dimanche, 27 février 2022

La une du 28 février 2022

Publié dans La Une



Ils étaient un peu plus de 7 000 fonctionnaires à être en situation irrégulière, selon le logiciel Augure 2 ou Application unique pour la gestion uniforme des ressources humaines de l’Etat. C’est la déclaration commune effectuée par le ministre de la Fonction publique et celui de l’Economie et des Finances à l’occasion du lancement officiel du déploiement de nouveaux modules du logiciel qui s’est déroulé en fin de semaine dernière au Novotel Alarobia. Ainsi sur ces quelques milliers de fonctionnaires en situation irrégulière, les directeurs des ressources humaines de chaque ministère ont effectué des procédures de contre vérification. Après cette étape, il restait alors près de 600 fonctionnaires qui n’ont pu fournir les preuves adéquates de leurs présences sur le logiciel qui pourraient alors justifier le paiement de leurs salaires. Suite à cela, 330 fonctionnaires sur ces 591 se sont vu suspendre le paiement de leurs salaires de façon définitive tandis que 136 autres ont recouvert un statut régulier au sein de l’administration publique et 129 autres attendent encore une délibération après le conseil de discipline en question en plus de 1 219 autres fonctionnaires qui n’ont pas été reconnus par le logiciel de gestion. Ainsi, ces individus ont perçu des salaires, sans avoir travaillé, ou ne sont pas recensés parmi les agents de l’Etat, mais ont continué à toucher des soldes. En plus de la coupure de leurs salaires, ces individus risquent la révocation et la suppression du droit aux pensions. « C’est la sanction maximale », selon un responsable au sein du ministère de la Fonction publique. Pour rappel, En décembre 2017, l’Etat a lancé une opération d’assainissement des fonctionnaires fantômes à partir du logiciel Augure. Ce logiciel a connu des obstacles techniques. Des centaines d’agents de l’Etat en situation régulière, voire, des hauts responsables, comme des directeurs généraux, ont vu leurs soldes suspendus, en même temps que ceux qui ont été en situation irrégulière. Leur situation a été régularisée, après présentation de plusieurs dossiers, dont une lettre de leur chef hiérarchique, attestant qu’ils sont en service au sein de tel ou de tel département. Il y a une amélioration de cette application. Par ailleurs, l’assainissement sera bientôt achevé dans la mesure où presque la totalité des fonctionnaires de tous les ministères et institutions sont déjà intégrés dans l’Application unique pour la gestion uniforme des ressources humaines de l’Etat. Ainsi l’intégration des effectifs dans ce logiciel s’étendra aussi dans les autres Régions. A titre d’information, le Gouvernement attribue au total 28,6 % du budget de l’Etat pour le paiement des salaires des fonctionnaires. Les 215 689 fonctionnaires représentent un budget total de 2 432,21 milliards d’ariary. 2 407,20 milliards d’ariary sont consacrés aux fonctionnaires et 25,01 milliards d’ariary sont destinés aux Employés de courte durée (ECD). Ainsi, les fonctionnaires fantômes coûtent trop d’argent dans le budget de l’Etat puisqu’ils perçoivent leur salaire sans pour autant travailler.

Hary Rakoto

Publié dans Economie
dimanche, 27 février 2022

Pris en étau !

Pris entre deux feux, entre deux paysfrères en conflit militaire, Madagasikara se trouve dans l’étroit. Par la force des choses, les dirigeants en place marchent sur des œufs. Le cœur balance entre une Ukraine, la protégée du monde occidental dont en particulier fait partie la France, des partenaires de premier choix et une Russie, un pays ami incontournable de la Grande île.
Volodymyr Zelensky et Vladimir Poutine se lancent dans une guerre atypique et surtout anachronique. Anachronique, justement, dans la mesure où elle réveille le démon de la guerre froide et attise de nouveau la tension entre l’Ouest et l’Est. Deux blocs nés de la fin de la Seconde guerre mondiale. Une guerre qui fait reculer l’Europe, d’Est en Ouest, 70 ans en arrière.
Une guerre qui met certains Etats dans une position équivoque et rappelle étrangement la naissance du mouvement des non-alignés auquel Madagasikara, de l’époque Ratsiraka, adhérait pleinement. En effet, ne voulant pas entrer dans les jeux des deux super puissants à travers le bloc de l’Est dirigé par l’URSS groupé autour du Pacte de Varsovie ainsi que le bloc de l’Ouest sous l’égide des Américains réuni autour de l’OTAN, des pays comme l’Indonésie, la Tanzanie, l’Egypte, l’Inde, la Chine, Madagasikara, etc. ont choisi la voie de la neutralité et gardé leur indépendance. La Conférence de Bandoeng (1955) en Indonésie présidée par Soekarno au cours laquelle 29 pays ont officialisé leur neutralité et se démarquaient de la tutelle de l’un ou de l’autre. Ce fut la naissance, d’ailleurs, d’un autre mouvement, le « Tiers-mondisme » ! Dans cet état d’esprit qui voulait se défiler du joug direct des deux mondes (Est et Ouest), un troisième monde apparait donc à savoir le Tiers-monde au sein duquel les pays en développement d’Asie, d’Amérique latine et d’Afrique se groupaient. Evidemment, le neutralisme objectif parfait n’existe pas. C’est un idéal à atteindre ! De toute façon, l’Occident se méfiait de Bandoeng comme étant le pion de Kremlin.
L’Afrique d’aujourd’hui, forte des expériences de Bandoeng et de l’esprit du Tiers-mondisme, face à cette guerre gênante en Ukraine, préfère jouer la carte de la prudence sinon de la neutralité. Par le biais de l’Union africaine (UA), elle convie les deux belligérants, de façon très diplomatique, à se retrouver autour d’une table afin de mettre un termeà ce conflit militaire qui ne sert point les intérêts de personne sauf les esprits tordus.
Toujours dans cette démarche de prudence et de neutralité, Madagasikara adopte l’itinéraire africain. Les partenaires techniques et financiers « invitent » la Grande île à se positionner. L’Allemagne en particulier et l’Union européenne en général voudraient bien que les tenants du régime se rangent du côté du vieux continent et qu’ils fassent pression auprès de la Russie en ce sens qu’elle veuille bien stopper la guerre et consentir à prioriser la voie du dialogue.
Pris en étau, le numéro Un malagasy, Rajoelina Andry Nirina, évite d’afficher une position condamnant l’une et soutenant l’autre. Serait-ce par peur de se faire tirer les oreilles ? Négatif ! Plutôt par souci de neutralité et de prudence, c’est la voie de la raison pour un pays comme le nôtre.
Ndrianaivo

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C’est sur les réseaux sociaux que la nouvelle annonçant la mort d’un Malagasy en Ukraine est diffusée. Cette source officieuse, partagée par un Malagasy qui habiterait dans ce pays en guerre avec la Russie, affirme que ce compatriote aurait pris des armes pour défendre sa patrie d’adoption qu’est l’Ukraine. Une information confirmée par une source auprès du ministère des Affaires étrangères de Madagascar qui précise que la victime, originaire d’Antananarivo, possède la double nationalité et a servi comme réserviste.
Des informations non confirmées avancent également que deux autres Malagasy seraient, eux aussi, tués dans cette guerre en Ukraine. L’un originaire du Nord de Madagascar et le second du Sud de la Grande île, seraient engagés auprès de l’armée Ukraine. Faute de confirmation officielle, cette information reste ainsi au stade des rumeurs.
Une vingtaine de ressortissants malagasy vivent en Ukraine. Du moins, c’est le nombre officiel enregistré auprès de l’ambassade de Madagascar en Russie qui s’occupe également de l’Ukraine. Une partie de cette communauté malagasy a quitté le lieu pour se réfugier en Pologne tandis que certains ont préféré y rester. 
C’est dans ce genre de situation en terre étrangère que les responsables incitent les ressortissants malagasy à se faire enregistrer dans les ambassades ou consulats de leur pays de résidence. Cela permet effectivement aux représentants de Madagascar dans ces pays de les protéger ou de leur apporter de l’aide en cas de besoin.


Publié dans Politique


Une volute de fumée noire s’élevait dans le ciel vers le milieu de l’après-midi dans le secteur du quartier dit “Trano Dimy” à Anosipatrana, hier. Là, 33 habitations dont la plupart construites en bois, ont été ravagées par les flammes. Trois de ces dernières sont construites en dur. C’est le cas d’un bâtiment bleu à deux étages, le plus élevé et lequel les appartements sis dans la partie supérieure, ont été complètement dévastés avant même que les sapeurs-pompiers puissent intervenir. Seul le rez-de-chaussée a été épargné. “De crainte pour leur vie, les pauvres locataires se sont enfuis sans pouvoir rien emporter sauf les vêtements qu’ils portaient sur eux”, relate un témoin à la scène.
Bien que le sinistre n’ait fait aucune victime humaine, sauf bien sûr une panique se traduisant par un sauve-qui-peut général parmi les locataires, les dégâts sont particulièrement importants. “La plupart des propriétaires, notamment ceux des maisonnettes, ont tout perdu dans cet incendie”, confie une source auprès des sapeurs-pompiers. Beaucoup d’habitants ont perdu leurs économies sinon les animaux d’élevage tels que des cochons. Les pompiers sont arrivés sur les lieux avec quatre fourgons pompes, un peu vers 15h. “Les soldats du feu ont finalement maîtrisé la situation une heure après un travail d’arrache-pied”, poursuit notre interlocuteur. Et comme d’habitude, l’intervention des pompiers a été gênée à la fois par un problème d’accès et surtout d’eau. “Il nous a fallu puiser l’eau d’un ruisseau malodorant qui passe au milieu du secteur, faute de bouches d’incendie”, renchérissent-ils.
De leur côté, des témoins affirment que les dégâts auraient pu être encore limités s’il n’y avait pas ce problème d’accès dans le périmètre chez les soldats du feu. Qui plus est, ces derniers ont dû encore chercher un raccourci pendant un bon bout de temps pour atteindre finalement le cœur du secteur en flamme.
Du fait de l’ampleur du sinistre, la Police a déployé ses éléments pour y instaurer un périmètre de sécurité dans la zone touchée. Pour l’heure, la cause de l’incendie n’a pas été encore élucidée sauf que des bribes de renseignements glanées auprès de certains témoins oculaires ont permis de savoir que les flammes étaient parties du réseau étriqué d’habitations en bois. L’enquête suit son cours.
Franck R.

Publié dans Société


Fosa Juniors FC confirme sa place vers le play-off et Elgeco Plus reprend les commandes dans la conférence sud.
Après le match nul d’Elgeco Plus (0-0) face à Dato FC, Dinoh, le capitaine de l’équipe, et ses camarades montent sur le fauteuil de leader devant CFFA Andoharanofotsy avec un match retour contre le JFC Toliara.
 Elgeco Plus est à égalité de point avec la formation d’Andoharanofotsy avec 17 points dans leur compteur respectif.  CS Disciples FC complète provisoirement le podium avec 15 points après 9 journées de compétition.
Dans la conférence nord, Fosa Juniors FC conforte sa position de leader après son énième victoire de 3 buts à rien face à Tia Kiatra Toamasina. Les Majungais sont à 10 points des militaires du Cosfa lesquels ont 16 points sur leur compteur. Ces derniers ont été tenu en échec (0-0) par Jet Kintana qui rattrape le temps perdu et s’éloigne de la zone de relégation occupée par Five FC pour la conférence nord et par le JFC pour la conférence sud.
L’AS Fanalamanga figure toujours sur le podium devant Uscafoot (13 points) et Ajesaia (14 points). Par ailleurs, les clubs déjà qualifiés pour les play-offs sont presque tous connus à l’issue de la neuvième journée de cette fin de semaine.
Rappelons qu’un club par conférence sera automatiquement relégué en division inférieure tandis que les huit équipes (4 par conférence) s’affronteront en aller et retour durant les quarts de finale des play-offs tout comme les demi-finales si la finale se disputera en un match.
Elias Fanomezantsoa

Publié dans Sport


Après le passage du cyclone Batsirai, la ville de Mananjary a été détruite à 90 %. Le bilan a été moins lourd après le passage d’Emnati, avec peu de dégâts donc par rapport aux précédents. Pour le Gouvernorat de la Région de Vatovavy, une nouvelle stratégie de développement post-cyclonique s’impose. La reconstruction d’un nouveau type de maison traditionnelle résistante au cyclone en fait partie. Ceci se fera en étroite collaboration avec la Cellule de prévention et de gestion des urgences (CPGU) au niveau de la Primature.
« Nous avons appris deux choses après le passage de ces deux cyclones. La construction d’un nouveau prototype de maison traditionnelle adaptée au cyclone constitue la première leçon. Deuxièmement, le Gouvernorat projette d’étendre les champs et les zones irrigables, sans oublier la construction de barrages d’irrigation et l’amélioration des semences. Ceux-ci constituent notre principale priorité puisque nous avons constaté qu’après chaque catastrophe naturelle, il ne nous reste plus rien à manger. Il s’agit d’un problème à résoudre primordialement », explique Maurice Lucien Randrianarison, gouverneur de la Région de Vatovavy.
Les mesures préventives et les sensibilisations menées par les autorités locales de la Région de Vatovavy pourraient expliquer les dégâts limités après le passage d’Emnati. La population a  respecté les mesures de prévention avant et après le passage de ce cyclone. Par ailleurs, des sites d’hébergement improvisés ont été bâtis, hormis ceux publics. En tout, 25 sites d’hébergement ont reçu des personnes déplacées dans tout Mananjary, au nombre de 6 019 et issues de 1 734 ménages. Grace à la collaboration avec les partenaires, entre autres le Programme alimentaire mondial (PAM), le « World Central Kitchen » (WCK) et l’association Fitia, 8 tonnes de vivres ainsi que des repas chauds ont pu être distribués durant 4 jours après le passage de l’intempérie.
E.F.

Publié dans Société
dimanche, 27 février 2022

Soirée - Mr Sayda régale ses fans


Grande audience, moyen espace, mais grosse ambiance. L’interprète de « Mba marina anie », Mr Sayda a assuré le show avec énergie lors d’une soirée qui s’est tenue vendredi au restaurant Ethnika, du côté d’Analakely.  Misié Milay, comme ses fans le surnomment, a réussi à chauffer un public, composé d’une centaine de personnes, totalement émerveillé par ses chansons. Durant la soirée, avec la demande du public qui avait soif d’ambiance, Mr Sayda a chanté les titres les plus en vogue de l’année 2021 tels que « Efa tara loatra », « Vokatry ny foko » ou encore « Allô ». Quelques chansons plus anciennes ont fait également surface, à l’instar de « Tia anao aho ». Il a également interprété à cette occasion ses fameux tubes « Diary volamena » et « Mba marina anie ». Avec ces deux morceaux, il avait séduit tous les fans de la Grande île.
Comme clou du spectacle, Mr Sayda a également proposé, pour la première fois dans ces lieux, son nouveau titre « Ampianaro aho » qui n’est sorti qu’en ce mois de février. Une nouvelle composition qui fait déjà mousse dans les ouïes de ses fans puisque la chanson a été fredonnée à haute voix durant la soirée. Les spectateurs sont restés derrière la scène ou se sont assis à leur table, Smartphone à bout de bras, pour pouvoir revivre l’événement et bien évidemment marquer le coup. Lors de ce concert, le seul problème est qu’un public plus important ne se soit pas déplacé. Or, il le regretterait grandement s’il avait su ce qu’il a manqué. Bref, la salle du restaurant Ethnika à Analakely était l’endroit où il fallait être vendredi soir dernier.
Si.R

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Une première en 40 ans. Les habitants des Districts d’Anosibe An’ala et d’Antanambao- Manampotsy ont pu rencontrer et s’entretenir avec le Président de la République, Andry Rajoelina. Ce fut dans le cadre d’un déplacement du Chef de l’Etat dans les Régions affectées par les derniers cyclones, durant la journée de samedi. Ces deux Districts ont lourdement payé les frais des récents cyclones qui ont frappé le pays surtout au niveau des infrastructures routières. Une triste réalité que le Président a pu constater de visu dès son arrivée à Anosibe An’ala, notamment devant le piteux état de la route reliant ce District à Moramanga. Le parcours de cet axe de 71km, uniquement accessible aux camions, se fait en trois jours minimum. En dépit des travaux de réhabilitation déjà débutés par les responsables de la Région d’Alaotra-Mangoro, le passage du cyclone Ana et autres tempêtes cycloniques a carrément ramené à la case départ. Pour y remédier, le Chef de l’Etat a annoncé qu’une partie des recettes relatives aux taxes du Projet Ambatovy sera dédiée à la réfection de la RNT23 entre Moramanga et Anosibe An’ala.
Au cours de sa rencontre avec la population d’Anosibe An’ala, le Chef de l’Etat a annoncé une bonne nouvelle pour les patients du Centre hospitalier du district (CHRD) dont il vient de visiter. En effet, ce centre hospitalier sera équipé d’un nouvel appareil de radiologie numérique pour remplacer l’ancien appareil en panne depuis 2018. « Anosibe An’ala ne sera plus oublié », a martelé le Chef de l’Etat. Plusieurs chantiers y sont, d’ailleurs, déjà en cours tels que la réhabilitation de la route pavée dans le centre- ville, la construction des écoles Manara-penitra et des bureaux de la Sécurité publique, entre autres. Outre les maîtres FRAM, les familles sinistrées d’Anosibe An’ala ont aussi bénéficié de « Vatsy Tsinjo ».
Le développement sur la bonne voie
Le Président de la République a ensuite pris la direction d’Antanambao- Manampotsy, dans la Région d’Atsinanana. Malgré les dégâts causés par le passage des cyclones, le développement y est sur la bonne voie avec la poursuite de plusieurs projets de développement. L’hôpital « manara-penitra » est actuellement achevé à 70%. Bientôt, la population n’aura plus à se déplacer à Vatomandry pour bénéficier de soins médicaux. La route du centre- ville a également été pavée. Les travaux de construction de CEG « manara-penitra », des bureaux du ministère de la Population, des bureaux de la Sécurité publique sont aussi en cours. A cela s’ajoute la réfection de la route reliant Ilaka Est et Antanambao-Manampotsy qui a déjà débuté. Le Chef de l’Etat a profité de son passage pour donner des consignes afin d’accélérer les travaux. A l’instar d’Anosibe An’ala, les foyers d’Antanambao- Manampotsy ont également reçu une aide de l’Etat sous forme de « Vatsy Tsinjo ».
Durant ces multiples déplacements, le Président de la République était accompagné des partenaires de Madagascar à savoir le coordinateur résident des Nations unies, Issa Sanogo, la représentante du Programme alimentaire mondial, Pasqualina Di Sirio ainsi que l’ambassadeur du Royaume-Uni à Madagascar, SEM David William Ashley et le directeur de l’USAID à Madagascar, John DUNLOP.

Publié dans Politique

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Editorial

  • Rêve brisé ! 
    Rajaonarimampianina Hery, l’ancien Chef d’Etat, risque de voir partir en fumée son rêve de devenir président de la Commission de l’Union africaine. Un poste prestigieux ayant rang de Chef de Gouvernement voire Chef d’Etat selon les circonstances et les cas de figure. Cette Commission est l’organe exécutif de l’Union africaine. Elle est chargée de la mise en œuvre de la politique générale de l’UA arrêtée au niveau de l’assemblée générale, l’instance suprême de l’Union africaine. Le président de la Commission dirige et coordonne les actions des commissaires de l’UA. Il est responsable devant l’assemblée générale présidée de façon tournante par le Chef d’Etat ou du Gouvernement d’un pays membre. La présidence de la Commission est assurée de façon tournante également mais au niveau de chaque sous-région. Le prochain mandat de président de Commission à partir du début de 2025 revient à l’Afrique de l’Est. Et Madagasikara figure en pole position…

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