La fête du basketball ce week-end au Palais des Sports de Mahamasina. Les demi-finales des championnats de Madagascar N1A hommes et dames s'y tiendront ce jour et les finales pour les deux catégories demain.
L’équipe tenante du titre du championnat de Madagascar de Basketball N1A dames, le MB2ALL Analamanga, reste toujours en course pour garder son bien. Hier, les protégées de Tagg Rakotonanahary n'ont pas eu à trop forcer afin de se qualifier pour les demi-finales du championnat. MB2ALL était comme à l‘entraînement en battant Serasera Vakinankaratra sur le score fleuve de 68-32 au tableau. Chantiah était le MVP du match. Elle a inscrit 18 points au cours des quatre quart-temps avec 4 rebonds et plus de 28 assist.
Elle a beau inventer toute une histoire comme quoi on lui a enlevé sa fillette de 3 mois à peine. Or, elle est maintenant soupçonnée d'avoir mis fin à la vie de son bébé de façon cruelle et barbare en le jetant délibérément dans les latrines. Cela s'est produit dimanche dernier dans le foyer d'un couple de gardiens dont effectivement la concernée. Ces gardiens se sont vus confier la mission de surveiller une maison appartenant à des proches même des époux en cause.
Le projet de transports par câble va bon train. Actuellement, le chantier dans la gare d’Anosy est quasiment achevé. Les cabines sont déjà sur place et la grande poulie est déjà installée. Les travaux du côté de la City Ivandry et du Coliseum Antsonjombe sont en cours. En ce qui concerne la station d’Ambatobe, les travaux commenceront lundi.
En effet, les premiers essais sont prévus au mois de février ou mars de l’année prochaine. Cela a été évoqué par la société en charge des travaux lors d’une descente effectuée hier sur les sites d’Anosy et de Soarano.
Les propriétaires de terrain ne peuvent pas se procurer de certificats juridiques ou d’autres documents à cause de la destruction des livres fonciers. Sur ce, ils ont du mal à protéger leur terre. Désormais, le ministère de l'Aménagement du territoire et du Service foncier étudie actuellement tous les plans visant à résoudre les problèmes liés à l’acquisition foncière. L’un d’eux concerne les livres déchirés qui contiennent les propriétés foncières de toute l’île. Selon le ministre de tutelle, leur réédition représente une grande aide pour la population.
Une importatrice et gérante d’un magasin de gros aux 67 Ha, d’une quarantaine d’années, fut mortellement agressée à Toamasina. Une jeune femme d’une vingtaine d’années, cousine d’un confrère, victime d’une tentative de viol, trouva la mort de façon barbare et d’une atrocité inouïe à Ambohidratrimo. Une mère de famille a été assassinée à son domicile à Anjeva-Gara. En somme, en l’espace d’une semaine, trois descendantes d’Eve ont trouvé cruellement la mort. A ce rythme, la Grande île atteindrait le niveau de criminalité de certains pays comme l’Afrique du Sud ou des Etats-Unis d’Amérique où le taux de criminalité atteint un stade troublant et inquiétant.
Le grondement se fait déjà ressentir juste après l’annonce de la nouvelle. Le concert rassemblant les deux formations « Tselatra » et « Iraimbilanja » remonte au mois de juin 2019 lors de l’événement « Rock Pentecôte ». Encore une fois, le vendredi 3 novembre, les deux groupes se retrouveront à l’Espace Dera, Tsiadana.
Le show débutera à 20h.
C’est officiel. Les fonctions de Chef de l’Etat par intérim sont désormais confiées au président du Sénat, le Général Richard Ravalomanana. La décision a été publié par la Haute Cour constitutionnelle hier et ce, suite à la saisine du nouveau président du Sénat pour signifier qu’il peut assumer les fonctions de Chef d’Etat par intérim après son élection à la tête du Sénat. La Cour n’a pas tranché immédiatement, elle a sollicité l’avis du Gouvernement collégial avant de prendre une décision en application de l’article 46 alinéa 2, compte tenu de ces « faits nouveaux ».
Un flop total. L’appel à la mobilisation citoyenne lancé par les Organisations de la Société civile hier n’a pas fait écho auprès des citoyens. En effet, ces organisations sont, de nouveau, montées au créneau en début de semaine. Elles ont appelé à la mise en berne des drapeaux pendant cinq jours pour témoigner de leur inquiétude sur « un danger qui guette le pays ». Pour la journée d’hier, elles ont incité les citoyens à faire retentir les cloches, les klaxons, etc. Autant de consignes qui n’ont pas été suivies et auxquelles les citoyens sont même restés indifférents. D’autant plus que les « coïncidences » politiques pendant lesquelles apparaissent ces déclarations de la société civile sont plus que suspectes. Seul un petit groupe composé de membres de la Société civile ont manifesté aux alentours du centre – ville vers midi.