Pour mieux appréhender le marché qui est toujours en constante évolution, les centres commerciaux de renom rivalisent d’ingéniosité. A l’instar du  « Laibao Center » à Analakely, où un « Bazar de Noël spécial » est organisé sur une surface de 2 000m² au 1er étage de son bâtiment. « Une centaine de stands sont déjà disponibles à la location, sans caution et pour une durée d’un mois. Pour les intéressés, le prix de la location est à partir de 800 000 ariary par stand pour un mois », dixit un responsable. Les divers renseignements sont à recueillir sur le site web « www.baolai.mg » et sur la page Facebook baolai (ou au 033 37 968 88 pendant les heures de bureau). Avec ses deux accès, en partant d’en face de l’EPP Analakely pour finir sur l’Avenue de l’Indépendance, la circulation est très pratique dans l’enceinte de l’établissement.
En bonus, les divers articles de premier choix de la société Baolai sont en promotion jusqu’au 15 janvier 2021. « Il y en aura pour tous les budgets et tous les goûts dans tous nos show-rooms, que ce soit au Bazar be Toamasina, à Soarano et à Analakely. Le panel de choix est vaste : climatiseurs portatifs, Smart TV et téléviseurs LED disponibles entre 19 et 100 pouces (garantie 1 an), panneaux solaires mono et polycristallins, subwoofers, Gsm, synthétiseurs, tables de mixage, réfrigérateurs, fours à micro-ondes, machines à laver, etc. », explique toujours le responsable. Pour rénover son intérieur ou tout simplement offrir un beau cadeau aux êtres chers, Baolai répond aux attentes du public !













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La crise collective de possession dite de l’Ambalavelona” et touchant des élèves, en majorité des jeunes filles, fait parler d’elle à Mananara-Nord. L’école privée Mamafisoa d’Antanambaobe est actuellement touchée de plein fouet. Cette situation est susceptible de conduire à sa fermeture temporaire annoncée pour vendredi prochain, et du moins après les examens du 4 décembre prochain.  A entendre dire une source auprès de la Gendarmerie, ce n’est pas la première fois que cet établissement scolaire a été le théâtre de telle crise de possession d’élèves. La dernière en date remonte le matin du lundi 30 novembre dernier.
Selon toujours les récits de cette source auprès de la Gendarmerie, les élèves se trouvaient dans la cour pour la cérémonie de l’hymne au drapeau national lorsque 8 jeunes filles étaient subitement entrées en transe !  “Du coup, la directrice de l’établissement a informé l’organisation mixte de conception ou OMC sur cette situation”, confie cette source.
Sur la foi de cette information, l’OMC locale a pris une série de mesures : des membres de cette entité ont effectué une descente sur place, c’est-à-dire à Antanambaobe, hier. Il y eut aussi cette décision afin de procéder à cette fermeture temporaire de l’école à compter de vendredi prochain. En attendant, l’OMC élargie a convoqué une réunion avec les parents d’élèves afin d’étudier les décisions à prendre, mais aussi pour dresser un bilan de la situation qui prévaut actuellement sur place.
L’OMC Mananara-Nord a déjà prévu se réunir le 23 novembre dernier afin de chercher une solution à ce phénomène qui met l’école Mamafisoa d’Antanambaobe dans la tourmente. Puisque la brigade de Mananara-Nord a été le théâtre d’un accident, décision fut prise pour reporter cette réunion pour le 30 novembre dernier.
A chaque période de l’année, les crises de l’Ambalavelona concernent les établissements scolaires des Régions, mais rarement dans la Capitale. A part le Sud-ouest, le Nord-est est souvent durement touché avec un phénomène qui fait vraiment peur car tend à faire tache d’huile.
Franck R.


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6 millions de litres de production annuelle d’ici trois ans. Le programme national d’entrepreneuriat baptisé « Fihariana », en collaboration avec FIFAMANOR et SOCOLAIT, développe la filière lait à Madagascar. Les trois parties ont lancé hier à Andranomanelatra, Antsirabe, le projet FANORO ou « Fanatsarana ny ombivavy be ronono ». En effet, la production laitière actuelle n’arrive pas encore à combler tous les besoins de la population. En termes de statistiques, la quantité de production se chiffre encore à trois millions de litres par an dans la Région de Vakinankaratra. Un Malagasy consomme en moyenne 2,8 litres de lait par an, alors que les Mauriciens en consomment annuellement jusqu’à 30 litres par habitant.
C’est pour cette raison que le Gouvernement améliore le rendement des éleveurs pour doubler la production annuelle. « Nous sommes encore au stade de 3 millions de litres de production par an. Dans cette première étape, ce seront donc 3 000 éleveurs indépendants et inclus dans des chaînes de valeur qui sont ciblés. Une production de 6 000 000 de litres est attendue grâce à ces actions pour l’amélioration de la filière, et cela à travers le renforcement des stations d’insémination artificielle existantes, l’équipement des techniciens et la formation des éleveurs. La vision commune aux trois entités est d’appuyer l’amélioration des conditions de vie des éleveurs, tout en assurant un approvisionnement continu de lait sur le marché national. L’entreprise SOCOLAIT s’assurera de l’accompagnement des éleveurs déjà sous contrats avec elle, tandis que le programme Fihariana leur offre des financements pour développer leur activité », explique Lucien Ranarivelo, ministre de l’Agriculture, de l’Elevage et de la Pêche.
Dans un premier temps, les actions du projet FANORO se concentreront sur Vakinankaratra et Analamanga qui représentent les Régions pilotes. L’expansion du projet sur les autres Régions est déjà programmée dans un futur proche. A cet effet, les éléveurs vont procéder à l’insémination artificelle sur 3 000 vaches dont 1 000 d’entre elles durant la première année afin de donner naissance et d’améliorer davantage la race. « On ambitionne deux tiers du taux de réussite de l’insémination artificielle, c’est-à-dire qu’au moins 2 000 vaches vont donner naissance et développer davantage la filière. A noter que les vaches norvégiennes donnent 20 litres de lait par jour, alors que celles de race malagasy se limitent encore à 5 litres de production journalière », poursuit le ministre de tutelle.
Solange Heriniaina

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En voie de disparition. Les tortues font partie des espèces endémiques menacées d’extinction à Madagascar, notamment avec les nombreux cas de trafic enregistrés ces dernières années. Une fois récupérées auprès des trafiquants, les tortues saisies sont confiées à la Fondation « Turtle survival alliance (TSA), laquelle se charge à la fois de leur réadaptation, soins et préparation à la réintroduction en milieu naturel. « Nous existons depuis 2010, mais nos centres de conservation et de réadaptation des tortues saisies ont été opérationnels depuis 2014. Plus de 24 000 tortues y sont prises en charge depuis », informe le Dr Herilala Randriamahazo, coordonnateur national de la TSA Madagascar. « Au début, nous avons prévu que le processus de réadaptation dure 6 mois, mais ce n’est pas le cas au final avec les divers critères à considérer. Aucun relâchement en milieu naturel des tortues n’a pu se faire depuis », ajoute ce responsable. Toutefois, le processus du premier relâchement est déjà déclenché. 1 000 tortues en seront concernées d’ici la fin de l’année, selon les prévisions. Notons que les centres de réadaptation de la TSA Madagascar se trouvent dans les Régions Atsimo- Andrefana et Androy, lieux d’habitation naturels des tortues.
La communauté impliquée
Un tabou en train de disparaitre. Le braconnage des tortues est considéré comme « fady » dans la Région Sud de Madagascar, lieux d’habitation naturels des tortues. Mais certains commencent à bafouer ce tabou, notamment durant la crise sanitaire et avec le pullulement du commerce illégal des ressources naturelles. Pour y remédier, la TSA implique la communauté dans la conservation des tortues. « Notre approche de gestion communautaire consiste à former les membres de la communauté à prendre soin des tortues dans les centres de réadaptation locaux et leur enseigner l'importance de la conservation de la biodiversité. Cela renforce le sens des responsabilités de la communauté à protéger les tortues contre les trafiquants d’espèces sauvages et les braconniers. De plus, cette implication de la communauté explique en partie le taux de survie élevé, soit 95%, des tortues dans les centres. En tant qu’espèces endémiques, les tortues constituent l’un des attraits les plus prisés pour l’industrie éco touristique de la Grande île. Leur valeur sur les marchés illicites en fait également une cible importante pour le trafic d'espèces sauvages national et international.
Patricia Ramavonirina

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Un grand soulagement pour les Tananariviens, la Direction générale de la Météorologie et la JIRAMA. Si la semaine dernière, une provocation des pluies a été prévue à Antananarivo pour alimenter les barrages hydrauliques à Andekaleka et Tsiazompaniry, les averses se sont enfin abattues dans la Capitale depuis lundi. Ce type de temps va se poursuivre jusqu’en fin de semaine. Sur ce, l’opération « pluie provoquée » est donc annulée pour le moment. « Pour l’instant, tout le monde peut profiter de ces averses. Toutefois, la tenue d’une nouvelle opération sera planifiée selon la demande de la réserve d’eau venant de ces rivières », soutient Rivo Randrianarisoa, chef prévisionniste au sen de la Direction générale de la Météorologie.
Contrairement à cela, une opération de provocation des pluies a été lancée dans la ville de Fianarantsoa. L’équipe des techniciens de la Météorologie et de la JIRAMA est à pied d’œuvre depuis hier. « Toutes les conditions sont déjà réunies pour provoquer des pluies comme la formation des nuages. L’opération est déjà lancée et nous attendons l’évolution de la situation jusqu’à vendredi », poursuit ce chef prévisionniste. « Nous espérons obtenir un bon résultat », poursuit-il. Cependant, en cas d’échec, une autre opération sera programmée. Selon une estimation, le tarif varie entre 15 et 21 millions d’ariary. Et effectivement, la location d’un avion servant à l’ensemencement des nuages s’avère la plus coûteuse.
En rappel, à cause du manque de précipitations dans le pays, les réserves d’eau ne sont plus actuellement suffisants pour couvrir le besoin de la population, autant dans l’approvisionnement en eau que dans la production d’électricité. De plus, le niveau des températures a fortement augmenté, atteignant jusqu’à 41°C dans quelques Régions de l’île. Pour remédier à ce manque de pluie, la Direction générale de la Météorologie, en collaboration avec la compagnie de distribution d’eau et d’électricité, a donc décidé de lancer une opération aérienne pour provoquer des pluies, prévue en ce début du mois de décembre.
A vrai dire, l’expression « pluies artificielles » est inappropriée. Elle peut prêter à confusion pour les gens qui sont tentés de croire qu’on peut fabriquer des pluies. Or, le fait de les fabriquer est impossible.
Anatra R.

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«  Il n’y a rien à cacher ». Le Garde des Sceaux et ministre de la Justice a réagi hier à l’initiative de la majorité des sénateurs au mandat finissant de former une commission d’enquête dont une des sections devra se charger d’étudier l’affaire de la mutinerie survenue à la prison de Farafangana au mois d’août dernier. « Je ne vois aucun problème à ce que quiconque mène une enquête ou des investigations sur les faits qui s’y sont déroulés », a ainsi affirmé Johnny Richard Andriamahefarivo interviewé par les journalistes en marge d’une visite de courtoisie de l’ambassadeur de la République populaire de Chine hier. Jouant la carte de la transparence, le numéro Un de Faravohitra indique que si certains veulent mener des investigations sur les faits qui se sont déroulés à Farafangana, à savoir dit-il, l’évasion d’environ quatre-vingt détenus, le vol d’armes et les troubles qui s’ensuivirent, la poursuite des évadés et les morts durant les échauffourées, il ne trouvait rien à y redire car cela permettra de clarifier les faits. Une manière pour le ministre de la Justice de donner carte blanche aux sénateurs majoritaires à la Chambre haute qui souhaitent ouvrir des enquêtes sur cet épisode dramatique dans l’histoire de l‘administration pénitentiaire du pays.

Sur un autre domaine, la nouvelle ambassadrice de la République populaire de Chine, Guo Xiaomei a rendu une visite de courtoisie au Garde des Sceaux et ministre de la Justice de Madagascar, hier.  La nouvelle représentante diplomatique de la Chine à Madagascar, avait pour rappel, présenté ses lettres de créance au Président de la République malagasy Andry Rajoelina le 11 novembre dernier. C’est le premier poste d’ambassadeur occupé par cette dame qui fut déjà conseillère permanente au niveau de l’Organisation des Nations-Unies à New-York, et a également déjà été directrice au niveau du ministère des Affaires étrangères chinois. Elle a déjà eu l’occasion de séjourner à Madagascar en étant membre d’une délégation chinoise venue visiter le ministère de la Justice. Les échanges et les dialogues entre les deux parties ont été très « enrichissants ». « Nous sommes d’accord sur beaucoup de points », explique la diplomate chinoise. La coopération dans le domaine judiciaire entre les deux pays a été au cœur des discussions. Cette coopération revêt diverses formes, notamment les visites et les échanges humains des personnels judiciaires et aussi des séminaires et de renforcement des capacités de nos deux pays dans le domaine judiciaire et aussi des travaux sur des accords et des traités entre nos pays.

La rédaction

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mardi, 01 décembre 2020

La une du 2 décembre 2020

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Rapatriement, rapprochement familial, obligations professionnelles...Pour toutes ces raisons, les autorités gouvernementales de Madagascar ont décidé cette semaine, la reprise des vols spéciaux, après près d’un mois de suspension pour permettre aux ressortissants malagasy de revenir au pays. Suite à une recrudescence de la pandémie de coronavirus avec la deuxième vague assez intense en Europe, le Président de la République malagasy, Andry Rajoelina a décidé de suspendre tous les vols de rapatriement pour éviter que cette deuxième vague ne se répande dans la Grande île. Ainsi, pour cette ouverture partielle des liaisons aériennes, les cinq vols entrant d’Air Madagascar seront alors surveillés de très près pour éviter toute nouvelle propagation de la Covid-19 dans le pays. Toutes les conditions sanitaires mises en place au début des vols de rapatriement restent toujours d’actualité. Comme pour tous les vols spéciaux auparavant, tous les passagers devront présenter les résultats d’un test PCR négatif à la Covid-19 de moins de 72heures avant l’embarquement de même qu’au débarquement. A l’arrivée dans la Grande île, ils effectueront ensuite un nouveau test PCR à l’aéroport. « Les passagers seront toujours tenus de respecter un confinement obligatoire dans un établissement hôtelier jusqu’à l’obtention du résultat du test. Cette durée peut aller jusqu’à quatre jours », précisent les responsables.
De plus, les interdictions d’entrée pour les personnes en provenance des 16 pays à risque émises par l’Aviation civile de Madagascar (ACM) sont toujours en vigueur. Les passagers en provenance de l’Allemagne, de la Belgique, de l’Espagne, de la France, de l’Italie, des Pays-Bas, de la Pologne, du Royaume-Uni, de la Russie, de l’Ukraine, des Etats-Unis, de l’Inde, du Brésil, du Maroc mais aussi de l’Argentine et de l’Iran ne pourront pas débarquer à Ivato. Paris ne sera alors qu’un point de ralliement, tout comme Addis-Abeba. Il faut noter qu’Air Madagascar ne dispose que d’un droit de trafics sur Paris et Marseille, et non dans plusieurs villes de l’Europe. C’est pourquoi, la compagnie malagasy va collaborer avec d’autres compagnies aériennes dans la réalisation de ces vols spéciaux. Ainsi, le premier vol aura lieu le 12 décembre prochain , en partance de Paris pour rejoindre la Capitale. Les réservations et les achats de billet peuvent déjà se faire.        
Rova Randria

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Dans le cadre de la relance du sport U, la direction de l’office des sports et de la culture de l’université d’Antananarivo organise une formation en rugby à VII et en basketball FIBA 33 aux étudiants de l’université d’Antananarivo, les 2, 3 et 4 décembre 2020. Ce stage aura lieu grâce à l’association Eka, qui œuvre dans la sensibilisation de la participation des jeunes au développement et le projet FIBA 3x3 de la Fédération malagasy de basketball. Une attestation sera délivrée à l’issue du stage de formation qui sera chapoté par le Malagasy Rugby et la Fédération malagasy de basketball.
« Nous avons choisi le basketball 3 contre 3 car c’est une discipline vecteur de solidarité et d’engouement entre jeunes passionnés de la discipline», relate Kiady Rabarijoelina, premier responsable de la vulgarisation de la discipline au sein de la FMBB.
Quant au rugby, déjà c’est un sport olympique et il peut aussi contribuer à la relance du sport universitaire. Rappelons qu’une sélection de l’université d’Antananarivo a participé au tournoi Orange Women 7’s qui s’est tenu au stade Maki Andohatapenaka. L’équipe de l’université a vraiment épaté les techniciens de la fédération pour un début dans une compétition fédérale.
Pour revenir à la formation, seuls deux participants par mention peuvent prendre part au stage, et ce seront les mentions présentes qui pourront participer aux différentes compétitions universitaires en 2021.
« Afin de redynamiser le sport universitaire et regagner sa place dans l’instance fédérale, il faudrait commencer par ces deux disciplines. En effet, 80% de l’équipe nationale sont issues des équipes universitaires. Ainsi, il faut donner aux jeunes les moyens nécessaires pour atteindre ces objectifs à commencer par les formations », avance le responsable de l’office des sports et de la culture de l’université.
La formation théorique se déroulera les 02 et 03 décembre (9h-12h) et le 04 décembre (9h-12h) elle sera axée sur la pratique et les jeux ludiques (mise en situation) avant de procéder à la remise de certificats en présence de la Fédération malagasy de basketball, du Malagasy Rugby,  du président de l'université d'Antananarivo, du représentant de la Maison des sports et de l’ambassadeur de France.
Elias Fanomezantsoa

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Editorial

  • Vouée à l’échec ?
    Le pays est en plein chantier d’élaboration d’une nouvelle Stratégie nationale pour la lutte contre la corruption (et l’impunité), la SNLCC. Celle qui est en vigueur arrivera à son terme à la fin de l’année en cours après dix ans de mise en œuvre dans la bataille contre cette « ennemie » apparemment imbattable. Mise en selle en 2014, la SNLCC actuelle finira sa course incessamment. Mi-figue, mi-raisin, le bilan de la décennie de la Stratégie nationale de lutte contre la corruption balance entre un échec et une réussite. Le Comité pour la sauvegarde de l’intégrité (CSI) se trouve dans l’embarras pour traduire la situation exacte. Sahondra Rabenarivo, la présidente du CSI, déplore plus d’une fois l’existence de certains facteurs de blocage dans le processus normal de la lutte contre la corruption. Il existe un dysfonctionnement perçu comme un frein au bon déroulement du système de lutte contre la corruption.

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