Société

Les limiers de la Brigade criminelle (BC3) ont arrêté un homme de 48 ans, vendredi dernier à Toamasina, pour vol d'une voiture avec suspicion d'empoisonnement de son propriétaire. L'affaire a démarré par la location d'un fourgon Mercedes Sprinter en vue d'un acheminement d'équipements médicaux dans le cadre de la lutte contre la propagation du Covid-19.
692 personnes ont vaincu le coronavirus depuis la détection du premier cas de cette pandémie en mars dernier à Madagascar, c'est-à-dire plus d'un tiers des malades. En espace de deux jours, 194 personnes ont été guéries dont la plupart d'entre elles se trouvent dans la Région d'Atsinanana.
Le troisième centre médical de la Fondation Akbaraly à Madagascar. Après ceux de Fianarantsoa et de Mahajanga, le centre Kintana d'Antananarivo vient d'ouvrir ses portes hier à Ambatomena. L'établissement, mis en place alors que le Covid-19 est apparu dans la Grande île, accueillera les malades atteints du virus. Il dispose d'infrastructures supplémentaires pour ce faire, dont 10 respirateurs sur 10 postes. « Le centre reçoit uniquement les cas graves puisque ce sont des appareils pour réanimer et intuber.
Branchement illicite et négligence. Telles sont, en général, les principales causes des incendies qui ont lieu, ces derniers temps, dans la ville d’Antananarivo. D’après le service des sapeurs-pompiers de Tsaralalàna, 37 incendies ont été enregistrés dans deux mois seulement dans la Commune urbaine d’Antananarivo, avec 2 morts à Avaratr’Ankatso. Le mois de mai, 20 incendies ont été recensés jusqu’au 17 juin, c'est-à-dire un incendie par jour.D’après la constatation, au moins un tiers des accidents sont provoqués par des branchements illicites. Vient ensuite, la négligence comme une bougie non éteinte, sinon un feu de cuisson. A cela s’ajoute la promiscuité, faute…
115. Tel est le nombre de personnes infectées, identifiés au cours de ces deux derniers jours, rien que pour Antananarivo. Sur les 60 nouveaux cas déclarés samedi dernier, 44 ont été recensés dans la Capitale. « Vendredi dernier, l’Institut Pasteur de Madagascar a réalisé 151 tests PCR à Antananarivo dont les résultats ont révélé 44 personnes positives, localisées dans la Capitale. De son côté, le laboratoire mobile mis à disposition à Toamasina a réalisé 100 prélèvements. A l’issue des analyses, 16 porteurs du virus, à savoir 12 venant de Fénérive-Est et 2 autres à Toamasina ont été identifiés », avance…
De retour dans le pays depuis quelques jours. Les 176 travailleuses migrantes en situation de vulnérabilité et le bébé de 13 mois, récemment rapatriés de Koweït, sont actuellement mis en quarantaine dans deux sites d’hébergement temporaires, situés à Ambatomirahavavy. Entre de bonnes mains, elles bénéficient d’une prise en charge complète, dont la couverture des besoins de première nécessité, comme l’hébergement, l’alimentation et les produits d’hygiène. De plus, une assistance psycho-sociale a été proposée aux femmes ayant subi des violences, ou présentant des troubles de stress post-traumatiques liés à de possibles situations d’exploitation dans le pays de destination. Plusieurs cas vulnérables…

Accidents - 3 victimes de chocs mortels

Publié le vendredi, 19 juin 2020
Au moins une personne a perdu la vie et deux autres grièvement blessées lors des accidents de la circulation survenus entre la nuit de jeudi et hier matin, et ayant surtout impliqué des motos, dans la Capitale et ses environs. A commencer par le drame qui a emporté tragiquement, dans la soirée du jeudi, un motocycliste sur un chemin passant près de la cité des étudiants entre Ankatso et Ambohipo. Des témoins affirment qu’un 4x4 l’avait percuté à cet endroit-là avant qu’il ne disparaisse vers une destination inconnue. Sur place, un constat révèle que la chance était mince pour le…

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Editorial

  • Débrayage inapproprié
    Les employés de la JIRAMA déclenchent un mouvement de grève. Sauvage ou irréfléchie ! Anachronique ou irresponsable ! Anti-économique ou contre-productive ! On hésite de quel adjectif devrait-on qualifier de façon précise cette énième grève du personnel de la JIRAMA. Quoi qu’il en soit, un débrayage dans un service public est toujours considéré comme inapproprié. Quels que soient les arguments avancés pour justifier le geste, un arrêt de travail d’un service public comme celui de la JIRAMA pénalise en premier lieu les usagers. Les clients, pour ne pas le dire la population, se voient priver de leurs besoins fondamentaux : l’eau et l’électricité. En fait, ils sont punis pour quelque chose dont ils n’ont rien à voir. Dans ce genre de situation, les innocents usagers sont toujours les premières victimes. Et éternelles victimes ! Déjà en temps « normal », ils subissent le calvaire dû aux délestages intempestifs et aux…

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