mardi, 15 décembre 2020

La une du 16 décembre 2020

Publié dans La Une
mardi, 15 décembre 2020

Détrompons-nous !

L’animal rôde toujours dans les parages et guette les moindres occasions. Il n’hésite pas à dévorer les imprudents qui s’exposent, sans aucune protection, au dehors. La Covid-19 n’est pas encore anéantie. Le virus circule toujours. Etant invisible, l’une de ses forces de frappe, il attaque sans état d’âme.
Le dernier bilan hebdomadaire de la pandémie, avec ces 300 cas confirmés ou actifs et 4 décès, montre à quel point elle reste toujours très dangereuse. Il est peu probable que le pays risque, dans un avenir immédiat, la deuxième vague mais n’empêche que la « bête » menace toujours de sévir.
Mais le plus grave de tout, autre la contamination du virus, réside dans l’insouciance générale de la population. Tout le monde semble inconscient sur le fait que le « péril » se trouve encore devant nous et la menace plane sérieusement.
Une nouvelle mobilisation générale s’impose. Le relâchement général nécessite impérieusement un train de mesures pour une meilleure sensibilisation et conscientisation au respect des mesures barrières et le port systématique du masque à bouche/nez à l’échelle nationale. De gros efforts doivent se concentrer sur les anciens épicentres de la pandémie dont Antananarivo, Toamasina, Fianarantsoa et tout récemment Antsiranana. De même, les grands centres urbains où l’on enregistre de grandes concentrations et d’importants mouvements de population comme Antsirabe, Ambatondrazaka, Moramanga ont besoin d’action plus pertinente. Les marchés qui sont des lieux de prédilection aux propagations du virus doivent être sérieusement contrôlés. Les descentes sur terrain permettront aux responsables directs de se rendre compte des réalités exactes. 
Des stratégies plus efficaces sinon plus contraignantes et plus dissuasives diligentées par le ministère de la Santé publique en coordination avec d’autres départements comme celui de la Communication, ceux des Forces de la défense et de la sécurité ainsi que les entités concernées de près ou de loin seront plus que nécessaires. Il faut remettre urgemment la pendule à l’heure.
Une seconde vague de la pandémie de la Covid-19 mettrait le pays à genoux voire à plat. La fébrile économie nationale ne supporterait pas un remake du confinement. Elle n’en survivra pas et succombera certainement. Les opérateurs économiques souffrent au plus haut point. Ils lancent des cris de détresse. On craint qu’ils ne soient pas des appels dans le désert. Les principaux acteurs évoluant dans le domaine du tourisme, membres de la Confédération du tourisme à Madagasikara (CTM), tirent la sonnette d’alarme afin de sauver ce secteur. Ils prient les décideurs au sommet de l’Etat à prendre les dispositions pour sauver le meuble, du moins ce qui en reste. La situation est grave ! Les dirigeants de la CTM sollicitent la bienveillance des autorités à concéder à la réouverture totale des frontières. Bien entendu, les autres secteurs bénéficieront de l’ouverture des portes de nos frontières. Ils savent pertinemment que la menace de la pandémie plane toujours mais ils font appel à la prise de conscience et de responsabilité de chacun, du haut de l’échelle du pouvoir jusqu’à la base. Le pays ne survivra pas plus longtemps dans ce contexte de vase clos. En l’absence de l’air, on s’étouffe !
Pour que le pire ne nous tombe pas sur la tête, ressaisissons-nous. Monsieur tout le monde doit se détromper. La Covid-19 n’a jamais enterré la hache de guerre.
Ndrianaivo

Publié dans Editorial

Tous les matériels à la disposition de la Commune urbaine d’Antananarivo (CUA) ont été mobilisés. Depuis hier, le nombre de camions utilisés pour ramasser les déchets ménagers dans plusieurs quartiers de la Capitale autant que l’effectif des équipes sur place ont été doublés, voire triplés. En attendant la réparation des véhicules du Service autonome de maintenance de la ville d’Antananarivo (SAMVA) qui sont encore en panne, la CUA lui a octroyé tous ses matériels afin de renforcer l’opération « coup de poing ».

Cette action consiste à enlever dans l’immédiat les ordures afin que la ville des mille soit prête à accueillir la fête de la Nativité dans la propreté. Dans ce cadre, une descente conjointe du maire de la Capitale, Naina Andriantsitohaina, de la ministre de l’Eau, de l’Assainissement et de l’Hygiène, Voahary Rakotovelomanantsoa et du directeur général du SAMVA, le colonel Jaona Lalaina Andrianaivo Ravoavy, ainsi que de leurs staffs respectifs, a eu lieu lundi soir pour superviser les travaux. D’après le maire, tous les points noirs dans la Capitale seront dégagés illico. Pour lui, la restitution du SAMVA à la CUA est importante. « Plusieurs efforts ont déjà été déployés. Pourtant, la propreté de la ville n’est pas encore sous la responsabilité entière de la CUA. Et nous sommes très impatients de reprendre en main le ramassage des ordures dans la Capitale. En attendant, nous devons vite réagir », a-t-il soutenu.

Le mois de décembre est propice à la propagation des ordures à cause de la récolte massive des fruits et légumes. De plus, la période des pluies complique la tâche de la Municipalité. Depuis plusieurs semaines, les ordures s’entassent dans plusieurs rues de la Capitale. Une situation qui a engendré la colère des Tananariviens. Cependant, ils ne sont pas conscients qu’une part de responsabilité leur revient.

Anatra R.


Publié dans Société

Décidément à chaque face-à-face entre les députés et le Gouvernement, il y a toujours des révélations. Après la révélation sur l’affaire des « bonbons sucettes », lors du précédent rendez-vous, hier, lors de sa prise de parole, le député Fetra Rakotondrasoa a lâché une information sur la société d’Etat Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA). L’élu dans le District de Miarinarivo demande une évaluation des dirigeants au sein de la JIRAMA. Une évaluation qui devrait être similaire à celle que doivent subir incessamment les membres du Gouvernement. Pour appuyer sa demande, le parlementaire pointe du doigt la mauvaise gouvernance au sein de la JIRAMA. Il prend l’exemple de la location par la JIRAMA de trois camions pour un montant de 560 millions d’ariary. « Si c’est ce qui se passe au sein de la JIRAMA, cela serait vraiment grave », dit-il, demandant ainsi une prise de responsabilité des responsables. 567 millions d’ariary la location de 3 camions-citernes exactement, c’est le montant qui ressort d’un document qui circule sous les manteaux, et sur lequel est manifestement basée la révélation du député Fetra Rakotondrasoa.
Selon le document en question, un contrat a été établi entre la société JIRAMA et un prestataire pour la fourniture de trois camions pour une location. Selon les prix et la facturation inscrits dans ledit document, un premier camion serait loué pour utilisation pendant 24h sur 24 durant 90 jours pour un prix global de 243 millions d’ariary soit donc 2,7 millions d’ariary par jour. Deux autres camions seraient, eux, loués pour une utilisation maximale de 16 heures par jour, pour un prix global de 324 millions d’ariary, soit donc 1,8 million d’ariary par jour par véhicule. Ce qui fait un total global de 567 millions d’ariary. Suite à la révélation du député Fetra Rakotondrasoa, nous avons demandé la version de la JIRAMA. Sans préciser s’il s’agissait du même dossier, la société de distribution d’eau et d’électricité explique dans un message qui nous est parvenu que « En raison des problèmes d’approvisionnement en eau dans la ville d’Antananarivo, notre société JIRAMA a été dans l’obligation de prendre des mesures d’urgence. La JIRAMA a dû distribuer de l’eau par le biais de camions- citernes à partir du mois de juillet 2019. 4 camions- citernes ont été loués pour permettre cette distribution d’eau (…) ». Dans la même réponse, la JIRAMA explique que, en raison de la cherté du prix de la location, « les nouveaux dirigeants au sein de la JIRAMA ont décidé d’acheter des camions- citernes qui débarqueront avant la fin de cette année 2020, et ce, afin de permettre de limiter les dépenses de la société ».
La rédaction




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La montre indiquait 16h lundi dernier lorsque la Commune de Menagisy, District de Sambava, connaît subitement un drame qui émeut plus d’un. Deux membres d’une fratrie sont tombés au fonds d’un puits dans des circonstances dramatiques. Après de terrible souffrance liée à l’incommodité de leur situation, l’un d’eux meurt finalement lorsqu’on l’a tiré du fond de ce puits de 25 mètres de profondeur. Revenons dans les faits. C’était l’aîné qui a échoué en premier au fond du piège après qu’il s’est accidentellement glissé dedans au moment où
il puise de l’eau. Ses tentatives pour s’extirper de ce dernier ont alors toutes échoué. L’asphyxie commence à se faire sentir lorsque son frère cadet descend à son tour au fond du boyau. Tous deux ont ainsi cherché à alerter les riverains avec des cris. Les gens étaient alors accourus sur les lieux pour tenter de les secourir.
Pendant que les secours s’affairaient pour trouver les moyens de dégager les malheureux, bloqués au fond de ce piège à rat, ces derniers ont commencé à ne plus pouvoir respirer. Muni de corde, un volontaire a tenté de descendre à son tour dans le puits. Mais ses tentatives ont échoué. Au final, quatre volontaires ont connu le même échec. Un cinquième, au prix d’une astuce, a finalement réussi à dégager le cadet en amarrant ses pieds avec la corde pour le remonter à la surface. Il fut transporté rapidement à l’hôpital. Malheureusement, ce n’était pas le cas pour l’autre victime. Il a fallu deux heures pour que les secours réussissent à l’extirper du piège alors qu’elle a déjà perdu connaissance. Il a rendu l’âme, en chemin, au cours de sa réanimation à l’hôpital. L’enquête suit son cours.
F. Roland

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Le championnat national N1A hommes et N1A dames se déroulera du samedi 16 au dimanche 24 janvier au Palais des sports de Mahamasina. La grand- messe du basketball prendra une autre tournure pour cette année. D’emblée, la FMBB sera stricte sur le code couleur des maillots des équipes participantes. En effet, chaque équipe devra avoir un maillot blanc et un autre sombre avec les couleurs de chaque club. Les chaussettes devront avoir les mêmes couleurs pour chaque joueur.
La crème de la crème de cette discipline durera pendant une semaine pour déterminer la meilleure équipe au bout de la compétition. Au lieu de s’affronter en aller et retour comme à l’accoutumée, ce sera une confrontation directe avant la phase finale.
Pour le moment, la FMBB n’a pas encore communiqué si les matches se disputeront à huis clos. C’est qui est sûre, c’est que tout se tiendra dans le respect du protocole sanitaire contre la Covid-19.
Le championnat se déroulera en phase unique. Douze équipes masculines et dix féminines en découdront à cette joute. Les équipes seront réparties en deux groupes, selon le dernier classement du championnat 2019. Les quatre premiers de chaque poule accèderont directement aux quarts de finale, selon une circulaire de la fédération malagasy de basketball. Huit ligues en découdront le titre chez les hommes avec douze équipes et six ligues engagées chez les dames.
Elias Fanomezantsoa


Répartition des poules
Hommes
Groupe A
GNBC Vakinankaratra
SEBAM Boeny
Cosmos Diana
ASCB Boeny
2BC Analanjirofo
TMBB Analamanga

Groupe B   
CosPN Analamanga
Ascut Atsinanana
MB2All Analamanga
Cosfa Analamanga
ASB Itasy
USF Haute Matsiatra



Dames
Groupe A
SBBC Boeny
JEA Vakinankaratra
TAMIFA Amoron’i Mania
CosPN2 Atsinanana
CRJS Atsinanana

Groupe B
Mb2All Analamanga
Ankaratra Vakinankaratra
ASA Analamanga
BC Est Atsimo- Andrefana
Serasera Vakinankaratra

Publié dans Sport


Le onzième fonds européen de développement (FED) touche à sa fin après avoir été mis en œuvre entre 2014 et 2020. La délégation de l’Union européenne à Madagascar a déjà engagé 96% du budget. A noter que le financement s’élève à 500 millions de dollars. Le fonds restant, aux alentours de 20 millions d’euros, sera affecté à l’appui budgétaire. Selon Giovanni Di Girolamo, ambassadeur de l’Union européenne à Madagascar, les projets s’exécuteront l’année prochaine. « Il faut, en effet, attendre près de quatre années pour l’exécution et avoir de bons résultats. Nous mettons encore en œuvre le projet d’infrastructure sur les routes nationales 6 et 13. Les programmes de développement rural comme l’AFAFI suivent aussi leur cours», déclare l’ambassadeur.
La délégation et le Gouvernement élaborent actuellement le nouveau cadre de coopération pour les sept années à venir. Une annonce effectuée lors de la présentation de son bilan d’activité, hier, à la Zone Zital Ankorondrano. Le prochain cadre financier pluriannuel s’intitulera The Neighbourhood, Development and International Cooperation Instrument (NDICI) ou voisinage de développement et de coopération internationale. Les deux parties élaborent actuellement les projets qui vont être financés par ce nouvel instrument. « Le programme NDICI est beaucoup plus moderne, plus simple et flexible. L’enveloppe sera adaptée aux besoins de Madagascar. Nous sommes encore en train de définir les priorités avec le Gouvernement. Nous avons déjà consulté le secteur privé et les membres de la société civile. Les secteurs à financer seront connus d’ici le mois de janvier ou février. En tout cas, nous pouvons financer plusieurs domaines dans la Grande île. Evidemment, il y aura certainement le soutien à la gouvernance, la transition énergétique et digitale et toutes les grandes filières permettant le développement de Madagascar entre autres l’agriculture et l’infrastructure » déclare Giovanni Di Girolamo, ambassadeur de l’Union européenne à Madagascar. A noter que l’Union européenne a déjà dédié un fonds à hauteur de 32 milliards d’euros à l’endroit de l’Afrique subsaharienne.
Solange Heriniaina
 

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Les projets de redressement de la société Jiro sy Rano Malagasy se concrétisent. Cette société d’Etat a effectivement présenté deux nouveaux produits hier, dans ses locaux à Ambohijatovo Ambony: son agence en ligne et son application mobile. Ces produits constituent notamment le premier pilier de la transformation de la JIRAMA par la digitalisation: la mise à disposition des clients de nouveaux canaux d’interaction. « L’amélioration de la relation clientèle est un des piliers de redressement de notre compagnie. Ces nouveaux services permettront alors à la compagnie de se rapprocher davantage de ses clients, de faciliter leur vie quotidienne mais aussi d’accélérer tous les services pour les usagers afin qu’ils puissent surveiller davantage leur compte JIRAMA » a soutenu Vonjy Andriamanga, directeur général de la JIRAMA, en cette occasion. Avec cette agence en ligne, tous les services disponibles en agence peuvent se faire sur la toile. Ils sont même décuplés. « Les clients peuvent payer leur facture en toute sécurité sans devoir se déplacer via cette agence en ligne. Des services de paiement à distance sont notamment intégrés dans la plateforme, autant via mobile banking que via carte bancaire. Le plus de l’agence en ligne est la possibilité pour le client de suivre en temps réel l’évolution de sa consommation ou encore du traitement de ses demandes et de ses doléances. Après le lancement de cette application, nous allons en effet mettre en place un standard de service à partir de 2021 avec le branchement en électricité et en eau. Avec ce standard, la JIRAMA s’engagera à exécuter les demandes de branchement en moins d’un mois, sauf si elles nécessitent des travaux d’extension » rassure Rivo Radanielina, directeur général adjoint en charge du marketing, de la digitalisation et de la vente. La signalisation des incidents et l’auto-relevé peuvent également se faire via l’agence en ligne et l’application mobile. Tout a été pensé dans ces services pour être simples, accessibles mais surtout rapides, pratiques et sécurisés. « Tous les services sont déjà coordonnés actuellement. Les clients n’ont alors rien à craindre. Si un client fait son auto-relevé via l’agence ou l’application, l’agence rattachée est tout de suite notifiée. Ainsi, elle n’envoie plus de releveurs ou encore de rappel. Et chaque service est notifié», rajoute le DGA de la JIRAMA. Mais les services ne se limiteront pas à ceux déjà disponibles. Ils augmenteront au fur et à mesure des mises à jour, prévues tous les six mois.
En tout cas, la JIRAMA n’est pas seule dans cette initiative d’amélioration de sa relation avec ses clients. Avant-hier, elle a donc signé une convention de partenariat avec la Coopération allemande, à travers son projet: « Promotion de l’électrification par les énergies renouvelables-GIZ-PERER». L’idée étant de permettre à l’entreprise d’avoir une communication performante et adaptée aux besoins des usagers. D’une durée de six mois, ce programme soutiendra ainsi la digitalisation de la communication de la JIRAMA.     
Rova Randria

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Qui sera le successeur de Rivo Rakotovao à la tête du Sénat en devenant son neuvième président ? La question se pose déjà après le vote du 11 décembre à l’issue duquel la plateforme IRD et le parti MMM ont raflé les douze sièges attribués à chacune des six Provinces de l’île. Le président Andry Rajoelina nommera incessamment les six autres membres de la Chambre haute du Parlement pour ramener le nombre de sénateurs de Madagascar à dix-huit aux termes de la nouvelle loi régissant cette institution.
Depuis la naissance de la République le 14 octobre 1958 jusqu’à la fin de la Première République en 1975, trois hommes se succédaient à la direction du Sénat : Gabriel Rajaonson (1er juillet 1959-1er octobre 1960), Jules Ravony (1960-1963) et Siméon Japhet (1963-1968). Le Sénat passait à vide sous la Deuxième République (1975-1992). Il fut suspendu en 1972 sous le régime transitoire du général Gabriel Ramanantsoa et, en 1975, il fut supprimé pour toute la période de la Deuxième République.
La Constitution de la Troisième République adoptée en 1992 a prévu la réinstauration du Sénat. Mais ce dernier n’a pris effectivement ses activités qu’en mai 2001 sous la Constitution révisée de 1998. Sous la Troisième République, Honoré Rakotomanana (mai 2001-juillet 2002), Rakotomaharo Rajemison (juillet 2002-mai 2008) et Yvan Randriasandratriniony (mai 2008-décembre 2009) ont successivement tenu les rênes du Palais d’Anosikely.
Sous la transition (2009-2014), le Sénat a dû céder la place à la Haute autorité de la transition (HAT) dirigée par ses six vice-présidents. Ses activités ont été reprises par un Sénat avec des membres renouvelés à partir de 2016. Honoré Rakotomanana est revenu à la direction des affaires du Palais jusqu’à sa destitution déguisée au profit de Rivo Rakotovao en octobre 2017.
Huit hommes ont donc présidé le Sénat de Madagascar jusqu’ici. Ils ont tous la particularité d’être des hommes de confiance du Président en exercice au moment de leur accession à cette haute fonction de la République.
M.R.

Publié dans Politique

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Editorial

  • Vouée à l’échec ?
    Le pays est en plein chantier d’élaboration d’une nouvelle Stratégie nationale pour la lutte contre la corruption (et l’impunité), la SNLCC. Celle qui est en vigueur arrivera à son terme à la fin de l’année en cours après dix ans de mise en œuvre dans la bataille contre cette « ennemie » apparemment imbattable. Mise en selle en 2014, la SNLCC actuelle finira sa course incessamment. Mi-figue, mi-raisin, le bilan de la décennie de la Stratégie nationale de lutte contre la corruption balance entre un échec et une réussite. Le Comité pour la sauvegarde de l’intégrité (CSI) se trouve dans l’embarras pour traduire la situation exacte. Sahondra Rabenarivo, la présidente du CSI, déplore plus d’une fois l’existence de certains facteurs de blocage dans le processus normal de la lutte contre la corruption. Il existe un dysfonctionnement perçu comme un frein au bon déroulement du système de lutte contre la corruption.

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