La Chambre basse recevait hier une série de ministres pour une séance d’interpellation annoncée depuis plusieurs jours comme un moment fort de confrontation politique. Sur le papier, tout laissait croire à un débat mouvementé, avec les premiers face-à-face entre les députés et des membres du Gouvernement fraîchement nommés, des sujets sensibles et l’attention du public. Mais la réalité s’est révélée bien plus paisible que prévu.