SADC : Un grand bravo aux Forces de sécurité. Le ministre de la Sécurité publique, l'inspecteur général de la Police Herilala Rakotoarimanana, a exprimé sa reconnaissance envers les policiers qui ont travaillé avec dévouement lors du sommet de la SADC, tenu le 20 août 2025 au stade Maki d'Andohatapenaka. Lors de cette rencontre directe avec les responsables, il a mis en avant le professionnalisme et l'engagement des forces de police, permettant ainsi le bon déroulement de l'événement dans des conditions optimales. Il a également souligné l'énorme travail accompli par la Police nationale pour garantir la sécurité des délégations étrangères, organiser la circulation et surveiller des sites stratégiques. Grâce à sa solidarité et son sens des responsabilités, la Police nationale a réussi à faire face aux nombreux défis posés par cet événement international de manière sécurisée et efficace. Le ministre a aussi particulièrement loué la direction du Président Andry Rajoelina dans la gestion de ces activités et son rôle à la présidence de la SADC, ce qui est une source de fierté pour tous les Malgaches.
Coopération Madagascar-Japon. Transformer le paysage socio-économique de Madagascar. A l'occasion du TICAD-9, un échange fructueux a eu lieu entre le Premier ministre malgache, Ntsay Christian, et M. Tanaka Akihiko, président de l'Agence Japonaise de Coopération Internationale (JICA) hier. Cette rencontre a mis en lumière des projets stratégiques visant à renforcer la coopération entre Madagascar et le Japon. Parmi les thématiques discutées, l'extension du port de Toamasina a pris une place centrale, soulignant son rôle crucial dans le développement économique, la facilitation des échanges commerciaux, et l'essor du secteur industriel à Madagascar. Les discussions ont également abordé la nécessité de collaborer dans le domaine des énergies renouvelables, ainsi que d'améliorer les pratiques agricoles dans le pays. Un accent particulier a été mis sur le soutien à la formation professionnelle et l'entrepreneuriat, en particulier en faveur des jeunes et des femmes, afin de stimuler davantage la dynamique économique malgache.
Le téléphérique créateur d’emploi pour les jeunes malgaches. Environ cent nouveaux employés viendront s’ajouter aux quatre-vingt-six déjà en poste sur le téléphérique de la ville. Annoncée par le secrétariat d'Etat chargé des Nouvelles villes et de l'Habitat, cette initiative vise à renforcer les équipes en place pour assurer le bon fonctionnement de ce moyen de transport innovant. Les nouvelles recrues, qui bénéficieront d'une formation rigoureuse auprès des experts de Poma, auront des rôles clés, notamment celui de « conducteur », responsable de la surveillance des opérations, et de « technicien de maintenance », qui se chargera des moteurs et de l'électronique. Les candidats sélectionnés passeront au minimum trois semaines de formation, tandis que les techniciens de maintenance suivront des cours d’une durée de deux mois. Cette initiative ne se limite pas seulement à former des professionnels qualifiés ; elle promeut également un transport écologique et efficace, répondant aux besoins grandissants de la population. Le secrétaire d’État a souligné que ce projet représente une opportunité précieuse pour la jeunesse malgache, en leur offrant des perspectives d'emploi et en garantissant une exploitation sécurisée de cette infrastructure. Ainsi, le téléphérique d'Antananarivo ne se contente pas de relier les points de la ville, il tisse également un lien entre la formation et l'économie locale, tout en veillant à la sécurité des usagers.
SakaITany, fierté malgache au sommet de la robotique africaine. Dans un geste qui souligne l'engagement du Gouvernement envers le développement des talents locaux, la ministre du Développement numérique, des Postes et des Télécommunications, Stéphanie Delmotte, a honoré l'équipe SakaITany d'une récompense de 23 millions d’ariary, hier. Cette somme est destinée à célébrer le remarquable parcours de l'équipe, composée exclusivement de quatre étudiantes du Laboratoire d’Intelligence artificielle de Madagascar, qui a su se hisser à la troisième place de la catégorie Engineers League lors de la Pan-African Robotics Competition 2025, tenue en juillet dernier au Sénégal. Ce succès extraordinaire met en lumière l'émergence des femmes malgaches dans les domaines pointus de la robotique et de l'intelligence artificielle, témoignant ainsi du potentiel impressionnant de la jeunesse du pays face aux défis technologiques de demain. Le ministère souligne que cette réussite n'est pas seulement le reflet d'un talent individuel, mais aussi d'une dynamique collective qui ouvre la voie à une meilleure représentation des femmes dans les secteurs technologiques en plein essor.
Le 20ᵉ grand synode de la FJKM, qui s’est tenu à Taolagnaro, a livré son verdict. Le pasteur Zaka Hary Masy Andriamampianina, a été élu sixième président de la FJKM lors de la journée de clôture, hier. Une élection qui est tout sauf une surprise pour quiconque suit la vie publique malgache.
Vice-président du bureau sortant, le pasteur de la FJKM Tanjombato Maritiora était l’un des candidats les plus en vue. Bien avant même l’ouverture du synode, son nom était sur toutes les lèvres. Son score net dès le premier tour lors de son élection en tant que membre des Mpiandraikitra foibe avant-hier en faisait le favori ultime.
Faut-il en effet noter que, traditionnellement, celui qui est le mieux élu de ce scrutin est celui qui se fait aussi élire par la suite président de la FJKM. Hier il a ainsi été élu en conclave, par les Mpiandraikitra foibe (dirigeants centraux), puis en séance plénière devant l’ensemble des synodistes.
Son parcours et son rôle au sein de l’église lui conféraient une légitimité reconnue par ses pairs. Il n’est pas exclu que d’autres considérations notamment politiques aient pu peser dans le choix. Le nouveau numéro Un de la FJKM reste dans les mémoires pour un sermon prononcé au Coliseum d’Antsonjombe il y a quelques années. Un message centré sur la foi, mais dont certains passages paraissaient comme une critique du pouvoir en place, divisant alors une partie des fidèles.
Spirituel
Plusieurs attentes pèsent déjà sur ses épaules. Des missions qui sont énormes. Le principal défi du nouveau président sera de renforcer l’unité de l’église tout en poursuivant sa mission spirituelle. Redonner confiance aux fidèles, nombreux à dénoncer certaines pratiques au sein de l’institution, est aussi un travail qui attend le nouveau numéro Un de la FJKM. Beaucoup de fidèles estiment avoir été réduits au rôle de vache à lait au profit du bureau central, voire de leurs propres paroisses.
L’argent aurait pris une place trop importante dans la vie de l’église. C’est la raison de la véritable hémorragie qui frappe cette église. Pour cette raison, nombre de fidèles se sont tournés vers les églises dites zandriny, souvent issues de la FJKM elle-même. Il est également attendu du numéro Un de la FJKM de recadrer ses pasteurs.
Beaucoup trop de pasteurs doivent se recentrer sur leur mission première qui est l’éducation spirituelle des fidèles. Trop souvent, les sermons dérivent vers des critiques dirigées contre les églises zandriny ou vers des considérations politiques au détriment de l’enseignement biblique et du renforcement de la foi.
Un autre défi concerne la gestion des pasteurs. Le système d’affectation a été source de tensions et de polémiques ces dernières années. Une transparence plus renforcée est attendue par les fidèles. Enfin, la FJKM est attendue sur le terrain moral et éthique. Avec son poids spirituel et son influence à travers le FFKM, elle devrait jouer un rôle central dans l’éducation des citoyens à l’intégrité et à la lutte contre la corruption.
Or, la tiédeur, voire la complaisance, de certains leaders religieux a contribué à banaliser les mauvaises pratiques. La corruption s’est ainsi enracinée dans la société malgache, au point de devenir une norme. Il est donc urgent que le FFKM, et la FJKM en particulier, se recentrent sur l’essentiel : guider les fidèles sur le chemin de la droiture, de la justice et de la vérité.
La Rédaction
Soutenir les femmes à devenir des actrices et des leaders du développement et de la prise de décision. La Journée du genre ou “Gender day” s'est tenue au Radisson Blu Ambodivona, hier et c'est une initiative de Gender Links. Cette année revêt une importance particulière pour les droits de la femme. Elle marque le 30e anniversaire de la 4e Conférence mondiale sur les femmes de Beijing, une feuille de route mondiale pour l'égalité des genres. Mais également une année charnière, à cinq ans de l'échéance pour la réalisation des Objectifs de Développement durable (ODD).
Aussi, des crises multiples comme l’escalade des conflits, montée du nationalisme, rétrécissement de l'espace démocratique, crises économiques et climatiques qui mettent en péril les progrès pour les droits des femmes. Cependant, ces crises offrent aussi des opportunités pour le plaidoyer et la mobilisation.
Dans son discours, la ministre de la Population et des Solidarités, Aurélie Razafinjato, a souligné que les femmes malagasy ne sont pas de simples spectatrices mais participent activement dans la prise de décision. « Les femmes malagasy s'affichent au premier plan de cette action, à travers l'épouse du Président de la République, Mialy Rajoelina. Pourtant, elles devraient bénéficier de l'égalité des droits, d'une autonomie afin de pouvoir participer à la prise de décision et jouer un rôle important dans la société », a-t-elle affirmé.
Poursuivre les efforts de plaidoyer
En cohérence avec le thème du Forum de la société civile « Revitaliser la SADC que nous voulons », Gender Links a profité de la tenue du Sommet des Chefs d’Etat pour relancer et dynamiser l'Alliance du Protocole Genre de la SADC, en renforçant le plaidoyer régional et favorisant les synergies de mobilisation des mouvements. Cette année, le thème retenu s’intitule : « Redynamiser la SADC que nous voulons ».
Le Baromètre SDSR 2024 révèle que malgré des progrès dans la région, de nombreux pays sont encore loin d'atteindre les objectifs du Protocole de la SADC sur le genre et des ODD. Les avancées demeurent inégales entre les pays. Le Baromètre souligne l’importance de poursuivre les efforts de plaidoyer menés par l’Alliance du Protocole Genre, notamment sur la santé sexuelle et reproductive des adolescents, les grossesses précoces et le mariage des enfants. Ces constats démontrent la nécessité pour le mouvement des femmes dans la SADC de redoubler d’efforts pour préserver les acquis durement obtenus en matière de droits et faire face aux forces régressives qui menacent les droits fondamentaux des femmes. Cet atelier est une continuité du Sommet des Chefs d’Etat et de Gouvernement de la Communauté de Développement de l’Afrique australe.
Anatra R.
Pendant deux nuits consécutives, le campus de Barikadimy a été le théâtre d'émeutes en relation avec le problème de délestage. Lundi dernier était le plus sanglant car s'est soldé par des graves blessures d'une passagère de taxi-brousse caillassé par les étudiants en grève, mais aussi les dégradations de biens d'autrui.
Mais mardi soir dernier, les étudiants grévistes ont cherché à rééditer l'émeute de la veille. Beaucoup d’entre eux étaient équipés de flèches ou frondes. Une deuxième coupure du courant survenue vers 19h dans le campus, les a alors poussés à converger vers l'accès principal à l'endroit. Les manifestants ont alors brûlé des pneus usagés tout en lançant des parpaings sur les voitures empruntant le secteur.
Les Forces anti-émeutes sont intervenues, lançant des bombes lacrymogènes pour repousser les grévistes vers l'enceinte du campus. Mais surtout, et à la différence du sanglant lundi soir dernier, elles ont procédé à l'arrestation de 6 étudiants qui ont participé à l'émeute, mardi soir.
Pour revenir sur les évènements d'avant-hier soir, des coupures du courant occasionnées par des travaux de réparation de la JIRAMA, après que les pluies diluviennes et les bourrasques causèrent des dégâts sur ses installations électriques, ont provoqué la colère des étudiants de Barikadimy.
Ils l'ont exprimé par des jets de projectiles sur des véhicules et autres Tuc-tuc passant à proximité. L'on signale des bris de verre sur plusieurs voitures. C'était dans ces circonstances que la mère de famille, passagère de ce taxi-brousse en partance vers la Capitale, a reçu un projectile lancé à toute volée par un émeutier, et nécessitant l'hospitalisation de la victime.
Face à cette tournure, le gouverneur de la région Est était sorti de ses gonds, dénonçant le comportement de malfaiteurs de ces étudiants tout en promettant des mesures draconiennes à leur encontre.
Franck R./Kamy.
Le projet d’autoroute reliant Antananarivo à Toamasina vient de recevoir un nouveau souffle avec le soutien de la Banque arabe pour le développement économique en Afrique (BADEA). L’institution a confirmé un financement de 80 millions de dollars, accompagné d’une subvention destinée aux frais administratifs. Cette annonce intervient alors que son président effectue sa première visite officielle sur la Grande île. L’enjeu est colossal : cette route de 260 kilomètres devrait réduire de 110 km le trajet actuel et diviser par quatre le temps de parcours, ramené à environ deux heures et demie contre près d’une dizaine d’heures aujourd’hui. « C’est une révolution pour les transporteurs, mais aussi pour les familles qui veulent voyager plus vite et en sécurité », commente un chauffeur routier rencontré dans la Capitale. Pourtant, avec un coût global estimé à près de 924 millions de dollars, le financement de la BADEA ne couvre qu’une petite part de l’investissement. Reste à savoir si les autres bailleurs suivront le pas pour que ce rêve d’autoroute ne reste pas coincé sur la ligne de départ.
Vital
Mais au-delà de ce chantier phare, la BADEA élargit son action sur d’autres infrastructures stratégiques du pays. Réhabilitation de routes nationales, construction du pont de Mangoky, réalisation des échangeurs d’Anosizato et d’Andohatapenaka : autant de projets qui traduisent une volonté de renforcer les axes vitaux du réseau routier malgache. Sur le terrain, les avis se croisent. Un habitant de Brickaville confie : « On espère que les bénéfices arriveront aussi jusqu’aux petits commerçants et pas seulement aux grands transporteurs ». Des organisations de la société civile, elles, mettent en garde contre les impacts environnementaux et la gestion des indemnisations. Malgré ces zones d’ombre, l’optimisme reste de mise : les travaux de la première phase affichent déjà un taux d’avancement encourageant et le lancement de la seconde est attendu dans les prochains mois. Pour beaucoup, cette autoroute n’est pas seulement une route, mais un symbole d’ouverture vers un avenir économique plus dynamique.
Après une décennie d’interruption, le fameux festival « Rebeke » revient en force dans la Région d'Androy, précisément à Tsihombe, du 28 au 30 août. Cette 9ème édition revêt une dimension particulière et ce, en plaçant au cœur de son programme la préservation des tortues, ces espèces endémiques de Madagascar aujourd'hui gravement menacées, tout en célébrant la culture et l'engagement environnemental. L’organisation, portée par ‘‘Voronkodohodo’’ sous la direction du Dr Tsimihole Tovondrafale et en collaboration avec la Turtle Survival Alliance (TSA), confère au festival une identité singulière. « Rebeke » dépasse le simple cadre festif pour devenir un espace de convergence entre tradition, art et réflexion écologique. En amont de l’événement, les organisateurs ont sillonné les villages de l’Androy afin d’identifier les talents locaux, notamment les artistes et chanteurs traditionnels ‘‘Beko’’, assurant ainsi une programmation profondément enracinée dans le patrimoine culturel régional. Pour les Antandroy, la tortue représente bien plus qu’un simple animal. Elle est un symbole sacré, un témoin ancestral de leur lien étroit avec la nature. « Dans notre culture, il est interdit de consommer ou de malmener ces animaux. Elles incarnent notre respect pour l’environnement et notre spiritualité », explique Tsimihole Tovondrafale. Ce lien profond avec la nature imprègne toute l’essence du festival où les traditions locales sont mises en avant pour promouvoir une coexistence harmonieuse entre l’homme et son environnement. Parmi les artistes attendus, le groupe Olombelo Ricky, véritable emblème de la musique ‘‘Beko’’, illustre cette volonté d’exalter l’identité locale tout en sensibilisant le public à la protection environnementale. Le spectacle ne se limite pas à une expérience musicale festive ; il se veut également un appel mobilisateur à la jeunesse et la communauté pour préserver leur héritage naturel et culturel. A travers une fusion entre rythmes traditionnels et messages porteurs de sens, ils cherchent à renforcer les liens au sein de la communauté Antandroy. « Rebeke » est bien plus qu’un simple événement culturel. C’est une célébration de la vie, un hommage à la culture et un plaidoyer en faveur de la nature, s’inscrivant comme un rappel que protéger la biodiversité revient aussi à transmettre des valeurs ancestrales. Face à l’aggravation des menaces pesant sur les tortues, ce festival s’impose comme un geste de résistance et un manifeste affirmant qu’à Madagascar, sauvegarder la nature revient à préserver l’âme même de son peuple.
Si.R
Le Championnat d’Afrique des Nations 2024 s’apprête à offrir un quart de finale incandescent entre les Barea de Madagascar et les Harambee Stars du Kenya. D’un côté, une équipe malagasy en pleine ascension, portée par l’élan de la Pro League. De l’autre, un pays hôte invaincu, galvanisé par son public et bien décidé à écrire son propre histoire.
Première participation à une phase finale du CHAN, et déjà une impression de solidité. Les Harambee Stars ont terminé en tête du groupe A avec 10 points, sans concéder la moindre défaite. Leur force : une défense de fer, un collectif discipliné et une ferveur populaire qui transforme chaque match en communion nationale.
Les points forts des kényans sont d’avoir une défense hermétique avec un seul but encaissé en 4 matchs. Une régularité tactique, des victoires contre la Zambie, le Maroc et la RDC.
Par contre, le manque d’expérience en CHAN, aucune référence dans la compétition restent présents pour le Kenya. La pression sur le statut de pays hôte avec une attente immense qui peut devenir un fardeau. Faible rendement offensif seulement 4 buts marqués, malgré la domination.
D’un côté, deuxième du groupe B, Madagascar a séduit par son jeu rapide, sa créativité et capacité à se réinventer tactiquement. Portés par les meilleurs joueurs de la Pro League, les Barea affichent une ambition renouvelée, nourrie par leur épopée de 2022 en Algérie.
Les points forts pour les Barea sont leur dynamique tactique en progression constante. Une solidarité exemplaire au sein du groupe. Les hommes de Rôrô ont un style de jeu vif et percutant, capable de surprendre les défenses adverses.
Toutefois, les difficultés initiales d’adaptation aux infrastructures et à la pression; le manque de réalisme offensif face à des occasions non concrétisées restent encore à améliorer.
Pour Madagascar, il faudra casser le bloc défensif kenyan par des combinaisons rapides, garder la tête froide face à l’ambiance du stade, et capitaliser sur les coups de pied arrêtés. Côté Kenya, la mission est claire. Maintenir la rigueur défensive, exploiter l’énergie du public et améliorer la finition.
Ce quart de finale ne sera pas qu’un affrontement sportif. Il incarne le choc entre deux modèles en pleine affirmation. Celui d’un Kenya en quête de légitimité continentale, et celui d’un Madagascar qui rêve de confirmer son statut de révélation du CHAN.
Elias Fanomezantsoa
Programme des quarts de finale CHAN 2024 (heures GMT)
Vendredi 22 août 2025
14h : Kenya – Madagascar
17h : Tanzanie – Maroc
Samedi 23 août 2025
14h : Ouganda – Sénégal
17h : Soudan – Algérie