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Deuxième jour de table ronde, hier, dans le cadre du sommet de l'Union européenne et de l'Union africaine qui s'est tenu pendant deux jours à Bruxelles, en Belgique. Pour cette seconde journée, la question relative à l'agriculture durable était au centre des discussions. La promotion du secteur agricole qui fait partie intégrante de l'un des « Velirano » du Président visant à atteindre l'autosuffisance alimentaire du pays. L'agriculture durable touche également les autres secteurs comme l'élevage et le climat.

Dans le rouge. En tant que promoteur de l'image touristique de Nosy Be et porte-parole des opérateurs touristiques, l'ORTNB (Office régional du tourisme de Nosy Be) désire expliquer la situation actuelle du point de vue touristique et le mécontentement des opérateurs. En effet, en octobre 2021, une reprise progressive des vols internationaux était envisagée, d'abord à l'aéroport d'Antananarivo (Ivato) puis sur Nosy Be (Fascene).

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LA UNE DU 19 FEVRIER 2022

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La une du 18 février 2022

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Agenda du week-end

Vendredi 18 février
Farakely
L’occasion se présente à nouveau pour les fans de Farakely. Ce soir, la chanteuse sera sous le feu des projecteurs pour une soirée acoustique intitulée « Tiako izy… ». Avec ses deux albums « Tafaray isika roa » et « Nofiko », elle a réussi son pari et s’est imposée dans le paysage musical. En l’espace de quelques mois, elle s’est fait un nom et a déjà partagé la scène avec de grandes stars. Aujourd’hui,  Farakely est une artiste à part entière qui n’a rien à envier à ses pairs. Le rendez-vous est donné ce soir au Piment Café à partir de 20h 30.
Groupe Suzannah
Chaque vendredi, la salle du Jao’s Pub d’Ambohipo propose une soirée musicale enflammée. Cette fois-ci, l’endroit mettra en affiche le groupe Suzannah pour une ambiance tropicale. Ce groupe peut être méconnu du public tananarivien. Cependant, il a déjà inscrit son nom dans l’industrie musicale. En tout cas, une chose est sûre : avec cette affiche, les habitués des lieux qui viennent de passer une semaine chargée prendront le temps pour s’amuser et se déstresser ce soir à partir de 21h.
Jerry Marcoss
Une soirée prometteuse baptisée « Ambiance 100 % kawitry » aura lieu aujourd’hui sur la scène du Bonara Be, 67 Ha. Après avoir sorti quelques tubes sur les ondes, le roi du « kawitry » ne chôme pas. Le voici donc, accompagné de nouveau de ses danseurs, choristes et musiciens dans ce quartier populaire de la Capitale pour enivrer les noctambules avec une forte dose musicale, dont il a le grand secret. « Avec toi », « Mafy dôzy », « Werawera », « Mavita azy », « En forme », « Ho tanteraka ». Ce sont quelques tubes de Jerry Marcoss qui n'a cessé de progresser au fil des années. D’ailleurs, il est toujours disponible, à la grande joie et satisfaction de ses fidèles fans. Jerry Marcoss, c’est ce soir à partir de 21h.
Mbola Talenta  
Il se produit souvent avec des artistes ou des jeunes talents. Mais cette fois-ci, ce ne sera pas le cas. Mbola Talenta va effectuer un show en solo ce soir à partir de 19h 30 au restaurant Annexe Le Zoma, Antaninandro. L’artiste, armé de sa guitare, va reprendre quelques répertoires malagasy du genre folk, mais interprètera également des titres qu’il affectionne particulièrement, tels que des « kalon’ny fahiny », du jazz, du country music, sans oublier ses propres compositions. En tout cas, sans aucun doute, la monotonie ne sera pas au rendez-vous. Un spectacle à ne pas rater sous aucun prétexte.
Mahery & Inah
L’harmonie entre ces deux chanteurs semble prouver leur réussite sur scène. Alors, pourquoi changera-t-on une formule qui gagne ? Raison pour laquelle Inah et Mahery renouent à nouveau le chemin du cabaret. Cette fois-ci, le duo retrouvera les noctambules au Louvre, Antaninarenina à partir de 19h. De la bonne musique aux rythmes des variétés malagasy, mêlée à des prouesses vocales sont à prévoir. Outre cela, la styliste Sih Rakout sera aussi de la partie pour un défilé de mode. Elle présentera ses œuvres durant cette soirée.
Samedi 19 février
A’Kalo
Une affiche qui risque de plaire aux amateurs de la musique du terroir malagasy. Avec des sons traditionnels originaires du Sud de la Grande île, le groupe A’Kalo enivrera les noctambules de la Capitale avec ses tubes « Mamie », « Ambone Ambane » ou encore « Tokavo raho ». Pour ceux qui ambitionnent de voir ce groupe à l’œuvre, Govina (Lead vocal), Filira (Chorus), Koon-tet (Guitare électrique), Rico (Basse) et Henintsoa (Batterie) investiront la scène du No Comment Bar demain soir à 20 heures tapantes.
Si.R


Le Président Andry Rajoelina et son épouse dirigent une délégation qui participe au 6ème sommet Europe-Afrique débuté hier à Bruxelles, en Belgique. Le numéro un Malagasy fait ainsi partie de la soixantaine de Chefs d’Etat et de Gouvernement présents à ce rendez-vous entre l’Union européenne et l’Union africaine. Il est accompagné d’une délégation composée du ministre des Affaires étrangères, du ministre de l’Agriculture et de l’Elevage, de la ministre de l'Environnement et du Développement durable. L'ambassadeur de Madagascar en Belgique, Omer Beriziky est également sur les lieux. Le Président a assisté à la cérémonie d’ouverture officielle hier avant de prendre part à la table ronde portant sur les besoins des pays.
La première partie de la table ronde a porté entre autres sur l’énergie et la transition énergétique, le transport et le changement climatique. Cette dernière thématique concerne entièrement la Grande île. Durant ses nombreuses interventions dans différentes réunions internationales, le Chef de l’Etat a toujours réitéré que Madagascar paie le lourd tribut du changement climatique auquel la population n’est nullement responsable.
Rencontre avec la BEI
En marge de ce sommet, le Président a également eu un programme très chargé, plus particulièrement une série de rencontres avec différents responsables dans l’optique d’un renforcement des liens de coopération. En premier lieu, il a rencontré Jutta Urpilainen, commissaire européenne aux partenariats internationaux au siège de la Commission Berlaymont, au rond-point Schuman. Avant le sommet, le Chef de l’Etat a également pu s’entretenir avec le président de la BEI ou Banque européenne d’investissement, Werner Hoyer, les vice-présidents Ambroise Fayolle et Thomas Ostros, Maria Shaw-Barragan  (directrice pays partenaire, direction des opérations) et Sean Fitzpatrick (chef du bureau du président). La coopération entre Madagascar et la BEI remonte déjà à l’année 1970 et s’est traduite par de nombreuses réalisations comme la construction d’infrastructures routières dans la Capitale, l’accès à l'eau potable, etc.
Le sommet Europe-Afrique se terminera ce jour et devrait déboucher sur des résolutions portant sur la vision 2030.
S.R.


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A double tranchant

La Déclaration universelle des droits de l’homme (DUDH), adoptée par l’assemblée générale de l’ONU le 10 décembre 1948, fondamentalement inspirée de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen votée par l’assemblée constituante (française) du 20 au 26 août 1789, stipule dans son préambule et surtout dans son art. 1le droit à la liberté et l’égalité de tout être humain. Jalouses de la dignité des hommes, les deux Déclarations universelles des droits humains défendent farouchement la liberté et l’égalité comme étant un bien imprescriptible.
La liberté de parler, de penser,bref, la liberté d’expression fait partie intégrante de l’esprit de base de la nouvelle génération des hommes. La preuve, désormais tous les textes fondamentaux à commencer celui de la Vème République (France) jusqu’aux Etats nouvellement indépendants dont Madagasikara tiennent à figurer en première loge le droit fondamental à la liberté et à l’égalité.
La démocratie étant la base de tout système politique, sauf exception de quelques Etats en retard d’au moins un siècle, fonctionne sur la base de la liberté et l’égalité. Tout compte fait, la liberté d’expression en est l’outil charnière autour de laquelle agit le principe de la démocratie.
Seulement voilà, la liberté d’expression est une arme (sabre) à double tranchant tout comme un médicament à double effet. A bon usage, le sabre (image de la liberté d’expression) peut bien servir d’«outil de défense ». Mais, le même sabre, à usage interdit, peut être utilisé comme un instrument pour abattre quelqu’un. De même, un médicament (image de la liberté d’expression) pourra bien être utilisé pour guérir. Cependant, le même médicament à l’issue d’un mauvais usage autrement d’un abus risque fort de porter atteinte à la vie.
A Madagasikara, comme dans tous les pays épris de liberté et d’égalité, la fièvre pour ne pas le dire la maladie de la liberté d’expression,assaille de plein droit les esprits. La presse et par extension les réseaux sociaux (Facebook entre autres) règne en maitre absolu à tel point de devenir une passion d’aujourd’hui. Le phénomène a l’avantage d’éveiller à chacun l’instinct de vouloir s’informer sinon de communiquer voire de s’exprimer. Et pour tous les grands évènements de la planète terre, tout le monde se trouve sur le même pied d’égalité et de liberté. Les réseaux sociaux, Facebook notamment, aiguisent la curiosité de chacun à découvrir le monde. Dans ce cas, la liberté d’expression, dans son aspect global, joue un rôle positif. Mais étant une arme à double tranchant voire à double effet, la liberté d’expression suite à de mauvais usages peut détruire la vie des autres. Quand elle s’immisce dans la vie privée voire intime des uns et des autres, la liberté d’expression par réseaux sociaux interposés risque fort d’attenter à l’honorabilité et à la dignité des autres. Dans ce cas, la liberté d’expression, les réseaux sociaux, entrent en contradiction avec l’esprit de la Déclaration universelle des droits de l’homme, versions 1789 et 1948.
Au rythme effréné du développement actuel des réseaux sociaux, d’ici ou d’ailleurs, les dirigeants politiques se doivent de prendre des dispositions utiles pour enfin juguler les effets nuisibles du crime. La cybercriminalité devient une réalité qu’il va falloir maitriser autrement, on encourt à des dangers publics. La sérénité sociale en dépend.
Ndrianaivo


Au ralenti. Il est bien connu que le secteur touristique n’a jamais enregistré sa meilleure performance en début d’année dans des pays tropicaux comme la Grande île. La basse saison n’est pourtant pas une fatalité en soi pour cette activité qui contribue à hauteur de plus de 12% sur le produit intérieur brut du pays. Malgré un ralentissement ressenti dans presque toutes les Régions de l’île sur la période entre les mois de janvier et mars, surtout sur les Régions côtières, le secteur n’est pas pour autant à l’arrêt. Avec toujours ses difficultés à se relever face à la pandémie, le secteur du tourisme et de l’hôtellerie fait à présent face à des voyants presque au rouge pour les quelques mois à venir. Avec l’annonce d’une saison cyclonique assez conséquente, une basse saison encore marquée par les séquelles de l’épidémie. De nombreux hôteliers et acteurs majeurs dans le secteur touristique songent à opter pour la carte de la prudence. « Nous avons eu beaucoup de mal à remettre les pendules à l’heure après la pénalisation sanitaire de l’année dernière. Pour tout dire, la restructuration n’est pas encore entièrement achevée. L’annonce de cette météo plus que défavorable nous est tombée dessus tel un coup de massue. Raison pour laquelle nous avons décidé de ne rouvrir qu’à la prochaine saison haute, histoire de limiter les dégâts », nous confie le responsable vente et approvisionnement d’un village de vacances situé dans le nord du pays. Ce responsable explique que la société assurant la gestion de l’île a choisi de déclarer complet sur les sites de réservation comme booking.com au lieu d’accepter uniquement deux ou trois clients pour enregistrer des taux d’occupation quasi-nuls. La raison de cette stratégie s’explique surtout par la limitation maximale des frais de fonctionnement des établissements en basse saison. Une manière de prendre du recul afin de mieux aborder les prochaines saisons rush tout en préservant les infrastructures et surtout l’image positive de leur établissement. « Chaque année, nous nous sommes toujours préparés pour faire face à la saison cyclonique. Cependant, pour celle qui arrive, les services de météorologie ainsi que le bureau national de gestion des risques et des catastrophes annoncent des conditions beaucoup plus rudes que les années précédentes, c’est la goutte d’eau qui a fait déborder le vase », conclut le responsable du village de vacances. Nombreux acteurs touristiques se retrouvent dans le même cas que ce dernier et espèrent que des mesures seront prises par les autorités compétentes afin de sauver les meubles pour la prochaine saison.
Hary Rakoto




Le fils d’un boulanger kidnappé par un boulanger ! Les six personnes trempées dans le kidnapping du petit Djivan (3ans) le 7 février dernier à Ambodivonkely, avaient été déférées au Parquet d’Anosy, après que la section de recherche criminelle et la Circonscription inter-régionale de la Gendarmerie nationale (CIRGN) d’Analamanga, les ont présentées aux médias à la caserne d’Ankadilalana, la matinée d’hier. Parmi les suspects, le cerveau présumé de l’acte, un métis chinois, propriétaire de son état d’une boulangerie sise à Ankadifotsy ainsi qu’une femme, sa complice. Le premier avait réclamé 400 000 euros soit près de 2 milliards d’ariary de rançon aux parents du petit otage. Mais ce n’est pas tout : il a également demandé 10 millions d’ariary comme une sorte d’engagement, selon les termes employés par le Chinois. Notons qu’aucune des sommes demandées n’a été finalement perçue par le gang, selon le Gal commandant la CIRGN d’Antananarivo. Quant aux quatre autres suspects, ce sont à la fois des complices et des hommes de main du gang.

Mais un bref rappel des faits s’impose ! Le mardi 7 février dernier, quatre hommes cagoulés, équipés de différents types d’armes dont des big boss, s’étaient emparés par la force du gosse dans la boulangerie de ses parents à Ambodivonkely. Les ravisseurs étaient venus en moto. Par la suite, ils ont foncé en direction d’Antanandrano où ils avaient séquestré l’enfant. Puis vint un changement de programme et de planque où ses geôliers ont ensuite emmené le petit otage à Ambatobe où ce dernier avait été par la suite relâché, précisément le lendemain même des faits, précisément le 8 février dernier. En cause, les ravisseurs ont pris peur en apprenant l’arrestation d’un de leur complice peu après même le rapt, c’est-à-dire le 7 février même.

C’était dans ces circonstances qu’une femme, sous son apparente bonne volonté, a remis le petit Djivan entre les mains du commissariat du 8e Arrondissement à Analamahitsy, le mercredi soir suivant, précisément aux environs de 20h. En réalité, la soi-disant Samaritaine, qui prétendait avoir trouvé le petit Djivan à Ambatobe pour ensuite le remettre entre les mains de la Police, n’est en fait qu’un membre du gang. “Du coup, la Gendarmerie qui a ouvert une enquête, a trouvé bizarre le comportement de cette dame. Cette Force a donc mis en place tout le dispositif nécessaire en vue d’une série de coups de filet. C’était dans ces circonstances que la Gendarmerie a arrêté la femme suspecte puis la soumettre à un interrogatoire au cours duquel elle a fait un aveu”, explique le colonel Tahina Ravelomanana, commandant la section de recherche criminelle de la Gendarmerie. De toute façon, la femme suspecte, dans ses révélations, a dénoncé ses complices et surtout le métis chinois. Ce dernier fut arrêté à son tour dans sa propre boulangerie, le dimanche suivant.
Lors de son audition, ce dernier a reconnu avoir commandité le rapt de Djivan. Il a argué avoir une énorme dette, soit 4 milliards d’ariary, auprès de ses créanciers dont le propre père du petit garçon, son homologue boulanger. Puisque le Chinois n’a plus aucun moyen pour honorer sa dette, l’idée de faire enlever cet enfant a germé dans ses esprits. Mais on connaît la suite.
“Après notre investigation, il s’avère que ce kidnapping n’a finalement aucun lien avec de la politique comme certains l’ont avancé”, certifie le Gal Jocelyn Randrianarison, commandant la CIRGN d’Analamanga. A ce dernier de préciser encore que deux autres bandits trempés dans la même affaire sont encore recherchés. “Ces deux-là sont les pilotes des motos lors de l’enlèvement”, ajoute notre interlocuteur.
A l’heure où nous mettons sous presse (Ndlr, tard dans la soirée d’hier), les auditions des suspects de l’affaire par le juge d’instruction, devraient se poursuivre encore.
Franck R.


Alors que la saison agricole souffre d’un grand déficit pluviométrique, le Roi Mohammed VI a donné ses instructions afin de mobiliser tous les efforts nécessaires pour soutenir le monde rural dans sa globalité.
Les dispositions d’urgence devant être prises, doivent permettre de trouver des solutions face aux manques de précipitions, puisque ces dernières atteignent à ce jour 75mm, enregistrant un déficit de 64% comparativement à une saison agricole dite normale, nous indique le communiqué Royal diffusé par l’agence MAP.
Le déroulement de la campagne, notamment pour les éleveurs qui souffrent du peu de pâturages et pour les cultures d’automne, est impacté négativement par le déficit pluviométrique à ce stade de la campagne agricole.
Le Souverain a souligné la nécessité pour le gouvernement de prendre toutes les mesures d’urgence nécessaires pour faire face à l’impact du déficit des pluies sur le secteur de l’agriculture, dans l’espoir que Dieu répande sa miséricorde sur notre pays et le comble de pluies bénéfiques.
Toujours selon le communiqué, en Exécution des Hautes Orientations Royales proactives à ce sujet, le programme exceptionnel élaboré par le gouvernement doit permettre d’atténuer les effets du retard des précipitations, mais aussi d’alléger l’impact sur l’activité agricole et à fournir l’aide aux agriculteurs et aux éleveurs concernés.
Le Fonds Hassan II pour le développement économique et social contribue à hauteur de 3 milliards.
Pour ce faire, le Roi a donné Ses Hautes instructions pour que le Fonds Hassan II pour le développement économique et social contribue par un montant de 3 milliards de dirhams à ce programme, qui nécessitera une enveloppe financière globale estimée à 10 milliards de dirhams.
3 axes principaux figurent au programme gouvernemental : la protection du capital animal et végétal et la gestion de la rareté des eaux,  l’assurance agricole, l’allégement des charges financières des agriculteurs et des professionnels, le financement des opérations d’approvisionnement du marché national en blé et en fourrages, outre le financement des investissements innovants dans le domaine de l’irrigation.
Source : agrimaroc.ma

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Editorial

  • 7 février 2009
    Seize ans après, la flamme demeure vive ! La flamme de la mémoire et surtout de la douleur reste allumée ! Plusieurs personnes sont décédées. Le sang a coulé. Drame, on n’est pas jusqu’à présent en mesure d’identifier ni de dresser exactement le nombre des victimes ! Seize ans après, les proches et les amis des victimes attendent toujours des nouvelles de leurs siens. En effet, le bilan reste malheureusement et curieusement du domaine du mystère. Quand est-ce qu’on l’aura élucidé cette triste et douloureuse affaire ?

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