Nos archives web
Super User

Super User

%PM, %18 %964 %2021 %22:%Fév

Talon d'Achille !

Décidément, les stupides agissements des acteurs politiques revendiquant le statut d'opposants ne cessent de nous interpeller. Des pêcheurs encore plus des nageurs en eau trouble et sale, ils perturbent l'ambiance et polluent l'atmosphère. Agités, énervés, surexcités et radicalisés, les Hanitra Razafimanantsoa et consorts, par « radio miara-manonja » interposée, foncent dans le tas et persistent et signent. Ils ne dévient point de leur funeste objectif initial à savoir plonger le pays dans le chaos.

482 929. Tel est aujourd’hui le nombre total d’individus exerçant l’artisanat comme activité principale. Ces personnes se répartissent notamment dans les 22 Régions du pays, mais la majorité partie se localise dans les Régions d’Analamanga, de Vakinankaratra mais aussi de Haute Matsiatra et d’Atsinanana. Ces chiffres sont les résultats du recensement général des artisans réalisé par l’Institut national de la statistique (INSTAT) dans le cadre du troisième Recensement général de la population et de l’habitat (RGPH-3).

La Région Sud de Madagascar possède du potentiel, et ce dans plusieurs secteurs comme le tourisme, la logistique ou encore l’agriculture. Toutefois, l’exploitation à bon escient de ce potentiel repose sur le développement des infrastructures, plus particulièrement les routes. « Connecter le port d’Ehoala, grâce aux infrastructures routières, aux Régions productrices de l’ouest, du centre ainsi que du Sud-est de Madagascar offrirait des opportunités économiques significatives pour le Sud du pays.

 Hier, vers la fin de matinée, Johnelie Jacques Michel, 23 ans, en 2e année d'études économiques à l'université de Toamasina, natif de Mampikony, a perdu sa vie des suites d'une grave blessure au cours d'un affrontement avec les Forces de l'ordre.

 

L’opposition va aller jusqu’au bout de son idée. Elle n’entend pas reculer devant son projet de manifestation à Ambohijatovo. En face, les autorités sont sorties de leur mutisme. Le Préfet de police, le général Angelo Ravelonarivo affirme que la tenue d’une manifestation à Ambohijatovo serait illégale d’un point de vue de la procédure car n’ayant par exemple pas l’autorisation d’occupation du lieu par la Commune urbaine d’Antananarivo, propriétaire du lieu. Cette dernière, dans une correspondance à la Préfecture, refuse d’ailleurs d’accorder le lieu au projet de manifestation de l’opposition en raison de travaux dans l’enceinte de la « Place de la démocratie ».

%PM, %18 %954 %2021 %21:%Fév

LA UNE DU 19 FEVRIER 2021

%PM, %17 %926 %2021 %21:%Fév

La une du 18 février 2021


L’interpellation de 3 ressortissants malagasy avec 73,5 kilos d’or, le 31 décembre, en Afrique du Sud continue de faire couler beaucoup d’encre, y compris dans la presse internationale.  Un article paru dans un média en ligne étranger revient sur le sujet et met en avant des détails intrigants sur l’affaire qui, selon l’auteur « a connu plusieurs rebondissements, avec pour seul angle d’attaque la mise en accusation du Gouvernement et des douanes, au risque de passer à côté des véritables enjeux de l’affaire ». D’emblée, la publication crève l’abcès sur la corruption persistante au sein de l’administration malagasy malgré les efforts du Gouvernement. Ainsi, l’auteur de l’article révèle que près de 5 tonnes d’or sortent illégalement du territoire national chaque année. Il écrit plus loin que « l’affaire du démantèlement de ce réseau de contrebande frappe notamment par l’ampleur de l’opération de falsification de documents légaux, alors même que les interceptions de grandes quantités d’or sortant du pays sont courantes. Il s’agit manifestement ici d’un réseau de contrebande déjà bien installé et ayant prospéré sur la faiblesse administrative nationale. »
Le même article parle de « procès médiatique fait aux services des douanes ou à la gendarmerie apparaît décalé par rapport aux enjeux réels de cette affaire, en plus d’être partiellement faux. De fait, l’attaque s’apparente davantage à une grossière opération de communication anti-gouvernementale que d’investigation réelle. »
Un reportage subjectif
Le même article ne manque pas d’évoquer le reportage diffusé sur la chaîne France 24, le 3 février dernier, et qui « s’attache à contredire la version officielle et à s’attaquer aux services de douane et de gendarmerie, documents à l’appui (et à l’écran) ». Dans son analyse, l’auteur de la publication estime que « la chaîne met en lumière un non-sujet, car un examen plus approfondi desdits documents fait apparaître d’autres éléments. L’avion, un jet privé immatriculé 5R-ASB, est parti de l’aéroport d’Ivato (Antananarivo) et disposait effectivement de documents d’autorisation de vol international. Toutefois, les documents mis en avant par France 24 ont pour la plupart été produits par l’aéroport de Tuléar (Toliara). »
Toujours dans la même logique de réflexion, la publication rappelle que dans le contexte de crise sanitaire actuel, seuls les aéroports d’Ivato et Nosy Be sont autorisés à opérer des vols internationaux. « Aucune formalité de vol international n’a donc pu être entreprise en toute régularité à Tuléar. Il s’agissait bien, selon l’Aviation civile de Madagascar (ACM) d’Antananarivo, d’un vol national Ivato-Tuléar. Il est donc logique que la douane n’a pas pris en charge le contrôle d’un avion privé en partance pour un vol national, tout comme la police de l’air, les personnels de santé, etc. Il est toutefois clair que les procédures de vérification des marchandises et d’autorisation de sortie du territoire, des douanes comme d’autres services de l’Etat, mériteraient d’être renforcées. Cependant, la société Amarante, opérateur de sécurité européen reconnu, a elle aussi été victime de l’ampleur de cette opération de falsification », peut – on lire.
Doute
L’article émet un doute sur le rôle de l’ACM dans cette histoire, qui semble « plus trouble », selon l’auteur car « l’autorité a produit deux autorisations contradictoires pour le même avion ». Et de poursuivre que « selon les douanes en poste à Tuléar, ce n’est qu’une fois le jet privé 5R-ASB, arrivé depuis Ivato, que l’ACM locale, via les instructions de l’antenne d’Antananarivo, aurait informé les autorités portuaires que le vol en question n’était plus un courrier local mais une escale technique avant un décollage pour Johannesburg. La falsification du plan de vol et l’illégalité d’un long courrier au départ de Tuléar sont d’ailleurs les raisons pour lesquelles le secrétaire général de l’ACM et certains agents ont été placés sous mandat de dépôt. Un fait peu relayé par la presse internationale. On pourra rétorquer que les douanes ont laissé le vol s’effectuer contre les dispositions en vigueur. Ce à quoi les autorités de l’institution, dans leur communiqué daté du 4 février 2021, ont bien rappelé que leurs prérogatives ne concernaient pas les plans de vol des aéronefs, mais uniquement leur contrôle économique. »
Attente de conclusion des enquêtes officielles
L’article rappelle également le dernier rebondissement dans cette affaire au début du mois de février, où « les organes de presse malgaches et internationaux ont relayé l’information selon laquelle une société dubaïote avait revendiqué l’or et porté plainte contre les douanes sud-africaines. Selon des sources au sein de la douane malagasy, c’est peu de temps après l’arrestation des trois trafiquants que la société dubaïote aurait fait part de sa revendication. Or, la douane de la Grande île a apporté la preuve qu’un document douanier malien avait été falsifié par l’entreprise Skygold Mali afin de faire croire à une cargaison d’origine malienne auprès des douanes sud-africaines. Une falsification confirmée par la douane malienne ».  Il s’interroge alors si la société dubaïote, dont le nom n’a pas encore été communiqué, serait une société-écran de Skygold Mali. Une question qui demeure sans réponse pour l’instant : « selon les autorités malgaches, il est encore trop tôt pour le dire. Mais cela accrédite la thèse officielle d’une opération de falsification massive et du démantèlement d’un réseau de contrebande disposant de relais influents ».
Au final, le journaliste auteur de l’article affirme qu’ « il importe d’attendre les conclusions des enquêtes du Pôle anti-corruption (PAC) malagasy, mais aussi celles des justices sud-africaines et françaises ».
 La Rédaction


Les subventions allouées aux établissements scolaires publics, EPP, CEG et Lycées, sont presque déjà payées jusqu’à l’heure actuelle. Seulement 296 EPP et CEG et un Lycée parmi les 5 844 établissements bénéficiaires n’ont pas encore encaissé les leur pour faute de procédure et situation géographique.
Claire, nette et transparente. La somme totale de 18 133 036 413 ariary, attribuée comme caisse école pour les EPP et les CEG et caisse de soutien pour les lycées, a été déjà virée sur le compte des sept prestataires effectuant le paiement des subventions auprès de ces établissements publics. Jusqu’à l’heure actuelle, 17 812 791 701 ariary ont été déjà encaissés par les établissements bénéficiaires. 5 548 parmi les 5 844 établissements scolaires publics, répartis dans les 22 Régions de Madagascar, les ont déjà touchées. Les 296 EPP et CEG et un Lycée n’ont pas encore encaissé leurs subventions par faute de procédure.
« Le motif du retard de l’arrivée des caisses écoles dans ces 296 établissements s’explique par la situation géographique dont l’éloignement et la non-ouverture d’un compte bancaire. Pourtant, le ministère a accompli son travail afin que ces établissements touchent dans un bref délai leurs subventions », a précisé, Andriamiakatsilavo Raoniherijaona, directeur général en charge de la Pédagogie au sein du ministère de l’Education nationale. « Face à ce problème, le ministère envisage d’entamer d’autres systèmes de dispatching de ces caisses écoles et caisses de soutien pour la prochaine année scolaire », a-t-il ajouté. 
« Etant situé dans une zone très enclavée, le Lycée d’enseignement général de Marorahona dans la CISCO Tsiroanomandidy-DREN Bongolava, n’a pas encore reçu sa caisse de soutien. C’est le seul parmi les 539 Lycées bénéficiaires. Pourtant, des mesures ont été prises et il touchera sa subvention ce jour », a souligné, Razokiny Eric Ralainirina, directeur général en charge des établissements scolaires auprès du MEN.
Transparence
Afin de mettre en place la bonne gouvernance au sein de son institution, le ministère de l’Education nationale joue la carte de la transparence de la gestion financière et de l’administration proprement dite. Sur ce, plusieurs volets dont les textes officiels relatifs au secteur éducation, le tableau de bord concernant les établissements, les enseignants et les élèves ainsi que les statistiques y afférentes ; mais aussi la répartition des caisses écoles sont consultables à travers le site web du MEN et sa page Facebook. Il suffit de saisir l’adresse web  HYPERLINK "http://www.education.gov.mg" www.education.gov.mg, puis d’entrer dans le menu « Ressources » pour les trouver en détail.
A cet effet, les intéressés ou les concernés directs ou indirects peuvent les consulter et en faire des remarques ou porter des doléances si besoin est.
A titre de rappel, la caisse école et la caisse de soutien ne peuvent être utilisées que pour les dépenses rattachées aux activités se rapportant au bon fonctionnement de l’école et inscrites dans le projet d’établissement contractualisé et le programme d’emploi. Ces dépenses sont attribuées aux achats de fournitures pour le fonctionnement de la classe et de l’école (craie, crayon, stylo, cahier, gomme, rame de papier, registres, …) ; aux achats de matériels didactiques et auxiliaires pédagogiques (règles, dictionnaires, …) ; aux petits travaux de maintenance ou réfection de salles de classe et/ou de mobiliers ; aux achats de fournitures scolaire pour les élèves vulnérables établis par les Fokontany ; aux frais de transport pour le retrait des fonds et les achats ; aux frais de participation des élèves aux sports scolaires à raison de 500 ariary par élève et aux frais de gestion de comptes.
La Rédaction


%PM, %17 %924 %2021 %21:%Fév

Question d’entourage

Le Président Rajoelina est-il bien assisté ? Ou serait-il, par malheur, mal conseillé ? A en croire la Une d’un quotidien de la place proche de l’Opposition, le député Rahasimanana Paul Albert alias Rossy serait, le conditionnel est de rigueur, en colère contre les agissements de l’entourage, du moins de certaines têtes, évoluant en orbite dans le cercle rapproché du Chef de l’Etat. Rossy, une légende vivante et charismatique de la culture populaire et fidèle parmi les fidèles vis-à-vis de Rajoelina Andry, est un parlementaire IRD engagé  qui n’a pas sa langue dans la poche. On se rappelle de son engagement décisif lors du mouvement des « soixante-treize députés pour le changement » en 2018 sur la Place du 13 Mai.
David, le grand Roi d’Israël et son fils le Sage Roi Salomon dont l’éclat de leur renom voire de leur notoriété atteint l’Asie, l’Orient jusqu’en Abyssinie (Ethiopie) et le nord de l’Afrique grâce à l’efficience de leur entourage respectif.
Andrianampoinimerina (1787-1810), légendaire et emblématique Roi de l’Imerina, dont la grandeur et la sagesse rayonnèrent dans toute l’île notamment dans le Sud-Est (Antemoro), dues à la présence de grands hommes (Olo-be) stratèges et de perspicacité intellectuelle et morale dans son entourage. Des Hagamainty, Andriantsilavo ou des Andriamihaja ou des Andriamahazonoro ont prodigué de bons conseils auprès du souverain sinon ont su anticiper les dangers à venir. Le grand Roi de l’Imerina avait aussi une qualité exemplaire à savoir l’humilité d’écouter les « consignes » de ses sages conseillers et les appliquer. La preuve, Mboasalama ou Nampoina avait gagné presque toutes les guerres qu’il a dues engager à travers les œuvres d’unification de la Grande île.
Nous ne sommes tous pas sans savoir que la chute prématurée du régime Bleu de Rajao a pour cause majeur l’insanité de son entourage à commencer par sa propre épouse. C’est tout juste si l’ancien homme fort du pays parvint à terminer son mandat.
Rajoelina Andry Nirina, le numéro Un du pays, prend soin de veiller au grain sur le choix des éléments devant constituer le cercle restreint sinon de son entourage. Mais cela n’empêche pas qu’un ou des loups dans des peaux d’agneaux réussissent à s’infiltrer dans ledit cercle et entourage. Rajoelina ne peut pas avoir forcément et à tout moment le sens du discernement ou le reflexe de vigilance pour déjouer les éventuels pièges tendus. Ainsi, des brebis galeuses risqueraient de figurer, sous une bonne apparence, dans l’entourage du Chef de l’Etat. Il lui appartient avec l’aide de quelque proches collaborateurs les plus fidèles de démasquer, s’il y en a, le ou les faux jetons.
A une époque où le pays traverse l’une des pires turbulences de son histoire due aux effets pervers de la pandémie de Covid-19 et les incuries troublantes des têtes brûlées de l’Opposition, les dirigeants en place dont en premier lieu le Chef de l’Etat se doivent de faire beaucoup attention et prendre toutes les dispositions nécessaires et suffisantes pour avoir entièrement sous contrôle la situation. Et la précieuse prestation des conseillers en particulier autour du Président revêt un intérêt plus que vital dans l’avenir de la Nation.
A la lumière de l’évolution de la situation, certains observateurs doutent de l’existence de certaines personnalités peu crédibles au sein de la Présidence.
Ndrianaivo



Fil infos

  • Actu-brèves
  • Evasion de Madagascar - Houcine Arfa refait surface
  • Spoliateurs fonciers à Antananarivo - Un réseau de faussaires démantelé 
  • « Zéro faim » - 3,5 millions d’euros pour la sécurité alimentaire
  • Opposition malgache - Une machine à saboter !
  • Ambatondrazaka - 53 maires d’Alaotra- Mangoro officiellement installés
  • Cité d’Andavamamba - Offrir aux familles un cadre de vie décent
  • Prison d’Antanimora - Le ministre de la Justice ordonne la fermeture de « Maputo »
  • Insécurité à Madagascar - Les députés cogitent avec l’Exécutif
  • Exécution de maire Rasazy Narindra - Que justice soit faite !

La Une

Recherche par date

« March 2025 »
Mon Tue Wed Thu Fri Sat Sun
          1 2
3 4 5 6 7 8 9
10 11 12 13 14 15 16
17 18 19 20 21 22 23
24 25 26 27 28 29 30
31            
Pub droite 1

Editorial

  • Quid de l’EPM !
    L’enquête sur les ménages débute ce mois de mars. L’action concernera 17. 000 foyers à travers Madagasikara. L’INSTAT supervise les travaux. La onzième édition de l’Enquête permanente auprès des ménages( EPM) démarre. Cette année EPM visera pour une large enquête 17. 000 foyers à travers le territoire national. L’objectif principal est de collecter des données précises de manière à pouvoir adapter les politiques publiques, du Gouvernement essentiellement, et les infrastructures aux besoins réels de la population. L’EPM, étant une initiative publique, est soutenue par le ministère de l’Economie et des Finances et la Banque mondiale et dispose d’un budget de 1,5million de dollars. Les résultats seront analysés de manière distincte en fonction des zones : Antananarivo et les zones rurales d’une part et les autres grandes villes de l’autre. Plus de 200 enquêteurs ont été mobilisés. Ils ont reçu des formations techniques appropriées. L’EPM fera face à des défis et…

A bout portant

AutoDiff