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Les pressions anthropiques prennent de l’ampleur. Avec la crise sanitaire actuelle, les crimes environnementaux ont particulièrement augmenté au cours des derniers mois. La menace pesant sur les ressources naturelles, surtout les forêts, s’amplifient qu’aujourd’hui, même les sites touristiques du pays se retrouvent également menacés. Pour la Région de Boeny par exemple, les feux de brousse et de forêts se sont accentués dans le District de Mahajanga II, à cause de la production de charbon. Plusieurs hectares sont déjà partis en cendres.  

L'Institut malgache de recherches appliquées a tenu à émettre certaines précisions sur le remède traditionnel amélioré Covid-Organics (CVO). Le directeur général de cet institut, le Docteur Charles Andrianjara a souligné que la production de ce remède a respecté les procédures scientifiques, touchant notamment la question de l'innocuité du CVO laquelle a de nouveau refait surface récemment. Une analyse de toxicité du CVO a été menée sur des animaux en l'occurrence une cinquantaine de rongeurs, explique le DG de l'IMRA. Deux études ont été menées, à savoir une étude de toxicité aigüe et une étude de toxicité chronique. L'étude de toxicité aigüe consistait à administrer une dose élevée de CVO aux rongeurs. A l'issue de cette première étude, aucun mort n'a été compté. Le CVO n'est donc pas toxique jusqu'à une dose relativement forte ou élevée, à en juger les résultats obtenus par l'IMRA.

 

Cela fait maintenant plus de 4 mois que le cauchemar des opérateurs touristiques dure à Nosy  Be. Le secteur du tourisme est gravement touché par la crise liée à la propagation de la Covid-19 et la situation est désastreuse pour cette partie de la Grande île qui vit entièrement des revenus touristiques. Pour cause, les mesures restrictives qui empêchent toute circulation incluant les vols nationaux et internationaux. Après une première visite durant le week - end dernier, le Président Andry Rajoelina a effectué un nouveau déplacement sur l'île aux parfums en consacrant une grande partie de son temps à une rencontre avec les opérateurs économiques du secteur tourisme. Ce fut l'occasion pour le Chef de l'Etat d'échanger directement avec les acteurs du tourisme sur la relance économique post Covid-19, et ce, en présence du ministre des Transports, du Tourisme et de la Météorologie, du ministre de l'Economie et des Finances, ainsi que de la ministre du Travail, de l'Emploi, de la Fonction publique et des Lois sociales.

 

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LA UNE DU 01 AOUT 2020

Madagascar est touchée de plein fouet par la pandémie de coronavirus. Elle a bénéficié de centaines de millions de dollars de la part de ses partenaires techniques et financiers. Face à cette situation, le directeur général du SAMIFIN, Boto Tsara Lamina, explique que la transparence financière existe. Le service de renseignement financier qu’il dirige a accès à toutes les informations dont il a besoin. Interview.

 

Deuxième semaine d’accueil des patients de la Covid-19. Les personnels de santé œuvrant dans les centres de santé de base niveau 2 (CSB II) travaillent sans répit ces derniers jours, avec plus de tâches. A l’exemple des CSB II d’Ambohipo, Isotry central et Antanimena, ces centres accueillent en moyenne une soixantaine de patients présentant des signes de la Covid-19, en plus de ceux qui y viennent pour d’autres prestations sanitaires. « L’on enregistre des patients avec des cas légers et modérés du coronavirus, hormis quelques cas graves. Si la majorité des patients n’ont pas encore fait de dépistage, d’autres ont déjà effectué des tests PCR avec des résultats positifs. Dans tous ces cas, nous leur donnons gratuitement les médicaments prescrits », fait part Raymond Marius Andrianantenaina Razafimahatratra, médecin chef auprès du CSB II Ambohipo.

Malgré la pandémie de Covid-19, le développement et les infrastructures, qui font partie des projets présidentiels, n’ont pas été délaissés dans la Région de l’Amoron’i Mania. C’est ce qui a d’ailleurs poussé l’actuel chef de région, Laza Fanantenana Herinjakatahina, à témoigner sa reconnaissance envers le Chef de l’Etat. Il a souligné qu’en marge de notre combat contre la Covid-19 dans l’Amoron’i Mania, la construction des infrastructures est sur la bonne voie. « Les travaux progressent selon les directives du Président », a-t-il déclaré en substance.

La localité de Bemasoandro à Itaosy a été le théâtre d’une très violente scène de lynchage d’un suspect, dans l’après-midi d’hier. En effet, ils étaient deux à agresser une commerçante. Cependant, la réaction des riverains, ayant assisté au scénario de l’agression, était vive. Après avoir pourchassé les suspects après l’alerte, ils ont réussi à capturer vivant l’un des fugitifs, alors que ces derniers cherchaient à s’échapper à travers une rizière. Sans autre forme de procès, agissant en tant que justiciers, ces riverains ont lynché le suspect, le rouant ainsi de coups, manquant ainsi de lui ôter la vie.

Ce jour marque le sixième mois depuis que l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a déclaré que la crise sanitaire liée à la Covid-19 est une urgence de santé publique de portée internationale. Selon le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, premier responsable de l'OMS, c'est la sixième fois qu'une urgence sanitaire mondiale est déclarée en vertu du règlement sanitaire international. Malheureusement, c'est ce SARS-CoV-2 qui est sans doute le plus grave. Et cette pandémie continue à faire des ravages au cours des six dernières semaines. Le nombre total de cas a presque doublé.

 

 Une baisse de prix des légumes et des fruits. Si au mois de mars dernier, une hausse allant jusqu’à 200 % a été constatée au niveau des marchés de légumes et de fruits de la Capitale, actuellement, la baisse est fracassante. D’après Ramartine, vendeuse de fruits à Andravoahangy, le prix n’a cessé de diminuer ces dernières semaines. « Si auparavant, le kilo du citron est de 10 000 ariary, actuellement, il varie entre 3 000 à 5 000 ariary, tandis que celui du gingembre est de 1 000 à 1 500 ariary », avance-t-elle.

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Editorial

  • Quid de la vérité ?
    « Toute vérité n’est pas bonne à dire ». Un apophtegme ancré dans la pensée des gens. Un précepte qui traduit une forme de réflexe moralvoulant éviter le choc au sein de la communauté. Le quotidien que vous avez entre les mains ambitionne l’inverse « Toute vérité est bonne à dire ». Unemaxime révolutionnaire voulant défier l’ordre des choses. Un défi qui se propose de ramer à contre-courant de la pensée établie. A nos fidèles lecteurs d’en juger ! Avons-nous été à la hauteur de la devise ? Nos ancêtres les « Ntaolo », dans leur démarche d’esprit précautionneuse estiment que la « vérité » est insaisissable, difficile à circonscrire. Ils évitent la prétention de dire avoir de façon formelle la « vérité ». Ils préfèrent s’abstenir et ne pas l’affirmer ouvertement. C’est difficile et compliqué ! Les « Ntaolo » se cachent derrière des termes « peut-être ceci ou…

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