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La une du 24 mars 2022

Publié le mercredi, 23 mars 2022


Mardi dernier, la localité de Maharidaza sise au PK 32 sur la RN2, a été le théâtre d’un drame particulièrement émouvant. Un taxi-brousse Mercedes-Sprinter de Kofima a heurté une fillette d’à peine un mois et 22 jours que sa maman tenait dans ses bras. Les tristes faits sont survenus après que le taxi-brousse, faisant route sur Moramanga via la Capitale, a déposé quelques passagers à cet endroit. Le bébé, du fait de ses graves blessures, a dû être donc transporté d’urgence, d’abord au Centre de santé de base (CSBII) à Carion, puis au CHRD de Manjakandriana, enfin à l’HJRA Ampefiloha. Malheureusement, la petite Nehemia Irintsoa Fanantenana  Nomenjanahary, c’est son nom n’a pas tenu le coup, et a finalement succombé quelques moments après. Ses parents, des résidents de Maharidaza, sont atterrés.
Le plus choquant dans cette histoire, c’est que le chauffard qui conduisait le véhicule a pris rapidement la fuite après avoir heurté la victime. Dans un premier moment succédant à sa fuite, son immatriculation n’a pu être notée.  Sa livrée blanche constitue l’unique détail qui était susceptible de le repérer. De son côté, la Gendarmerie n’a été informée du drame qu’en début d’après-midi, avant – hier. Du coup, la brigade de Carion a ouvert une enquête. Elle a déclenché les recherches pour tenter de retrouver les traces du Sprinter, et naturellement son conducteur. 
Le chauffard interpellé
Les Forces de l’ordre n’ont pas mis trop de temps pour parvenir à un résultat. Une collecte de renseignements leur a permis d’attraper, et le Sprinter, et le chauffard de 38 ans en cause. Hier, aux alentours de 7h30 du matin, le fugitif semblait n’avoir pas pu aller trop loin car les gendarmes l’ont coincé à un check-point de la Gendarmerie  du Pk 30 plus 200 à Carion. Il s’agit bel et bien du Sprinter blanc immatriculé 8498 TBJ de la coopérative Kofima reliant la Capitale et Moramanga, et qui appartient à un résident de Tanjondava Talatamaty. 
Concernant le conducteur, il est domicilié à Anjiro dans la Commune d’Anjiro. Sitôt après son arrestation, il fut placé en garde à vue tandis que le véhicule a été mis en fourrière pour une période règlementaire de 10 jours. Bref, les procédures d’usage qui préluderont au déferrement du conducteur.
Franck R.
 


Une balance commerciale déficitaire. « Cette situation caractérise l’importation plus élevée par rapport à l’exportation à Madagascar. L’intégration de la Grande île à la zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAF) fait partie des solutions proposées pour y remédier, selon les résultats des recherches scientifiques, économiques et académiques », s’exprime Zavamanitra Andriamiharivolamena, économiste et enseignant-chercheur. Concrètement, diverses opportunités sont à saisir pour les femmes entrepreneures lesquelles devraient entrer en action avec l’intégration au ZLECAF. La promotion de l’exportation dans le secteur primaire, à savoir l’agriculture, l’élevage et la pêche, en fait partie. A cela s’ajoutent les secteurs de l’artisanat, de la mode et de l’habillement ou encore du tourisme et des loisirs. « De nombreuses femmes malagasy entreprennent déjà dans ces secteurs. Elles peuvent maintenant les développer au niveau de l’Afrique, avec 1,3 milliard de consommateurs potentiels et un pouvoir d’achat élevé auprès de la ZLECAF », informe notre source. Bref, les femmes entrepreneures devraient entrer en action à condition qu’elles bénéficient de formations et se préparent avant de se lancer. Aussi, des transformations structurelles et plus de simulations s’imposent.
Des défis à relever
« Outre les obstacles à surmonter par tous les entrepreneurs, l’accès aux financements et garantie ou encore l’accès à la terre constituent des défis à relever pour les femmes », avance Fanja Razakaboana, présidente de la Fédération des femmes auprès du COMESA. L’accès aux intrants et au marché international s’ajoutent à ces défis, à en croire le directeur du Commerce extérieur auprès du ministère de tutelle. « L’entreprenariat des femmes prend une place particulière dans le commerce à Madagascar. Le ministère apporte son appui aux femmes à travers des mesures d’accompagnement pour l’amélioration du climat des affaires et la facilitation des échanges », déclare Edgard Razafindravahy, ministre de l’Industrie, du Commerce et de la Consommation (MICC). C’était lundi dernier à Anosy, lors de l’atelier de restitution des consultations nationales pour l’élaboration du protocole africain sur les femmes dans le commerce. Selon les informations recueillies, 16% des femmes consultées se lancent réellement dans les exportations. Quatre femmes entrepreneures sur cinq, soit 80%, veulent pourtant exporter et disposent de projets y afférents, avant d’être freinées par divers obstacles.
Notons que le PNUD a apporté son appui dans la réalisation des consultations nationales sur les femmes dans le commerce. Le protocole africain y afférent a été lancé l’année dernière, d’après Natasha Van Rijn, représentante dudit organisme onusien dans le pays, pour des femmes autonomes, résilientes et solidaires…
Patricia Ramavonirina


Le Président Andry Rajoelina a réitéré son souhait de renforcer et de redynamiser la coopération commerciale entre Madagascar et l’Algérie. Ce fut lors d’une rencontre avec le nouvel ambassadeur de la République d’Algérie à Madagascar, Malek Djaoud, qui est venu présenter ses lettres de créance au Chef de l’Etat, hier au Palais d’État d’Iavoloha. « L’Algérie et Madagascar sont unis par des liens d’amitié et de solidarité profondément ancrés dans l’histoire ; et nous avons souligné au cours de l’entretien, la qualité de nos relations bilatérales et avons convenu, de la nécessité de leur donner une nouvelle impulsion, et de l’intérêt à assoir une coopération diversifiée au bénéfice des deux pays et des deux peuples », a déclaré l’ambassadeur de l’Algérie.
Les deux parties n’ont pas manqué d’aborder d’autres pistes de coopération comme l’acquisition de compétences et de technologies liées au secteur des infrastructures (routes et logements sociaux), la pêche ainsi que les hydrocarbures.



La Gendarmerie prévoit de recruter 1 500 élèves-gendarmes pour le compte de l’année 2021-2022. 950 places seront réservées aux hommes et 150 aux femmes. Les 320 places restant seront réservées aux candidats militaires ou ex-militaires, aux orphelins ou veuves des gendarmes, 10 aux spécialistes en informatique et de la télécommunication, 40 en automobile, 10 en sport, 20 en infrastructures dont des plombiers, du froid, maçons et fer.
Le concours est ouvert aux candidats civils et militaires ou ex- militaires, de nationalité malagasy, âgés de 20 à 30 ans pour le sexe masculin et 20 à 28 ans pour celui féminin. Pour ceux ayant un statut militaire, la limite d’âge est fixée à 34 ans. Afin de participer au concours, les candidats devront remplir quelques critères comme l’aptitude physique, certifiée par un médecin militaire en activité ou un médecin diplômé d’Etat, servant dans un centre de Santé publique. Ils ne devraient pas être privés de leurs droits civiques, doivent être de bonne moralité et au comportement irréprochable. Les candidats devront ainsi être titulaires d’un diplôme du baccalauréat ou l’équivalent.
Les épreuves d'admissibilité auront lieu dans les 23 centres se trouvant dans les chefs-lieux des régions où sont implantés les Etats- major, Groupement de la Gendarmerie nationale, les 2 et 3 juillet prochains. Les candidats admissibles passeront ensuite la deuxième étape du concours qui se tiendra à l’école de la Gendarmerie nationale d’Ambositra (EGNA). Ceux qui seront retenus feront partie de la 77e promotion de ladite EGNA.
 Les inscriptions aux concours d’entrée à l’école de la Gendarmerie nationale sont ouvertes jusqu’au 13 mai 2022. L’année dernière, la Gendarmerie nationale a recruté 1 200 élèves- gendarmes. Depuis sa création en avril 1976, l’Ecole de la Gendarmerie nationale d’Ambositra a formé 20 000 élèves-gendarmes dont 600 femmes. 400 sont devenus officiers généraux, officiers supérieurs.
 Anatra R.

A pied d’œuvre !

Publié le mercredi, 23 mars 2022

Le quatrième Gouvernement Ntsay de l’ère Rajoelina est à pied d’œuvre ! A peine les procédures de passations de service effectuées selon la règle de l’art de l’Administration publique, les nouveaux élus et les réélus travaillent déjà d’arrache-pied. L’esprit déterminé et les manches retroussées, les membres du Gouvernement sous la houlette de leur capitaine Ntsay Christian ne chôment point. Les consignes du patron de l’Exécutif n’offrent à chacun l’occasion de traîner les pattes. Il faut aller vite sans se précipiter !
Avant d’entamer le parcours parfois délicat, parsemé d’embûches, il fallait procéder à la passation de service ou plutôt de relais ou encore du flambeau !
Au moins deux raisons essentielles. Tout membre du Gouvernement entrant dans un département donné doit nécessairement se plier aux exigences de la passation.
L’effectivité du pouvoir ou de service. Il s’agit d’une tradition républicaine qui veut qu’avant de prendre effectivement les rênes d’un ministère ou d’un poste aux hauts emplois de l’Etat, il faut que le nouveau titulaire du portefeuille dûment nommé procède officiellement et impérativement avec l’ancien à la remise de la clef du département. Le décret de nomination est une chose mais la passation en est une autre. L’un ne va pas sans l’autre !
La continuité gouvernementale par extension de l’Etat. Durant la procédure de passation, les deux hauts responsables se transmettent les dossiers officiels en cours et cela au nom de la continuité de travail au sein du Gouvernement. Le ministre sortant passe ainsi à celui entrant toutes les affaires en cours. Il appartient à l’heureux élu de continuer selon ses propres considérations tout en prenant en compte les actes accomplis par son prédécesseur. La continuité passe par-là !
Seulement voilà, être à pied d’œuvre ne suffit pas ! Il faudra qu’on soit dans la ligne exacte de conduite dictée par le maître des céans.
Au premier rang du code de conduite, l’exemplarité de comportement dans l’exécution de sa tâche. Ecarts de conduite de quelle que nature que ce soit, atteinte à l’intégrité morale, velléités de malversations financières ou autres sont tous à bannir. Des accusations, fondées ou non fondées, corruption ou de trafics illicites des richesses naturelles ont écorné la crédibilité et l’honorabilité du régime.
Etre conformément dans la ligne du cadre d’action selon l’objectif fixé par le Chef de l’Etat en l’occurrence « atteindre au moins les 80% des Treize points du ‘‘Velirano’’ en 2023 ». Un impératif auquel le locataire d’Iavoloha ne badine point. Il est le seul mandaté par le peuple à diriger la bataille. Le seul aussi à pouvoir donner les consignes indispensables afin que le pays atteigne le point d’achèvement du ‘‘Velirano’’. Ce qui traduit dans les faits qu’aucun membre du Gouvernement n’a pas le droit de n’y prêter attention. Des actes concrets et des actes tangibles … « manara-penitra » émailleront le tableau du régime Orange.
Respect strict de la solidarité gouvernementale. Tout le monde se doit de « parler d’un même langage ». Aucun dysfonctionnement n’est toléré ! Aucune dissonance n’est permise ! Aucun jeu personnel n’est admis ! Aucun dérapage de paroles n’entravera pas l’union sacrée de l’équipe.
A pied d’œuvre, les membres du Gouvernement remanié Ntsay Christian foncent pour atteindre le cap défini à travers le Velirano.
 



Le 7 avril prochain, les 2022 électeurs de l'université d'Antananarivo vont élire leur prochain président. Pour l’élection cette année, le comité électoral s'assurera que les 839 personnels enseignants et enseignants-chercheurs et 1183 personnels administratifs et techniques peuvent choisir entre les deux candidats éligibles pour le poste de président de l'université d'Antananarivo. D'un côté, le Professeur à la Faculté des Sciences et non moins ancien secrétaire général du Syndicat des enseignants-chercheurs et chercheurs-enseignants de l'enseignement supérieur (SECES), Rivoarison Randrianasolo et de l'autre côté, le président sortant Mamy Raoul Ravelomanana, Professeur titulaire à la Faculté d'Economie, de Gestion  et de Sociologie. Depuis hier, les deux candidats sont allés à la rencontre des électeurs pour les convaincre et ce, dans le cadre d'une campagne électorale qui se déroule du 23 mars au 6 avril prochains.
Pour le Professeur Mamy Raoul Ravelomanana, candidat à sa propre succession, il se réjouit des réalisations accomplies au cours de ses trois années de mandat et compte bien continuer dans ce sens.
" Malgré la Covid-19, des réalisations ont marqué mon mandat de 2019 à 2022.  Ankatso se distingue désormais de l'océan Indien par le développement de l'Énergie renouvelable au sein du campus. Malheureusement, d'autres établissements ne disposent pas encore de panneaux solaires et nous allons encore nous démener pour les installer. Nous avons pu aussi inaugurer l'atelier Luban à l'école Polytechnique Vontovorona qui est le tout premier de l’océan Indien sans oublier l'opérationnalisation de Madagascar institut for vaccine research financé par la fondation Bill Gates récemment inauguré », a-t-il indiqué  au cours de la présentation officielle des candidats hier à la salle des présidents de l'université d'Antananarivo. Quant au Professeur Rivoarison Randrianasolo, en tant qu'ancien membre actif du SECES, il s'est montré compétent à diriger l'université d'Antananarivo au cours d'une interview. " Je mise sur la diversité de la population universitaire pour apporter le développement en priorisant les domaines de l'Administration et finance. A travers la valorisation des ressources humaines, je vais assurer une bonne gouvernance ou encore la promotion des Nouvelles Technologies de L'information et de la Communication sans oublier la Santé à l'université, le bien-être de la population universitaire" a-t-il argumenté.
Outre le poste de président d'Antananarivo, 6 autres domaines doivent trouver de nouveaux occupants. Le même jour de l'élection, les électeurs procéderont également au renouvellement des mandats des membres du Conseil d'administration. Pour les 15 postes d'administrateurs, 26 candidats sont éligibles.  Il en est de même pour les directeurs d'Ecole Doctorale Thématique avec 13 postes disponibles. De plus, ces électeurs doivent voter entre 34 candidats pour les 32 places attribuées aux membres du conseil d'établissement. A cela s'ajoute le choix entre les 15 candidats pour les 10 postes de présidents du Collège des enseignants. 16 candidats sont en lice pour être à la tête des 10 établissements. Pour les responsables des mentions, 80 candidats ont été éligibles pour occuper les 73 postes.
KR.


Une grande œuvre vient secouer le monde de la littérature malagasy. Le livre intitulé ''Tombokavatsan'ny Haisoratra'' écrit par une centaine d'écrivains malagasy issus de l’association Havatsa-Upem vient de sortir officiellement hier. Selon le président de cette association, Hajaina Andrianasolo, la préparation de cette grande œuvre littéraire rassemblant les écrits d’une centaine d’auteurs a duré plus de cinq années. Il se compose de cinq cent soixante-dix (570) pages, et comporte sept (7) titres répartis en genres littéraires tels que la poésie, l’art oratoire, de l'analyse, des romans d’histoire, des œuvres théâtrales mais surtout des écritures comprenant les écrits des écrivains encore vivants. A ce sujet, les lecteurs pourront apercevoir les œuvres de Célestin Andriamanantena, Hajaina Andrianasolo, Ener Lalandy, Rado, Razafiarivony Wilson, Madera, RHA.Nary, Ranjatohery Harilala... A noter que « Tombokavatsan’ny Haisoratra » fait partie du monument marquant le 70e anniversaire de Havatsa-Upem. Rarissime du domaine de l’édition à Madagascar, ce livre marque l'histoire de la littérature malagasy. « Le principal objectif de l’association à la sortie cet ouvrage est de faire en de sorte que les lecteurs puissent redécouvrir le travail des auteurs mais surtout d’acheter les autres livres qui sont édités par tous les écrivains qui ont travaillé sur «Tombokavatsan’ny Haisoratra », a expliqué le président de l’Havatsa-Upem.
Poésie partout
Le 21 mars est la date désignée par L’UNESCO pour célébrer la Journée mondiale de la poésie. A Madagascar, le ministère de la Communication et de la Culture a choisi de marquer l'événement, hier, dans l’enceinte de l’Ivokolo Analakely, salle Charles Ravaloson. Et comme chaque année, des récitals de poésie des membres de Havatsa-Upem ont émerveillé cet événement. En effet, de nombreux amateurs d'art dont des écrivains, des poètes, et des membres de l'association Havatsa-Upem se sont réunis dans la salle où la représentation d’une pièce de théâtre intitulée « Ahy ny Safidy » et des récitals de poèmes ont fait vibrer l’Ivokolo Analakely, le temps d’un après-midi.  
Sitraka Rakotobe

L’une des infections respiratoires aigües (IRA) qui fait ravage. Une épidémie de bronchiolite frappe les enfants ces derniers jours, notamment les plus vulnérables. « Tout a commencé par une toux sèche, puis grasse pour finir avec de la fièvre et un sifflement dans les poumons. Nous l’avons déjà donné du médicament pour faire baisser la température ainsi que des remèdes de grand-mère pour la toux, mais aucune évolution. Nous avons ainsi décidé de l’emmener chez le pédiatre, où nous avons découvert que la plupart des enfants présentent les mêmes symptômes », nous confie R.R., mère d’un petit garçon de 2 ans dénommé E.

Avant-hier, Cycloneoi, le blog spécialisé en cyclones, a annoncé une activité sur l'ensemble des trois bassins cycloniques de l'océan Indien. Cette information a été confirmée hier par Météo Madagascar. Dans un bulletin météorologique partagé hier, la Direction générale de la Météorologie (DGM), sise à Ampandrianomby, a indiqué la formation d’une tempête tropicale à l’Est du bassin. 

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Editorial

  • De la honte et du gâchis
    La messe est dite ! Tel un couperet, le verdict irrévocable et définitif est tombé. Les autorités suprêmes du football africain, la CAF, confirment la sentence : le Stade Barea n’est pas homologué. Le vin est tiré, il faut le boire ! Les Barea joueront ailleurs. La Fédération malagasy du football (FMF) doit choisir et soumettre incessamment aux instances continentales les stades où l’équipe nationale jouera ses prochains matchs.De la honte ! Du coup, le sentiment de souveraineté et de fierté autour du grand Stade Barea s’écroule comme un château de sable. Quelle a été la fierté de tous les Malagasy notamment les amoureux du ballon rond quand le pays s’est offert de ce « bijoux » sinon de ce « trésor ». Les épris du sport-roi de l’océan Indien à même du continent africain enviaient certainement le privilège des malagasy. Nos amis les Comoriens, les Seychellois, les Mauriciens et…

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