Société

Les dégâts matériels causés par l'incendie qui s'est produit avant-hier au Vatobe, 67ha sont colossaux. Outre ceux qui sont partis en fumée, beaucoup de biens ont été dérobés par des voleurs. D'après l'explication de Jean Marc, parmi les victimes des larcins, il a pu sauver quelques-uns de ses meubles comme l'armoire, le canapé, ainsi qu'un écran plat, une radio, une machine à coudre, les vaisselles. Mais dès que ces objets sont sortis de la maison, ils ont été emportés par des voleurs.
Affrontement mortel. Une attaque à main armée, orchestrée par quatre malfaiteurs, a avorté hier. Aux alentours de 12h30, des échanges de coups de feu ont eu lieu sur la route du Marais Masay. Dépêchés sur place, des éléments de la Police ont mis fin à la tentative des bandits, celle de faire un assaut du côté d’Analamahitsy, et saisi leurs armes.
Les tests s'enchaînent. Les prisons de Toamasina et d'Antanimora sont jusqu'ici les seules à enregistrer des cas confirmés de Covid-19 depuis le début de la pandémie, en mars dernier. Selon les informations émanant de la Direction générale de l'Administration pénitentiaire (DGAP), Toamasina a noté au total 41 cas, touchant entre autres 5 mineurs détenus. Certains d'entre eux ont obtenu une liberté provisoire et sont soignés ailleurs. « 21 détenus sont actuellement mis en quarantaine dans un bâtiment situé dans l'enceinte de la prison de Toamasina, où ils sont sous surveillance et bénéficient de soins et contrôles réguliers des médecins.
Appel aux citoyens. Dans le cadre de la célébration du 60ème anniversaire du retour de l'indépendance et du Programme Initiative Emergence Madagascar, le ministère de la Communication et de la Culture (MCC) prend l'initiative d'appeler les citoyens pour une rebaptisation des infrastructures publiques à Madagascar, au nom de différentes personnalités toujours en vie ou disparues. « Que ce soit un simple citoyen, association, descendants d'artistes, sportifs, enseignants, leaders religieux qui souhaitent inscrire leurs noms à une rue, à un établissement scolaire ou sanitaire, camp militaire peuvent se manifester pour une dénomination de nos infrastructures publiques », explique Razafiarison Francis Alexandre,…
« La distribution gratuite des masques à l’endroit de tous les Tananariviens, la réactivation ainsi que la construction des laboratoires d’analyse, ainsi que la mise à disposition des établissements sanitaires publics représentent des efforts déployés par le Gouvernement pour maintenir la propagation du coronavirus. Malheureusement, ces efforts demeurent vains et sont plutôt de l'argent jeté par la fenêtre dans le cas où personne ne respecte les recommandations sanitaires établies face à cette crise sanitaire ». Un résumé de l’intervention assez tendue du Général Elack Olivier Andriankaja, coordonateur général du Centre de Commandement Opérationnel (CCO) - Ivato, hier vers 13h à…
Une intense fumée noire montait dans le ciel de la Capitale, hier vers 16h 30. Les sirènes des voitures des sapeurs-pompiers traversant les différents quartiers de la ville ont fait penser à un fort incendie quelque part dans la ville. « Au moins quatre camions des soldats du feu, issus de la caserne de Tsaralalàna, sont passés par ici pour rejoindre le quartier des 67 ha », narre un quadragénaire d’Antohamadinika. Vu de loin, le feu paraît embraser plusieurs quartiers ou secteurs dans cette localité de 67Ha « Vatobe ».La triste information est livrée d’une manière officieuse en début de…
Composés majoritairement de malades et de leurs accompagnateurs. 96 ressortissants malagasy bloqués en Inde, particulièrement à New Dehli et Bombai, renforcent leurs appels de détresse à l’endroit des autorités compétentes. « Nous sollicitons un rapatriement le plus tôt possible, puisque la plupart d’entre nous ne disposent plus les moyens pour rester ici. De plus, le Covid-19 frappe davantage de personnes vulnérables, dont les patients qui ont subi des interventions chirurgicales. Pourtant, bon nombre d’entre nous sont venus en Inde pour des transplantations d’organes, notamment de reins. Il y a déjà beaucoup de guéris, après avoir subi les opérations et/ou suivi…

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Editorial

  • Débrayage inapproprié
    Les employés de la JIRAMA déclenchent un mouvement de grève. Sauvage ou irréfléchie ! Anachronique ou irresponsable ! Anti-économique ou contre-productive ! On hésite de quel adjectif devrait-on qualifier de façon précise cette énième grève du personnel de la JIRAMA. Quoi qu’il en soit, un débrayage dans un service public est toujours considéré comme inapproprié. Quels que soient les arguments avancés pour justifier le geste, un arrêt de travail d’un service public comme celui de la JIRAMA pénalise en premier lieu les usagers. Les clients, pour ne pas le dire la population, se voient priver de leurs besoins fondamentaux : l’eau et l’électricité. En fait, ils sont punis pour quelque chose dont ils n’ont rien à voir. Dans ce genre de situation, les innocents usagers sont toujours les premières victimes. Et éternelles victimes ! Déjà en temps « normal », ils subissent le calvaire dû aux délestages intempestifs et aux…

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