Prise de conscience collective. Les associations confirmant leur soutien au candidat Naina Andriantsitohaina se multiplient. Hier, dans l’après-midi, deux associations dont le « Zanabahoaka miara- misalahy » et « Miaramila sosialy » ont effectué leur déclaration officielle, au quartier général du candidat n°4, à la Villa Pradon à Antanimena. « Nous sommes conscients de notre responsabilité envers la vie de notre Nation. Madagascar vit désormais une nouvelle ère avec un nouveau Président. Il est également temps d’apporter le changement au niveau des Communes. C’est pourquoi, nous pensons que pour la Capitale, Naina Andriantsitohaina est le plus compétent pour le redressement de notre chère ville, pour une Antananarivo propre, moderne et paisible. Il a en effet la volonté de changer le quotidien de la population d’Antananarivo » a soutenu Rija Ramartial, président de « Zanabahoaka miara-misalahy » durant son allocution. Et le secrétaire général de « Miaramila sosialy », Paul Ramamonjisoa, l’a rejoint en rajoutant que « les déplacements que nous avons effectués avec le candidat à travers les différents quartiers nous ont montré que c’est une personne de confiance. Et comme il a vu tous les principaux problèmes auxquels la population est actuellement confrontée, il saura proposer des solutions adaptées ».
« Aujourd’hui (ndlr : hier), nous sommes le 20 novembre 2019 date du rassemblement des participantes au concours "Miss monde 2019". Au moment, où je vous écris, je suis toujours à Madagascar. (…) A ce jour, je n'ai toujours pas reçu la lettre d'invitation promise lors d’un accord passé au ministère de la Communication et de la Culture par le CMM (Comité Miss Madagascar) faisant référence à ma participation au concours Miss monde à Londres ». Tel a été le propos de Valérie Anne Binguira, Miss Madagascar 2019 dans un communiqué publié depuis sa page Facebook hier. Cette réaction remettant en question sa participation à ce concours de beauté international a été confirmée par le CMM représenté par Rakotoniaina Christelle et Gina Vidot les fondatrices de Miss Madagascar hier, lors d’une conférence de presse au restaurant la Terrace Antanimena.
Un vieux riche exploitant terrien sentant la mort prochaine fit venir ses enfants (héritiers) et leur dit « travaillez, prenez de la peine c’est le fonds qui manque le moins ». De ses héritiers, il y en a qui ont pris au sérieux l’ultime message du vieux père et ont commencé immédiatement à travailler et faire fructifier le patrimoine sans attendre de disposer entre leurs mains tout l’argent nécessaire, tant mieux ! D’autres, à leurs dépens, ont pris à la légère et snobé le dernier message du vieux père. D’autres encore n’ont rien compris. Ils ne saisissent point les tenants et aboutissants de « l’ultime message ». Ils se trouvent totalement à côté de la plaque. Tant pis pour eux !
C’est confirmé ! La réhabilitation du stade de Mahamasina est à la fois urgente et incontournable. A l’issue du premier match des Barea contre l’équipe éthiopienne, samedi dernier, il a été prouvé que le stade de la Capitale ne fait pas le poids par rapport aux autres stades internationaux en Afrique. En effet, malgré la victoire contre la formation de l’Ethiopie, la sélection malagasy a eu beaucoup de mal à jouer sur le terrain. Une difficulté ressentie au niveau des supporteurs mais qui s’explique, en grande partie, par le piteux état du stade de Mahamasina.
Le doute s’installe. La société Rio Tinto qui mène le projet Qit Madagascar Minerais (QMM) envisage d’augmenter son capital. Depuis ses vingt et une années d’implantation à Madagascar, l’entreprise a procédé deux fois à la recapitalisation. « Cette situation semble illogique puisque Madagascar met à leur disposition les ressources naturelles », avance le ministre des Mines et des Ressources stratégiques Fidiniavo Ravokatra, hier, dans son bureau à Ampandrianomby. D’après l’état financier de QMM en 2016, l’entreprise se déclare en difficulté, raison pour laquelle il faut encore une fois procéder à cette recapitalisation. Si un tel cas se produit, l’Etat risque de débourser plus d’argent pour servir de fonds. « Le Gouvernement malagasy détient 20% des actions de cette exploitation. En 2012 et 2015, l’entreprise a procédé à une recapitalisation à deux reprises. En tant qu’actionnaire, l’Etat malagasy a dû verser 77 millions de dollars. Si cette troisieme recapitalisation a lieu, l’Etat malagasy va payer 16 millions de dollars. Dans le cas où le Gouvernement ne dispose pas cette somme, elle empruntera à Rio Tinto à titre de dette», explique le numéro un du département. Selon la loi 2003-06 sur les sociétés commerciales, cette recapitalisation a lieu deux ans après constatation c'est-à-dire avant la fin de l’année.
En 2017, un lieutenant de l’Armée malagasy basé dans la Capitale et répondant au nom de Marcel Ramasy, avait été assassiné de façon suspecte, sinon barbare lors d’une mission dite « Top secret » à Miandrivazo. Vendredi prochain, le principal suspect dans l’affaire, un riche propriétaire bovin de cette ville située à l’intérieur de la Région de Menabe, devra finalement comparaître devant la Justice malagasy. Il s’agira d’un jugement durant lequel il devra répondre de ses actes sur cette affaire. Notons qu’il est actuellement placé sous mandat de dépôt.
La protection de l’environnement figure parmi les priorités de l’association Jeudi des femmes entrepreneures. En tant qu’association qui œuvre dans la promotion de la communauté, celle-ci se préoccupe de l’avenir de la génération future, et cela face aux changements climatiques dont Madagascar est actuellement victime. Et pour cause, la déforestation et la dégradation des sols dont les conséquences sont importantes, accentuent la vulnérabilité de la population. Malgré l’interdiction de coupe, bon nombre d’habitants ont encore recours à cette pratique. Afin de lutter contre la déforestation massive et restaurer la végétation, il est primordial de créer des activités génératrices de revenus pour la population.
Qu’on se le dise, les îles Eparses sont malagasy ! La résolution 34/91 de l’Assemblée générale des Nations unies du 12 septembre 1979, confirmée par celle 35/123 du 11 décembre 1980 et qui donnait gain de cause à Madagasikara est sans appel. Les îles Eparses appartiennent aux Malagasy. Elles font partie intégrante du territoire de la République malagasy. Que ce soit clair !