mercredi, 26 avril 2023

LA UNE DU 27 AVRIL 2023

Publié dans La Une

Les œuvres enregistrées à l'Office malagasy de la propriété industrielle (OMAPI) a augmenté d'environ 15% pour l'année 2022, a indiqué la directrice générale de ce département, Priscilla Andrianarivo, lors de la célébration de la Journée mondiale de la propriété intellectuelle, hier. Beaucoup de créateurs, d’innovateurs ou auteurs y sont venus pour effectuer l’enregistrement de leurs œuvres mais il y en a encore ceux qui sont réticents. Afin de les convaincre, l’OMAPI a effectué des descentes sur terrain entre autres à Antaninarenina où son équipe a rencontré les exposants de la manifestation « Kaly Malagasy mahasalama ». Par ailleurs, une conférence s’est tenue au ministère de l’Economie et des Finances à Anosy.

Publié dans Société

Les autorités seraient-elles induites en erreur ? Cette hypothèse gagne en popularité à Toliara quant à la suspension d’un projet minier local. Elles auraient reçu des fausses informations, selon celles recueillies sur place. Tsimitamby, un anthropologue natif de Toliara, dit bien connaître le dossier. Des études anthropologiques y ont été menées pour transférer les corps des défunts et les cimetières touchés par l’exploitation de la mine d’Ilménite. Mais cette opération a été stoppée dans son élan avec la suspension du projet minier.

Publié dans Société

L’état désastreux des routes de la Capitale fait partie du quotidien des usagers et engendre des retards considérables sur les déplacements en véhicules. En plus du manque d’entretien, les pluies de cette année ont précipité leur dégradation. Ainsi, afin de soulager les automobilistes, 43 routes font actuellement l’objet d’une réhabilitation.

Le ministère des Travaux publics a pris en main la situation, en collaboration avec la Commune urbaine d’Antananarivo qui a aussi sa part d’ouvrage.

L’axe Isotry vers l’Aigle noir est en passe de se terminer (75% des travaux achevés) et sera rouvert d’ici deux semaines. Une fois Isotry terminé, ce sera au tour de la partie desservant la CNaPS Ampefiloha vers Tsaralalàna et Analakely.

Publié dans Société
mercredi, 26 avril 2023

Syndrome libyen

Les violentes rafales du « Printemps arabe » de 2011 balayèrent successivement les régimes des potentats  de l’Afrique du Nord. Les dictateurs inamovibles sinon indéboulonnables de Tunisie, d’Egypte et de Libye, respectivement Zine el-Abidine Ben Ali, Hosni Moubarak et le colonel Mouammar Kadhafi ont payé les frais des révoltes populaires. Si les deux premiers ont quitté le pouvoir pour laisser la place chacun à une structure nationale transitoire devant gérer les affaires nationales, le cas du troisième déchu, Mouammar Kadhafi, avait connu un sort différent. La Libye se divisait en deux factions rivales qui s’entretuaient à travers un conflit armé. Le « Conseil national de Transition » composé des rebelles au nord-est et à l’ouest (Tripoli) l’armée régulière fidèle à Kadhafi. Le CNT, reconnu par la communauté internationale dont principalement la France et l’Angleterre, parvenait à occuper Tripoli et mit aux arrêts le guide libyen qui mourut en octobre 2011 dans des conditions infamantes. Mais, la Libye reste partagée en deux forces rivales dont les hostilités sont loin d’être aplanies pour en devenir un syndrome inquiétant.

Publié dans Editorial

Le cinquième mois de cette année promet d’être joyeux avec les diverses innovations en matière de High tech avec des marques de renommée mondiale. Dans ce domaine, Madagascar n’est pas en reste grâce à la société « Baolai » sise à Soarano, Analakely et Bazar Be Toamasina. « Pour satisfaire le public, nous serons exceptionnellement ouvert le 1er mai 2023. Et les promotions sur certains de nos écrans plats continuent avec pour tous une garantie de 12 mois. Les TV 32 pouces de marque « Jeyoo » sont disponibles à partir de 350 000 ariary. Et enfin, pour une « Hisense » de 32 pouces de 529 999 ariary achetée, nous offrons un fer à repasser », d'après un responsable.

 

Publié dans Economie

A sec. La compagnie nationale d’eau et d’électricité vient de lancer un appel d’offres international portant sur l’approvisionnement de cette dernière en fioul lourd. Une mesure qui coïncide à l’arrêt de production de plusieurs centrales fonctionnant à cette énergie fossile et qui était sous l’exploitation d’un des partenaires de la JIRAMA, en l’occurrence la société Henri Fraise et Fils (HFF) qui, selon cette compagnie nationale d’eau et d’électricité, a décidé unilatéralement cet arrêt de production. Arrêt dont les raisons n’ont pas été divulguées ni par la JIRAMA ni par la HFF, jusqu’à présent de façon officielle. Bref, avec le lancement de cet appel d’offres international, la compagnie nationale effectue un retour en zone dans la mesure où une foule de démarches en ce sens a déjà été effectué depuis quelques années au niveau local.

Publié dans Economie

La Capitale sera cernée de concerts en fin de week-end. Il y aura d’un côté celui d’Antsonjombe, le grand spectacle baptisé « Torajofo », sans oublier le rendez-vous rock avec le groupe Iraimbilanja qui se déroulera au terrain de foot Esca le 1er mai. Le public aura de quoi s’occuper pour cette fin du mois d’avril. Raison pour laquelle le groupe Kiaka a décidé de reporter son concert qui devait se produire ce lundi. « Nous savons tous que de nombreux événements  sont organisés pour ce long week-end. En effet, deux spectacles sont programmés du côté d’Antsonjombe et d’Antanimena. Nous avons ainsi décidé de reporter notre concert. L’autre raison est aussi  par respect pour les grands frères du groupe Iraimbilanja.

Publié dans Culture

 La crédibilité de cette Transparency International Initiative Madagascar  est de nouveau mise à mal. La société Cotona Real Estate et le groupe SOCOTA ont publié cette semaine dans de nombreux journaux de la Capitale un droit de réponse et de rectifications  suite à un récent communiqué de presse et une publication sur la page Facebook de Transparency international – MG sur un litige foncier à Mampikony. Dans ladite publication, cette organisation de la société civile aurait fait preuve de « partialité » et balancé des « contre-vérités » et émis des propos à « caractère diffamant », selon la société Cotona Real Estate et le Groupe SOCOTA dans leur droit de réponse.

Publié dans Politique

L’affaire a éclaté vers le début de cette semaine à la  trésorerie principale de la ville d’Ambalavao. Cette entité a été le théâtre d’un vol qui défraie la chronique. La somme de 400 millions ariary a disparu de la caisse du bureau du Trésor local. A la suite d’une plainte intentée par les hauts responsables de cette institution financière publique locale, la Police a démarré une enquête qui a permis l’arrestation de 8 suspects, ces derniers étant tous des employés même du Trésor d’Ambalavao, selon une source. Hier, les huit personnes incriminées ont été déférées au Parquet du tribunal de première instance de Fianarantsoa. Vers 21h hier, la décision du Parquet a été finalement rendue : 5 suspects avaient été placés ou mandat de dépôt à la prison de Fianarantsoa tandis que trois autres ont obtenu une liberté provisoire, sans que la source n’ait fourni de plus amples détails sur l’identité, ni le poste occupé par chacun des incriminés au Trésor.

Publié dans Politique

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Editorial

  • Vouée à l’échec ?
    Le pays est en plein chantier d’élaboration d’une nouvelle Stratégie nationale pour la lutte contre la corruption (et l’impunité), la SNLCC. Celle qui est en vigueur arrivera à son terme à la fin de l’année en cours après dix ans de mise en œuvre dans la bataille contre cette « ennemie » apparemment imbattable. Mise en selle en 2014, la SNLCC actuelle finira sa course incessamment. Mi-figue, mi-raisin, le bilan de la décennie de la Stratégie nationale de lutte contre la corruption balance entre un échec et une réussite. Le Comité pour la sauvegarde de l’intégrité (CSI) se trouve dans l’embarras pour traduire la situation exacte. Sahondra Rabenarivo, la présidente du CSI, déplore plus d’une fois l’existence de certains facteurs de blocage dans le processus normal de la lutte contre la corruption. Il existe un dysfonctionnement perçu comme un frein au bon déroulement du système de lutte contre la corruption.

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