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Changement de programme pour certains. La déclaration du jour de deuil national pour ce jeudi 23 décembre 2021, en mémoire des victimes du naufrage du bateau MS Francia à Soanierana- Ivongo, en est la principale cause. C'est le cas pour la Police nationale, plus précisément pour la cérémonie de sortie de la 26è promotion des agents et inspecteurs de Police prévue se tenir ce jour à Antsirabe. Après la sortie du décret n°2021-1462 déclarant le jour de deuil national, ladite cérémonie sera reportée demain, selon les informations recueillies.

Le naufrage de la M/S Francia, un boutre ayant effectué un transport clandestin de passagers, à Soanierana- Ivongo , et qui a provoqué la mort de 41 passagers et une centaine de disparus, continue de tenir en haleine le public et de marquer les esprits. Mais ce naufrage, causé par la panne du moteur du boutre et une avarie de la coque, a connu un rebondissement, hier. 

« Jeudi, je commençais à tousser. Deux jours après, les douleurs s'amplifiaient et j'étais de plus en plus fatiguée. Alors, j’ai décidé de faire une analyse dans un établissement sanitaire où j’étais prise en charge. Une fois sur place, ma température était de 38° et mon toux alarmait mon médecin qui m'a immédiatement recommandée ainsi qu'aux membres de ma famille - eux qui souffraient de légers symptômes - de passer un test PCR. Avec mon état de santé, les longues files d'attente au Village Voara sis à Andohatapenaka me paraissaient insupportables.

Un grand ouf de soulagement pour les chrétiens car ils pourront célébrer la naissance du Christ  dans les églises, malgré quelques restrictions. En effet, à cause de la propagation de la pandémie de Covid- 19 dans le pays, il a été annoncé que le rassemblement de plus de 100 personnes est désormais interdit. En conséquence, les églises se sont organisées pour bien accueillir Noël, plus précisément, durant la nuit du 24 et 30 décembre.

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Quid de la « troisième vague » ?

Elle est là ! Elle tue. Après les deux premières vagues de Coronavirus de 2020 et de 2021, une troisième vague atterrit au pays. Un souffle de vent impétueux déferle et happetout ce qui se hasarde en travers de son passage. Quand le nombre cumulé des décès (2020 et 2021) franchit la barre de 1 000, il y a donc mille raisons de s’inquiéter.

Fort de son succès auprès des entrepreneurs, le projet Miarina by Fihariana est relancé avec une enveloppe de 40 milliards d’ariary destinée à financer les entreprises et sociétés de petite ou moyenne envergure légalement constituées. Pour être éligibles à ce soutien financier, les entreprises doivent justifier de plus de trois années d’existence et avec un chiffre d’affaire n’excédant pas les cinq milliards d’ariary. L’idée étant de booster au maximum la relance économique en poussant les PMI et PME.

Décidemment, la Covid-19 gagne à nouveau du terrain. Alors que l’heure du déconfinement avait sonné il y a quelques mois, de nouvelles mesures ont été annoncées par le Président de la République et son Gouvernement. Effectivement, une autre vague de contaminations de ce virus mortel fait rage à Antananarivo ainsi que dans d’autres Régions de Madagascar. Depuis quelques jours, la situation s’est même aggravée, vu la hausse du nombre de nouveaux cas recensés la semaine dernière, surtout dans la Capitale. Et Malheureusement, pour le chanteur évangélique Rija Rasolondraibe, ce dernier en fait directement les frais. 

Un mort. C’est seulement aujourd’hui qu’on peut affirmer la mort d’homme suite au crash de l’hélicoptère de l’armée survenu lundi dernier à 19hOO au large de Mahambo. 


Fort de son succès auprès des entrepreneurs, le projet Miarina by Fihariana est relancé avec une enveloppe de 40 milliards d’ariary destinée à financer les entreprises et sociétés de petite ou moyenne envergure légalement constituées. Pour être éligibles à ce soutien financier, les entreprises doivent justifier de plus de trois années d’existence et avec un chiffre d’affaire n’excédant pas les cinq milliards d’ariary. L’idée étant de booster au maximum la relance économique en poussant les PMI et PME. Dans le projet Miarina, les autorités, à travers le programme Fihariana, se sont associées avec les banques BOA et BNI Madagascar. Ainsi, malgré la disponibilité des fonds et ces mesures d’allègement de la procédure, les soumissionnaires au prêt doivent se conformer à des critères de sélection.  Le prêt Miarina a, en effet, été mis en place pour les entreprises ayant des activités génératrices de revenus sur l’ensemble du territoire malagasy et œuvrant dans l’un de ces quatre secteurs dont l’agriculture et l’élevage, l’industrie, les services et le tourisme. Ces firmes peuvent contracter un prêt allant jusqu’à trois cent millions d’ariary. Pour ce qui est de la BNI par exemple, les procédures d’emprunt ont été allégées. Ce prêt aura notamment un taux de 8 % et une période de remboursement de 24 mois. Toutefois, le client pourra demander un différé de 6 mois concernant l’échéance de remboursement. Ainsi, les conditions de l’offre ont été conçues de manière à donner aux entreprises le temps de se remettre à flot avant d’entamer le remboursement du prêt. Cependant, certains opérateurs expliquent qu’ils rencontrent certaines difficultés sur ces critères d’éligibilité dans le programme. Pour leur part, les responsables du programme sont toujours prêts à continuer les discussions au niveau sectoriel avec les groupements professionnels, afin d’adapter la solution de financement par rapport au profil de ces derniers. Par ailleurs, pour élargir la portée de ces solutions de financement, des partenariats sont actuellement concoctés avec les institutions financières. Les discussions en cours devraient aboutir à de nouvelles opportunités, au bénéfice du secteur privé.
Hary Rakoto

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La une du 22 décembre 2021

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Editorial

  • Date maudite !
    Treize mai, date à effacer ! Ce samedi, jour pas comme tous les autres samedis, 13 mai 1972, date où les mouvements de grève des étudiants grossis par tous les élèves de la Capitale, prenaient une allure radicale, point de non retour, sur l’Avenue de l’Indépendance, devant l’Hôtel de Ville, baptisée désormais Place du Treize mai. Il y a cinquante-trois ans en ce jour du 13 mai 2025, les Forces républicaines de sécurité (FRS) chargeaient à balles réelles les manifestants à Analakely devant l’ancien Hôtel de Ville. Le sang a coulé ! Il y a eu des morts et des morts ! Les choses allaient se précipiter. Pris de panique sinon aux abois, feu Président de la République Philibert Tsiranana enchaînait des décisions qui aboutirent, au final, à la chute du régime PSD. Le Général de Division Gabriel Ramanantsoa, Chef d’ Etat-major de l’Armée prit les rênes du pouvoir suite…

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