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Le grand départ. Antsaly Ny Aina Rajoelina représentera la Grande île à l'élection de « Miss World 2024 ». Elle s’envolera aujourd’hui pour l'Inde, plus précisément vers sa Capitale, New Delhi où elle rejoindra dès le 18 février les 120 autres prétendantes à ce titre de Miss Monde. Notre candidate à cette compétition garde la tête haute et espère une place pour la grande finale. Mais avant tout, comme toutes ses concurrentes, elle devra passer plusieurs épreuves. Ainsi, les candidates vont d’abord passer par le test « Head to Head Challenge », comme lors des précédentes éditions de ce concours. Il s’agit d’une épreuve qui consiste à tester leurs capacités d’expression orale, de réflexion et d’intelligence. 

Un nouveau scandale. Après l’affaire de corruption et de racket perpétrée par des fonctionnaires du Commerce, l’affaire d’appropriation illégale d’un domaine privé de l’Etat à Tanamasoandro, une nouvelle affaire de corruption vient d’être révélée au grand jour. Des véhicules destinés au Programme élargi de vaccination (DPEV) du ministère de la Santé publique ont été détournés. Un ancien chef de service administratif et financier du ministère, en collusion avec le propriétaire d’un garage privé et un complice spécialisé dans le dépouillement de biens publics, sont accusés d’avoir orchestré le plan frauduleux.

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Députations - La caution quadruplée

Tous aux urnes le mercredi 29 mai prochain. L'article 20 de la loi organique 2018-010 du 11 mai 2018 établit un cautionnement de 20 millions d’ariary pour chaque candidat ou liste de candidats, par circonscription électorale, en vue de couvrir les frais d’impression des bulletins de vote pour les élections législatives. La Commission électorale nationale indépendante (CENI) avait initialement proposé une caution à 10 millions Ar pour les élections législatives de cette année, soit le double par rapport aux précédentes élections en 2019, mais cette proposition n'a finalement pas été retenue. Ainsi on se retrouve à quatre fois, le montant de l’ancienne caution qui était de 5 millions d’ariary lors de la dernière élection législative.

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La une du 16 février 2024

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Cuisine interne


A chaque République sa Constitution ! A chaque pays sa loi ! A chaque peuple sa culture et son identité ! Et à chaque Etat sa souveraineté ! La République malagasy est membre de droit et à part entière de l’Organisation des Nations unies (ONU) et ce depuis le retour à l’indépendance de la Grande île en 1960. Elle adhère aux principes généraux et fondamentaux sur lesquels l’Organisation est fondée depuis son origine en 1945. Entre autres, la « Déclaration universelle des droits de l’homme », adoptée le 10 décembre 1948 en Assemblée générale composée de 58 Etats membres à Paris. Le respect de l’intégrité territoriale de chaque Etat membre. Engagement de chaque pays membre à garantir la sécurité et la paix mondiale. Engagement de chaque Etat membre à ne pas s’immiscer dans les affaires intérieures de chaque Etat membre de l’ONU. Quelques points essentiels du principe fondamental de l’ONU auxquels chaque Etat membre est tenu strictement de veiller au respect. Par ailleurs, tous les organismes rattachés à l’ONU et toutes les Organisations non gouvernementales (ONG) affiliées sont de même tenus à respecter les affaires intérieures de chaque Etat membre.
Les députés et les sénateurs, convoqués en session extraordinaire, ont voté sans amendement ni modification  le projet de loi n ° 2024 – 001 soumis par le Gouvernement complétant et modifiant certaines dispositions du Code pénal malagasy. La loi votée, un texte élaboré par le ministère de la Justice, atterrit au greffe de la Haute Cour constitutionnelle pour le besoin de contrôle de constitutionnalité.
Dès lors que la loi, en question, fut votée par les deux Chambres parlementaires, certaine ONG telle qu’Amnesty International lève le bouclier. Elle fustige la loi n° 2024 – 001 nouvellement adoptée comme étant contraire à la Constitution malagasy ainsi que les dispositions générales garantissant les droits humains de la Communauté internationale dans la mesure où elle inflige une peine corporelle. En effet, la loi votée donne droit à la castration chimique ou corporelle (chirurgie) des auteurs de viols sur mineurs et d’agressions sexuelles selon l’âge de la victime. La Garde des Sceaux, ministre de la Justice, Landy Mbolatiana Randriamanantenasoa, apporte des éclairages. Elle martèle qu’il s’agit d’abord d’une initiative du ministère public pour durcir les sanctions pénales et également et surtout d’un acte dissuasif. Le tout pour mettre le holà à ce genre de crime barbare qui, ces derniers temps, a tendance à se multiplier jusqu’à commettre des meurtres d’une atrocité inhumaine sinon intolérable et cela contre des mineurs de bas âge. Inadmissible !
La passe d’armes entre le ministère public (Justice) et Amnesty suscite le débat sur la souveraineté d’un Etat à gérer ses propres affaires intérieures. Certes, Madagasikara fait partie intégrante des Nations unies mais le pays a pleinement le droit de régler les propres affaires intérieures qui le concernent comme étant une « cuisine interne » dictée par les priorités et les obligations locales. Une disposition qui n’est pas contraire à l’esprit des principes fondamentaux de l’ONU. Certains observateurs s’indignent d’un geste aux apparences  d’harcèlement de cette ONG contre le régime en place.
On ne peut pas accuser un Etat de mettre en place des dispositifs de loi garantissant la sérénité, la sécurité et la paix sociale de son peuple.
Ndrianaivo

 


La population est aux abois. « Les gens paraissent fous. Ils ne se concentrent plus à leur gagne-pain quotidien alors que nous sommes en pleine période de soudure », s’inquiète une mère de famille à Morarano- Gare. La panique y demeure encore vive, deux jours après les attaques violentes perpétrées par des hors-la-loi dans cinq villages contingents dans la nuit du 13 février (cf. La Vérité du 14 février). « Chaque jour, la peur tenaille tout le monde à la nuit tombante », ajoute-t-elle.
Malgré la vigilance de la Gendarmerie, les bandes téméraires ont encore frappé ailleurs la nuit suivante. Elles ont écumé quelques hameaux isolés en brousse dans la Commune suburbaine d’Ambohibary- Moramanga. Les habitants ont pris la précaution de déguerpir aux moindres signes suspects, laissant ainsi derrière eux le champ libre aux malfaiteurs.
Sur leur passage, ceux-ci ont consommé les marchandises dans les boutiques et ont détruit le reste de ce qu’ils n’ont pas pu avaler. Ils auraient cherché de l’argent que les propriétaires en fuite de bonne heure ont emporté sur eux. Le nombre exact d’assaillants est difficile à établir. Ce qui est sûr est qu’ils agissent en groupes et en réseaux. Certains disent quelques dizaines à la fois.
L’actuelle insécurité rampante dans le District de Moramanga est sans précédent. Décidément, cette circonscription que le Président Andry Rajoelina a visitée exactement une semaine passée est subitement devenue rouge en matière de banditisme. Des bandes organisées semblent infester toutes les subdivisions de son territoire. En effet, les supputations vont bon train.
D’aucuns suspectent derrière cette occurrence préoccupante jamais vue un dessous politique. La multiplication des attaques s’est élancée à la veille de l’annonce de la création de la future Région de Mangoro. Les assauts en brousse semblent s’intensifier après la grande annonce faite à Moramanga le 9 février où le sommet de l’Etat a confirmé la séparation en deux de la Région d’Alaotra-Mangoro.
D’autres suspectent l’approche des élections législatives et communales qui devraient se tenir incessamment. Deux autres suppositions aussi reviennent assez souvent. D’un côté, l’on songe à l’impossibilité pour les habitués du trafic de carburants dérobés sur le site minier d’Ambatovy. Beaucoup y ont trouvé durant des années une source de revenu importante. Mais ce n’est plus le cas depuis quelque temps déjà.
D’un autre côté, l’attention se tourne vers l’éventuelle existence de groupes de délinquants ou criminels venus d’ailleurs. Ceux d’Anjozorobe auraient migré dans le haut bassin de Mangoro. En tout cas, les gangs intrépides disposent de renseignements sûrs et bénéficient du service des complices locaux qui connaissent bien le terrain. Autrement, ils n’oseraient pas défier les gendarmes qui font le nécessaire pour les rattraper.
La situation qui fait perdre le fil aux habitants ne laisse pas les responsables indifférents. L’Organe mixte de conception (OMC), présidé par le chef de District, tient des réunions régulières pour trouver des solutions. Plus particulièrement, les gendarmes de Moramanga qui sont à la fois au four et au moulin, malgré la situation de limite bien connue à Madagascar, ne lâchent pas prise. La traque des membres de ces « organisations nuisibles » continue.
La population reste sur le qui-vive en attendant le retour au calme. Certains préfèrent passer la nuit dehors en dépit du mauvais temps. « A Andrika (à l’ouest de la ville de Moramanga sur la RN2 vers Antananarivo, ndlr), les gens dorment dans les buissons avec leurs motos », rapporte un informateur. Mercredi, à cause de la panique générale, le chef-lieu de la Commune rurale de Morarano- Gare, d’habitude grouillant, a ressemblé à une ville morte en pleine journée.
M.R.


Le processus d’élaboration de la nouvelle Stratégie nationale de lutte contre la corruption (SNLCC) de Madagascar est en cours. Le dernier Conseil des ministres en date a approuvé la mise en œuvre de celle-ci. La Grande île est actuellement dans la dernière année de mise en œuvre de la stratégie décennale (SNLCC 2015-2025). La prochaine étape du processus est la signature de l’arrêté qui met en place le comité de pilotage. Présidé par la présidente du Comité pour la sauvegarde de l’intégrité Sahondra Rabenarivo, ce comité travaillera ensuite sur cette révision pendant environ neuf mois, avec l'objectif de présenter la nouvelle stratégie lors de la Journée internationale de lutte contre la corruption en décembre. Les travaux préparatoires sont en cours, avec des consultations intensives prévues pour le deuxième trimestre de 2024, suivies d'ateliers de validation et de présentation au cours du quatrième trimestre, précise la présidente du CSI, au cours d ‘une interview dans les nouveaux locaux provisoires de son entité dans le bâtiment de l’Autorité de régulation des technologies de la communication à Andohatapenaka, hier dans la matinée.
La SNLCC en cours a été initiée en 2015, avec des réformes majeures du cadre institutionnel et législatif, notamment l'adoption des lois 2016-020 et 2016-021, établissant les pôles anti-corruption et intégrant l'Agence pour la répression des infractions liées à la corruption (ARAI) et le Service de renseignement financier (SAMIFIN) dans le système anti-corruption.  Sahondra Rabenarivo souligne que les réformes passées ont établi une base solide, mais qu'il est temps de réfléchir à leur efficacité et de s'adapter aux nouvelles tendances, telles que la digitalisation comme outil anti-corruption et la prise en compte des impacts différenciés sur les droits de l'homme, en particulier pour les femmes. Le comité envisage d'élargir la perspective en incluant des domaines tels que la corruption dans le sport, un sujet d'importance croissante au niveau international.
Le processus de consultation pour l’élaboration de la nouvelle stratégie sera inclusif, impliquant la société civile, les organismes gouvernementaux, et d'autres parties prenantes, avec des descentes en région prévues pour le troisième trimestre de 2024.  Sahondra Rabenarivo souligne l'importance d'une adhésion accrue du Gouvernement et de la population, mettant en lumière les erreurs passées. La communication ouverte et les consultations approfondies sont au cœur de cette nouvelle approche. L’objectif est de créer une stratégie nationale qui reflète les réalités du terrain. Alors que le processus est en cours, la présidente du CSI confirme avoir obtenu le soutien au plus haut niveau et l'accord de principe des bailleurs de fonds.  La nouvelle SNLCC, prévue pour décembre, aspire à être une réponse dynamique, adaptée aux défis émergents de la corruption.
Lalaina A.


Récemment, une paisible localité située dans le District de Fandriana a été le théâtre d'une réunion tumultueuse. Trois associations aux intérêts divers, notamment une association de femmes, une autre dédiée aux personnes âgées, et une association catholique ont tenu une rencontre. L'objectif affiché de cette rencontre était la préparation du 8 Mars, célébration de la Journée internationale dédiée aux droits de la femme.
Cependant, l'événement a pris un tournant inattendu avec la brusque irruption d'un sénateur en exercice. Les témoignages recueillis suggèrent que l’élu aurait proféré des menaces à l'encontre de l'Assemblée, en particulier à l'égard des fonctionnaires présents. L’irritation du parlementaire aurait été suscitée par la présence d'un opérateur économique bien connu dans la Région. Selon les informations disponibles, le sénateur aurait émis une interdiction formelle à tous les fonctionnaires de collaborer de quelque manière, que ce soit avec cet entrepreneur.
Le motif de cette hostilité envers l'opérateur économique semble résider dans des suppositions selon lesquelles celui-ci envisagerait de se lancer dans l'arène politique, en se présentant potentiellement aux prochaines élections législatives, et éventuellement de rivaliser ainsi avec le candidat soutenu par l’élu.
Ce climat de tension et d'intimidation a suscité de vives réactions parmi ceux qui dénoncent ce qu'ils qualifient de « terrorisme moral » à l'encontre des fonctionnaires dans les zones reculées du pays. Ces agents se retrouvent ainsi pris dans une situation délicate. Les observateurs soulignent que de telles situations mettent en lumière la complexité des relations politiques locales et les défis auxquels sont confrontés les fonctionnaires dans l'exercice de leurs fonctions.
E.F.

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Inondation - La Capitale vit au ralenti

Inondation des rues, bouchons monstrueux, commerce en berne. La vie dans la Capitale tourne au ralenti. Les fortes précipitations persistent dans la Grande île et ne s'arrêteront que la semaine prochaine, d'après les prévisions météorologiques. Pour Antananarivo, plusieurs endroits sont sous les eaux, dont le centre-ville, les bas-quartiers comme Andravoahangy et Besarety, Andavamamba, Ampefiloha, Ankorondrano, Ainsi, les rues sont inondées, engendrant des difficultés pour le déplacement de la population ainsi que ses activités. Le quotidien des Tananariviens suit donc le rythme des embouteillages qui sévissent tout au long de la journée jusque tard dans la nuit.
Des usagers témoignent par exemple sur les réseaux sociaux que le trajet entre Faravohitra et Ampandrana prend une heure et demie. Il en est de même sur l’axe Ankorondrano. « L’eau atteint des niveaux dangereux pour la conduite. Les véhicules positionnés devant peinent à avancer et la plupart tombent en panne, ou bien certaines voitures sont coincées dans un trou. Ce soir, pas moins de 5 taxis ayant roulé sur l’axe Ankorondrano ont été victimes d’une noyade de leur moteur. Et d’après la configuration de cette route, le dépassement n’est possible qu’à certains endroits. Il faut donc patienter au volant, encore et encore ! », indique A. Benjamin, à bord de son véhicule 4x4.
Les marchands touchés de plein  fouet
Le business est aussi affecté par ce mauvais temps. Les ventes ne sont pas bonnes. De nombreux vendeurs du marché d’Alakamisy ont dû plier bagage très tôt hier, craignant la dégradation de leurs marchandises. Mais au moins, les trottoirs se vident des squatters plus tôt que d’habitude en raison du mauvais temps qui persiste. Du côté de Behoririka, les magasins étaient pleins, non pas par les clients, mais par ceux qui cherchent un abri pour ne pas se faire tremper par la pluie. « L’entrée de notre boutique est totalement obstruée par ceux qui fuient la pluie. Par conséquent, les clients ne font que passer mais n’entrent plus. Depuis lundi, on rentre à peine dans les comptes », selon le gérant d’un enseigne de mode à Behoririka.
Les ménages doivent aussi composer avec la pluie. En effet, les activités sont restreintes  à la maison. Pas de sport ni de ballade, et même la télé est hors service. « Ici à Isotry, on ne prend pas le  risque d’allumer les appareils électriques vu que l’eau arrive au niveau de la cheville. D’ailleurs, le courant est souvent coupé. Dans ces conditions, il vaut mieux tout arrêter au risque de se faire électrocuter ou provoquer un incendie à cause d’un court-circuit », selon Heriniaina, tout en tentant d’évacuer l’eau qui arrive à l’intérieur de sa maison à l’aide d’un seau.
Nikki Razaf























Samedi dernier, les quatre individus impliqués dans le braquage d’un véhicule, qui a transporté le fonds appartenant à une société, ont été déférés au Parquet, samedi dernier. A l’issue de leur audition par le procureur, ce dernier a décidé de placer trois suspects sous mandat de dépôt à Tsiafahy. Seule la quatrième, puisqu’il s’agit d’une femme, a bénéficié d’une liberté provisoire.
Les faits remontent le 29 janvier dernier à Anjohy où ces bandits ont braqué le véhicule. Tout a commencé lorsqu’une autre voiture a doublé celle de cette entreprise avant qu’elle ne s’était mise brusquement en travers de la route, de façon à ce que le convoyeur de fonds soit totalement bloqué. Du coup, six individus armés ont jailli de la voiture non identifiée, selon une source policière. Les assaillants ont menacé avec des fusils les employés piégés dans leur véhicule, complètement terrifiés que surpris. C’était dans ces circonstances que ces derniers étaient obligés de remettre le fonds, qui atteindrait une centaine de millions d’ariary, aux malfaiteurs. La Police n’a toutefois pas confirmé la véracité du montant volé. Tout s’était rapidement passé. Même les passants, témoins à la scène ont été pétrifiés. Car une fois qu’ils ont eu le butin, les bandits ont regagné leur voiture et foncé vers une destination inconnue. Depuis, la Brigade criminelle ou BC4 a démarré l’enquête, qui a été couronnée de succès, bien sûr après une période de recherche intense et un travail d’arrache-pied.
 
 Mais voyons maintenant comment les fins limiers de la BC4 ont réussi à mettre les suspects dans leur filet. Outre les arrestations, la Police a également saisi trois armes à feu ainsi que des couteaux que les assaillants ont utilisés lors de ce braquage. Tout a démarré par des prises en filature des suspects mais également des pièges. C’était dans ces circonstances que deux suspects tombaient dans le filet de la BC4, le 31 janvier dernier. C’était sur les concernés que les armes ont été saisies. Par la suite, un troisième larron, désigné comme celui qui aurait perpétré directement le braquage, a été arrêté à Antohomadinika, le 1er février dernier.
Les Forces de l’ordre ont retrouvé un sabre ainsi qu’une partie du butin, soit 30 millions d’ariary à son domicile, lors d’une perquisition. Puis, ce fut une cascade de coups de filet : le suspect qui conduisait la voiture qui a transporté le gang fut appréhendé à son tour, sur la RN7.
Et on connait la suite. Tous ces individus ont été déférés samedi dernier avant que leur sort ne soit fixé, du moins pour trois d’entre eux.
Franck R.

 

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Editorial

  • Touches finales
    Madagasikara s’apprête à accueillir la 45ème édition du Sommet de la SADC 2025. Au stade où l’on est, les préparatifs atteignent les touches finales. Le moment sinon l’étape où aucune erreur n’est permise. Le Trio de la tête, le Triumvirat, de l’organisation veille aux détails. En effet, le département des Affaires étrangères, la locomotive des opérations, assistée conjointement de près par le ministère des Finances et de l’Economie et le département de l’Industrialisation. Tous les trois par le biais de leur ministre respectif supervisent les derniers préparatifs. Le Conseil des ministres de la SADC se tiendra le mardi 12 août prochain qui donne en fait le coup d’envoi effectif de la 45ème édition du Sommet de la SADC. Une assise qui sera suivie de la réunion des Chefs d’Etat. Mais avant tout, il faut s’assurer des touches finales et c’est une étape délicate dont la responsabilité incombe d’abord au pays…

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