lundi, 03 avril 2023

La une du 04 avril 2023

Publié dans La Une


Le grand moment pour les amateurs du livre. L’un des événements littéraires les plus  attendus dans la Capitale, notamment des jeunes et des enfants, remet le couvert. En effet, la 17ème édition du « Tsenam-boky » revient avec un programme très complet. Organisé par l’Association des Editeurs de Madagascar (A.Edi.M), cet événement se tiendra du 17 au 21 avril prochain au jardin de l’ORTANA sis à Antaninarenina. En d’autres termes, il s’agira de cinq jours de bain littéraire durant lesquels des conférences, des expositions et d’autres animations auront lieu. Sans oublier la  présence de plusieurs écrivains très célèbres qui viendront partager leurs expériences à l’endroit des lecteurs. Cette manifestation vise à créer un carrefour pour les éditeurs, les auteurs, les librairies et les lecteurs, mais également à rapprocher le livre du lecteur.
Comme à l’accoutumée, l’entrée à cette grande foire est gratuite. Pour ce faire, une multitude de livres seront présentés sur les étals des librairies qui participeront à l’événement (Librairie Mille feuilles, Md Paoly, Librairie CMPL, Mpariaka boky, Librairie Antso, FMBM, MSE,…). Il y aura entre autres des livres pour la jeunesse, romans, BD, des bouquins pour enfants, que ce soit en langue malagasy ou en français, tout cela à moindre coût. Cette année, avec son slogan « Ampitao amin’ny taranaka ny fahalalana. Vakio ny boky », le « Tsenam-boky » se veut aussi être un vecteur de motivation du public, surtout des jeunes à aimer la lecture. En tout, cette foire a comme objectifs de ramener le livre au cœur du quotidien des Malagasy et d’ouvrir une porte aux auteurs afin de se faire connaître. Bref, l’événement « Tsenam-boky » permettra à chaque visiteur de dénicher de nouvelles œuvres et de remplir sa bibliothèque. D’habitude, les étudiants se rendent en masse à cette foire du livre, à la recherche de nouveaux bouquins en tous genres afin d’élargir leur horizon littéraire.
Sitraka Rakotobe

Publié dans Culture

En marge de la commémoration des « Evènements du 29 mars 1947 », date qui coïncide, à un jour près, au deuxième anniversaire de la mort de l’Amiral Didier Ignace Ratsiraka, le 28 mars 2021,  Annick Ratsiraka, la fille aînée, à la tête d’une délégation AREMA, a déposé un gerbe au Mausolée et fit une déclaration politique  devant la presse que « le pays a besoin d’une révolution ». Au stade critique où nous en sommes, la dirigeante du parti fondé par son ancien Chef d’Etat de père, l’Amiral rouge, émet sa conviction selon laquelle le pays a besoin d’une révolution sociale, politique et économique afin de pouvoir démarrer à nouveau.
Une déclaration qui n’est pas passée inaperçue à l’oreille des analystes sinon historiens de l’époque contemporaine de la Grande île. Evidemment, la secrétaire générale de l’AREMA fait allusion à la révolution socialiste du temps de règne de son père.
Que les choses soient claires ! La révolution tant déclamée, au lieu d’améliorer les conditions d’existence de la grande majorité des âmes, vivant dans ce beau pays, l’a littéralement détruit. La période sombre allant de 1975, le mois de juin, à 1990, le mois de mai, date de la chute du régime dit socialiste, « Fanjakan’ny madinika », à l’issue des mouvements de contestation populaire, fut le théâtre de la ruine dans tous ses états du pays.
Destruction morale. Le régime qui prônait le pouvoir des prolétaires (Fanjakan’ny madinika) sapait les fondements de la discipline et du sens du beau. L’anarchie régnait en maître absolu.  Antananarivo, la belle Capitale, perdit son lustre d’antan et devint méconnaissable.
Ruine économique. La pauvreté prit ses quartiers et emportait les gens vers une implacable misère. Les productions agricoles vivrières (le riz etc.) chutèrent à tel point que les pénuries étranglèrent les Malagasy. C’était la triste époque des « Karine-pokontany » où tout le monde devait faire la queue pour avoir la ration quotidienne de riz. Notons qu’il fallait déposer les « karine » au bureau du Fokontany dès 2 heures du matin afin d’obtenir un numéro. Ce fut le calvaire au quotidien de la population. C’est l’enfer contre le « paradis socialiste » promis. Aucune des unités de production nationalisées n’ont pas pu survivre. Elles périclitaient les unes après les autres.
Les infrastructures routières, scolaires et sanitaires (hôpitaux, centre de soins de base, etc.) tombèrent en ruine. L’embargo financier décrété par les bailleurs traditionnels handicapait les entretiens routiers et autres.
Cerise sur le gâteau, l’insécurité envahit et plongeait la population dans une angoisse terrible. Le phénomène dahalo prenait de l’ampleur.
En somme, le paradis socialiste clamait à tout bout de champ n’est en réalité qu’un piètre mirage  douloureux. Quand la fille aînée du défunt Président de la République démocratique de Madagasikara plaide la nécessité d’une « révolution » pour débarrasser le pays de ce cercle vicieux, on doute sérieusement de la pertinence de la solution. Vu les résultats de l’option tant clamée  durant la Deuxième République, on s’en méfie légitimement de la démarche voulue par la dirigeante actuelle de l’AREMA.
Certes, le pays se trouve coincé, ces temps-ci, dans une impasse, il nous faut mettre en lice une solution efficace autre que le schéma de la Deuxième République.
  Ndrianaivo


Publié dans Editorial



A l’approche de la fête de Paques, les appareils électroménagers ont la cote auprès des consommateurs. Dans cette optique, pour palier à cette demande grandissante, la société Baolai sise à Analakely, Soarano et Bazar Be Toamasina, reste l’un des leaders incontestables dans ce domaine. Cette grande enseigne représente le distributeur officiel de la marque de renommée internationale Hisense (sponsor du mondial 2022), ici à Madagascar depuis 13 ans déjà. « Un nouvel arrivage de Smart TV et téléviseurs Led est disponible, notamment sur les modèles allant de 32 à 85 pouces avec des tarifs promotionnels (tous garantis 1 an). Le téléviseur à écran plat Jeyoo de 32 pouces s’acquiert à partir de 350.000 ariary. Et pour l’achat d’un Smart TV Hisense de 32 pouces à 529.999 ariary, un fer à repasser sera offert », d’après un responsable.

On y trouve aussi des machines à laver double barre, Laser TV 100 pouces, climatiseurs, panneaux solaires mono et polycristallins, subwoofer, réfrigérateurs (froid actif même 135 heures après délestage), Smartphone, tables de mixage, machines à café à capsule, synthétiseurs, fours à gaz et électriques,… Les divers renseignements sont à découvrir sur le site web et la page Facebook de Baolai, ou en téléphonant au 020 22 308 48 - 033 37 188 88 (en heures de bureau). Un beau mois d’avril est ainsi perspective avec la société Baolai.

Publié dans Economie


La Justice malagasy marcherait à moitié en ne profitant pas pleinement de toutes ses sources de loi. En effet, du côté de la jurisprudence, la dernière publication des bulletins des arrêts date des années 2009.
Cette lacune augmente le nombre des affaires portées devant la Cour de cassation, crée une disparité des jugements sur un sujet donné et instaure une insécurité juridique et lèse ainsi les contribuables.
Pour les justiciables, cette carence a des répercussions non négligeables sur leur cas. En effet, il se pourrait que le jugement de leur cas soit faussé, faute de références récentes. Puisque la Justice évolue et les jugements aussi doivent évoluer avec la société, qu’il s’agisse de l’application des peines ou des amendes, et même dans l’appréhension globale d’une affaire. Une mauvaise décision serait forcément contestée et envoyée en appel ou en cassation, créant ainsi une multitude d’erreurs judiciaires.
De son côté, le premier président de la Cour suprême, Robertson Rakotonavalona Ranary a été clair sur la nécessité  d’avoir une jurisprudence à jour et uniforme. « La jurisprudence est une procédure de repère, car rien n’est plus déroutant pour les justiciables que des pratiques disparates dans des cas pourtant similaires et les divers paramètres. Tant pis pour les spécificités, tant pis pour les particularités liées à divers paramètres. Nous savons que le droit est en perpétuelle évolution ».
Afin d’y remédier, un comité de réflexion, de validation et de suivi pour l’uniformisation de la jurisprudence au niveau des Cours et des Tribunaux de Madagascar a été mis en place lors d’un atelier qui s’est tenu à Ampefy. Ce comité comprend dans ses rangs les chefs au sein de la Cour suprême de Madagascar, des chefs et des représentants des membres de la Cour de cassation, des représentants du ministère de la Justice.
Ce comité a comme objectifs d’établir une jurisprudence uniforme et bien établie, accélérer le traitement des dossiers, réduire la fracture entre la Justice et les justiciables, faciliter l’accès à la Justice. « Tout cela va favoriser la cohérence des décisions judiciaires afin d’adapter l’application des lois dans le temps et d’assurer une certaine sécurité juridique pour tout le monde », selon la secrétaire générale du ministère de la Justice, Gabrielle Ain'Harimanga Raby Savatsarah.
Nikki Razaf

Publié dans Société


L’éternel recommencement. Les grèves au sein des universités publiques de Madagascar semblent ne jamais devoir s’arrêter. Au grand dam des étudiants, des parents, des enseignants, des riverains des campus universitaires … Après les étudiants de l’Ecole supérieure polytechnique de Vontovorona et leurs pairs de l’Université de Barikadimy à Toamasina dernièrement, ceux de l’Université d’Ambondrona à Mahajanga et de l’Université d’Andrainjato à Fianarantsoa sont, eux aussi, en grève depuis hier. Outre des revendications ponctuelles, le mécontentement des étudiants porte, de manière générale, sur l’éternel problème du retard de paiement de leurs bourses d’études et des allocations d’équipements. Un éternel problème que les responsables concernés ne parviennent manifestement pas à endiguer. Beaucoup voient dans ces retards de paiement quelque chose qui ne tourne pas rond. Pourquoi s’interrogent les observateurs avertis, on attend toujours le dernier moment pour se précipiter à régler ce « problème ».
La question sur les bourses d’études n’est pas un problème récent. Il revient quasiment de manière systématique chaque année. Le paiement des bourses d’études des étudiants connaît un grand retard et les responsables n’interviennent qu’après des mouvements estudiantins. Il est ainsi difficile de simplement rejeter le tort aux étudiants. Faire grève est leur seul moyen efficace d’interpeller. Le problème est aussi et surtout du côté des autorités étatiques concernées. Les régimes qui se sont succédé depuis le début des années n’ont pas trouvé des solutions permanentes à cet épineux problème du retard de paiement des bourses d’études et les divers problèmes dans les cités universitaires des six universités publiques de Madagascar. Le régime actuel a le mérite d’avoir osé s’attaquer au problème en mettant en place la digitalisation. Mais des blocages subsistent quelque part au sein de la machine administrative. Des solutions pérennes doivent être trouvées pour permettre à la machine de tourner correctement et d’éviter que les étudiants universitaires ne soient obligés de faire grève. En tout cas, ces grèves récurrentes deviennent de plus en plus lassantes pour tout le monde, mais surtout pour les étudiants dont les cours sont quasi-systématiquement impactées à chaque grève de leurs pairs.
La Rédaction

Publié dans Politique



Les nids-de-poule figurent  parmi les premières causes des accidents de la circulation. A plusieurs reprises, des automobilistes ont avancé, à l'issue d'une enquête préliminaire, qu'ils ont essayé d'éviter un trou quand leur véhicule a percuté un autre ou un piéton. Et c'était encore le cas samedi dernier. Ce jour-là, un accident mortel s'est produit à Ambodimita. Deux jeunes motards dont un musicien ont été victimes. Ce dernier est décédé sur place tandis que l'autre est grièvement blessé. D’après l'enquête, le chauffeur de ce poids-lourd qui voulait éviter un trou situé sur sa trajectoire et à percuté le deux-roues.
Une partie de la route nationale RN 58A reliant le rond-point Ambohitrimanjaka, Ambodimita et Andranomena est la plus prisée par les automobiles. Cependant, l'état de l'infrastructure routière est lamentable. A cause de ces trous, outre les embouteillages monstres, on note les accidents de la circulation et les dégâts sur les véhicules.
Les usagers sont du même avis. En attendant la réhabilitation de cet axe, les autorités  concernées dont le ministère des Travaux publics devraient faire un minimum d'effort pour que ce genre d’accident dû à l’état lamentable de la route ne se reproduise plus, à la limite en recourant à la méthode « tip-top » afin de limiter les dégâts.
D'ailleurs, la prudence des automobilistes et des motards ne suffit plus pour lutter contre les accidents de la circulation, mais il faudrait des mesures d'accompagnement.  « Même si nous voudrions faire de notre mieux pour éviter un tel accident, l’état des infrastructures routières ne nous le permet pas, même au centre-ville. Parfois, on ne voie pas les petits trous au milieu de la chaussée qu’au dernier moment », explique un chauffeur de taxi.
Cet axe de la RN 58A figure parmi ceux qui ont subi une dégradation avancée. On peut également citer différents tronçons de rue, notamment à Ankasina jusqu'au Parking 67 Ha, de l'arrêt 30 jusqu'au « Vatobe », de Behoririka vers Antanimena, d’Ampasika jusqu'à Ampefiloha, Ankadimbahoka menant vers Anosizato, lesquels sont quasiment inaccessibles.
Depuis vendredi dernier, la Région d’Analamanga a procédé à la réhabilitation de quelques axes comme à Mamory-Ivato, Talatamaty et Andranomena.
Anatra R.

Publié dans Société


Jamais on n’a entendu de pareilles et si choquantes affaires en ce qui concerne le crime pédophile le week-end dernier. Et pure coïncidence ou non, les tristes faits que nous allons rapporter par la suite se sont tous déroulés à Antsirabe et ses environs, à un intervalle de deux jours seulement. Deux enfants dont une fillette de 8 ans et un garçon de 6 ans ont alors payé de leur vie à cause d’individus pervers et sadiques qui les ont violés. A commencer justement par le cas le plus récent, celui de ce gamin.
Comme tous les enfants de son âge, le petit F. a joué tranquillement dans la cour de sa maison, dimanche dernier. Mais contrairement à ses habitudes, le gamin a subitement disparu. Affolés, ses parents ont alors informé les Forces de l’ordre qui démarrèrent une enquête.Toute la nuit suivante, leurs recherches pour tenter de retrouver la victime étaient vaines. Pourtant, coup de poker vers 3h du matin, hier. Le corps sans vie du petit a été retrouvé près du mur d’enceinte de sa propre maison. Ce fut un oncle de celui-ci qui a fait cette découverte macabre, selon une source. Et comble de la mauvaise surprise, la victime est dénudée. 
Plus tard, le médecin légiste a diagnostiqué une agression sexuelle qui a été fatale pour la victime. Pour le moment, aucun suspect n’a pu être identifié et tout le mystère plane encore sur cette sale affaire. Sans doute, cet oncle pourra -t-il apporter quelques éléments de réponse à toutes les questions qui brûlent les lèvres, côté opinion ? Affaire à suivre.
Parallèlement à cet horrible drame, un autre, bien plus révoltant aussi s’est produit vendredi dernier, cette fois-ci à Ambohitsara, Commune de Soavina, District de Betafo où une fillette de 8 ans est retrouvée morte. Les faits. Ce vendredi matin là, la fillette a accompagné sa mère pour effectuer des travaux de champ. A un moment donné, sa mère l’a envoyée au village pour donner à manger aux animaux d’élevage. Or depuis, la petite n’a plus donné signe de vie. Ce n’était seulement que le samedi matin suivant qu’on l’a retrouvée. Malheureusement, elle était déjà morte. Pire, la malheureuse est couverte de blessures et elle a subi un viol. La Gendarmerie a ouvert une enquête.
Le 1er avril dernier, les villageois ont identifié le suspect, un jeune homme de 17 ans. Il s’est ensuivi alors une chasse à l’homme au cours de laquelle les gens ont fini par attraper le fugitif. Le maire a informé la Gendarmerie pour emmener l’adolescent qui a reconnu les faits dans le bureau de cette Force.
Mal lui en a pris, le Fokonolona, très remonté contre le suspect, l’a alors lapidé. La cible fut alors mortellement touchée. Ce jeune homme a plutôt de lourds antécédents. Il a été déjà incriminé du meurtre de son père géniteur. L’enquête sur ces deux tristes affaires est en cours.
Franck R.

 

Publié dans Politique


La nouvelle est tombée tel un couperet. Nous avons appris avec une profonde tristesse le décès de l'une des éminentes nouvelles figures de la presse sportive nationale. Il s'agit de Liva Andriamananjara, parti très jeune à l’âge de 34 ans.
Liva a été emporté par un infarctus, d’après le médecin légiste. En effet, il ne se sentait pas bien quand il a quitté le studio Arena pour rentrer chez lui. Quand bien même, il s’est arrêté dans une gargote située à Alarobia pour prendre une casse-croûte. Puis il est tombé sur les lieux. Un de ses collègues, qui  essaya de le joindre au téléphone pour une urgence du travail, a appris la nouvelle par le biais d’une personne sur place  ayant répondu à l’appel. Quand la voiture du personnel de Viva est arrivée sur les lieux, ses collègues ont constaté qu’il ne respirait plus.
Liva était journaliste de la chaîne de télévision privée Viva depuis 2012. Un fervent supporteur des Barea et des Ankoy.
 Liva Andriamananjara était un journaliste animateur de Viva sport, l'une des émissions  les plus suivies dans le pays. Serviable, aimable, Liva était l’ami de tout le monde dans le milieu du sport allant des sports de quartiers jusqu’au plus haut niveau. Rares sont ceux qui ne le connaissaient pas. Ce qui faisait de lui, une des nouvelles figures de la presse sportive. Et il avait tous les potentiels pour devenir  un grand journaliste. Il ne se contenta pas de couvrir les événements sportifs mais il a tout donné pour le développement du sport malagasy.
Lui-même fut  l’un des concepteurs du projet de téléréalité de football baptisé « Viva Futbol », Tournoi U17 dont la première édition est prévue lors des prochaines vacances de Pâques notamment du 11 au 18 avril prochain. Malheureusement, le sort en a décidé autrement.
 Nous nous associons à la peine de sa famille et ses proches présentons nos sincères condoléances à toute l’équipe de l’émission « Viva Sport » et toute la presse nationale en général et sportive en particulier.
Elias Fanomezantsoa

Publié dans Sport

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Editorial

  • Vouée à l’échec ?
    Le pays est en plein chantier d’élaboration d’une nouvelle Stratégie nationale pour la lutte contre la corruption (et l’impunité), la SNLCC. Celle qui est en vigueur arrivera à son terme à la fin de l’année en cours après dix ans de mise en œuvre dans la bataille contre cette « ennemie » apparemment imbattable. Mise en selle en 2014, la SNLCC actuelle finira sa course incessamment. Mi-figue, mi-raisin, le bilan de la décennie de la Stratégie nationale de lutte contre la corruption balance entre un échec et une réussite. Le Comité pour la sauvegarde de l’intégrité (CSI) se trouve dans l’embarras pour traduire la situation exacte. Sahondra Rabenarivo, la présidente du CSI, déplore plus d’une fois l’existence de certains facteurs de blocage dans le processus normal de la lutte contre la corruption. Il existe un dysfonctionnement perçu comme un frein au bon déroulement du système de lutte contre la corruption.

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