La devise des Forces armées « Ho an’ny tanindrazana » est plus que jamais d’actualité en cette période de crise sanitaire. En effet, outre les membres du personnel médical, les hommes en treillis sont également au front dans ce combat contre le Covid-19. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle l’accueil et la prise en charge des malades du centre de traitement au Palais des sports de Mahamasina ont été en grande partie confiés aux médecins et spécialistes dans les rangs des militaires. L’on ne doute d’ailleurs pas de la force et l’influence de notre Armée. Plus d’un pense que l’arrivée massive des Forces de l’ordre à Toamasina a contribué, en grande partie, à maîtriser la pandémie dans la capitale du Betsimisaraka. La présence des hommes en uniforme a encouragé les citoyens à respecter les gestes barrières ainsi que les mesures liées au confinement.
La lettre envoyée par le ministre de la Santé publique, Ahmad Ahmad, aux partenaires techniques et financiers a fait des vagues sur les réseaux sociaux et suscité des réactions en haut lieu. Une correspondance dans laquelle il fait appel à une aide d’urgence pour la gestion de la crise liée au Covid-19 en joignant une liste de fournitures et équipements nécessaires. Par conséquent, le Gouvernement, à travers une déclaration signée par son porte – parole, en la personne du ministre de la Communication et de la Culture, Lalatiana Andriatongarivo, a émis un communiqué visant à recadrer l’action du ministre. D’après le communiqué, la lettre en question relève d’une initiative du ministre de la Santé et n’a pas reçu l’aval des membres du Gouvernement.
Non, le nombre de nouveaux cas, rapporté quotidiennement dans l’émission spéciale Covid 19 diffusée sur les stations audiovisuelles publiques et privées en milieu de journée, n’est pas le reflet de la situation au jour J-1 et ce, contrairement à ce qui est ancré dans l’opinion publique jusqu’ici. Cela ne sous-entend nullement cependant que les chiffres rendus publics par les sources officielles soient erronés, loin de là. Il se trouve seulement que, pour différentes raisons, les chiffres en question sont décalés.
En vingt ans de règne sans partage, l’Amiral Didier Ratsiraka gavait le peuple l’espoir un jour d’un « paradis socialiste ». Chaque jour que le Bon Dieu fait, les dirigeants et les prosélytes de l’idéologie socialiste à la doutchéenne du régime AREMA de Ratsiraka arpentaient monts et vallées à travers le pays pour « évangéliser la bonne nouvelle » d’un paradis sur… terre. Lequel paradis qui n’est autre que l’aboutissement de la lutte révolutionnaire, le « Tolom-piavotana ».
Ces derniers jours, le traitement des cas symptomatiques au niveau des Centres de santé de base, niveau II (CSB II) devient un sujet polémique sur les réseaux sociaux. Nombreux se plaignent de l’absence des médicaments ou encore de la défaillance, sans parler de la non gratuité du traitement. « Les CSB II ne sont pas censés effectuer des analyses pour identifier si le patient est atteint du coronavirus. Ceci dit, notre attribution porte sur le traitement symptomatique dont le renforcement du système immunitaire avec de la vitamine C.
Un nouveau prix affiché. Le ministère de l’Industrie, du Commerce et de l’Artisanat (MICA) a annoncé, hier, le prix de référence du kilo de la vanille préparée durant cette nouvelle campagne 2020-2021. Une légère baisse a été constatée car le prix à l’exportation passe de 350 à 250 dollars, soit une diminution de 100 dollars, tandis que le tarif sur le marché national s’élève à 650 000 ariary s’il était de 900 000 ariary l’année dernière, soit une réduction de 250 000 ariary.
Un délai de grâce accordé. Trois-quarts des sinistrés recensés au site d’hébergement dans l’enceinte de Ny Havana aux 67Ha, soit plus de 800 personnes, s’y abritent encore. Et cela, un mois après le tragique incendie survenu le 22 juin dernier à Andohatapenaka, à l’issue duquel un millier de personnes réparties dans plus de 300 familles ont perdu leurs habitations et la majorité de leurs biens. « Ces sinistrés aurait dû quitter les lieux 10 jours après le drame si l’on se réfère au plan de contingence national.
Exploiter les avantages des technologies. Depuis le début de la lutte contre la propagation de la pandémie de coronavirus dans le pays, l’événementiel a été parmi les premiers secteurs impactés. Avec l’annulation des concerts, des spectacles, des divers salons, sans oublier les mariages, le secteur se retrouve aujourd’hui en grande difficulté. Toutefois, son cas est rarement abordé. Pour faire face à cette situation, les opérateurs ont ainsi étudié au cours des derniers mois, la possibilité d’organiser des salons sur la toile.