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Des coups de feu ont déchiré le début de matinée parfaitement paisible des habitants de la banlieue nord de la Capitale. Cela s’est produit vers les premières heures de la matinée, précisément vers 8h à Ambohidratrimo, sur la RN4, hier.  Peu après cela, plusieurs témoins affirmaient avoir vu deux corps inanimés baignant dans une mare de sang, non loin d’un check-point de la Gendarmerie à Ankadimainty-Manakambahiny, Commune d’Anosiala, sur la RN4. Il s’agit des cadavres de bandits, lesquels ont été transportés à la morgue de l’HJRA.

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LA UNE DU 08 AVRIL 2022

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La une du 07 avril 2022

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Les actus en bref

Compagnie Ewa Air : Prête à desservir Majunga, Nosy Be et Antsiranana
La compagnie aérienne Ewa Air, basée à Mayotte, se dit prête à reprendre ses vols vers Madagascar et notamment vers les destinations jugées phares à savoir Majunga, Nosy Be et Antsiranana. Elle n’attendrait plus que l’autorisation des autorités malagasy pour effectuer son retour dans la Grande île. Ewa Air se spécialise dans la liaison aérienne reliant Mayotte et Madagascar.

Air Mauritius : Quatre vols hebdomadaires pour son retour à Madagascar
Suspendue sitôt rétablie au mois d’octobre de l’année dernière, la liaison entre Madagascar et l’île Maurice reprendra de nouveau. La compagnie mauricienne « Air Mauritius » profitera de cette reprise en programmant des vols commerciaux à destination de Madagascar et de l’île Maurice. Ses vols programmés quatre fois par semaine, mardi, mercredi, jeudi et samedi, seront effectifs  à partir d’aujourd’hui. Air Mauritius assurera ses opérations par les Airbus, A350-900 et A330-900 neo.

Retour des vols internationaux en Russie : Madagascar classé « pays ami »
Le gouvernement russe va rétablir les liaisons aériennes vers 52 pays, notamment l’Inde, la Chine et les pays du Maghreb, suite à l’amélioration de la pandémie de Covid-19 – sans rapport officiellement avec la suspension le mois dernier de quasiment tous les vols internationaux vers et depuis le pays suite à l’invasion de l’Ukraine. A partir du 9 avril 2022 selon le régulateur Rosaviatsia, « toutes les restrictions sur les vols réguliers et à bas coûts entre la Russie et 52 pays seront levées ». Les pays concernés sont l’Afrique du Sud, l’Afghanistan, l’Algérie, l’Arabie saoudite, l’Argentine, le Bahreïn, la Bosnie-Herzégovine, le Botswana, le Brésil, la Chine, la Corée du Nord, le Costa Rica, l’Égypte, l’Éthiopie, les îles Fidji, Hong Kong, Israël, l’Inde, l’Indonésie, l’Irak, la Jamaïque, la Jordanie, le Kenya, le Koweït, le Liban, le Lesotho, Madagascar, la Malaisie, les Maldives, le Maroc, l’île Maurice, la Moldavie, la Mongolie, le Mozambique, le Myanmar, la Namibie, Oman, le Pakistan, le Pérou, les Philippines, les Seychelles, la Serbie, le Sri Lanka, la Syrie, la Tanzanie, la Thaïlande, la Tunisie, la Turquie, l’Uruguay, le Venezuela, le Vietnam et le Zimbabwe.

Taxi-moto : Clin d’œil au maire Naina Andriantsitohaina
Des représentants des taxis-motos dans la Capitale ont exprimé, hier, leur avis quant à la décision de la CUA d’interdire leur activité. Néanmoins, l’espoir est de mise de leur côté suite à la déclaration du maire de la ville demandant au Conseil municipal de revoir sa position. Ainsi, ils espèrent la régularisation de leur situation et promettent de suivre les recommandations et exigences imposées par la Commune urbaine d’Antananarivo.


Du rififi au HVM. Mohamed Rachidy aurait été écarté de son poste de secrétaire général national du parti HVM. L’information au conditionnel circule activement dans le microcosme politique malgache dernièrement. Elle n’a jusqu’ici pas été confirmée ni infirmée par les premiers concernés. Cependant, certains éléments tendent à confirmer cette information. La signature de Mohamed Rachidy n’est plus celle au bas des déclarations et communications du HVM depuis quelque temps. Celle du secrétaire général adjoint Alain Désiré Rasambany prend désormais place sur lesdites communications.
Par ailleurs, il est intéressant de noter que depuis ce mois d’avril, Alain Désiré Rasambany ne signe plus en tant que SG adjoint, mais en tant que secrétaire général national par intérim du parti. C’est notamment le cas dans la dernière déclaration du HVM où ce parti adresse ses félicitations aux fidèles musulmans à l'occasion du début du mois sacré du Ramadan. Un titre de SG national par intérim que l’ex-conseiller technique de l’ancien président du Sénat Rivo Rakotovao a également étrenné lors d’un débat sur les stations publiques malgaches la semaine dernière.
En tout cas, les raisons de ce changement ne sont pour l’heure pas connues. Le silence des premiers concernés conforte l’idée répandue auprès des observateurs de relations de plus en plus tendues à la tête du HVM. Il serait loin le temps de la lune de miel. On serait plus proche du divorce, selon des commentaires sur les réseaux sociaux. Si l’information sur une mise à l’écart est avérée, l’une des questions que se posent les observateurs est également de savoir si Mohamed Rachidy est encore membre du HVM ? 
Les dissensions au sein de l’ancien parti majoritaire ne sont pas un fait nouveau. Cette formation a toujours été sujette à des phénomènes de scission internes même du temps où elle tenait le haut du pavé. Les divergences de vue ont fini par éclater le parti en plusieurs sous-groupes à la veille des présidentielles de 2018. Lors des législatives et des communales/municipales, les accords sur le profil des candidats à aligner sur la ligne de départ étaient difficiles à trouver. Le Sénat majoritairement HVM n’avait également pas été épargné par ces luttes intestines.
La Rédaction








Les étudiants de l'université d'Antananarivo sont descendus dans la rue cette semaine afin de réclamer le paiement de leurs bourses d'études. Ils ont bloqué la circulation que ce soit à Ankatso ou à Ampefiloha en brûlant des pneus sur les chaussées pour attirer l'attention des responsables. Effectivement, le paiement des bourses a connu un retard considérable pour cette année universitaire  en raison des defaillances des procédures de la digitalisation. " Ce paiement des bourse n'est pas centré au niveau du Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique (MESUPRES), diverses entités sont impliqués et quand l'une d'entre nous échoue à sa mission, c'est tout le système qui est remis en question d'où la situation actuelle. Plus précisement, une fois la commission bourse auprès des universités respectives établit la liste complète des bénéficiaires,  elle l'achemine auprès du Mesupres pour un suivi et contrôle.  Et apres vérification de notre part, cette liste est exportée au Ministère du Développement Numérique de la Transformation Digitale des Postes et des Télécommunications (MNDPT) qui délivre la carte. Et c'est au rôle du Ministère de l'Economie et des Finances (MEF) de procéder au paiement.  Pour vous dire que la transaction se réalise maintenant en ligne et il n'y a plus de listes d’inscrits faussées. Malheureusement,  nombreux sont ceux qui n'apprécient pas cette démarche et se servent des étudiants pour montrer leur mécontentement" a expliqué une source auprès du Mesupres. Cest ainsi que mardi dernier, le MEF le MESUPRES et le MNDPT se sont réunis  au Siège du MEF à Antaninarenina afin de définir les attributions de chaque ministère dans ce processus des paiements numeriques afin d'assurer la fluidité du processus des paiements des bourses d’étudiants ainsi que des salaires, etc.. Il s'agit également d'une rencontre pour la mise en place du système de paiement digitalisé à travers la carte E-poketra par la Paositra Malagasy (PAOMA) et des cadres techniques et réglementaires se rapportant audit projet.
Il faut savoir que cela fait à peu pres 50 années que la question relative à la bourse d'études constitue une problèmatique récurrente à Madagascar. La digitalisation et suivi du parcours des étudiants  de l'enseignement supérieur a été donc la solution trouvée par l’Etat pour assainir la gestion financière au sein des universités et surtout garantir le paiement régulier et à temps des bourses. "Plus de 12 à 13 milliards d'Ariary sont perdus au cours des transactions effectuées dans le cadre du paiement des bourses d'études à Madagascar avec les étudiants fantômes. Les universités nous font parvenir le nombre des bénéficiaires et le gouvernement se charge d'envoyer un montant qui y correspond  et ainsi de suite. Une pratique qui a considérablement favorise les abus à tous les échelons des structures universitaires. Il nous est arrivé  par exemple d'envoyer les bourses pour les étudiants de Toamasina sans que les  concernés n'ont perçu  à temps leur part"  a ajouté la même source.
KR.



Santé, éducation, culture, formation en ressources humaines, protection de l’environnement, douanes, échanges d’information. Tels sont les secteurs concernés par les accords de collaboration entre l’Inde et Madagascar. Les signatures des conventions y afférentes ont été finalisées ou sont prévues prochainement. Parmi les projets déjà réalisés récemment figure le lancement d’une Chambre de commerce Inde-Madagascar, afin de renforcer davantage les liens commerciaux entre les 2 pays. Du côté de Tsaralalàna, un triangle vert « Mahatma Gandhi » a été mis en place dans la Capitale, à la fois pour développer l’espace vert en ville mais aussi pour symboliser la paix et la préservation de l’environnement.
Selon les informations recueillies, plus de 17500 personnes d’origine indienne, principalement du Gujarat, vivent et travaillent à Madagascar. « L'Inde considère Madagascar non seulement comme un partenaire bilatéral important, mais aussi comme un pôle vital dans la vision maritime collaborative de SAGAR « Security and Growth for all in the Region », s’est exprimé Abhay Kumar, ambassadeur de l’Inde dans le pays, lors d’une visite rendue au Premier ministre Christian Ntsay, mardi dernier au Palais d’Etat de Mahazoarivo. Une occasion pour les deux parties de passer en revue les progrès réalisés dans le cadre des relations bilatérales entre l’Inde et Madagascar.
P.R.
 




Moins d’un an après sa nomination au poste de directrice de la Communication et des Relations publiques, Soatiana Rajoelisoa a été remerciée selon la décision du Conseil des ministres qui s’est tenu avant – hier au palais d’Etat d’Iavoloha. Nommée au début du mois de juin 2021, l’ex – Dircom de la Présidence aura donc occupé son poste pendant 10 mois. Une durée beaucoup plus courte que son prédécesseur, Rinah Rakotomanga, nommée en 2019 jusqu’en 2021. D’après toujours la communication faite à l’issue du Conseil des ministres, Soatiana Rajoelisoa a été remplacée par Lova Hasinirina Ranoromaro, nouvelle directrice et non moins porte – parole du Président de la République. A nombreuses reprises, la nouvelle Dircom avait déjà revêtue, bien que de manière officieuse, le maillot de porte – parole du Chef de l’Etat. A preuve, ses nombreuses sorties médiatiques depuis l’année dernière et durant lesquelles elle a exprimé la position officielle du numéro un de l’Exécutif sur divers sujets brûlants de l’actualité nationale comme le remaniement du Gouvernement, le trafic de ressources minières, la concrétisation des « Velirano » du Président entre autres. Aujourd’hui, elle est donc confirmée à cette fonction tout en assurant la communication de la Présidence et cède sa place de directeur du cabinet civil à l’ex – ministre de l’Environnement et du Développement durable, Baomiavotse Vahinala Raharinirina.
A près d’un an et quelques mois avant l’échéance présidentielle de 2023, ce changement de tête au sein de la Direction communication et Relations publiques au sein de la Présidence apparait comme stratégique aux yeux de nombreux observateurs. En tout cas, force est de constater que l’Exécutif a procédé à une vague d’abrogations lors des Conseils des ministres ces dernières semaines.
Sandra R.

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Soyons francs et honnêtes !

Soit vous êtes du côté du régime ! Soit vous êtes contre le régime ! Peut-être, il y a une troisième option, soit vous êtes de la majorité silencieuse ! En plein océan, un homme ne peut pas être à la fois sur deux barques, fut-ce un acrobate champion du monde de grand écart !
En prise à une grave crise interne, le régime Orange traverse ces temps-ci une zone de turbulence. Crise de croissance ! Conflit de générations ! En tout cas, des tensions en interne s’explosent et s’éclaboussent sur la place publique. On étale les linges sales au grand jour !
L’ARMADA, la puissante plateforme politique soutenant Rajoelina Andry, le candidat portant le dossard n° 13 en 2018 et l’accompagnant à l’avènement du régime Orange, vole en éclats. Le MAPAR, le MMM, le « Hiaraka Isika », le « Avana », le AVI, les cinq partis alliés pour la victoire du fondateur du TGV ne parviennent plus à garder intacte l’unité. Le MMM de Hajo Andrianainarivelo, la formation politique de poids disposant dans son escarcelle des élus parlementaires et communaux, claque la porte. Les autres restent à la « maison » et ont affiché leur fidélité à la « famille » du moins pour le moment. La raison exacte du clash demeure inconnue du grand public. Toutefois, le MMM confirme que sa formation ne quitte pas, pour le moment, la majorité présidentielle….
La zizanie atteint aussi le noyau central du pouvoir. Le « Tanora Gasy Vonona » (TGV) vit de même des moments difficiles en ces temps-ci. La friction qui ébranle l’intérieur de la plateforme soutenant le Président va beaucoup plus loin en profondeur. Certains ténors du parti créé par Rajoelina ne vont pas par quatre chemins pour crever publiquement l’abcès qui mine le TGV. Le député élu d’Ikongo, l’un des fidèles d’entre les fidèles lieutenants du Président, « règle ses comptes » comme le stipulent certains devant tout le monde. D’aucuns notent que les boulets rouges atteignent même le sommet du parti. Aux observateurs de s’interroger, le député Brunelle va-t-il quitter sa propre « famille politique » ou bien s’agit-il d’une simple démonstration de… farce ? Il était allé trop loin tout de même !
Tout juste une question de franchise et d’honnêteté !
Ndrianaivo


Tentaculaire. Après le Sénégal, les Comores, Mayotte, La Réunion, le Togo et bien sûr, Madagascar, le groupe Malagasy Axian a annoncé, hier, avoir finalisé l’acquisition de la filiale fusionnée de Millicom, MIC Tanzania Public Limited Company (réunissant Tigo et Zantel), en Tanzanie. Cette opération apporte à Axian Telecom près de 14 millions de clients mobiles et accélère le développement en Afrique du groupe, désormais présent sur huit marchés. En effet, l’aura d’Axian a dépassé depuis quelques années les frontières de Madagascar où il est né. Après un développement dans la région, le groupe est devenu africain avec plus de trois mille cinq cents salariés dans l’océan Indien et sur le continent. Le projet de développement ambitieux du consortium dirigé par AXIAN Telecom prévoit des investissements importants en Tanzanie au cours des cinq prochaines années afin de renforcer la couverture réseau et la qualité de service de la nouvelle entité MIC Tanzania Plc. « Avec l’acquisition de MIC Tanzania Plc, Axian Telecom ouvre un nouveau chapitre de son histoire en Tanzanie. Nous sommes très enthousiastes à l’idée de démarrer cette nouvelle aventure avec nos collègues tanzaniens et je suis convaincu qu’ensemble, nous mènerons à bien de grands projets qui contribueront à forger l’avenir digital de la Tanzanie. Nous tenons à remercier le Gouvernement de la République Unie de Tanzanie et le Gouvernement révolutionnaire de Zanzibar de nous avoir aidés à mener cette opération à son terme, et nous nous réjouissons de continuer à collaborer avec eux. », explique le président d’Axian Telecom, Hassanein Hiridjee.
Inclusion numérique et financière
À travers cette acquisition, Axian ambitionne d’accompagner la transformation numérique du pays par le déploiement de technologies et de services de pointe au service des entreprises et des particuliers tanzaniens. Le consortium a accès à des backbones et à des câbles sous-marins dans la région lui permettant de mettre en place des connexions plus solides pour relier la population tanzanienne au reste du monde tout en généralisant l’accès à des services mobiles abordables et développer l’inclusion numérique par des investissements significatifs dans les infrastructures de télécommunications. Le consortium prévoit d’offrir aux clients tanzaniens une meilleure couverture réseau et une amélioration de la qualité de service, en particulier pour le réseau 4G. De plus, l'inclusion financière est aussi dans la ligne de mire du groupe en s’appuyant sur le succès des services financiers mobiles de MIC Tanzania Plc pour poursuivre le développement de nouveaux services adaptés aux besoins des clients tanzaniens. Le consortium veillera également à ce que MIC Tanzania Plc bénéficie de l’expertise du Groupe en matière de développement de services financiers mobiles dans d’autres pays.  S'appuyant sur son expertise notamment dans le déploiement de technologies de pointe telles que les réseaux 5G et le développement réussi de services financiers mobiles, Axian Telecom ambitionne de dynamiser l'écosystème des télécommunications en Tanzanie en s'attachant à garantir une meilleure expérience aux clients. Pour rappel, Axian intervient dans les finances, les télécoms, l’énergie et l’immobilier. Depuis 2017, le groupe a rejoint d’autres fonds d’investissement dédiés à l’Afrique comme Emerging Capital Partners, Adenia et Partech Africa dans le but de participer à une croissance inclusive et pérenne du continent.
Hary Rakoto

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Editorial

  • Ixième évasion ! 
    Passoire ! Rien n’a changé, au contraire tout s’aggrave. On sort comme on entre dans ce pays … librement. En dépit de bons mots, de belles promesses et de beaux engagements, les défaillances d’hier se répètent aujourd’hui et demain, à chacun de nous de le deviner. Le Chef de l’Etat Rajoelina Andry tape pour la énième fois sur la table. Lors de son célèbre intervention radiotélévisée du 4 mai, le Président de la République dénonce énergiquement et juge inacceptable la faille permettant au désormais le fugitif, le colonel Patrick Rakotomamonjy fauteur de délits avérés, de prendre le large en parvenant à se faufiler entre les mailles d’un Camp réputé hyper sécurisé en pleine Capitale. Inadmissible et impensable !

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