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Le monde politique est en deuil ! Le politicien, Daniel Ramaromisa est décédé à l’âge de 92 ans. Considéré comme un meneur de lutte politique, cette personnalité était un des fervents opposants au régime de Marc Ravalomanana. Le président fondateur du parti « Vahoaka Vonona Sahy Vanona » avait notamment affiché son opposition au projet de réforme des partis politiques initié par le président du TIM à l’époque.

L'équipage Tahina et Ranto est au firmament. En effet, ils sont les vainqueurs du rallye Motul FMMSAM 3ème édition après avoir gagné la première rallye de la saison, hier sur l'axe Ambohidratrimo avec le meilleur scratch de 1h38 :26.0. Sur les 30 équipages en lice, 18 ont terminé l'intégralité des 12 épreuves spéciales.

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LA UNE DU 16 MAI 2022

« Toute personne physique qui aura pratiqué l'interruption de la grossesse pour motif médical au mépris des conditions prévues par la loi sera punie par les peines prévues par le Code pénal, article 317 ». L'article 28 de la Loi n° 2017-043 le précise. Ainsi, un médecin sera puni par la loi s'il pratique un acte médical pour sauver la vie de sa patiente et/ou sa santé mentale. Une des raisons pour laquelle la députée Masy Goulamaly a présenté une proposition de loi sur la dépénalisation de l'interruption thérapeutique de grossesse (ITG), en cas de maladies, de viols et d'incestes.

Manque de conviction. Depuis que la Covid-19 sévit à Madagascar, une réduction du taux de vaccination a été signalée. En effet, contrairement à ce que les personnes à l'affût de l'actualité croient, il n'y a pas que le vaccin contre la Covid-19 qui n'intéresse pas la population malagasy, mais presque tous les vaccins préservant contre diverses maladies. Hier, le Professeur Zely Randriamanantany, ministre de la Santé publique, a avancé que le taux de vaccination a été de 90 % avant l'épidémie de Covid-19. Actuellement, il est à moins de 50 %.

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Encourageante perspective !

Madagasikara, grenier de l’Afrique. La Grande île, pour une autosuffisance alimentaire. Pour une belle et même encourageante perspective, c’en est une ! Utopie, non ! C’est réalisable ! Demi-siècle sinon un peu plus auparavant, la Grande île l’était déjà. De 1965 à 1975, les productions agricoles, notamment rizicole, de Madagasikara caracolaient en première ligne en Afrique. Avec le Sénégal, la Côte d’Ivoire (pays francophones), la Grande île se trouvait en tête de peloton en termes de performance économique.

Méconnu, le système de régulation du marché est pourtant d’une importance capitale pour l’épanouissement des producteurs. L’Autorité nationale chargée des mesures correctives commerciales (ANMCC) tente, tant bien que mal, d’imposer ses principes afin que les acteurs économiques sur le marché puissent se les approprier. Mise en place depuis cinq ans, l’ANMCC a été instituée dans l’objectif de mettre en place des instruments juridiques permettant de fixer les procédures applicables en matière de mesures correctives commerciales pour protéger les industries nationales face aux pratiques commerciales préjudiciables.

Un voyage numérique qui risquera de ravir surtout les geeks de la ville des mille. Les expositions s’ensuivent mais ne se ressemblent pas à l’Institut français de Madagascar (IFM). Après l’exposition « Tomboka hasambarana » de Richianny Ratovo, les locaux de l’IFM accueillera à partir de ce lundi un autre évènement un peu plus particulier. Baptisée « Escape, voyage au cœur des cultures numériques », cette exposition élaborée par Eric Boulo et Antonin Fourneau est une proposition qui présente le tracé humain vers la voie cybernétique, mais qui met l'humain organique au sommet du système car le choix et la décision d'intégrer ou de rejeter la matrice lui appartiendront toujours au final.

Relâchement des gestes barrières, retour à la normale des conduites collectives effervescentes, faible taux de vaccination national et réouverture des frontières pourraient être les facteurs favorables à une éventuelle résurgence de la contamination à Madagascar. L’Afrique australe, dont fait partie l’île, fait en ce moment face à une augmentation des cas de Covid-19, selon l’Organisation mondiale de la Santé.

La Direction de coordination nationale de pôles anti-corruption, le PAC d'Antananarivo et celui de Mahajanga, a présenté hier un rapport annuel de leurs activités durant l'année 2021. Une année jugée bonne en raison notamment de certains critères tels que la hausse des affaires traitées par les juridictions, la tenue de plusieurs sessions de Cour criminelle ordinaire ayant permis de juger un maximum de personnes détenues impliquées aux PACs, l'atteinte par le PAC d'Antananarivo du ratio condamnés/prévenus (70/30) fixé par le ministère de la Justice.

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Editorial

  • Nécessité impérieuse
    L’Assemblée nationale vote la Loi de finances 2026. Après moult débats souvent houleux assortis de 24 amendements, les députés ont finalement adopté le Projet de la LFI – 2026 dans la journée du mardi 25 novembre 2025. C’est la première fois dans les annales des travées de l’Hémicycle de Tsimbazaza que de vifs débats agitaient les réunions en commission, en séance plénière des représentants du peuple. L’adoption du Projet de la LFI 2026 suscitait des intérêts particuliers des parlementaires. Le ministre de l’Economie et des Finances, le grand argentier de la République, Dr Herinjatovo Ramiarison, devait signaler une note positive et encourageante face à ce regain d’intérêt et d’attention que nos élus éprouvent à l’endroit des Finances de l’Etat, le « nerf de la guerre ». Pour la première fois dans l’histoire des législatures du pays que les députés ont bien voulu prendre conscience des responsabilités qui pèsent sur leurs…

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