Le régime IEM de Rajoelina Andry Nirina est confronté au quotidien aux menaces d’au moins à trois « périls » dont les forces de frappe risque de saper dangereusement les intérêts supérieurs de la Nation à savoir l’insécurité, la corruption et l’inflation. Un trio infernal qui affecte mortellement le processus de redressement du pays. Le Président Rajoelina n’a de cesse réitérer sa détermination à éradiquer, donc jusqu’à la racine, le fondement de ces trois « maux ». A peine que le nouveau locataire d’Iavoloha s’installa au pouvoir en janvier 2019, il décréta des mesures draconiennes destinées à combattre les origines de l’état sécuritaire très fragile du pays. Il s’agit pour Zandry Kely d’une priorité des priorités. Ainsi, des mesures urgentes ont été déclenchées. Tout commença par doter des moyens matériels efficaces et de dernier cri aux Forces de défense et de la sécurité (FDS). Un puissant dispositif d’arsenal de nature à dissuader les dahalo même les plus coriaces se met en place. A chaque intervention publique, le Chef de l’Etat ne manque pas de marteler et de réitérer sa volonté inébranlable de mettre un terme aux menaces de ce fléau, l’insécurité. Des mises en garde sévères à tous et à toutes qui osent braver le pouvoir et continuer à jouer sur le feu ont été lancées. Le rouleau compresseur est en marche. Le combat au quotidien pour anéantir jusqu’à ses racines la corruption se trouve au centre des préoccupations des nouveaux dirigeants du pays. Le Président Rajoelina en personne dirige la lutte. Evidemment, cette lutte ne peut qu’être acharnée et sans merci du fait que le mal s’enracine et assiège le corps entier de l’Etat. Elle exige une détermination indéboulonnable et une ferme volonté politique de la part de tous les responsables à tous les niveaux. Les sonnettes d’alarme ne cessent d’attirer l’attention des hauts dirigeants du pays. Le classement de Madagascar selon l’International Transparency (IT-Madagascar) demeure toujours alarmant. Il faut reconnaître que les efforts déjà entrepris jusqu’alors ont donné des résultats plutôt encourageants mais il nous reste encore de long chemin à parcourir. BIANCO et PAC ne baissent pas les bras. Les traques continuent ! Le Chef de l’Etat avertit qu’il ne tolérera point aux fauteurs reconnus coupables de ces actes de corruption. Ils seront punis sévèrement selon la législation en vigueur. Rajoelina Andry Nirina monte au créneau et dénonce avec la plus grande fermeté les actes inconcevables et anti-patriotiques de certains opérateurs (grossistes et détaillants) œuvrant dans le secteur de distribution et de commercialisation des produits de première nécessité (PPN). Ces opérateurs indélicats qui s’octroient, de façon injuste, des marges bénéficiaires dépassant largement les barèmes normaux et acceptables. Leurs agissements incorrects font grimper l’inflation et impactent directement aux modestes bourses de la population. Rajoelina a dû même recourir provisoirement au service des « Tsena Mora ». Il faut par tous les moyens garder la stabilité des prix du riz et de l’huile alimentaire en tant que produits hautement stratégiques. En effet, la recrudescence de l’inflation nuit à tous les efforts pour venir en aide aux masses populaires. Elle déstabilise dangereusement le régime.
En somme, le régime IEM ne ménage point les efforts et mènent un combat sans relâche et sans complaisance contre le trio infernal qui étrangle le peuple.
Rappel à l'ordre. Les usagers de la route ont certainement remarqué ces derniers jours que des éléments des Forces de l'ordre sont présents dans plusieurs axes de la Capitale dont Ankorondrano et Antsakaviro. A première vue, ils vérifient la régularité des papiers de ceux du transport en commun, les voitures particulières et les motos. D'après les informations communiquées par la Police nationale, depuis vendredi dernier et d'une durée de 10 jours, elle lance pour la énième fois l'opération dénommée « Aro Loza » dans la ville d'Antananarivo. Il s'agit d'une action de sensibilisation et de prévention des accidents de la circulation qui se sont multipliés ces derniers temps.
Les Miss Madagascar sortent de leur silence. Depuis 2015, La majorité des Miss élues ont œuvré sans contrat et ne sont au courant des règles avancés par le Comité Miss Madagascar (CMM), dans une publication sur leur page Facebook. Elles ont vécu l’enfer à cause des rêves brisés, des faux espoirs et des promesses non tenues par le Comité. Si certaines ont alerté les responsables, mais sans réponse, d’autres ont préféré se murer dans le silence. Il a fallu l’initiative de Miss Madagascar 2019 pour rassembler les victimes et dénoncer les agissements du Comité, ou plutôt l’exploitation des femmes par une femme !
Mettre fin à la gabegie. Dans le cadre de la célébration de sa première bougie, le Conseil de discipline budgétaire et financière (CMDF) a organisé, hier, une journée de réflexion sur la bonne gouvernance financière à l’Hôtel Carlton Anosy. Cet organe institué auprès du Premier ministre a profité de cette journée pour présenter les résultats de l’étude sur la pratique en matière de recouvrement de recettes publiques à Madagascar. Durant la première année de son opérationnalité, le CMDF a connu un bilan prometteur.
Premières constructions. Le problème de logements pose énormément problème dans la Capitale, et pas cette dernière seulement. Pour y répondre, le Président de la République a décidé de mettre en place le projet des 50 000 logements. Pour Antananarivo donc, la construction des premiers logements débuteront bientôt du côté d’Ivato. « Quarante immeubles seront construits. Chaque immeuble sera composé de 4 étages et de 16 appartements. Ce qui fait en tout, 640 appartements de construits pour les habitants de la ville.
Les membres du personnel d’appui ou les bénévoles de tous les services existant de l’HJRA Ampefiloha, notamment ceux qui sont dans les urgences, estiment que le temps est venu pour reconsidérer leur statut. D’après leurs représentants, ils souhaitent que l’Etat officialise désormais le recrutement de ces bénévoles comme agents permanents, c’est-à-dire des fonctionnaires, comme le reste des employés de centre hospitalier universitaire à Ampefiloha. « Notre situation actuelle est trop précaire au point que nous craignons d’être abandonnés.
Outre ceux qui sont déjà occupés, quelques box sont en cours de construction devant le parking « Voninkazo » sis à Anosy, allant jusqu'à l'hôpital Joseph Ravoahangy Andrianavalona (HJRA) situé à Ampefiloha. D'après les commerçants qui exercent dans les kiosques mobiles longeant la clôture du Plan à Anosy, le nombre de ces box ne cesse de se multiplier depuis quelques semaines. Face à cette situation, les commerçants et clients du « Voninkazo » n'ont plus d'espace pour exercer ou garer leurs véhicules. Cet endroit a été, depuis l'existence du marché, réservé à la décoration des têtes de cortège, l'emplacement des corbillards. Il a également servi comme parking pour les clients.
Quatrième journée. Les enseignants, à qui les milliers de feuilles de copies d'examen du baccalauréat ont été remis, achèvent actuellement leur tâche. Ayant débuté lundi dernier, la correction va prendre fin ce jour, selon l'estimation des correcteurs. D'après les explications des enseignants rencontrés à Ankatso, le nombre de copies pour chaque correcteur ne dépasse plus une centaine. « Nous sommes 130 enseignants à assurer la matière « anglais ». Et chacun de nous corrige 400 copies soit 8 paquets de 50 feuilles. Nous prévoyons ainsi de les finir ce matin même. Il nous reste à peu près un paquet par enseignant », indique un professeur d'anglais.
Il est dit quelque part « Celui qui divise vient du diable ». Incontestablement vrai, toute volonté de créer une division au sein de la société ou à l’intérieur de la communauté porte toujours préjudice grave à l’épanouissement de l’individu en même temps du groupe. La division anéantit la force et détruit tous les efforts de développement. C’est l’œuvre du mal.