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Le « Tsenam-boky » bat son plein. Après deux ans de disette pour cause de confinement, l’Association des éditeurs de Madagascar (AEDIM) remet le couvert pour la 16e édition de la foire du livre ou « Tsenam-boky ». La foire a ouvert ses portes depuis lundi dernier au jardin de l’Office régional du tourisme d’Analamanga (ORTANA) Antaninarenina et va se clôturer demain.

« Utile » et « enrichissante ». Le ministre indien des Affaires extérieures, le Dr Subrahmanyam Jaishankar et son homologue malgache Richard Randriamandrato tiennent le même discours pour parler de leur rencontre. Une réunion qui s'est tenue en marge du déplacement du numéro un de la diplomatie malgache en Inde et au cours de laquelle il a été discuté du partenariat de développement, selon le diplomate indien dans un tweet. « Une réunion utile », a ainsi commenté le ministre indien tandis que son homologue malgache parle de « rencontre enrichissante », dans des tweets respectifs.

Dans la nuit de mardi, cinq bateaux avec les membres de l'équipage plus un jeune homme ont été arrêtés au village de Topiana, à 50 km au sud de Toamasina, sur le Canal des Pangalanes. Les embarcations ont toutes été chargées de produits de bois illicites tandis que le garçon est réputé pour sa véhémence en matière de coupe clandestine de bois. Les cargaisons, escortées par des gendarmes, seront acheminées à Toamasina ce jour.

Le Président Andry Rajoelina a reçu, hier au palais d'Etat d'Iavoloha, le directeur régional de l'UNICEF, en charge de la région Afrique orientale et australe, Mohamed Moustapha Malick Fall. Ce haut responsable de l'UNICEF qui est en visite à Madagascar, dans le cadre de sa tournée dans les pays les plus touchés par les répercussions négatives de la crise liée au Covid-19, entre autres, et ce dans un souci de résilience face aux chocs.

A un peu plus de 48h après que le corps sans vie d’une jeune femme d’une vingtaine d’années a été retrouvé dans une décharge d’Androva, sise dans le quartier de Mangarivotra à Mahajanga, l’affaire ne connaît la moindre évolution. Ce qui fait qu’il n’y a toujours aucun moyen d’identifier la victime. Jusqu’à hier, dans l’après-midi, sa dépouille demeurait toujours à la morgue de l’hôpital d’Androva, dans l’attente vaine d’une éventuelle réaction de ses proches. “Actuellement, l’enquête sur cette affaire se poursuit encore. Pour l’heure, nous procédons à une enquête de voisinage. Mais voyez-vous, les gens semblent être très méfiants et surtout prudents pour dire quoi que ce soit sur cette affaire”, assure le directeur de la police judiciaire de la région sur ce point.

LA UNE DU 28 AVRIL 2022

Publié le mercredi, 27 avril 2022

La une du 27 avril 2022

Publié le mardi, 26 avril 2022


Triste nouvelle. Emmanuel est malade depuis le début de l’année. C’était hier que madame Hery, l’épouse de l’acteur, a fait savoir que le célèbre comédien de la saga « Malok’ila » est atteint de la maladie de Parkinson. Ce n’est qu’après les analyses que sa famille a découvert la triste nouvelle. « Au début, nous avons cru que ce n’était qu’une simple maladie passagère suite à une fatigue. Mais après avoir effectué l’analyse IRM qui est un examen pour le diagnostic différentiel entre la maladie de Parkinson et le syndrome parkinsonien, le médecin a déclaré qu’il est atteint de la maladie », explique sa femme. Par ailleurs, grâce au traitement, l’état actuel de l’acteur ne s’avère plus être grave. « Cela fait maintenant deux mois que mon mari suit des traitement médicaux. Et je peux vous affirmer qu’aujourd’hui, Emmanuel va mieux. Il est capable de parler, manger, bref il a repris de la  force. Vraiment, il va bien. Par contre, il devra encore faire beaucoup de progrès pour pouvoir bien marcher sur ses pieds. J'ai décidé de faire savoir aux gens qu’Emmanuel est atteint de la maladie de Parkinson afin d'encourager les autres victimes de cette maladie, et également de dire si quelqu’un pourrait nous donner des conseils pour mieux la combattre », rapporte toujours sa femme.
Vaillance
Emmanuel Andriamahefa, âgé de 61 ans, et sa femme ont deux enfants. Dorénavant, Emmanuel mène un nouveau combat, celui de faire face à sa maladie. L’acteur n’est plus à présenter pour les fans du cinéma malagasy. Il a fait ses débuts dans la saga « Malok’ila ». Convaincu de son talent, la maison de production Scoop Digital lui a donné un rôle dans d’autres feuilletons tels que « Adisanina », « Gisa mainty »,… Même si depuis quelques années, on ne le voit plus à l’écran, il n'en demeure pas moins que cet acteur est présent dans les mémoires des malagasy, et ce grâce à ses œuvres qui font toujours rire et satisfaire les férus du 7ème art. « Nous aimerons présenter nos sincères remerciement à tous ceux qui nous ont aidés et soutenus, notamment les fans du cinéma malagasy, les maisons de production et les personnes de bonne foi. Grâce à vos aides financières, morales et avec tous vos encouragements, la santé d’Emmanuel s’est beaucoup améliorée », conclut sa femme. On sait aujourd'hui que la carrière cinématographique d’Emmanuel Andriamahefa aura duré bien plus d’une dizaine d'années. Mais malheureusement, après le diagnostic de sa maladie, l’épouse de ce dernier affirme que l’acteur ne jouera désormais plus de la comédie.
Sitraka Rakotobe


Le quartier d’Androva à Mahajanga s’était réveillé avec une découverte macabre, hier. En réalité, nul n’a soupçonné une seconde qu’un sac fermé, de façon assez hermétique que des inconnus ont jeté dans une décharge publique   de ce quartier, renfermait un cadavre. En effet, le corps sans vie d’une femme de nationalité malagasy, encore dans la fleur de l’âge, car ayant entre 25 et 30 ans, selon la Police, se trouvait à l’intérieur. Entre autres détails qui méritent d’être mentionnés, une très longue corde nouait tout le corps de la victime, qui semble être recroquevillée sur elle-même, les jambes légèrement remontées vers le haut.  
D’après l’enquête, ce sont des sans domicile fixe, qui en farfouillant comme à leurs habitudes dans la benne à ordures, ont fait cette horrible découverte en premier, vers 9h du matin. Du coup, ces vagabonds ont informé les riverains. A leur tour, ces derniers ont rapporté les faits auprès du Fokontany. Rapidement, les responsables en son sein en ont fait part à la fois au Bureau municipal d’hygiène ou BMH et surtout la Police de la cité des Fleurs.
Pour le moment, tout un mystère plane encore sur cette affaire. L’hypothèse d’un meurtre crapuleux semble être la plus plausible. A preuve, un médecin du BMH qui a fait le constat, a avancé que des traces de bleu auraient été observées sur la victime. Ce qui sous-entendait que le(s) tueur(s) l’auraient rouée de coups jusqu’à ce que mort s’ensuive.   D’après toujours un diagnostic du médecin, le décès aurait remonté vers 3h du matin.  Mais c’est là que le bât blesse car on ne sait où, ni par qui.  « En revanche, on ne lui a trouvé aucune trace d’agressions sexuelles, ni des blessures », confirme une source d’information locale.  Aucun autre complément d’information n’a été encore divulgué, rendant ainsi impossible d’apprendre davantage sur la victime. Car à entendre dire également notre correspondante locale, la malheureuse serait une inconnue, du moins aux yeux des riverains. Ces derniers soupçonnent que le meurtre aurait été consommé dans un autre endroit, hypothèse que la Police n’a confirmée, ni infirmée.
Comme pour nourrir le mystère sur le compte de la disparue, aucun de ses proches ne s’était guère manifesté à la morgue de l’hôpital d’Androva, du moins pour réclamer la dépouille, selon cette source. De plus, les réseaux sociaux et les chaînes privées locales n’ont pas cessé de multiplier un communiqué à ce dessein, histoire d’exhorter la famille de la défunte à venir sur place pour vérifier et confirmer. Jusque tard dans la soirée d’hier, les Forces de l’ordre semblaient être muettes quant à l’évolution de cette affaire.
Franck Roland


Adapter le programme de l’Etat aux demandes et desiderata de la population du District d’Ikongo, tel fut l’un des sujets au centre des discussions lors de la rencontre entre le député et non moins vice – président de l’Assemblée nationale représentant l’ex – chef - lieu de Province de Fianarantsoa, Jean Brunelle Razafitsiandraofa et le conseiller spécial à la Présidence en charge de des affaires politiques, Soja Jean André dit Kaleta à Ambohitsorohitra, hier. Il a également été question de la possibilité d’accélérer les projets de développement au profit de cette localité. Le parlementaire a adressé ses remerciements à l’endroit du Président Andry Rajoelina pour la nomination de deux nouveaux conseillers spéciaux : l’ancien sénateur Soja Jean André et le Général Ravalomanana Richard, en l’occurrence. Deux personnalités dotées d’expériences dans les affaires nationales et surtout dans le domaine politique.
La nomination de ces conseillers a également permis de réduire l’écart qui sépare les parlementaires, porte – paroles de la population et le Président de la République, patron de l’Exécutif. Le député élu à Ikongo ne manque pas de relever l’existence d’une certaine distance entre le Gouvernement et les membres de l’Assemblée nationale.
Fidèle au parti TGV
Outre la question liée au développement, les échanges entre les deux hommes ont également porté sur des sujets politiques. Le député d’Ikongo a pu effectuer un compte- rendu relatif aux nombreuses doléances des communautés locales. Ce fut également l’occasion pour ce membre de l’Assemblée d’apporter des éclaircissements concernant ses relations avec le Chef de l’Etat. « Je n’ai aucun problème avec le Président », a – t – il indiqué en marge de la rencontre avant d’ajouter qu’il est également en bons termes avec le parti TGV (Tanora malagasy vonona). Selon lui, il est du devoir du bureau politique de recadrer, d’apporter un conseil ou de faire un rappel à l’ordre en cas de constat d’une déclaration qu’il juge contraire à la ligne ou à la discipline de parti.
Pour rappel, ce parlementaire avait fait quelques déclarations virulentes pointant du doigt certains projets de l’Etat qui, selon lui, allaient à l’encontre des priorités dans certaines Régions de l’île. Des déclarations qui lui ont valu un rappel à l’ordre de ses homologues parlementaires élus sous la bannière Orange. Le député affirme avoir « reçu et pris en considération » les consignes du bureau politique et respecter les règles qui régissent la formation politique. Il réitère son appartenance au parti TGV et œuvre en faveur de ce groupement politique.
La Rédaction

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Editorial

  • Céline s’en est allée !*
    Céline Ratsiraka, épouse Céline Marthe Velonjara, de son vrai nom et Céline pour les intimes, Première dame de la Deuxième République est partie pour un voyage définitif, rejoindre son défunt époux Didier Ignace Ratsiraka, ancien Président de la République Démocratique de Madagasikara (RDM), 1975 – 1991 et 1997 – 2002, décédé en 2021. Troisième d’une fratrie de cinq enfants de feu Pascal Velonjara, parlementaire de l’époque coloniale, parmi les fondateurs du Parti des Déshérités de Madagascar (Padesm) et de feue Berthe Kolohasina, Céline Velonjara épousa Didier Ratsiraka dans la chapelle de la cathédrale catholique de Diégo-Suarez par le père répondant au nom de Gaétan Armand Razafindratandra, futur et très influent cardinal de Madagasikara. A l’issue de cette union, le couple Ratsiraka a eu quatre enfants dont trois filles Olga, Sophie, Annick et un garçon Xavier. En tandem avec sa grande sœur Hortense, épouse de Raveloson Mahasampo, directeur général de la…

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