Economie

Pour développer les activités liées à l’océan tout en le préservant. C’est l’objectif que se fixent les organisateurs de la Journée de l’économie bleue dans l’océan Indien qui se déroulera le 17 juillet prochain. Cet évènement concerne l’ensemble des pays du sud-ouest de l’océan Indien. A cette occasion, l’Afrique du Sud, les Comores, la France, le Kenya, Madagascar, Maurice, le Mozambique, la Tanzanie et les Seychelles se mobiliseront autour d’animations, d’expositions et de discussions sur les activités économiques côtières et océaniques de la région. L’objectif étant sensibiliser les populations au rôle et à l’importance de l’économie bleue dans leur quotidien…
La période des grandes vacances est pour bientôt. Pour aider les touristes locaux à organiser leurs programmes mais aussi soutenir les opérateurs dans la relance de leurs activités, l’Office national du tourisme à Madagascar, en collaboration avec le ministère du Tourisme, des Transports et de la Météorologie (MTTM), lance une nouvelle édition du salon Bons Plans Tourisme, au jardin d’Antaninarenina.
Pour un secteur aérien plus performant. La société ADEMA (Aéroports de Madagascar) gère en tout 46 aérodromes dans la Grande île. Mais pour une meilleure gestion des ces infrastructures, l’entreprise a décidé de déléguer la prise en main des aérodromes. « Sur le plan de la sécurité aérienne, chaque aérodrome doit toujours rester opérationnel. Par conséquent, un gestionnaire doit toujours être présent sur les lieux car nous avons du mal à assurer cette fonction. C’est pourquoi, nous remettons la gestion des aérodromes entre les mains de différents partenaires », explique Jean Germain Andrianiaina, directeur général de l’ADEMA, hier, dans ses…
La première concertation nationale sur les systèmes alimentaires à Madagascar s’est déroulée hier à travers un dialogue inclusif en ligne. Cette concertation vise notamment à recueillir les solutions et les propositions issues des différentes parties prenantes tant au niveau du secteur public et des opérateurs, sans oublier les consommateurs.
Les PME et les micro-entreprises souhaitant bénéficier des tarifs spécifiques élaborés par la « Jiro sy Rano Malagasy » (JIRAMA) doivent obligatoirement s’inscrire auprès de leur agence respective. La JIRAMA compte appliquer le nouveau tarif dédié aux « petits » entrepreneurs à partir de ce second semestre de l’année.
La Commission de l’océan Indien, le COMESA ou le marché commun de l'Afrique orientale et australe mais aussi la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf). Les opportunités sur le marché africain sont nombreuses pour Madagascar. « Sauf que nous sommes encore loin de connaître le marché africain actuellement.
Consensus difficile. La campagne qui a débuté avant-hier dans la Région de SAVA s’est traduite, comme à son habitude chaque année, en une confrontation entre les producteurs de cette Région et les collecteurs venus acheter de la vanille verte. Ces derniers proposent un prix d’achat au kilo oscillant les 40 000ariary tandis que les producteurs de la SAVA comptent s’en tenir aux prix dicter par les autorités qui est de 75 000ariary le kilo de la vanille verte. « Les collecteurs nous proposent des prix dérisoires qui sont beaucoup trop loin de ce qui a été annoncé par les autorités,…

Fil infos

  • Déstabilisation à la JIRAMA - Une minorité tire les ficelles 
  • Service foncier - L’obtention du certificat de situation juridique presque instantanée
  • Huile impropre à la consommation - La traçabilité de "Roots" confirmée
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  • Conseil des ministres décentralisé - Cap sur l’île Sainte-Marie
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  • Coliseum de Fianarantsoa - Un projet présidentiel devenu réalité  
  • Système d’identification des personnes - L’Assemblée et le Sénat valident la réforme  
  • Atteinte à la sûreté publique - Le colonel R. Patrick condamné à 20 ans de travaux forcés

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Editorial

  • Noble cause
    Madagasikara persiste et signe! La Grande île maintient sa position inébranlable et non négociable relative à sa souveraineté sur les îles Eparses. Il s’agit d’une légitime voire une noble cause. En effet, les îles Ampela (Europa), Bedimaky (Bassa da India), Sambatra (Glorieuses), Loza (Tromelin) et Kely (Juan de Nova) appartiennent intrinsèquement au territoire de la République malagasy. La Grande île reste fidèle, jusqu’au bout, à sa position qu’elle a défendue sur la tribune des Nations unies. L’assemblée générale approuva par deux reprises, deux résolutions de 1979 et 1980, l’appartenance des îles Eparses dans le giron du territoire malagasy. Des résolutions non contraignantes mais, tout de même, demandent à la France d’engager la négociation pour les procédures de restitution avec le Gouvernement malagasy.

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