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La une du 06 avril 2023

Publié le mercredi, 05 avril 2023

Baolai - La promotion de Pâques continue

Publié le mercredi, 05 avril 2023



A l’heure où l’innovation devient le maître – mot dans le milieu commercial, les produits « high – tech » sont très prisés. Dans ce contexte, les grandes enseignes de la Grande île n’hésitent pas à varier leurs offres pour satisfaire la clientèle. A l’instar de la société « Baolai » sise à Soarano, Analakely et Bazar Be Toamasina où l’on trouve des appareils électroménagers de premier choix à bon prix. « Pour célébrer ensemble dans la liesse les fêtes de pâques, nos Smart tv et Télé Led neufs sont en promotion en ce moment (tous avec une garantie d’1 an). Le modèle écran plat « Jeyoo » de 32 pouces est vendu à 350 000 ariary. Et pour l’achat d’une « Hisense » de 32 pouces dont le prix est de 529 999 ariary, le client recevra gratuitement un fer à repasser », d' après un responsable.
A part cela, il y a entre autres des smartphones, Laser Tv 100 pouces, fours à gaz et électrique, subwoofers, machines à café à capsule, climatiseurs, machines à laver double barre, synthétiseurs, panneaux solaires mono et polychristalline, tables de mixage, réfrigérateurs (froid actif même 135 h après délestage), … Les renseignements sont à recueillir sur le site web et la page Facebook : baolai ou au 020 22 308 48 - 033 37 188 88 (heures de bureau). Un festif mois d’avril avec ces diverses nouveautés qu’on peut trouver auprès de la société. Les fêtes pascales sont un moment privilégié pour toute la famille car représente une occasion pour se réunir, rien de tel que du bon matériel de chez « Baolai » pour savourer tout cela dans la joie.



Le week-end pascal approche à grand pas. Comme à l’accoutumée, le temple  FJKM Tranovato Ambatonankanga marquera la fête de Pâques avec un concert de la chorale Orimbato intitulé «  Hery iray » (Une puissance), ce dimanche à partir de 15h30, avec libre participation. Un spectacle exceptionnel au Temple qui aura pour mission de transporter le public dans la célébration de cette fête religieuse. Aussi, ce moment  va démontrer l’authenticité de l’Orimbato dans le domaine du chant choral. Selon les informations, la représentation se fera en deux parties. La première axée sur des œuvres choisies de certains compositeurs malagasy destinées aux formations chorales. Citons entre autres « Maty Jesosy » (R. Harkness), « Ranomaso » (Hiary Rapanoelina AVM), « Tafatsangana tokoa » (Andriamiadamahatratra)… L’Orimbato va entonner dans la seconde partie, des chants liturgiques tirés des recueils de différentes confessions chrétiennes, afin de partager la puissance de Dieu qui apporte réconciliation et vie par le don de son fils unique qui a vaincu la mort par sa résurrection. A titre d’exemple « Lazao ‘lay tantaran’ny Vonjy » (Eglise Adventiste), « Misaotra Anao Jesoa Hôstia » (Eglise Catholique), « Mamy ny fitianao » (Eglise Anglicane), et enfin pour l’Eglise Protestante FFPM, « He manda fiarovana » (FLM) et également « Tamin’ny andro voalohany » (FJKM). Ce sera une manière authentique pour la Chorale Orimbato de témoigner l’unité dans la diversité de la confession chrétienne. Ainsi ce concert de Pâques vise à rassembler mais également une représentation à laquelle l’Orimbato tient à convier tout le monde pour louer ensemble le Seigneur pour sa Puissance rédemptrice. Quatorze titres dont l’accompagnement musical sera assuré par le musicien Tsiresy Rajaonarifetra. A  noter que l’événement entre dans le cadre de la célébration des 50 années de son existence.  La chorale Orimbato été fondée le 15 mars 1973 au sein du Temple FJKM Tranovato Ambatonakanga. Prêcher l’Evangile par le chant est son activité principale et elle se démarque des autres formations de par sa contribution active dans la préservation des patrimoines musicaux malagasy compatibles à la foi chrétienne. A noter que le fil conducteur des festivités est tiré du 2 Corinthiens 12 : 9b : «  … car ma puissance s’accomplit dans la faiblesse».
Sitraka Rakotobe

Les harcèlements dans les transports en commun refont surface. Ce phénomène  existait depuis longtemps mais n’a jamais été dénoncé par les victimes car considéré comme un sujet tabou. Consciente du danger qui pèse sur les femmes, la Commune urbaine d’Antananarivo, en collaboration avec le mouvement Women break the silence (WBTS), a effectué une campagne de lutte contre les violences et harcèlements dans les transports en commun. Intitulé "Voyagez sans crainte", plus de 10 000 chauffeurs de bus, aide-chauffeurs, chauffeurs de taxi et policiers municipaux ont reçu une formation dans le cadre de la mise en œuvre d’une nouvelle politique du genre de la CUA et ce, soutenue par le WBTS. Et les phénomènes ont diminué.
 Mais depuis le début de cette semaine, plusieurs femmes ont signalé sur les réseaux sociaux qu’elles ont été victimes de harcèlement. D’après ces dernières, il s’avère que c’est le même homme qui effectue cette pratique indigne. « L’homme vicieux monte dans le bus, traque les femmes et s’assoit à côté d’elles. Il effectue des gestes choquants. Pour que personne ne puisse voire ses actes, il cache ses mains derrière un grand sac à dos qu’il met sur ses genoux », raconte l’une des victimes. Après cette dénonciation, plusieurs femmes ont avancé être déjà victimes de cet harcèlement dans les taxis-be. Pourtant, la majorité d’entre elles n’osent pas le dénoncer. Elles ont peur d’être blessées par l’homme pervers ou encore être la risée de tout le monde.
Face à cette situation, la Circonscription de la gendarmerie nationale (CIRGN) à Antananarivo invite les victimes de harcèlement dans les transports en commun d’aviser les Forces de l'ordre. Ainsi, les victimes pourraient réclamer à ce que le taxis-be s'arrêtent dans l’immédiat pour pouvoir prévenir les éléments de la Police ou de la Gendarmerie sur place, au cas où l’auteur poursuivrait encore ses actes après un avertissement.
A noter que le pays a voté la loi N° 2019-008 relative à la lutte contre les violences basées sur le genre. Sur ce, le harcèlement dans les transports en commun est qualifié d'outrage sexiste. Il est passible d'une amende de 100 000 à 500 000 ariary. L’outrage sexiste ou sexuel est une infraction qui réprime tous les comportements, gestes, paroles ou actes imposés par quelqu'un à quelqu'un d'autre qui se retrouve ainsi dans une situation intimidante, humiliante ou hostile. Il s’agit des sifflements, réflexions obscènes, injures, etc.
Anatra R.





Les huiles essentielles sont des produits très prisés à l’international et constituent une source de devises non-négligeable pour l’économie malagasy. En plus, leur production ne nécessite pas de grandes installations et peut être mise en œuvre au sein d’une communauté villageoise.
Ainsi, tout en respectant l’environnement, une usine d’exploitation d’huiles essentielles à base de plantes médicinales dans la Commune d’Androy Kely, District de Lalangina a été dotée d’une centrale solaire. Ses produits sont connus et utilisés par un grand nombre de ménages malagasy.
L’utilisation de l’énergie solaire, à la place du feu de bois conventionnel pour chauffer les alambics, vise à préserver l’environnement et réduire les impacts sur le changement climatique.
Cette unité distille 400 espèces de plantes endémiques malagasy connues par leurs vertus médicinales et thérapeutiques. On y extrait par exemple des huiles essentielles à base de Vahona, d’Eucalyptus globulus, de Mandravasarotra et de Ravintsara.
Dans cette initiative, les habitants de la Commune peuvent exploiter 18 ha de terrain afin de mettre dans la terre les ingrédients nécessaires à la production des plantes.
L’huile essentielle est un secteur porteur et peut être une source de revenu confortable pour les malagasy. Avec une demande sur le marché mondial qui ne cesse de croître, Madagascar exporte 95 % de sa production à l’international. Notamment les huiles essentielles de Ravintsara, de Mandravasarotra (Saro) ou encore d'Ylang-ylang, mais également de Géranium, les incontournables du pays.
Cependant, ce secteur rencontre un problème majeur. En effet, souvent déconnectés des marchés et manquant d'infrastructures, les vrais producteurs dans les villages et les endroits où sont implantées les usines ne sont pas rémunérés à leur juste valeur. Ce sont les sociétés d’exportation qui captent la grande partie de la plus-value sur les huiles essentielles, ne laissant les producteurs locaux qu’avec de maigres revenus. Pourtant, ce produit peut être une source de développement et de l’amélioration de la qualité de vie de nombreux malagasy. En effet, le prix du kilo de l’huile essentielle peut commencer à 6 euros (orange) jusqu’à atteindre les 7 000 euros (rose).
La découverte de ce décalage par les paysans conduit la plupart du temps à l’abandon d’un projet qui va se réimplanter ailleurs, là où l’arnaque n’est pas encore connue. La recherche de profit personnel contribue à la discontinuité d’une dynamique de production de l’huile essentielle qui est pourtant un produit avec un énorme potentiel. .
Nikki Razaf

LA UNE DU 5 AVRIL 2023

Publié le mardi, 04 avril 2023

Semaine chargée. Une délégation composée d’experts ivoiriens est actuellement dans nos murs pour partager leurs expériences dans la protection sociale des travailleurs œuvrant dans le secteur informel et rural. « C’est une occasion de partager l’expérience de la Côte d’Ivoire pour permettre aux autorités malagasy de renforcer leurs capacités dans l’extension de la protection sociale dans le secteur informel. En fait, les responsables ivoiriens ont rencontré les mêmes problèmes que Madagascar en ce moment, notamment dans la définition des outils pour la promotion de la protection sociale ou encore pour l’enregistrement de la population, etc. Actuellement, le pays est en pleine campagne de sensibilisation et d’enregistrement, ciblant à la fois la population et les autorités ivoiriennes », informe Fréderic Lapeyre, directeur du Bureau pays de l’Organisation internationale du travail (OIT) pour la Côte d’Ivoire.

« Ma thèse en 180 secondes » (MT 180) entre dans sa 5ème édition. C'est reparti pour les doctorants et chercheurs en herbe malagasy afin de se mettre dans la lumière des projecteurs et de faire connaître au monde leurs recherches.

L'inscription à ce concours, au niveau national (« MT 180 Madagascar ») est déjà ouverte. La date de clôture des inscriptions est fixée au 9 avril prochain. A cet effet, nos jeunes génies sont priés de consulter la page d'inscription officielle de l'Agence universitaire de la Francophonie (AUF) https://mt180.mg.auf.org/. Cela a été annoncé lors du lancement officiel de cette nouvelle édition, hier au siège de l'AUF sis à Faravohitra.

Exemplarité vivante !

Publié le mardi, 04 avril 2023

Le patron de la Gendarmerie nationale demande pardon ! Il convient de noter qu’il s’agit là d’une belle leçon d’humilité. Peu importe les motifs sinon les motivations qui le poussent à se plier en quatre mais les faits publics sont là et nous évoquent un cas d’exemplarité vivante de la part d’un Officier Général de … quatre étoiles, s’il vous plait.

Le Général de Corps d’armée Serge Gellé, Secrétaire d’Etat chargé de la Gendarmerie nationale, fait amende honorable sur la place publique pour les torts et les bévues commis par ses éléments dans l’exercice de leur mission. Il déclare assumer publiquement la responsabilité de leurs actes sur terrain qui parfois dépassent les limites du cadre légal et du sens humain. En effet, sans avoir plaidé coupable, il reconnait en son âme et conscience que certains éléments de ses hommes de troupe  avaient fait montre d’excès de zèle voire d’abus de fonction écornant pire blâmant l’image de leur Corps.

Sécurisation des sites et diversification des offres touristiques. C’est en ce sens que Joël Randriamandranto, ministre du Tourisme s’est rendu en fin de semaine dernière dans les Régions de Vakinankaratra , Melaky et Menabe. Pour la première, le focus aura été fixé sur le bilan et les perspectives 2023 et échange sur divers projets prévus et offres touristiques élaborés par l’office régional du Tourisme et les opérateurs de Vakinankaratra ainsi que la revalorisation du tourisme communautaire qui est une des activités phares des Hautes terres.

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Editorial

  • De la honte et du gâchis
    La messe est dite ! Tel un couperet, le verdict irrévocable et définitif est tombé. Les autorités suprêmes du football africain, la CAF, confirment la sentence : le Stade Barea n’est pas homologué. Le vin est tiré, il faut le boire ! Les Barea joueront ailleurs. La Fédération malagasy du football (FMF) doit choisir et soumettre incessamment aux instances continentales les stades où l’équipe nationale jouera ses prochains matchs.De la honte ! Du coup, le sentiment de souveraineté et de fierté autour du grand Stade Barea s’écroule comme un château de sable. Quelle a été la fierté de tous les Malagasy notamment les amoureux du ballon rond quand le pays s’est offert de ce « bijoux » sinon de ce « trésor ». Les épris du sport-roi de l’océan Indien à même du continent africain enviaient certainement le privilège des malagasy. Nos amis les Comoriens, les Seychellois, les Mauriciens et…

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