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Danger public

« Quatre morts en l’espace de vingt-et-une heure ! » Tel fut le gros titre à la Une d’un quotidien de la Capitale en début de ce mois entre Anosizato à Ampitatafika. Un autre presque au même moment à la Une également fit état de « 75 infractions par heure relevées aux 67 ha ». Quelques années auparavant, en 2015 on a enregistré 156 accidents routiers mortels. Et les statistiques continuent de monter en flèche.
A ce rythme et en se basant uniquement sur ces indices très révélateurs et forts édifiants, la circulation routière caracole, sans ambages, en tête de peloton du secteur le plus meurtrier à Madagascar  en même temps détient le record de gabegie.   L’Agence nationale des transports terrestres (l’ATT), conçue et censée gérer pour la bonne gouvernance des circuits sur terre dont principalement la route, n’a pas su faire preuve, jusque-là, de capacité à mettre de l’ordre. En ville comme sur routes nationales et celles d’intérêt provincial, les accidents augmentent en nombre et deviennent de plus en plus graves sinon mortels.

La sélection féminine malagasy de rugby à XV a perdu  son deuxième match (73-00) face au pays hôte à l'Africa women's cup, hier, mardi 13 août. Les Makis Dames  ont affronté la redoutable formation sud-africaine, qui évolue à domicile.  L'équipe malagasy était déjà menée 44-00 à la pause. Pour rappel, Madagascar s'était incliné devant le Kenya, vendredi dernier, lors de son premier match dans ce tournoi qui sert également de qualification pour les Jeux Olympiques 2020 et le Mondial 2021. A l'issue de son premier match international contre le Kenya, world rugby a intégré Madagascar dans le classement mondial du rugby féminin.

Lundi dernier vers midi, un riche chinois et son accompagnatrice malagasy furent attaqués par des bandits au moment où tous les deux allaient remettre une importante somme dans une banque située à Behoririka. Des coups de feu ont éclaté. Le Chinois a reçu une balle au niveau de sa jambe, tandis que les assaillants ont pu s’enfuir avec l’argent qui se trouvait dans un carton qu’avait transporté son employée.

 

Implanté à « La City Ivandry ». Un espace dédié à l'art et à la culture baptisé « City Art » vient d'ouvrir ses portes au sein de ce centre commercial très fréquenté. Son ouverture résulte du partenariat public-privé, plus précisément entre le ministère de la Communication et de la Culture (MCC) et la Société IDF du groupe SMTP. Il s'agit d'un lieu de rencontre entre les acteurs d'art et de la culture avec les consommateurs potentiels. D'ailleurs, l'espace peut accueillir divers évènements artistiques et culturels, dont la musique, la danse, le théâtre, la mode et le stylisme, les jeux vidéos, l'exposition des œuvres de peinture et sculpture, etc.

D’après une étude sur la violence sexuelle effectuée par l’association ECPAT France dans les villes d’Antananarivo, Mahajanga, Toliara, Fianarantsoa, Antsiranana et Nosy Be, une femme sur trois, âgée entre 15 et 49 ans est victime de violence. Pire encore, 12,6 % de la gent féminine -  soit une femme sur huit - supportent la violence sexuelle au quotidien dont 8,6 % l’ont subie depuis l’âge de 15 ans. Et cette violence sexuelle se présente sous différentes formes. Durant la  restitution des résultats de cette étude, il a été mentionné que les rapports sexuels forcés et non désirés en font partie. Les victimes cèdent à des supplications, un chantage, des menaces ou une ruse.

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Alerte !

Péril en la demeure. De par sa situation géographique, la Grande île s’expose au péril. Elle  tenait un rôle inquiétant de plaque tournante des trafics de stupéfiants dans l’Océan Indien et ravitaille les îles voisines (Ile Maurice, La Réunion). Le sordide « commerce » tisse ses relations et atteint l’Europe, l’Amérique du Nord,  l’Afrique continentale et l’Asie, plus précisément, le Sud-est asiatique. Etant donné que le pays se situe sur le chemin de grands commerces internationaux, des trafiquants de tout acabit notamment des narcotrafiquants et des dealers de toute taille pullulent la région. En fait, la drogue dure rode dans les parages.  Alerte au péril !

 

La Douane malagasy mettra aux ventes aux enchères, le 27 août prochain, 11 520 sacs de farine, soit plus de 55 tonnes, importés par la Société HTF Commodity Vohitsara au mois de mars dernier. En tout cas, ces produits seront vendus aux enchères sous conditions. En effet, dans son communiqué paru hier dans la presse locale, la Direction générale des douanes a annoncé que « la soumission d'offres sera uniquement réservée aux sociétés ou industries œuvrant dans le secteur de la provenderie ». Cette restriction est surtout prise par mesure de sécurité. Les emballages sont de mauvaise qualité, ce qui fait qu'une partie des marchandises a péri sur place.

Un mois et onze jours de plus. La société Aéroports de Madagascar (ADEMA) recherche actuellement des partenaires pour développer les six aéroports internationaux à savoir Toamasina, Sainte-Marie, Toliara, Taolagnaro, Mahajanga, Antsiranana ainsi que les quatre aéroports principaux notamment Sambava, Morondava, Mananjary et Fianarantsoa que l'Etat Malagasy lui a confié par le biais d'un décret de délégation de pouvoir. Si la date butoir est prévue le 20 août, elle est repoussée au 30 septembre 2019.  

 

Faire des jeunes et des femmes, des réels acteurs du développement. Tel est l’objectif principal du « Fihariana », un projet présidentiel qui s’est désormais mué en programme national touchant plusieurs secteurs comme l’agriculture, la pêche, l’élevage, les sciences et techniques, la production industrielle, etc. Les jeunes entrepreneurs qui désirent obtenir un financement doivent soumettre leurs projets à un processus de sélection rigoureuse. L’appui financier des projets retenus, suivant l’envergure et la pertinence, s’élève à 200 millions d’ariary. Les prêts accordés sont à un taux préférentiel varié entre 5% et 9,75%, grâce à une collaboration avec les banques BNI Madagascar et BOA Madagascar.

 

Il est sans doute le parti le plus éphémère que le pays ait jamais connu. Il a disparu des écrans radar aussi subitement qu’il est apparu, comme s’il n’avait jamais existé. Il, c’est l’ex-parti présidentiel « Hery Vaovaon’i Madagasikara » (HVM), dont on se demande à l’heure actuelle où sont passés ceux qui, il y a peu encore, étaient fiers d’en arborer la fameuse cravate bleue en signe de puissance.

 

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Editorial

  • Défis et enjeux !
    L’année 2025 qui débarque il y a à peine dix jours expose le pays au- devant de la scène internationale. La Grande île intègre de plain- pied dans le concert des Nations libres et souveraines. C’est bien loin l’époque où Madagasikara fit l’objet d’interminables interventions délicates et difficiles de l’ONU par l’organisation sous régionale, la SADC, pour régler la crise politique issue des soulèvements populaires de 2009. L’ancien Président mozambicain Joachim Chissano, haut représentant de l’ONU – SADC, fit des pieds et des mains afin de débloquer la situation.

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