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Après les enquêtes policières, les personnes impliquées dans le kidnapping d’un petit garçon âgé à peine d’un an à Sambaina Manjakandriana, ont été déférées au Parquet, hier. Leurs auditions se sont prolongées jusqu’en début de soirée. Au terme de cette série d’interrogatoires, le verdict tombe : l’homme est placé sous mandat de dépôt à Tsiafahy, tandis que les deux femmes sont envoyées à Antanimora.

Un bref rappel des faits s’imposent. Trois jours à peine après que le bébé fut enlevé, les fins limiers de la Brigade criminelle (BC4) ont interpellé les principaux suspects car pointés du doigt comme ses présumés ravisseurs. Ces derniers sont constitués d’un couple domicilié dans le Fokontany d’Ambatomitokana. De toute façon, ce sont ces époux qui ont informé les parents du nourrisson pour les informer de l’avoir séquestré. Et pour que le bébé soit libéré, les adultes devront payer 8 millions d’ariary de rançon.

Le kidnapping remonte le 17 mars dernier où une jeune domestique, également en cause, a emmené le bébé dans sa fuite avant qu’elle ne l’ait remis entre les mains de ce funeste couple.  D’après une information de la Police, la jeune nounou serait la maîtresse de ce chef de famille. Deux jours après la cavalcade de la servante indélicate, celle-ci a fini par se rendre de son propre chef auprès du poste avancé de la Gendarmerie à Carion. Et pas les mains vides. Elle a emmené le bébé avec elle. Le même jour, la Police a arrêté le couple d’Ambatomitokana. Au cours de l’audition des trois suspects, ces derniers ont reconnu d’avoir planifié ce kidnapping.

En bref, il faut dire aussi que le papa du petit garçon avait quand même cédé à la pression de ces bandits. Selon toujours la Police, il aurait déjà une infime partie de la totalité de la somme réclamée, soit 2,2 millions ariary. De toute façon, lors d’une conversation téléphonique, le concerné a avoué s’être plié aux exigences des ravisseurs. « Oui, nous avons payé une rançon, mais pas en totalité »,  a-t-il expliqué jeudi dernier. Malgré cela, cette situation suffira-t-elle à expliquer le geste de la jeune domestique, qui est originaire d’Ambositra, à changer d’attitude, pour finalement se rendre de son propre gré à la Gendarmerie. Les supputations vont bon train comme quoi le couple ne lui aurait pas donné sa part de rançon au point qu’elle soit poussée à dénoncer ses complices.

Franck R.




Situation exceptionnelle, mesures exceptionnelles. Dimanche dernier, le Président de la République a annoncé la suspension pour quinze jours des liaisons internationales en partance mais aussi à destination de Nosy Be, et ce à partir de samedi prochain. Ces décisions ont été prises afin de prévenir de la propagation de la pandémie de coronavirus dans le pays. Toutefois, ces mesures prennent quand même certains voyageurs au dépourvu. Face à cette situation, la filiale domestique d’Air Madagascar en collaboration avec Ethiopian Airlines ont mis en place des vols spéciaux. « Deux vols ont alors été programmés par Tsaradia dont un pour jeudi prochain et un autre pour samedi. Ces vols permettront à toute personne souhaitant quitter Madagascar avant la suspension les liaisons aériennes internationales de rejoindre Nosy Be. A cet effet, chaque passager devra présenter un billet sur un des vols d’Ethiopian Airlines et le résultat d’un test PCR négatif pour pouvoir accéder à ces vols », a expliqué Andriamamonjy Rafanomezantsoa, directeur général de Tsaradia, lors d’une intervention sur la chaîne nationale, hier. En parallèle, des taxis-brousse spéciaux sont également prévus pour ceux qui ne peuvent pas prendre les vols de la compagnie nationale Tsaradia.
Pour tous ceux qui souhaitent quitter Antananarivo pour rejoindre Nosy Be, ou quitter Nosy Be pour rejoindre Antananarivo, Tsaradia a déjà organisé deux vols exceptionnels hier, sachant que les vols intérieurs vers et/ou provenance de Nosy-Be et de Mahajanga sont suspendus à partir d’aujourd’hui.
Concernant les arrivées internationales, comme au départ, chaque passager devra présenter un test PCR négatif. « Et à leur arrivée à Nosy Be, ils doivent refaire un test PCR et resteront dans cette île pour une durée de 48 heures en attendant les résultats. Les personnes testées négatives pourront ensuite prendre un vol de Tsaradia pour rejoindre la Capitale. Les voyageurs testés positifs, quant à eux, seront directement pris en charge par le ministère de la Santé publique et seront placés en quarantaine durant 14 jours », note le DG de Tsaradia. Et comme à l’aller, « les passagers qui viennent de l’étranger peuvent prendre contact avec les autorités locales afin de bénéficier d’une autorisation de rentrer chez eux en taxi-brousse s’ils sont testés négatifs au PCR et s’ils justifient de leur voyage international », rajoute Jeannot Reribake, directeur général de l’Agence des transports terrestres.
Dans tous les cas, Tsaradia prendra toutes les mesures nécessaires pour minimiser les risques de propagation du virus. A cet effet, tous les appareils seront désinfectés après chaque vol.
Rova Randria

Vu l’enjeu du match contre les Waliya, l’Etat malagasy mobilise les gros moyens en faveur de l’équipe nationale, les Barea de Madagascar. Un jet privé loué par le Gouvernement malagasy transportera les joueurs expatriés malagasy évoluant en Europe à partir de France vers l’Ethiopie. Un autre avion spécial de Seychelles Airways quittera le tarmac de l’aéroport d’Ivato, ce dimanche à minuit, pour amener la délégation malagasy composée de la staff, des joueurs locaux, du ministère et de la fédération pour rallier directement la ville de Bahir à 400km d’Addis Abeba en vue de la 5eme  journée des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2021.  

Le kidnapping, puisqu’il s’en est agi ainsi, d’un nourrisson d’à peine un an à Sambaina Manjakandriana, connaît un recent rebondissement. Bientôt, trois suspects seront déférés au Parquet, et ce, à la suite de leur arrestation par la Brigade criminelle (BC). La jeune domestique de 20 ans de la famille du bébé, figure dans la liste des individus potentiellement impliqués dans cette affaire. Car il faut dire que c’est la jeune femme qui l’avait emmené avec elle, avec un objectif diabolique dans la tête. Notons au passage que le 19 mars dernier était l’anniversaire du bébé, qui a donc désormais un an. Du coup, la BC, bien que l’affaire soit déjà entre les mains de la Brigade de gendarmerie de Manjakandriana, a été saisi d’office. Et pour cause, la victime est encore mineure.

 

Une mobilisation pas comme les autres. Pour l’édition de mars 2021, le « Tagnamaro » initié par le ministère de la Communication et de la Culture (MCC) s’est démarqué par le lancement du programme « Kolo Voary ». Ce dernier consiste à promouvoir et à adopter des petits gestes écologiques au quotidien, à commencer auprès des employés dudit département ministériel.

Un outil primordial. Les patients du Covid-19 présentant le syndrôme de détresse respiratoire aiguë nécessitent un scanner thoracique afin d’évaluer le dégré de la destruction de leurs poumons. Afin de renforcer la lutte contre cette pandémie, le Président de la République, Andry Rajoelina, a informé, samedi dernier, durant sa déclaration à la Nation, que le scanner pour les personnes atteintes du coronavirus sera gratuit.

 

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Remise au pas incontournable !

Clap de fin à la négligence, à l'indiscipline, à l'insouciance, l'anarchie, etc. ! Il faut qu'on se réveille. La pandémie de Covid-19 refait surface. Elle revient au galop, en puissance. Les bilans de ces derniers jours sont sans appel. Le nombre des nouveaux, au chiffre de 114, ce week-end passé, accuse une montée ahurissante, celui des cas graves de même et le nombre des décès croissent froidement.

 

Avancée technologique. Le câble METISS est enfin opérationnel, et ce depuis le 05 mars dernier. La Grande île bénéficie d’une troisième sortie internationale au niveau de Taolagnaro, à l’extrême sud-est du pays. Cette nouvelle infrastructure contribuera grandement à l’amélioration des services de télécommunications disponibles dans la région mais plus particulièrement dans la Grande île. Il offrira en effet des débits 24 fois plus supérieurs en comparaison avec ceux des câbles déjà existants dans la zone indianocéanique. Madagascar, par le biais de TELMA, est ainsi le plus gros investisseur du projet METISS, porté et financé par un consortium de six acteurs de l’océan Indien dont EMTEL, CEB FIBERNET, SFR, CANAL+ TELECOM et ZEOP, sans oublier TELMA.

 

Une grande première. Le Président de la République, Andry Rajoelina a mis à nu les malversations des exportateurs d’or durant son intervention sur la chaîne de télévision nationale. Sur vingt-deux opérateurs ayant reçu l’autorisation, onze ont exporté de l’or au titre de l’année 2020. La majorité d’entre eux n’ont pas rapatrié leurs devises. Une des raisons pour lesquelles le Gouvernement a suspendu l’exportation en octobre dernier.

 

C'est officiel ! Le Président Andry Rajoelina a confirmé, au cours de son intervention télévisée sur la chaîne nationale samedi que Madagascar entame bel et bien la deuxième vague des contaminations de l'épidémie liée à la Covid-19, un an jour pour jour après l'annonce des premiers cas dans le pays. Une déclaration prévisible qui, néanmoins, a tenu en haleine des millions de Malagasy devant leur poste télévisé puisque le Chef de l'Etat a aussi annoncé la présence du variant sud - africain à Madagascar, selon le résultat d'une quinzaine de tests envoyés à l'institut Pasteur de Paris en France le 11 mars dernier. Selon les hypothèses, ce variant a pu s'introduire dans le pays par le biais de migrants transportés à bord d'embarcations clandestines en provenance des Comores. En ce moment, Mahajanga et Nosy  Be recensent des cas avec ce variant sud - africain.

 

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  • Opposition malgache - Une machine à saboter !
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Editorial

  • Suicide !
    Madagasikara serait-il en train de se … donner la mort ? De se suicider ! Les évènements tragiques survenus ces derniers temps semblent le corroborer. Des meurtres ciblés à des endroits différents inquiètent au plus point plus d’un dont les ondes de choc pourront dépasser les limites de nos frontières. Attention ! Rasazy Narindra, sage-femme de son état, maire nouvellement élue de la Commune rurale de Mangataboahangy, District d’Ambatofinandrahana, Région Amoron’iMania, a été mortellement touchée par balle en cours de route vers sa localité. Alors que Ranivoarivony Narindraniaina alias Narindra rasazy, une jeune sage-femme dans la fleur de l’âge, regagnait la localité, dont elle est élue, une bande d’assassins armée tendait une embuscade entre Ambavalozakely et Ankafotra à 20 km de la Commune rurale d’Itremo et la tue de sang-froid. Elle rentrait de la cérémonie de son installation avec d’autres nouveaux maires à Antampon’ny Vinany Ambositra.

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