Nos archives web

LA UNE DU 18 MAI 2020

Publié le dimanche, 17 mai 2020

« Barea Kely », une bonne leçon de vie. C’est le titre de la nouvelle série dont la diffusion débute ce mercredi sur Novegasy Canal +. Il s’agit de l’histoire d’un jeune garçon dénommé Diégo, de la brousse malagasy. Son papa est décédé il y a quelques années, et il lutte tous les jours pour aider sa maman à subvenir à leurs besoins. Mais Diego est passionné par le football et souhaite devenir un grand joueur et porter le maillot des Barea. Cette série va montrer les étapes d’un jeune homme qui quitte son foyer pour tenter l’aventure dans la Capitale Antananarivo. La série retrace ainsi son parcours de sa vie de SDF à son intégration à l’école de football 67 city FC.

Quelques heures seulement après les évènements d’Analamahitsy et Ambohitsy, le sang a de nouveau coulé, cette fois-ci à Nanisana « sapin ». Il était midi ou presque hier lorsqu’un cash-point du quartier fut la cible d’un gang armé. Deux de ses membres étaient venus, les traits découverts et leurs armes aux poings. Ils ont ouvert le feu. La première fois afin de pousser le préposé à leur remettre le contenu de sa caisse, la deuxième afin de couvrir leur fuite, une fois qu’ils ont eu le butin en main. Ils ont réussi à faire main basse sur une somme de 1,9 millions d’ariary du cash-point. Bilan : une personne fut blessée au cours du forfait. Il s’agit d’un client, un homme encore dans la force de l’âge. Ce dernier fut touché par une balle dans le  cou. Sitôt leur sale coup terminé, les agresseurs se sont enfuis en direction d’un endroit où leurs complices les ont déjà attendus avec leurs motos, selon une source policière. Seul un motard suspect a masqué ses traits. 

Des malentendus concernant la distribution du « Tosika fameno ». Dans le 5ème Arrondissement de la Capitale, 15 000 plaintes ont déjà été reçues à Amboditsiry depuis le début de la distribution de l’aide financière de 100 000 ariary. Chaque jour, 4 000 à 5 000 personnes se rassemblent sur les lieux. Une situation qui engendre du désordre et constitue bien évidement un grand danger pour la population à cause d’une éventuelle propagation des cas contacts de Covid-19. Afin de limiter un grand rassemblement, le nombre de personnes qui peuvent y déposer leur plainte est limité à 50 par Fokontany par jour.

Vers quelle issue ?

Publié le vendredi, 15 mai 2020

La quatrième quinzaine de confinement tire à sa fin. Le Gouvernement prendra dans les heures qui suivent les dispositions appropriées relatives à la « situation d'exception » donnant feu vert à l'  « état d'urgence sanitaire national » dû à la pandémie du coronavirus à Madagasikara. Conformément aux dispositifs de la Constitution, Art 61 paragraphe 1, le Président de la République, après avis des chefs d'Institution parlementaires (Assemblée nationale et Sénat) et de la Haute Cour constitutionnelle, en Conseil des ministres, décide du sort réservé à la situation d'exception sur le territoire national.

Neuf personnes contaminées. Le Président de la République a ordonné la mise en quarantaine de tous les personnels dans la société minière d’Ambatovy, il y a deux semaines. En effet, la présence des malades a suscité la crainte au sein de la population de Toamasina. En marge d’une mission des membres du Gouvernement dans la côte Est, menée par le ministre des Mines et des Ressources stratégiques, Fidiniavo Ravokatra, une descente au sein de l’entreprise a été réalisée jeudi dernier.

Dans le cadre du plan d’urgence social mis en place par l’Etat face à la crise générée par la propagation du coronavirus dans le pays, la JIRAMA a proposé à ses abonnés d’échelonner le paiement de leurs factures énergétiques des trois derniers mois. L’objectif étant d’alléger les charges financières pesant sur les ménages alors que le revenu a été particulièrement réduit, étant donné la situation. Toutefois, malgré la mise en place de cette mesure, la majorité des clients de la société nationale d’eau et d’électricité ont penché vers le paiement en une seule fois.

Parti HVM - Deux sénateurs quittent le navire

Publié le vendredi, 15 mai 2020

 

Clash pour les uns. Signe avant-coureur de l'éclatement définitif pour les autres. Deux sénateurs ont décidé de quitter volontiers le navire HVM, l'ancien parti majoritaire. Le sénateur élu pour la province de Mahajanga, Bienvenu Manjany, et son pair d'Antananarivo, Mananjara Randriambololona, ont présenté leurs lettres de démission en tant que membres du parti selon deux communiqués signés par Thierry Raveloson et Mohamed Rachidy, respectivement président du groupe parlementaire HVM et secrétaire national du parti.

Au cours d'une conférence de presse dans ses locaux à Avaradoha, hier dans l'après-midi, les premiers responsables au niveau de l'Institut Pasteur de Madagascar ont reconnu implicitement des erreurs dans les diagnostics et donc dans les résultats obtenus puis communiqués. Pour autant, le laboratoire d'analyse siégeant à Avaradoha refuse d'être considéré comme étant le seul responsable de cette défaillance. Pour rappel, la semaine dernière, l'Institut Pasteur de Madagascar avait rendu public un chiffre de 67 personnes contaminées en 24 heures. Face à ce taux inhabituellement élevé, les autorités malagasy avaient requis des contre-tests sur les 67 cas douteux qui ont été soustraits des décomptes officiels. Effectués concomitamment par le Centre d'infectiologie Charles Mérieux et l'IPM, les tests refaits ont livré leurs résultats cette semaine.

L’après-Lama, ce présumé cerveau des kidnappings éliminé mercredi matin dernier, semble n’être pas de tout repos du moins pour les enquêteurs du pays. On peut même dire que les choses sérieuses commencent vraiment. A partir de maintenant, une nouvelle étape doit être franchie : l’extradition de l’Indien Dilavarhoussen Raza, l’un des co-cerveaux de ces rapts au pays, le concerné s’étant exilé aux Comores.

Fil infos

  • Sommet sur l’Océan à Nice - Madagascar en première ligne pour défendre les intérêts de l’Indianocéanie
  • Route Antananarivo-Toamasina - Renforcement des ouvrages vulnérables
  • Akamasoa - Une école inaugurée par les Présidents malgache et slovène  
  • Fuite d’informations  - La CENI condamne la convocation de son 1er vice-président par la cybercriminalité  
  • Centre Akamasoa - La Présidente de la Slovénie rend hommage au Père Pedro
  • Sahara marocain - " L’initiative du Maroc soutenue par le Royaume- Uni"
  • Visite d’Etat - La Slovénie veut être un partenaire actif de Madagascar
  • Fête de l’indépendance - Le Président appelle les citoyens à hisser le drapeau national  
  • Campagne de dénigrement - Deux ministres dans le viseur d’un député
  • Actu-brèves

Recherche par date

« June 2025 »
Mon Tue Wed Thu Fri Sat Sun
            1
2 3 4 5 6 7 8
9 10 11 12 13 14 15
16 17 18 19 20 21 22
23 24 25 26 27 28 29
30            
Pub droite 1

Editorial

  • Drapeau et hymne national 
    L’emblème national, témoin de l’indépendance et de la souveraineté du pays, doit plus que jamais trôner là où il mérite. L’heure du respect de la dignité de Madagasikara sonne. Le pays s’apprête à fêter le 65ème anniversaire de l’accession sinon du retour à l’indépendance de la Grande île. Le 26 juin 1960, Madagasikara accède à l’autodétermination de son avenir. Le statut de Colonie française s’achève pour de bon et devient de plein droit la République Malagasy. A noter que deux ans auparavant, en 1958, la Grande île arborait déjà le titre de République mais ce n’est que le 26 juin 1960 que les pleins pouvoirs de l’indépendance ont été octroyés du moins sur le … papier. Oui, « sur le papier » car le désormais « ancienne puissance coloniale » persistait dans les parages et planait toujours sur nos têtes. Il a fallu attendre 12 ans, en 1972, que le…

A bout portant

AutoDiff