après la rénovation du bâtiment, les chiens ne pouvaient plus y accéder. Et ils se sont attaqués aux bovins restés attachés dans la forêt. Cela explique également l’attaque des veaux uniquement.
La tragique histoire d’une « bête » dévorante de bétail, qui en fait n’était que des chiens errants, s’est donc conclue sur la décanisation de la ville.
Nikki Razaf

Publié dans Société

 Le concours de la 8e édition du Prix Paritana se rénove. L’appel à candidatures pour le projet artistique a démarré  le 8 janvier et va se clôturer le 25 février 2024 prochain. Les artistes malagasy, ayant plus de 18 ans, qu’ils soient peintre, sculpteur, photographe, vidéaste… sont invités à remettre leur projet ou de s’inscrire sur le site https://forms.gle/PUSUN6im5tfuqPex6. Pour cette 8e édition, afin d’aider les artistes à "préparer le dossier de candidature et prendre en main le formulaire d'inscription, la Fondation H prévoit une séance de formation le 25 janvier pour tous ceux qui souhaitent participer à ce concours. Comme durant les éditions précédentes, trois artistes verront sélectionner leurs projets par un jury international. Ce projet artistique sera évalué sur la base de sa qualité artistique, son originalité, ses perspectives d’évolution et sa faisabilité. Il est important de mentionner que le Prix Paritana est un programme de la Fondation H. Depuis sa création en 2017, le Prix Paritana soutient la scène artistique malagasy (artistes de nationalité malagasy ou résidant à Madagascar) en organisant un prix d’art contemporain, remis chaque année à trois artistes. Son ambition est de mettre en lumière l’émulation créative de la scène contemporaine malagasy et de la soutenir. Comme à chaque édition, le lauréat du Prix Paritana 2024 se verra octroyer une résidence de trois mois à la Cité internationale des arts, un billet d’avion Air France aller-retour Antananarivo et Paris et une bourse pour permettre à l’artiste de démarrer son projet artistique. Des per-diem pour la durée de son séjour à Paris, suivis d’un accompagnement de l’équipe Fondation H Paris, lors de la présentation de la scène culturelle parisienne. Durant le séjour, il y aura des visites de musées, de galeries d’art, de bibliothèques et d’autres endroits culturels. D’autres lots attendent les lauréats du concours. Pour cette année, comme lors de la 7e édition, les lauréats exposeront leurs œuvres dans le nouvel espace du Fondation Ambatomena. Rappelons que c’est l’artiste Joëlle Ratovohery dit Ashiko Ratovo qui a été la sacrée lauréate lors de la précédente édition. Elle a remporté la première place grâce à son projet « Tsy manan-kialofana » ou « Sans-abri ». Le jury a également décerné deux autres prix, respectivement à Dina Nomena Andriarimanjaka pour son projet  à la recherche des « Betia », et Ophélia Arilala Ralamboson pour son projet d’installation.
Si.R

Publié dans Culture



Alors que l'affaire dite "riz avarié" focalise encore les regards à Mahajanga et dans tout le pays, voilà qu'une autre présentant une frappante similitude vient de s'ajouter à la première, la nuit du 9 janvier dernier à Toamasina. En effet, la Gendarmerie venait d'y procéder à la saisie de 30 tonnes de riz, marchandise prévue à être envoyée à Taolagnaro.
Or, en voyant de plus près, il s'avérait que 35 sacs sont bourrés de riz avarié. Lors d'un constat sur place, la cargaison dégageait une odeur très piquante et nauséabonde. Elle appartiendrait à un Indopakistanais, selon les informations.
Cette cargaison de riz avarié a été décelée à bord d'un bateau au port de Toamasina et qui était en partance vers Taolagnaro, la nuit du 9 janvier dernier.
Ce sont les responsables portuaires qui ont informé la Gendarmerie et leurs homologues de la douane sur cette situation.
Du coup, décision fut prise afin d'immobiliser sur place le navire en cause ainsi que le riz qu'il transportait avec, et ce, avant que l'enquête ne soit terminée, enfin pas avant que la note ordonnant sa destruction ne fusse émise.
La Gendarmerie est très ferme pour condamner et poursuivre ceux qui empoisonnent les Malagasy. Et que cette Force fait appel à la population pour qu'elle redouble de vigilance lors de l'achat de tout produit de première nécessité.
Parallèlement à cela, et pour revenir à la première affaire ayant défrayé la chronique à Mahajanga, un autre suspect, le septième du lot, venait d'être jeté en prison après enquête. Ce dernier a été poursuivi par l'association "Emergence de Madagascar" pour imposture.
A propos, ladite association, vers fin décembre 2023, donc à l'éclatement de l'affaire "riz avarié" première épisode, a fait circuler une note officielle adressée aux différents responsables concernés sur sa ferme volonté afin d'aider à la destruction du produit pourri à Mahajanga, la disposition par cette même organisation de moyens nécessaires à ce dessein, en est la preuve.
Franck R.

Publié dans Politique



Le tandem Rajoelina-Ntsay n’a pas de temps à perdre. Il entend se mettre au travail le plus rapidement possible. Le Premier ministre Christian Ntsay présentera la liste des ministres de son prochain Gouvernement, pour validation, au Président Andry Rajoelina ce jour, lequel annoncera les noms retenus au plus tard en fin de semaine.

Avant cela, et conformément aux exigences du Président Andry Rajoelina, les candidats aux postes de ministres seront soumis à une batterie d’épreuves et des tests. Ils seront évalués par un panel d’experts. Le but n’est pas de dénicher la perle rare. L’objectif est, d’une part, de professionnaliser le processus de recrutement et, d’autre part, de rappeler qu’au-delà de leur mission administrative, les ministres jouent un rôle politique, non pas au sens de politique politicienne mais au sens de protagonistes proactifs dans la mise en œuvre de la politique générale de l’Etat.

L’approche du Chef de l’Etat n’est pas seulement dynamique, elle est également innovante. La loyauté à toutes épreuves et un parcours académique brillant ne suffisent plus pour être ministre. Le Président Andry Rajoelina place la barre très haut en recherchant des profils exemplaires. Il veut à juste titre s’entourer d’individus dynamiques, dotés d’une forte personnalité, pétris de patriotisme, aptes au leadership et désireux de servir le peuple. Il entend mettre en place une culture orientée vers le résultat qui est parfaitement compatible avec les principes du service public. En d’autres termes, le Chef de l’Etat attend des futurs ministres qu’ils soient capables d’atteindre les objectifs quantitatifs à court terme en faveur de l’intérêt général.

La rigueur accrue dans le recrutement des ministres (et plus tard des secrétaires d’Etat, des secrétaires généraux et des directeurs généraux) ainsi que les efforts en faveur de la digitalisation des services publics soulignent la volonté ferme du Chef d’Etat de poursuivre la modernisation de l’administration. Ces mesures, qui participent à la bonne gouvernance, démontrent que le Président Andry Rajoelina est un progressiste.


Publié dans Politique

Le « Le mûrier », sis à Talata Andraikiba, dans la capitale du Vakinankaratra, est une entreprise individuelle travaillant dans l’exploitation du ver à soie en général, comme le ver à soie d’élevage et le ver à soie sauvage.
Cette petite entreprise personnelle a été fondée par son directeur-propriétaire Hilaire Ranoasy en 1998 et est toujours en pleine exploitation actuellement.
A souligner que le « Le mûrier », depuis son existence, travaille avec les paysans de la capitale du Vakinankaratra, surtout avec ceux qui se sont spécialisés dans la filière de l’élevage du ver à soie domestique dans les campagnes environnantes. C’est dire que « Ce secteur est également générateur d’emplois, source de revenus pour ces intéressés qui comptent plus d’une cinquantaine aujourd’hui », dixit Hilaire Ranoasy.
Toujours, d’après ce dernier, ce sont les responsables au sein du « Le mûrier » eux-mêmes qui fournissent à ces éleveurs les œufs ou graines du ver à soie à traiter ou à élever. L’éclosion se fait en un mois et dix jours et ce, jusqu’à ce qu’ils deviennent des cocons. Ainsi, toutes les transformations nécessaires de ces cocons se font sur place au centre du « Le mûrier » à Talata Andraikiba. C’est-à-dire, filature, teinture et tissage …
A souligner que différents produits réalisés par « Le mûrier » sont vendus sur place ou sur commande. Tels, entre autres, écharpes, lambamena ou linceuls.
Ver à soie sauvage
Il vit et se propage dans les milieux naturels où pousse généralement une forêt de « tapia » (genre d’arbres fruitiers sauvages). On les trouve surtout dans le District d’Antsirabe II, à Analatapia au sud, sur la RN7, et à Ranohira, dans la région de Toliara.
Selon les dires de Hilaire Ranoasy, « la transformation et le traitement du ver à soie sauvage se traite manuellement comme celle du ver à soie d’élevage d’ailleurs ».
Et Hilaire Ranoasy de poursuivre que « la filière du ver à soie ou sériciculture rencontre actuellement des difficultés, notamment par l’absence des touristes nationaux et étrangers surtout, et ce, depuis 2019, période à laquelle le Covid-19 a sévi à Madagascar. Toutefois, même à actuellement, cette difficulté persiste encore, alors que ce secteur du ver à soie est aussi pourvoyeur de devises pour la Grande île.
D’autre part, déplore Hilaire Ranoasy, « Il existe aussi la maladie du ver à soie durant l’élevage, et pour cause l’utilisation de pesticides par le service du ministère de l’Agriculture s’occupant des maraîchages et des cultures vivrières.
A cet effet, les paysans éleveurs de ver à soie rencontrent des difficultés face à l’impact négatif de ces produits chimiques devenus de vrais poisons sur ces petites bestioles ‘‘génératrices d’emplois’’ et à la longue, souligne Hilaire Ranoasy, risque leur disparition totale.
Ainsi, un SOS est lancé à l’endroit du ministère de l’Agriculture et de l’Elevage afin que des mesures appropriées soient prises.
Jeannot Ratsimbazafy
 

Publié dans Economie

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Editorial

  • De la honte et du gâchis
    La messe est dite ! Tel un couperet, le verdict irrévocable et définitif est tombé. Les autorités suprêmes du football africain, la CAF, confirment la sentence : le Stade Barea n’est pas homologué. Le vin est tiré, il faut le boire ! Les Barea joueront ailleurs. La Fédération malagasy du football (FMF) doit choisir et soumettre incessamment aux instances continentales les stades où l’équipe nationale jouera ses prochains matchs.De la honte ! Du coup, le sentiment de souveraineté et de fierté autour du grand Stade Barea s’écroule comme un château de sable. Quelle a été la fierté de tous les Malagasy notamment les amoureux du ballon rond quand le pays s’est offert de ce « bijoux » sinon de ce « trésor ». Les épris du sport-roi de l’océan Indien à même du continent africain enviaient certainement le privilège des malagasy. Nos amis les Comoriens, les Seychellois, les Mauriciens et…

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