2000 ariary. Tel est le prix minimum d'une simple décoration de Noël vendue en centre-ville. Les détaillants ont augmenté de 25 à 100% le prix de ces accessoires. « Une guirlande d'un mètre vendue auparavant à 1500 ariary s'acquiert désormais à 2500 ariary. Quant au paquet de boules de 6 pièces, couleurs confondues, il se vend actuellement à 3000 ariary, contre 2000 ariary l'année dernière. En général, le prix des décorations de Noël varie entre 2000 et 200 000 ariary. Quant au sapin, le prix varie entre 12 000 et 240 000 ariary, selon la taille et la qualité.

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La brigade des stupéfiants de la police a procédé à un coup de filet de sept jeunes hommes âgés entre 13 et 26 ans pour usage de drogue dure, le 1er décembre dernier à Soanierana. De plus, les Forces de l'ordre ont fait la saisie de toute une panoplie de matériels compromettants, des preuves formelles susceptibles d'enfoncer les concernés. Dans la liste, mentionnons 7 cocottes d'héroïne, quatre seringues don't l'une est encore chargée d'héroïne, trois paquets de came, enfin deux balances électroniques.

 

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Le retour d'exil du Dais royal de Ranavalona III ne doit être qu'un début. En 1895, Ranavalona III, proclamée reine de Madagascar à l'époque, a hissé le drapeau blanc à Manjakamiadana pour affirmer sa soumission aux envahisseurs français. De coutume, dans ce genre de situation, les pays vainqueurs peuvent emporter plusieurs objets du pays vaincu pour témoigner de leur triomphe. « Ainsi, des centaines d'objets des royautés de l'époque ont été saisis, voire même séquestrés, par les envahisseurs d'antan.

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Les autorités malagasy ont toujours avancé que Madagascar a maîtrisé la Covid-19. Cependant, elles précisent que le pays n'est pas encore sorti du danger. Face à une quelconque menace de reprise hypothétique de cette pandémie sur le territoire national, le ministère de la Santé publique rassure que des dispositifs ont été préparés et sont déjà prêts pour y faire face. « Des équipes composées de personnels de santé se sont mobilisées, notamment au niveau des zones épargnées par le virus. Cependant, elles ont récemment répertorié quelques individus testés positifs.

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Le calvaire continue pour les habitants du Fokontany d’Ampasamadinika. Au moins 5 maisons sont menacées de s’effondrer à tout moment, y compris un musée âgé de 200 ans. Ces habitations se trouvaient auparavant à une dizaine mètres du ravin. Mais actuellement, elles n’en sont plus qu’à quelques mètres puisque les terres se trouvant aux alentours s’écroulent peu à peu. D’autres présentent déjà des fissures selon la description d’un père de famille habitant dans ce quartier par rapport au danger qui pèse sur les riverains.

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Incontrôlable. Au cours des deux derniers mois, les consommateurs ont constaté un accroissement incessant des prix des biens sur le marché, surtout les produits de première nécessité (PPN). Le pouvoir d’achat des ménages étant en baisse, le ministère de l’Industrie, du Commerce et de l’Artisanat (MICA) tente de limiter les impacts de l’inflation sur les consommateurs finaux. Le ministère les invite ainsi à appeler le numéro vert 034 30 812 34 pour dénoncer le non respect de leur droit. « La consommation des ménages augmente entre le mois de décembre et février.

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1 000 tonnes par semaine par Région. Telle est la consommation de riz à Madagascar, en termes de volume. Le ministère de l’Industrie, du Commerce et de l’Artisanat (MICA) refute l’idée d’une éventuelle pénurie sur le marché en annonçant un stock de sécurité de 60 000 tonnes. « Nous n’avons rien à craindre sur une éventuelle pénurie. Nous avons déjà un stock de sécurité de 60 000 tonnes. Une Région consomme en moyenne 1 000 tonnes de riz par semaine. Par ailleurs, les prévisions d’importation sont déjà connues.

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Madagascar est en train de connaître un énième épisode de séquence sèche allongée. Presque toutes les Régions de l’île souffrent de vagues de chaleur en ce moment. Le mercure affiche 40°C et plus de temps à autre. L’évapotranspiration du sol est élevée. Etant donné l’excès de chaleur, le tarissement menace les sources d’eau, vitales pour les villes et les activités agricoles en particulier. L’aridité frappe les grandes zones de production. Le stress hydrique est de plus en plus prononcé par endroits alors que les pluies se laissent toujours désirer. Le Gouvernement prépare en ce moment l’opération aérienne consistant à provoquer les pluies dans les prochains jours.

 

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Que ce soit au niveau des entités publiques, des initiateurs du projet ou encore de la population locale, l’information a du mal à passer. Cette déduction résulte de l’audit pilote relatif au secteur minier, réalisé récemment par la Cour des comptes. Les enquêtes menées par la Cour ont effectivement permis de mettre en exergue que le manque de communication est le problème de fond du projet minier Base Toliara. En ce sens, les recommandations émises par le rapport d’audit insistent ainsi sur le renforcement des échanges d’information ou encore l’élaboration d’un système de communication efficace ou d’un manuel de procédures.

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mercredi, 02 décembre 2020

LA UNE DU 03 DECEMBRE 2020

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Editorial

  • Vouée à l’échec ?
    Le pays est en plein chantier d’élaboration d’une nouvelle Stratégie nationale pour la lutte contre la corruption (et l’impunité), la SNLCC. Celle qui est en vigueur arrivera à son terme à la fin de l’année en cours après dix ans de mise en œuvre dans la bataille contre cette « ennemie » apparemment imbattable. Mise en selle en 2014, la SNLCC actuelle finira sa course incessamment. Mi-figue, mi-raisin, le bilan de la décennie de la Stratégie nationale de lutte contre la corruption balance entre un échec et une réussite. Le Comité pour la sauvegarde de l’intégrité (CSI) se trouve dans l’embarras pour traduire la situation exacte. Sahondra Rabenarivo, la présidente du CSI, déplore plus d’une fois l’existence de certains facteurs de blocage dans le processus normal de la lutte contre la corruption. Il existe un dysfonctionnement perçu comme un frein au bon déroulement du système de lutte contre la corruption.

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