dimanche, 14 février 2021

La une du 15 février 2021

Publié dans La Une


Alors que les Fidèle Razarapiera et consorts voulaient surfer sur la vague après la pseudo- excursion organisée le 6 février dernier, le mouvement semble déjà en perte de vitesse. En effet, le rendez – vous donné à leurs partisans au cours d’une émission spéciale dans la soirée de samedi a été très peu suivi. Rappelons qu’à la suite du meeting politique déguisé en excursion à Imerinkasinina, les membres de l’opposition ont voulu profiter de l’occasion pour renouveler leur tentative de déstabiliser le régime en place. Force est pourtant de constater que le nombre de leurs partisans commence à s’amenuiser.
Au cours de la fameuse émission spéciale, les parlementaires de l’opposition se sont relayés pour livrer, comme à leur habitude, à une analyse creuse de la situation dans le pays. Comme il fallait s’y attendre, ils ont évoqué l’affaire concernant le trafic de 73,5 kilos d’or interceptés en Afrique du Sud. Cela révèle d’ailleurs leurs stratégies qui se résument uniquement à mettre la main sur les dossiers chauds pour jeter de l’huile sur le feu. Les opposants se sont contentés d’acculer le régime sans apporter de preuves réelles et pertinentes. Pourtant, le dossier est déjà étroitement pris en main par les autorités malagasy. A preuve, la plainte déposée contre la société qui prétend être le propriétaire des lingots d’or.
Manipulation
Avec ce genre de procédé anti – patriotique, il est normal que l’opposition perd de plus en plus en crédibilité. Il n’est plus à rappeler qu’à seulement deux années de mandat du Président Andry Rajoelina et alors que la période de mi – mandat n’est pas encore atteint, les partisans de Marc Ravalomanana pointent du doigt un échec utopique du régime.
Outre une analyse creuse et sans fondement, les membres de l’opposition ont également tenu un discours qui prend l’allure d’un véritable lavage de cerveau. Parlant d’un point de départ, ils persistent et signent dans leur intention de renverser le régime. Une manœuvre visant à manipuler les gens à les suivre dans leur tentative machiavélique de fragiliser le régime mais qui peine pourtant à trouver suiveurs. Un piège dans lequel seuls les fanatiques dépourvus d’un sens d’analyse et de recul peuvent tomber. Voulant à tout prix brûler les étapes à défaut de bonnes préparations pour la prochaine échéance présidentielle en 2023, les membres de l’opposition ont, une fois de plus, échoué dans leur manœuvre.

La Rédaction

Publié dans Politique



Plus de 500 stations radiophoniques existent à Madagascar. La Radio nationale malagasy (RNM) reste la doyenne avec ses 90 années d’existence, un évènement à marquer pour cette année. « La radio est à la fois un outil de communication, d’information, d’éducation et de loisirs. Elle permet à la société de se sensibiliser sur divers sujets la concernant », s’exprime Soava Andriamarotafika, président de l’association des journalistes des radios privées de la Grande île. « La radio est un moyen efficace pour faire passer des messages ou des idéologies. Elle peut contribuer à la reconstruction d’un pays ainsi qu’à la réconciliation. Elle peut également soutenir la destruction et la désunion, notamment si elle est utilisée pour véhiculer la haine, les rumeurs, les mensonges ou encore pour une incitation à la guerre tribale et à la rébellion », affirme Lalatiana Andriatongarivo, ministre de la Communication et de la Culture (MCC). Le député Fetra Rakotondrasoa, journaliste et président de la Commission Communication et Culture auprès de l’Assemblée nationale, confirme ce fait. « La radio ne devrait pas servir d’outil politique. Seuls les professionnels devraient s’en emparer », souligne-t-il. C’était samedi dernier dans la cour de l’ORTM Anosy, à l’occasion de la célébration officielle de la Journée mondiale de la radio (JMR).
Salon de la radio
« Nouveau monde, nouvelle radio ». Tel a été le thème adopté pour la célébration de la JMR. Celle-ci étant actuellement à sa 10ème édition pour Madagascar. La majorité des stations radio implantées dans la Capitale ont participé à l’évènement, samedi dernier. Le Salon de la radio  a été organisé en leur honneur, avec la participation des établissements supérieurs de formation en communication et journalisme. Outre les stands d’exposition, la journée a été une occasion pour les professionnels de la radio de faire un partage de leur travail, de leur rôle et de leurs vécus quotidiens. Ayant existé depuis 110 ans, la radio s’est améliorée avec le temps. « La première radio stéréo a existé en 1998, avant le basculement vers la radio numérique terrestre, quelques temps après. Quant à l’administration et les ressources humaines, les professionnels de la radio, notamment les journalistes et animateurs, deviennent de plus en plus compétents. Ils maîtrisent mieux leur "job". Aucun "blanc" n’est plus constaté et le programme s’avère bien ordonné », constate un directeur général d’un groupe de formation.
Notons que la radio contribue à l’éducation civique et citoyenne. Toutes les émissions diffusées y contribuent. Aussi, bon nombre de stations radio du pays adoptent les nouvelles technologies pour innover et se rapprocher davantage de la population, en tant qu’outil de communication de proximité. Elles sont également présentes en ligne, notamment sur les réseaux sociaux, et restent en interaction permanente avec les auditeurs.
Recueillis par Patricia Ramavonirina

Publié dans Société
dimanche, 14 février 2021

Des files indiennes

« Kaly tsinjo », « Vary tsinjo », « Menaka tsinjo » ont le vent en poupe ! Lancée pour la première fois ce vendredi 12 février cette année 2021en présence du Chef de l’Etat Rajoelina Andry, l’initiative a eu des échos positifs auprès de la population. Les files indiennes devant les bureaux du Fokontany en témoignent. Débordant d’intentions louables pour accompagner et soutenir le « sosialim-bahoaka », le jeune Président se démarque de ses prédécesseurs. Il manifeste publiquement sa volonté de se mettre toujours aux côtés de son peuple en difficulté.
En effet, résolu d’imposer le coup d’arrêt au rythme infernal de l’escalade de l’inflation, le régime « Orange » met, à bras le corps, le paquet. Rajoelina Andry et le Gouvernement n’ont pas le choix, il faut juguler, par tous les moyens que l’on dispose, les effets pervers de la crise sanitaire ou autre. Par ces temps si durs et étouffants, le peuple souffre péniblement! En fait, en situation de précarité extrême, le citoyen lambda ne sait plus où mettre les pieds.
Les produits de première nécessité (PPN) dont le riz et l’huile alimentaire focalisent les actions des autorités étatiques. Le « Vary tsinjo » et le « Menaka tsinjo » sont disponibles au Fokontany à des prix défiant toute concurrence. A 500 ariary le kapoaka et à 1 500 ariary le kg du riz import et à 4 000 ariary le litre d’huile au lieu de 6 000 ariary sur les étals du marché, le Gouvernement vise à briser l’escalade des prix, notamment pour les denrées alimentaires de base. Ainsi, à Antananarivo, tous les lundis, jeudis et samedis, les « tsenam-pokontany » ouvrent leurs portes. Et sur présentation de « karinem-pokontany », les concitoyens peuvent librement jouir de ces prix de faveur. Ce samedi dernier, on a pu constater que le bureau du Fokontany a été pris d’assaut. Hormis la crème des crèmes, toutes les catégories sociales se bousculent au… portillon. Ce sera le cas certainement ce jour et pour d’autres.
Faudrait-il rappeler que le régime n’en est pas à sa première initiative d’actions en direction du « sosialim-bahoaka » ! En 2020, au moment fort et pénible de la crise due à la pandémie de la Covid-19, le Gouvernement sous la houlette du Chef de l’Etat et du Premier ministre firent des mains et des pieds pour venir en aide auprès de la population en détresse. On a utilisé dans la transparence les aides apportées par les Partenaires techniques et financiers (PTF) et Organismes internationaux.
Evidemment, les détracteurs du régime broient du noir comme d’habitude. Ils n’y voient que de la fumée ou de la poudre. Dommage pour eux ! A travers « miara-manonja », ils ne cessent de ressasser des vilenies et de cracher leur venin à la longueur de la journée. Un jour ou l’autre, les Hanitra et Fidèle et consorts finiront par se taire face aux actes concrets du régime. Le Président Rajoelina Andry évite de se lancer dans l’escalade verbale. Un piège tendu qu’il sait bien contourner ou… surpasser. Heureusement !
L’axe prioritaire de Rajoelina et ses proches collaborateurs consiste donc à tenir sous contrôle les impacts négatifs de la crise. Il faut d’urgence être aux côtés de la population.
Ndrianaivo

Publié dans Editorial


7. Tel est le nombre de personnes atteintes de la Covid-19 qui sont décédées la semaine dernière. Trois parmi ces patients, victimes du syndrome de détresse respiratoire aigüe, ont été recensés à Analamanga. Les quatre autres décès ont été répertoriés dans les Régions de Vakinankaratra, Analanjirofo et Haute-Matsiatra. D’après les statistiques, le pays déplore actuellement un décès par jour. Effectivement, depuis le début de cette année, la transmission du virus a connu un accroissement assez alarmant. Rien qu’en deux semaines, 11 personnes qui ont contracté le virus ont déjà rendu l’âme, une raison de plus pour se protéger. Aux dernières nouvelles, 291 décès sont répertoriés à Madagascar. Faut-il toujours rappeler que ce sont les personnes vulnérables qui constituent ces victimes. Il s’agit notamment de personnes âgées et également celles qui développement des maladies chroniques.
Si le numéro un de la santé Publique, Professeur Hanitrala Jean Louis Rakotovao a annoncé au début de cette semaine que le pays compte de moins en moins de nouvelles contaminations, les chiffres n’apportent pas encore de garantie. Ainsi, du 6 au 12 février, le Centre de commandement opérationnel Covid-19 a comptabilisé 238 nouveaux porteurs du virus avec une différence de 57 cas positifs par rapport à la semaine d’avant. Et c’est toujours la Région d’Analamanga qui détient le record en termes de nouveaux cas. 139 individus infectés y ont été recensés dont 17 présentent des formes graves de la maladie. Vient ensuite la Région d’Atsinanana avec 33 nouveaux cas positifs, suivie de celle de Menabe qui compte 26 contaminés. Les autres porteurs du coronavirus sont répartis à Vakinakaratra, Analanjirofo, Haute-Matsiatra, Amoron’i Mania, Ihorombe, Boeny, Atsimo-Andrefana, Anosy, Diana. Le 238ème cas est par contre non identifié.
Depuis le début de l’épidémie, la Grande île a réalisé 116 740 tests comprenant les tests PCR et GèneXpert. Ces analyses ont pu identifier 19 598 cas confirmés sur tout le territoire malagasy. Avec les différents traitements adoptés, 18 915 patients ont recouvré la santé et ont rempli les critères de guérison élaborés par l’Organisation mondiale de la santé. Actuellement, il reste encore 391 patients en cours de traitement.
K.R.

Publié dans Société



Positive. La négociation avec le Fonds monétaire international (FMI) durant les trois dernières semaines a permis au Gouvernement malagasy d'obtenir un financement de l'ordre de 320 millions de dollars. Richard Randriamandrato, ministre de l'Economie et des Finances (MEF) et Henri Rabarijohn, gouverneur de la Banque centrale de Madagascar (BFM) l'ont annoncé samedi dernier à Antaninarenina. Ce fonds entre dans le cadre du nouveau programme Facilité élargie de crédit (FEC) qui s'étale sur une période de trois ans. « Ce qui est réjouissant, c'est d'avoir obtenu plus de financement par rapport à notre quota. Le dossier de Madagascar sera présenté devant le Conseil d'administration du FMI, situé à Washington, au mois prochain. Normalement, 40 % de ce fonds, c’est-à-dire 128 millions de dollars, seront débloqués en première tranche. Des chargés de mission évalueront les résultats du pays en juillet », a déclaré Richard Randriamandrato devant la presse.

Des réformes

D’une manière identique à la précédente FEC, la somme financera toutes les politiques budgétaires et monétaires en s'appuyant sur les priorités du Gouvernement, détaillées dans le Plan Emergence de Madagascar (PEM). Du côté de la BFM, l’institution financière surveille la balance de paiement et injecte des monnaies étrangères sur le marché interbancaire de devises au cas où l'ariary dégringole.

Le MEF, de son côté, se charge de la gestion des finances publiques. Plusieurs réformes figurent dans la perspective, pour ne citer que l'accroissement du taux de pression fiscale et du budget des ministères dans le secteur social. «  Durant les réunions virtuelles, le FMI a mis l'accent sur l'augmentation du budget des ministères sociaux comme celui de la Population,   le ministère de la Santé, celui de l'Education. Ainsi, le Gouvernement leur a consacré 1 729 milliards d'ariary dans la loi de Finances initiale (LFI) 2021. Une hausse de quelques points sur le pourcentage est prévue dans la loi de Finances rectificative (LFR). 600 000 personnes vont également bénéficier d'un transfert monétaire comme lors des "Tosika Fameno". Par ailleurs, une somme de 5 millions de dollars sera allouée au Fonds d'intervention pour le développement », poursuit le ministre de l’Economie et des Finances.

…mais pas pour Air Madagascar

Bien qu’elle soit en difficulté, la compagnie aérienne nationale Air Madagascar ne recevra pas de subvention dans ce financement. Son redressement dépend du business plan qui est actuellement en cours d'élaboration. La compagnie reprendra ses ailes avec son nouveau partenaire stratégique. Par contre, le Gouvernement donnera un coup de pouce à la compagnie d'eau et d'électricité JIRAMA. « Nous vivrons tous dans le noir si cette société est en difficulté. Une subvention est déjà réservée à cette entreprise mais le montant n'est pas encore défini. On ne versera pas l’argent en bloc mais en fonction de ses besoins », souligne Richard Randriamandrato.

Le maintien des prix à la pompe a également été évoqué à la fin de la conférence de presse. 
Selon les deux chefs d’institution, ce nouveau programme avec le FMI est crucial dans la mesure où cette institution financière donne le quitus en matière de santé économique de Madagascar. Cela permet ainsi de gagner la confiance des opérateurs économiques, investisseurs, organismes bilatéraux et multilatéraux. La porte s'ouvre désormais aux autres bailleurs de fonds comme la Banque africaine de développement, l'Union européenne et la Banque mondiale.

Solange Heriniaina

Publié dans Economie

Victoire nette et sans bavure pour l'AS Adema, cet après-midi au By Pass, lors de la 6e journée de la Conférence sud, en Orange Pro League.
Le leader de la Conférence sud conforte sa première place au classement provisoire, suite à son succès de 2 buts à 0 devant le 3FB Toliara sur les œuvres de Than (13e) et Fabien (73e). Le 3FB Toliara a tout de même livré une rude bataille pour limiter les dégâts malgré cette défaite.  C’est une victoire suffisante qui conforte sa place de leader pour la formation de Rôrô, coach de l’As Adema. L’équipe de l’aéroport mène avec 4 points devant son dauphin, le FCA Ilakaka.
Dans un autre match de ce dimanche, l'USCAFOOT a disposé du Zanakala FC sur la plus petite des marges (1-0). Tandis que le FCA Ilakaka a dominé le CS-DFC (3-1) au stade d’Ampasambazaha. Une belle victoire grâce à un doublé de Gôty (55e et 77e) et un but de Pao (63e). La CNaPS Sport-Disciple FC n’a pu réduire le score que dans les temps additionnels (90+2).
Dans la Conférence nord, la hiérarchie commence à se dessiner. COSFA (10 points) a battu de sang-froid par 4buts à 1 Tia Kitra Toamasina. Dans une autre confrontation de la journée d’hier, Fosa Juniors continue de vivre une saison sombre. Le champion de Madagascar en titre a été tenu en échec d’un but partout par le Jet Kintana Itasy.
 Prochainement, trois matchs du sud seront prévus à Fianarantsoa à savoir 3FB Toliara et Zanakala FC qui recevront respectivement FCA Ilakaka et l'AJESAIA. CS-DFC de son côté accueillera l'USCAFOOT à Antananarivo. Les clubs du nord seront au repos.
Recueillis par E.F.

Publié dans Sport


Le parti présidentiel Tanora malagasy vonona (TGV), des associations ainsi que plusieurs groupements soutenant le Président de la République Andry Rajoelina se sont donné rendez-vous, samedi dernier, à Talata -Volonondry dans la partie nord de la Capitale pour un reboisement. Outre les partisans du Chef de l’Etat, les responsables du parti, les députés, les sénateurs, les gouverneurs, les maires, issus du giron Orange ont fait le déplacement pour cette manifestation. « Cet évènement entre dans le cadre de reverdissement de Madagascar », soutient un communiqué du Sénat publié samedi. Pour le Président de la Chambre haute, Herimanana Razafimahefa, qui était présent lors du reboisement, il s’agit de regarder l’avenir des générations futures du pays. Un objectif auquel ont pleinement participé plusieurs milliers de partisans. Une vague Orange a déferlé sur la petite localité d’Ambohimahavelona.
Pour l’observateur de la vie politique, il pourrait s’agir d’une manière pour les partisans du Président de montrer ses muscles. Surtout que ce reboisement intervient une semaine après la pseudo-excursion organisée par l’opposition, le RMDM et le TIM, à Imerinkasinina. « Lorsque nous faisons des descentes ici dans la campagne, c’est pour travailler, alors que les autres font des excursions », a dit Richard Ramandehamanana, gouverneur de la Région d’ Alaotra- Mangoro. Outre la partie reboisement à proprement parler, il s’agissait pour les organisateurs et les participants de montrer que les partis et associations soutenant le Chef de l’Etat participent au développement du pays. « Aujourd’hui, les membres du parti ont montré ce que cela donne quand nous sommes solidaires. Tout s’est déroulé sans incidents (…) Il ne s’agissait pas d’une véritable démonstration de force », explique Hery Rasoamaromaka, secrétaire national du TGV et gouverneur de la Région d'Analamanga. « Si nous avions voulu démontrer notre force, nous aurions fait plus grand encore », dit-il.
 La rédaction

Publié dans Politique

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Editorial

  • Au beau fixe !
     Le Président de la République de Madagasikara Rajoelina Andry NIrina a reçu en audience au Palais d’Etat d’Iavoloha la ministre des Affaires étrangères du Japon Yoko Kamikawa. Une rencontre que certains observateurs qualifient d’historique sinon d’inédite.Le Japon faisait partie des pays ayant noué une relation diplomatique avec la jeune République malagasy. L’empire du Japon était ainsi présent dès les premières heures du retour de la Grande île à l’indépendance en 1960. Seulement voilà, en soixante ans de relation diplomatique, c’est la toute première fois qu’une haute personnalité japonaise du rang de chef de la diplomatie ait pu effectuer une visite officielle au pays. Une grande première que nous, Malagasy, nous ne voulions pas passer inaperçue traduisant ainsi une relation au beau fixe entre les deux Nations voire entre les deux peuples.Le pasteur Ravelojaona, 1879 – 1956, fasciné par le parcours fulgurant de l’économie japonaise à partir du début du siècle…

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