Société

Comme on l’a annoncé dans l’une de nos précédentes publications à propos du meurtre de Tafita Sarobidy Randriamanantsoa (13 ans) à Sabotsy-Namehana, les 5 personnes impliquées dans l’affaire avaient été déférées, hier. A l’issue de l’audition des concernés, le principal suspect, en l’occurrence le prénommé Tantely, a été placé sous mandat de dépôt à la maison de force de Tsiafahy pour séquestration, atrocités et surtout homicide. La mère de Tantely, elle, a atterri à Antanimora. La Justice lui reproche notamment d’avoir assisté sans nullement réagir, ni dénoncer son fils devant l’agression mortelle du petit garçon. Quant aux trois autres suspects,…
Annoncé pour hier, le déferrement des 5 personnes impliquées dans le meurtre du petit Tafita Sarobidy Randriamanantsoa (11 ans) mercredi dernier à Ambatofotsy Sabotsy Namehana, a dû être reporté ce jour. En cause, l’affaire, après l’audition des suspects, a dû passer en instruction. De fait, le Parquet d’Anosy, qui est saisi de l’affaire, a dû reporter pour aujourd’hui encore l’annonce de la décision de la Justice sur le déferrement des incriminés.
L'offre ne suffit pas pour couvrir la demande. 100 poches par jour, soit 45 litres de sang, sont écoulées au Centre national de transfusion sanguine (CNTS) de l'Hôpital Joseph Ravoahangy Andrianavalona (HJRA). Un chiffre qui varie selon les circonstances. Durant la période des fêtes, par exemple, il atteint le double, voire le triple. Une poche contient 450 ml de sang.
En janvier dernier, l'Académie nationale de médecine de Madagascar (ANAMEM) a autorisé l'administration de la dose additionnelle et la dose « boost ». Maintenant, ce même organisme recommande aux Malagasy âgés de 12 à 18 ans de recevoir une dose de vaccin dont Pfizer. Cependant, il y a une semaine, un nouveau comité traitant toutes les activités portant sur le vaccin anti-Covid-19 à Madagascar a été mis en place par la Banque mondiale, en collaboration avec toutes les entités concernées. Toutes les décisions s'y rapportant requièrent ainsi leur validation. Une source auprès du ministère de la Santé publique a avancé…
La localité d’Ambatofotsy, Commune de Sabotsy Namehana, dans l’Avaradrano, était comme un volcan en éruption, hier. Le corps sans vie du petit Tafita Randriamanantsoa (11 ans), a été retrouvé dans les eaux de la rivière Imamba, au cours de la matinée. Le malheureux, porté disparu depuis le 8 juin dernier, a été alors assassiné de façon inhumaine. Et depuis le déclenchement de l’enquête, Il y a déjà des suspects arrêtés, au nombre de cinq, dans l’affaire. L’un d’eux est un voisin de quartier du gosse, et c’était justement chez ce voisin que la victime a fait de menus travaux domestiques…
Peu de donneurs de sang réguliers. La dernière statistique du ministère de la Santé publique avance 1 400 donneurs de sang réguliers enregistrés. Ils sont répartis au niveau des 89 centres de transfusion sanguine existants dans la Grande île. Evidemment, ce nombre ne suffit pas pour couvrir le besoin des hôpitaux, notamment durant les périodes de fête où plusieurs accidents se produisent. Les centres de transfusion sanguine sont souvent en rupture de stock.Pour certains, le don de sang se pratique seulement pour sauver l’un de leurs proches. Mais dans la plupart des cas, il est difficile de trouver des donneurs,…
La cargaison attendue au mois de juillet au port de Toamasina. Madagascar bénéficiera prochainement de 5.000 tonnes de riz à titre d'aide humanitaire provenant de l'Inde. Le sud de Madagascar, frappé par la crise alimentaire, en sera le premier bénéficiaire. L'ambassadeur indien Abhay Kumar l'a annoncé le 9 juin dernier, lors de sa rencontre avec le Premier ministre Christian Ntsay au palais de Mahazoarivo. En mars 2021, l'Inde a déjà fait don de 1.000 tonnes de riz pour les personnes touchées par la sécheresse dans le Sud. Les victimes des inondations dans le nord de l'île ont également reçu 600…

Fil infos

  • Îles malgaches de l’océan Indien - Madagascar exige des compensations  
  • Coopération militaire - GSIS, l’unité d’élite de la Gendarmerie prête à évoluer sur tous les fronts
  • Restitution des îles Eparses - Deuxième face à face à Paris ce jour
  • Intoxications alimentaires à répétition - Les causes demeurent floues
  • Diplomatie - Un juriste malgache élu au Comité onusien pour les migrants 
  • Empoisonnement à Ambohimalaza - Le bilan ne cesse de s'alourdir
  • Coopération Emirats arabes unis - Madagascar - Une centrale solaire de 50MW bientôt à Moramanga
  • Président Andry Rajoelina - « 65 ans d’indépendance sont signe de maturité historique »
  • Bus électriques, nouvel avion militaire,… - Le Chef de l’Etat concrétise ses engagements
  • Madagasikara - A l’unisson !
Pub droite 1

Editorial

  • Mission délicate !
    Le second round de la négociation entre la France et Madagasikara sur les îles Eparses devait débuter à Paris dans la journée d’hier 30 juin 2025. La première étape de la rencontre entre les deux délégations avait eu lieu à Antananarivo en 2019, au Palais de Premier ministre à Andafiavaratra, tout juste en début du premier mandat de l’actuel Chef d’Etat Rajoelina Andry, et réélu pour un second mandat en 2023. La délégation malagasy conduite par la ministre malagasy des Affaires étrangères, Rasata Rafaravavitafika, composée de huit membres, devait rejoindre la capitale française pour être présente au rendez-vous fixé. Huit membres, des experts dans leur domaine respectif, qui ont la lourde tâche de présenter et défendre la cause nationale sur les îles Eparses. Madagasikara revendiquait depuis toujours du moins depuis la Deuxième République, la souveraineté de la Grande île sur ces « îles » tant convoitées et objet de discorde…

A bout portant

AutoDiff