On dit souvent qu’un pays a des élus qu’il mérite. Indéniablement vrai, une Assemblée d’élus est le résultat des urnes des citoyens électeurs locaux. Tout de même, il existe certains députés, normalement ou légalement choisis selon la règle indiscutable de la démocratie, qui déchantent.
A suivre de près le cortège des projets de loi, initiés par les députés eux-mêmes qui débarquent à l’Hémicycle, force est de constater que nombre de ces projets frisent le ridicule. Des simulacres de projets de loi qui ont fait couler beaucoup d’encre et ont déchainé la risée et la rage des réseaux sociaux, ne cadrent pas dans la crédibilité du Parlement.
La loi attribue aux membres du Parlement l’initiative de proposition de loi. Ils peuvent échafauder un projet à soumettre à l’Assemblée après avoir obtenu le feu vert du Gouvernement. Seulement, les sujets abordés jusque-là prêtent dans la majorité des cas à des équivoques voire à des polémiques.
Une proposition de loi relative à la légalisation et à la libéralisation de la production et de la commercialisation du rhum artisanal, le « toaka gasy » débarqua à Tsimbazaza. Une première tentative datant de la mandature d’avant concoctée par un député, un élu de la Sofia, mais qui n’a pas pu passer le « triage » de la séance plénière. Pour une deuxième tentative, un autre député, de la présente mandature, un élu de l’ancienne Province de Fianarantsoa, revient à la charge et parvient à faire passer le « toaka gasy » du cap de la session plénière. Mais bicamérisme oblige, il fallait réussir à franchir le cap d’Anosikely, au Sénat. Au final : l’échec. Et cela, pour raison de santé, avance-t-on. Effectivement, il faut veiller à tout prix aux intérêts vitaux de tous.
L’élu parlementaire du Sud soumet à l’Assemblée nationale un projet de loi modifiant et complétant certaines dispositions de la loi du 22 août 2016 sur le « Pôle anti-corruption », PAC. Après d’âpres débats tant sur la place publique qu’au Parlement et en dépit des mobilisations autant intérieures qu’extérieures contre le risque de donner des ailes à l’impunité, le projet réussit à passer.
Une députée élue du grand Sud propose une loi autorisant l’interruption de la grossesse pour des raisons médicales (ITG). La levée des boucliers de diverses sensibilités du pays avec en tête de file l’Eglise ne se fait pas attendre. Finalement, le projet a été botté en touche !
Une autre députée, élue d’un Arrondissement d’Antananarivo, soumet pour son compte un projet de loi modifiant l’ordre de l’héritage. En fait, le projet vise à reclasser vers le haut le conjoint veuf ou la conjointe veuve, sur le droit à l’héritage. En réalité, la proposition bute aux us et coutumes, encore très respectés, du pays. L’élue d’Antananarivo a dû se plier.
Ibidem sur le projet de loi sur le « reclassement » des dépôts de médicaments au même rang que les officines de pharmacie. Une des propositions d’un élu du Melaky qui n’a pas manqué de soulever de vifs débats. Ce parlementaire aussi dut se rendre à l’évidence au fait que ses pairs ont ajourné la séance.
Les contribuables se demandent si nos élus manquent de visibilité sur la perception de vrais problèmes et intérêts du pays et de devoir mentionner qu’on se livre à des projets bidon.
Ndrianaivo
Un tournoi inédit. Les championnats de Madagascar de golf amateurs se dérouleront du 15 au 19 novembre 2021 au Golf du Rova à Andakana. Divers lots alléchants sont promis aux amateurs. Outre les billets d’avion et divers autres lots, une voiture attend le futur champion de Madagascar de cette catégorie pour cette année. Ce sera le plus grand rendez-vous golfique du pays car tous les golfeurs de 8 à 70 ans sont attendus à Andakana durant ces dates.
« Beaucoup de jeunes du pays s’intéressent actuellement au golf. Des primes seront offertes au champion catégorie Pro et une voiture pour les amateurs », a promis Ranaivo Andrianasolo, président de la Fédération malagasy de golf.
« Ce championnat ouvrira aussi la voie aux golfeurs malagasy vers les échéances internationales. Nous saurons au fur et à mesure dans quelle compétition nos golfeurs participeront », a-t-il renchéri.
La compétition débutera par les éliminatoires de Pro dans un « Cut », éliminatoires pour déterminer qui disputeront les phases finales, les 14-15-16 novembre. Les amateurs entreront en lice les 17-18 et 19 novembre.
Des lots spéciaux seront offerts aux meilleurs drivers des trois catégories dans le trou 18 et le plus près du drapeau pour le trou n°5 et n°10.
« Le futur champion de Madagascar Pro sera celui qui rend le meilleur total en brute sur trois tours. En cas d’égalité pour le titre de champion, le partage se fera en « Sudden Death », sur le trou 18 en boucle. Un Cut se fait après 36 trous », explique Johary Raveloarison, directeur technique national et seul professionnel malagasy à avoir participé à une compétition internationale.
Au minimum, les organisateurs attendent dans les 50 à 75 participants dans les catégories Hommes (série 1,2,3) Dames ( série 1,2,3) et Juniors mixte et les super seniors à partir de 75 ans pour les Hommes et 70 ans chez les Dames. Le droit d’inscription est de 50 000 ariary pour les adultes et 30 000 ariary pour les enfants.
Elias Fanomezantsoa
Les interpellations pour cause de corruption s’enchaînent. Cette fois – ci, les investigateurs du Bureau indépendant anti – corruption (BIANCO) ont mis la main sur une affaire de recensement de bovidés au sein de la Commune rurale de Beampombo I, District de Betroka et dans laquelle un chef d’Arrondissement administratif a été épinglé pour corruption. Ses victimes, deux propriétaires et héritiers de 109 têtes de bovidés. D’après les informations obtenues sur cette affaire, le fonctionnaire en cause leur a réclamé une somme de 1 765 900 ariary, en plus d’une somme de 300 ariary par tête pour les 403 bovidés déjà recensés en leur nom. Un montant exorbitant exigé sous prétexte de régulariser le recensement de ces bovidés. Selon des sources bien informées, une somme de 1 100 000 ariary a déjà été versée au suspect le 20 octobre 2021.
Informée de la date prévue pour le paiement de la deuxième tranche restante, fixée pour le 3 novembre dernier, l’équipe de l’investigation de la direction territoriale du BIANCO à Toliara a organisé une opération de constatation de cette infraction. Ce qui a permis de prendre le chef d’Arrondissement administratif en flagrant délit et conduit à son garde à vue.
Entière coopération de la Justice
Bien qu’il s’agisse d’une procédure d’enquête de flagrance, les enquêteurs se sont heurtés à la difficulté d’application de certaines dispositions du code de procédure pénale liée au statut de haut fonctionnaire de ce chef d’Arrondissement. Au final, le ministère de la Justice a fait preuve de grande volonté d’appliquer la loi afin d’éviter toute impunité et de faire primer l’impartialité dans le traitement du dossier. A l’issue de son déferrement au Parquet du Tribunal de première instance de Betroka, le 5 novembre dernier, le chef d’Arrondissement en cause a été placé sous mandat de dépôt.
L’entière coopération du ministère de la Justice dans la mise en œuvre de la politique pénale visant à promouvoir l’enquête de flagrance constitue un signal fort qui donne un nouveau souffle à la lutte contre la corruption. Cette politique placée par le BIANCO consiste à établir des preuves irréfutables qui facilitent les procédures pénales contre les personnes suspectes dans les infractions de corruption. Avec de telles procédures, la population s’attend donc à d’autres arrestations liées à des affaires de corruption à grande échelle qui pourront aussi faire tomber des « gros poissons ».
La Rédaction
En attendant la naissance de Madagascar Airlines et la décision du Tribunal commercial concernant Air Madagascar, cette dernière compagnie continue ses activités. L’avion affrété par la compagnie aérienne nationale malagasy a atterri hier matin à l’aéroport international d’Ivato. Il s’agit du premier vol en provenance de l’Europe/France depuis l’ouverture des frontières de Madagascar, selon le communiqué de la Présidence publié hier. Après avoir assisté au Sommet mondial sur le climat ou COP26 qui s’est tenu à Glasgow en Ecosse, le Président Andry Rajoelina, a été à bord de ce vol avec « ses compatriotes Malagasy qui sont venus rendre visite à leurs familles et voir leurs proches ».
Un autre vol a débarqué hier dans la soirée à Ivato. Ce vol, affrété par la compagnie aérienne nationale française, était « full » au départ de l’aéroport Charles de Gaulle en France pour rejoindre la Grande île. En comparaison avec notre voisine, l’île Maurice, qui a enregistré un peu plus de 2 000 débarquements lors du premier jour de la réouverture des frontières, les mouvements des voyageurs enregistrés à Ivato, le week-end dernier, semblent assez timides. Cependant, cela représente déjà une bouffée d’oxygène pour tous les secteurs susceptibles d’avoir été impactés par la fermeture des frontières depuis près de 18 mois déjà. Par ailleurs, partagés entre recul et optimisme, quelques acteurs touristiques locaux sont venus en nombre à l’aéroport d’Ivato pour tâter le terrain à l’occasion de l’ouverture officielle du ciel aux touristes internationaux. L’accueil chaleureux faisant la réputation de l’île, teinté d’un folklore typique d’Antananarivo, attendait les quelques centaines de passagers débarquant du premier vol post Covid affrété par Air France.
Réalités
« Nous sommes venus à Ivato pour voir les réalités dans lesquelles les touristes sont accueillis. Une manière de rassurer les potentiels clients auprès desquels nous prospectons présentement. Depuis janvier, nos activités ont littéralement cessé. Pour le moment, nous n’avons enregistré aucune réservation malgré l’annonce de la réouverture du ciel. Nous comptons sur ces derniers mois pour espérer rebondir, ne serait-ce que pour arrondir les angles », explique un Tour opérateur de la Capitale. Les conditions de débarquement sont toujours maintenues à l’instar de la présentation du résultat négatif d’un test Rt-PCR réalisé 72h avant l’embarquement, la réalisation d’un test Rt-PCR à l’arrivée à Madagascar, à la charge du voyageur à hauteur de 25 euros, soit environ 115 000 ariary, qu’il faudra payer à l’arrivée à Antananarivo en espèces ou par carte bancaire, en attendant la formalisation sur les billets d’avion. Sans oublier la présentation d’une lettre d’engagement de confinement jusqu’à obtention du résultat du test ainsi que le remplissage d’une fiche de suivi des déplacements après la période de confinement ou encore la présentation d’une attestation de réservation pour 2 nuitées et paiement d’une chambre d’hôtel pour au moins 1 nuitée pour le confinement. Par ailleurs, selon les autorités, il est possible de venir depuis un pays non européen mais les vols sont uniquement au départ de la France (CDG), de Maurice (Sir Seewoosagur Ramgoolam) ou de La Réunion (Roland Garros). De plus, l’aéroport d’Antananarivo est le seul ouvert aux vols internationaux et régionaux.
La rédaction
Une édition pleine de surprise autant pour les exposants que pour les organisateurs, ainsi que les visiteurs. La 23ème édition du Salon international de l’habitat (SIH) s’est clôturée sur une note positive, hier, au parc des expositions Forello, à Tanjombato. Malgré la crise sanitaire générée par la pandémie de coronavirus, les opérateurs commencent à retrouver petit à petit leur rythme de travail. Ce retour à la normale contribuera à redonner un nouveau souffle à l’économie du pays, qui a particulièrement souffert au cours des deux dernières années. Cette édition a aussi permis de mettre en valeur les offres en matière de logements, sans oublier le talent des artistes malagasy.
Pour cette édition du SIH, les organisateurs ont été particulièrement étonnés par l’enthousiasme des participants. « En comparaison avec l’édition de l’année dernière, nous avons enregistré une hausse de participation de 40 %. De plus, toute la chaîne opératoire du secteur de la construction a été représentée sur les lieux. Il y a eu des éditions en effet où les acteurs dans le domaine de l’aluminium étaient plus prédominants. Cette fois-ci, tout le monde a été bien représenté, offrant ainsi aux visiteurs une panoplie de produits et services adaptés », explique Michel D. Ramiaramanana, président du comité d’organisation de l’événement, en dressant un bilan promoteur de l’événement, hier à Tanjombato. Et cet enthousiasme a été particulièrement récompensé. « Je cite des entreprises au hasard mais les grandes marques comme Makiplast ou encore Hazovato nous ont confié que leurs chiffres d’affaires n’ont jamais été aussi élevés que cette année. Elles ont réalisé beaucoup de ventes au cours des quatre derniers jours. Ces résultats prouvent que l’objectif du redémarrage économique est atteint. Marquer la reprise de l’économie du pays n’est pas aussi simple. En tout cas, nous sommes déjà sur la bonne voie », se réjouit le responsable. De toute manière, pour renflouer ces résultats, un travail collectif doit se faire, notamment dans le domaine du Bâtiment et travaux publics (BTP), sans oublier les autres secteurs-clés. Toutefois, la question de l’urbanisation doit être abordée au quotidien, surtout avec la pression démographique actuelle. Dans ce sens, des projets émergent déjà autant dans le secteur public que dans le privé. « Il faut être en mesure de proposer des logements pour tous et pas seulement pour ceux qui en ont les moyens », conclut Michel D. Ramiaramanana.
Les lotissements ont le vent en poupe…
Nouvelle tendance du moment… Terrains prêts à bâtir, appartements, villas, résidences. Un large choix à la disposition de toute personne désirant avoir sa propre maison. Le désir des familles malagasy d’être propriétaire ne s’est pas estompé au fur et à mesure des années. Au contraire ! Les constructions se multiplient d’année en année. Pour preuve, en moins d’une décennie, la consommation de ciment a doublé à Madagascar. Cette consommation se concentre particulièrement à Antananarivo et Toamasina. Et selon les prévisions des experts dans ce domaine, cette consommation pourrait de nouveau doubler pour les dix prochaines années. De plus, les opérateurs rivalisent d’idées aujourd’hui afin de proposer des produits répondant à ce besoin d’avoir une maison. A cet effet, plusieurs agences font la promotion de maisons ou de terrains adaptés aux demandes des futurs propriétaires. A titre d’exemple, l’agence Max Immo, pour sa part, propose des terrains prêts à bâtir du côté d’Andoharanofotsy. « Il s’agit d’un site haut de gamme, un quartier résidentiel en pleine expansion. Tout a été conçu pour faciliter les constructions et le quotidien de nos futurs propriétaires. En effet, nous nous occupons déjà de tous les travaux de terrassement. Nos clients peuvent alors construire tout de suite leur maison selon l’architecture de leur choix. De plus, les branchements en eau et en électricité se trouvent également à proximité. En ce qui concerne l’accessibilité, nous nous sommes aussi occupés de tout. Il faut noter également que nos lotissements se trouvent à proximité des écoles, des hôpitaux, mais aussi des églises et des épiceries », explique le responsable de cette agence durant le Salon international de l’habitat. Au vu de l’engouement des clients potentiels, Max Immo prévoit d’organiser des visites dès cette semaine pour permettre à ses futurs clients de visualiser leur future maison sur le terrain qu’ils auront choisi.
Quant à la Société immobilière Rundong International Development, avec la Résidence Rundong située du côté de Tanjombato, elle propose des appartements haut de gamme suivant les standards du marché. Lors du SIH, les visiteurs ont notamment déjà pu avoir un aperçu des futurs appartements que cette entreprise est en train de bâtir.
Même si ces lotissements proposent des offres intéressantes, les visiteurs préfèrent encore prendre le temps de réfléchir. « L’achat d’une maison n’est pas similaire à l’achat d’un tennis ou d’un four électrique. C’est un investissement sur le long terme. Il ne s’agit donc pas d’une décision à prendre à la va-vite, et cela afin d’éviter d’avoir des remords par la suite après avoir pris une quelconque décision. J’ai pris connaissance aujourd’hui que les offres sont désormais très étendues dans la Grande île. Après, c’est à moi de peser le pour et le contre pour bien choisir », soutient Gérard, employé dans le secteur privé.
Une plateforme d’expression pour les artistes
La 5ème édition de la Biennale des arts s’est déroulée en parallèle avec cette 23ème édition du Salon international de l’habitat. Les organisateurs ont voulu donner une plateforme dédiée aux artistes pour qu’ils puissent s’exprimer librement. « Les peintres ne sont pas vraiment valorisés à Madagascar. Il nous appartient, aux médias et aux organisateurs d’événements, de faire un petit focus là-dessus. Nous avons une expérience séculaire dans le domaine artistique. Notre esthétique a souvent retenu l’attention des plus grands », soutient Michel D. Ramiaramanana, président du comité d’organisation du SIH. Pour cette Biennale, Mamy Heriniaina Andrianantoaniana, alias Thanus, a pu exposer ses œuvres sur le thème « Multi-expression ». « Ce sont huit tableaux complémentaires. Ils ont pour objectif d’explorer l’humain sous ses états d’âme. Nombreux d’entre nous se mentent à nous-mêmes mais rares sont ceux qui sont réellement eux-mêmes, à l’intérieur comme à l’extérieur. Cependant, chacun peut avoir sa propre interprétation. Chacun est libre », confie Thanus.
Dossier réalisé par Rova Randria
Convoqué pour la première fois par le Coach Eric Rabesandratana, pour honorer le maillot de l'équipe nationale malagasy, Barea de Madagascar, Nomena Andriantiana ne cache pas son ambition pour le football du pays.
L’affaire relative à l’interception, dans la matinée de jeudi, d’un taxi-brousse transportant illégalement une cargaison de bois de rose, par la Gendarmerie du côté d’Ambohimalaza, sur la RN2, connaît un développement récent. Hier, le conducteur ainsi que le propriétaire supposé de la marchandise, ont été déférés au Parquet, puis finalement placés sous mandat de dépôt à Tsiafahy. « Nos éléments sont justement en route pour les raccompagner jusqu’à la maison de Force de l’Atsimondrano au moment où nous conversons », a déclaré le capitaine Toky, Andriambeloniaina, commandant de compagnie de l’Imerina centrale de la Gendarmerie, hier au milieu de l’après-midi.
Une menace actualisée à chaque saison des pluies. Des milliers d'habitants issus de plusieurs quartiers d'Antananarivo, notamment ceux de la Haute Ville, sont actuellement concernés par les risques d'éboulement de terres ou de rochers. La récente descente des autorités sur place, jeudi dernier, confirme ce fait. Selon les informations recueillies, 470 toits dans la partie Ouest et 350 autres dans la partie Est, aux environs de Manjakamiadana, sont localisés dans la zone rouge.
Près de 252 élèves ayant obtenu leur brevet dans la Commune rurale d'Ankaraobato vont pouvoir poursuivre leurs études en niveau III dans cette même localité. Effectivement, dans le but d'améliorer la qualité et le niveau d'études ainsi que de réduire le taux d'abandon scolaire, l'ambassade de Japon à Madagascar a déboursé environ 315 500 000 ariary dans le cadre du projet lié à la construction du lycée situé dans ladite Commune rurale.
Jour-J, ce 6 novembre, de la réouverture du ciel malagasy aux vols internationaux. Les vols domestiques et régionaux, déjà opérationnels depuis le 24 octobre, fonctionnent timidement. Fermé depuis le 20 mars 2020, date de la détection des premiers cas positifs de la Covid-19, des cas importés, sur le sol malagasy, le ciel de Madagasikara n'a pu être de nouveau ouvert que ce jour du 6 novembre 2021. Notons qu'à partir de ce même jour du 20 mars 2020, les autorités du pays ont décrété « l'état d'urgence sanitaire » incluant automatiquement des mesures sanitaires obligatoires dont entre autres le confinement, le port du masque et les mesures barrières sur toute l'étendue du territoire national.