vendredi, 30 juin 2023

La une du 01 juillet 2023

Publié dans La Une


Les jeunes Ankoay s'inclinent 60-72 face aux Sud-Coréens, lors de leur premier match de classement  dans cette Coupe du monde de basketball U19 à Debrecen, Hongrie.
Malgré une bonne phase de jeu, collectivité et agressivité, les Ankoay battent de l’aile et la finition reste fébrile.
Les Coréens exploitent les mains actives malagasy en faute et creusent l’écart avec les lancers francs avant la pause. Les Ankoay offensivement portés par  Donovan Rakotonanahary (13points), Mathias M'Madi (12 points) et Lovasoa Andriatsarafara (12 points) semblent en difficulté pour retrouver leur envol.
 Le trio retrouve son tandem mais ne profite pas totalement du jeu des Coréens qui jouent en dehors de la zone, sans intérieur.
Avec un engagement physique plus performant, les jeunes Ankoay n’arrivent pas à retrouver leur confiance en soi devant le panier avec des pertes de balle excessives. Dans l'autre camp, l’adresse au panier profite aux Sud-Coréens pour sanctionner les Ankoay.
Après le troisième quart-temps, Madagascar continue de courir après le score face à la Corée du Sud (44-55). L’écart de 5 paniers a été maintenu jusqu’au bout de la rencontre.
Il reste encore un dernier match pour les Ankoay pour se relancer. Un dernier match de classement que les protégés de coach Mémé auront ce samedi 1er juillet à 18 h, face au pays hôte de la compétition, la Hongrie, qui s'est inclinée,  hier, face à la Chine 76-66.
L’Espagne tombeur de l’Argentine (85- 47), la Turquie vainqueur (97-73) contre  le Canada, Etats-Unis, les  bourreaux du Japon (105-61) et la France vainqueur de la Serbie ont validé leurs tickets pour les demi-finales.
Elias Fanomezantsoa

 

Publié dans Sport
vendredi, 30 juin 2023

Holà !


Que les puériles hostilités cessent ! Proches ou opposants au régime, sympathisants ou détracteurs, il est temps de passer aux choses sérieuses. Ni les flagorneries des gens de la Cour, ni les cris de haine sinon de la jalousie ne feront jamais avancer le pays. Holà !
Larousse définit, en substance, le mot « Holà » par un « appel à arrêter ou à cesser quelque chose ». En effet, il va falloir mettre le holà à tous ces verbiages insensés qui ne riment à rien à certaines choses de constructif, de mûr ! La récréation est terminée ! Les enfantillages de petits gosses dans la cour tirent à sa fin.
Des fois, certains acteurs politiques des deux camps semblent oublier ou ignorer qu’ils sont tous citoyens de l’un des pays les plus pauvres du monde. Il y a des débats plus urgents et plus prioritaires que les bla-bla de… pâquerettes. Jusque-là, nous n’avons pas eu droit à des débats contradictoires sur la manière de conduire les affaires nationales. Aucun programme de société ni un plan de redressement en contre-pied avec l’IEM ou tout au plus en contre partie avec les XIII Points du « Velirano » n’émerge. Faudrait-on rappeler que « l’anti-Rajoelina », motivé par la haine ou la jalousie, n’est pas du tout un Programme de société ni un Plan de sauvetage. Tout juste un cri de détresse de quelqu’un qui ne maîtrise pas les minima de la technique de la nage mais qui s’aventure à plonger en plein océan. Une bêtise d’adulte inconscient et irresponsable !
Avoir choisi de devenir citoyen d’une telle ou telle nation ne peut pas être assimilé à une bourde ou à une erreur quelconque. C’est un choix que le concerné doit tout simplement assumer et… basta ! Le Code nationalité de 1945, de l’époque coloniale, n’entre plus en vigueur dès lors que le pays accède à l’indépendance. Et même, certaines lois ou encore un certain code de conduite valables en début du retour à la souveraineté nationale tombent, de soi, en désuétude cinquante ou soixante ans plus tard. Tout simplement en raison de commodité ou d’évolution des réalités. Le Code la route des années 40 ou 60 n’est plus d’actualité aux années 2000. Tout change et tout évolue ! A chacun de suivre sensément et intelligemment le cours de l’Histoire. Certains adages populaires d’antan ne s’adaptent plus au mode de vie du temps présent. Le « Mora mora » de nos Ancêtres ne cadre plus avec les exigences d’aujourd’hui. Et ainsi de suite !
L’heure de la prise de conscience a déjà sonné depuis belle lurette. La mobilisation nationale pour la relance de l’économie a pris trop de retard. En cause, nos débats stériles et nos comportements d’enfants gâtés à la longueur de l’année. Au Gouvernement, il faut retrousser les manches et descendre sur terrain et travailler de concert avec les forces vives de la Nation. Au Parlement, il incombe aux élus de mettre le holà à des gestes non conformes à l’éthique d’un homme ou d’une femme intègre sinon à des attitudes contraires aux intérêts supérieurs de la Nation.
Les échéances électorales approchent à grand pas. Le peuple a hâte d’être mis au parfum quelle solution les postulants à la magistrature suprême du pays lui soumettent-ils ?
Ndrianaivo



Publié dans Editorial

Un événement qui a attiré le public, surtout les amateurs de la photographie et de la culture malagasy. L’exposition baptisée « Fady kambana » » ou « Les jumeaux maudits » de Mananjary, réalisée par le photographe Christian Sanna et qui s’est tenue à l’Institut français de Madagascar (IFM), situé à Analakely, s’est achevée hier avec une note positive. Une exposition qui a ouvert ses rideaux depuis le 6 juin dernier. Etudiants, universitaires, travailleurs… ou encore des photographes, ils étaient nombreux à avoir répondu à l’invitation de Christian Sanna. « C’est la deuxième fois que je suis venu. Et aujourd’hui, j’ai ramené quelques camarades de classe. Mon but est de les faire ressentir ma première impression lorsque j’ai vu ces clichés, mais également de leur faire découvrir que ce genre de tradition existe encore dans la Grande île », s’enthousiaste Fanevasoa Maholitiana, une jeune lycéenne.
Rappelons que grâce à cette exposition, le photographe Christian Sanna met en lumière une nouvelle vision de ce sujet bien connu à Madagascar à travers une série de portraits familiaux. Plutôt que de représenter le « Fady » sous l’angle de la tristesse, il a mis au premier plan ces familles en tant que pionniers du changement. Ces photographes qui s’inspirent des portraits familiaux traditionnels mettent en avant la relation qui unit la mère et ses enfants afin de montrer l’opposition ridicule entre l’amour maternel et la peur de l’interdit. Autrement dit, les clichés mettent en avant les mères qui ont choisi de défier le tabou sur les jumeaux en gardant leurs enfants, au risque d’être bannies de leur communauté. A noter que chez l’ethnie « Antambahoaka » de la côte sud-est, dans la Région de Mananjary, élever des jumeaux est encore interdit. Cette pratique ancestrale, toujours en vigueur, consiste à rejeter les jumeaux à la naissance ou à les abandonner.
Us
Les chefs traditionnels de tribu appelés « Ampanjaka », encore attachés à cette tradition, continuent perpétuer cette pratique, au mépris des conventions et traités sur les droits des enfants, tous ratifiés par les autorités malagasy. Cependant, depuis quelques années, certaines mères ont décidés de rompre l’interdit en gardant leurs enfants, quitte à être mises à l’écart au sein de leur communauté. Par amour pour leurs enfants, ces mères courent le risque d’être rejetées par leur conjoint, leur famille et la communauté, exclues du tombeau familial, les mettant ainsi dans une grande précarité qui alimente d’autant plus une croyance liée à la malédiction. 
Il faut souligner que ce travail fut réalisé en 2013 en partenariat avec l’association « Tsy manary zaza » dont les membres sont composés de mères de famille. Ladite association a été mise en place grâce à l’appui du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), et cela afin de défendre les droits des enfants et d’aider les parents à élever leurs jumeaux. La plupart de ces mères suivent des formations dispensées par le PNUD pour apprendre à subvenir aux besoins de leur famille et à retrouver des conditions de vie plus décentes.
Si.R

Publié dans Culture

Deux semaines. Il ne faudra plus attendre que quinze jours, à compter d’hier, pour que le pacte de l’industrialisation entre le secteur privé et le secteur public soit signé en plus de la mise en place du Conseil national de l’industrialisation de Madagascar (CNIM). Le ministre de l’Industrie, du Commerce et de la Consommation (MICC) - avec sa casquette d’entrepreneur - a annoncé ce délai lors de la clôture de l’atelier dédié à la validation du pacte de l’industrialisation au Novotel. Et mis en avant l’importance de cette étroite collaboration et  volonté commune dans cette grande démarche pour le développement du secteur industriel à Madagascar. « Auparavant, je n’ai pas encore ressenti cette solidarité actée par un pacte entre le secteur public et le secteur privé », a-t-il souligné. Le MICC a également félicité tous les participants pour leur enthousiasme d’avancer et réussir ensemble car cette solidarité apporte une grande opportunité de développement pour le pays. « Si les deux parties ne se joignent pas, le développement économique et industriel sera quasi impossible », a affirmé ce responsable. L’atelier de validation de ce pacte, durant lequel les échanges ont été fructueux entre les ministères et les groupements du secteur privé concernés par les filières stratégiques à savoir le textile et l’habillement, les huiles essentielles, l’industrie minière, l’agro-business et l’énergie renouvelable, s’est étalé sur 2 jours à Alarobia.
Contribution au PIB
Après une large lecture tournante des acteurs, le pacte de l’industrialisation sera signé par les parties prenantes dans les 15 jours qui suivent et en parallèle à cela, le Conseil national de l’Industrialisation de Madagascar va également être mis en place. Le CNIM sera une structure totalement indépendante et tous les signataires du pacte y seront représentés. Cette structure aura comme rôle principal de contrôler et de suivre la mise en œuvre du pacte acté par les parties prenantes dans le développement de l’industrialisation de Madagascar. Cet atelier fait partie intégrante de l’appui technique apporté par le Projet d’Appui à l’industrialisation et au secteur financier (PAISF) au sein du MICC et organisé avec l’EDBM. Le secteur privé œuvrant dans le domaine des 5 secteurs clés a été fortement représenté entre autres par le GEM (Groupement des Entreprises de Madagascar), SIM (Syndicat des Industries de Madagascar), FIVMPAMA (Fivondronan’ny Mpandraharaha Malagasy), GEFP (Groupement des Entreprises Franches et Partenaires), GEHEM (Groupement des Exportateurs d’Huiles Essentielles de Madagascar). Par ailleurs, le pacte s’inscrit dans un développement stratégique à long terme jusqu’en 2040. L’un des objectifs est que l’industrie puisse contribuer à l’augmentation du PIB à 30% près. La mise en place du Fonds national de développement de l’industrie figure également parmi les engagements inscrits dans ledit pacte.
La Rédaction

Publié dans Politique



Les consommateurs cèdent à tout. La société « Jiro sy Rano Malagasy » (JIRAMA) a annoncé la fin du délestage mi-juin. Mais jusqu'à présent, le défi n'est pas encore relevé. Le délestage revient en force, notamment après la fête de l’indépendance. Les consommateurs acceptent le fait que le délestage soit actuellement incontournable. Ils acceptent de payer leurs factures même si celles-ci sont exorbitantes, les coupures successives qui durent plusieurs heures, la vétusté des infrastructures, la réhabilitation des centrales thermiques, le manque ou le retard d'approvisionnement en carburant ou encore le changement climatique, sans oublier l’auto-relevé.
En contrepartie, les usagers sollicitent le respect du calendrier de la coupure de l’électricité. Le quotidien de la population en dépend. Par exemple, si la JIRAMA annonce une coupure de trois heures, de 10 à 13h, l'électricité ne reviendra qu’après plusieurs heures ou même le lendemain. Par ailleurs, le respect du calendrier des horaires du délestage est important pour les petites entreprises. « Au moins, la JIRAMA devrait respecter les horaires de coupure afin que nous puissions arranger notre emploi du temps », se plaint Edwige, une pâtissière œuvrant à Ambohimanarina. Et de poursuivre : « Moi personnellement, je dois regarder régulièrement le calendrier du délestage. Depuis quelques mois, je travaille la nuit. Je prends quelques heures de repos dans la journée et fais ensuite mes courses. Je me suis déjà habituée à cette nouvelle mode de vie depuis la coupure successive du courant ». Si certains peuvent coordonner leur programme avec celui de la compagnie d’eau et d’électricité, d’autres n’ont pas cette chance, notamment les soudeurs, les coiffeurs, les cybercafés,… Le délestage est devenu ainsi une autre source de revenus pour bon nombre de commerçants. Ces derniers proposent des groupes électrogènes ou des panneaux solaires pour attirer les clients.
Anatra R.

Publié dans Société

Depuis plus de 4 jours, certains employés et prestataires de la société minière QMM sont toujours retenus sur le site de Mandena à Taolagnaro. Une situation qui perdure depuis le 26 juin dernier où une foule s’est rassemblée et a manifesté aux portes de la société QMM à Taolagnaro pour réclamer les compensations qui leur ont été promises par une association locale. Depuis, la situation n’a connu aucune évolution selon les responsables de la société qui expliquent que malgré cela, ces mêmes employés se relaient nuit et jour pour assurer le bon fonctionnement d'installations vitales et d'intérêt général, telles que la production d'électricité. Des groupes électrogènes et du carburant ont également été fournis aux hôpitaux de la ville pour prévenir tout risque de coupure. Le blocage total et la manifestation clairement caractérisée ne permettent pas d'assurer leur relève. Pour rappel, L’association « le sud » s’est présentée à la population locale comme étant un soi-disant porte-parole de la société minière. Or, concernant le paiement de ces compensations, QMM a déjà annoncé au mois de mars dernier avoir versé la totalité aux pêcheurs et usufruitiers suite au conflit qui a opposé les deux parties durant des mois l’année dernière. Pour rappel, Plus de 5 000 bénéficiaires dont des usufruitiers et tous pêcheurs confondus ont perçu leurs compensations financières d’après le calendrier établi. Ces compensations sont relatives aux préjudices subis par les communautés locales et qui sont liés aux activités de QMM.
Compensation conséquente
Le montant total de la somme distribuée sur le processus de compensation s’élève à plus de 11 milliards d’ariary. Ce processus a duré sept semaines et la dernière séance de paiement a eu lieu en mars dernier. Paiement grâce auquel l’association a pu profiter pour faire miroiter à une grande partie de la population de la zone rurale de Taolagnaro qui ne faisait pourtant pas partie des bénéficiaires de base. « Nous mettons tout en œuvre, avec leur concours, pour assurer au mieux la production d'électricité qui profite à l'ensemble de la ville de Taolagnaro. Nous les remercions de leur engagement sans faille, et ce malgré les circonstances. Chez QMM, nous sommes attachés à trouver une issue privilégiant le dialogue, le respect des droits humains et sociaux de chacune des parties dont les salariés bloqués sur site et privés de leur liberté de mouvement, droit de manifester », déplorent les responsables de QMM. A ce jour, malheureusement, ce dialogue n'a pas pu être entamé en l'absence des différentes personnes à l'initiative de ce mouvement. Ainsi, QMM en appelle à la responsabilité de chacun pour préserver un climat de paix, et renforce sa détermination à maintenir un dialogue serein et exempt de toute menace pour les communautés, les employés et des infrastructures. Sur le plan des dialogues, la société reste toujours ouverte selon les responsables.
La Rédaction

Publié dans Politique


Les activités de QMM à Taolagnaro sont actuellement perturbées par les agissements d'une poignée d'individus soudoyés par des membres de collectivités territoriales sur un site d'exploitation minière locale. Ces manifestants font le blocus et prennent en otage plus de 300 employés de QMM sur leur lieu de travail, et ce, depuis le 26 juin dernier. A propos justement, deux commanditaires, ou plutôt deux meneurs du mouvement, ont été identifiés depuis et ils sont activement recherchés par la Gendarmerie pour attroupement illicite et atteinte à la sûreté intérieure de l'Etat. Il s'agit respectivement de Laurent Manjary, alias Laurent et d'Eugène Ratovindrainy Chrétien, dit Eugène.
Dans l’avis de recherche, la Gendarmerie informe le public et toutes les unités de cette Force basées dans la région que si lesdits meneurs sont repérés, il faut procéder à une arrestation et en même temps aviser immédiatement le groupe d'appui à la police judiciaire d'Anosy.
D'après une source, les fugitifs, outre l'atteinte à la sûreté de l'Etat, auraient également extorqué, d'abord les habitants, à hauteur de 12 000 ariary par personne avant de les pousser à faire le siège du site de QMM. De son côté, l'entreprise serait donc obligée de dédommager les habitants du fait d'un risque présumé lié à la contamination de l'eau qu'ils consomment. C'était le signal de départ à cette situation explosive à Taolagnaro.
Derrière cette contestation, l'association baptisée "Lusu". Hier, des témoins sur place ont affirmé qu'on assiste à un déploiement sans précédent des Forces de l'ordre dans la ville de Taolagnaro où règne un calme plat.
Pour revenir à la genèse de cette affaire, QMM déplore que le jour de la fête nationale, moment d'unité et de partage, des actes de violence et de déstabilisation de la paix sociale ont eu lieu dans cette ville de la pointe Sud. En effet, il y eut des intrusions et des barrages illégaux sur la voie et dans les environs du site minier de QMM. Ces désagréments s'accompagnent du blocage de deux installations routières à proximité de QMM, depuis le 26 juin dernier.
Face au cynisme des meneurs de grève, QMM condamne fermement toute violence et appelle au calme et au dialogue.
 En attendant, QMM promet de garantir la sécurité des personnes et des installations. Pour l'heure, il a décidé de suspendre temporairement ses activités, dans l'attente d'un retour au calme garantissant la sécurité des salariés et rassure leurs familles.
 Enfin, l'attitude et le comportement des contestataires étonnent, sinon choquent énormément plus d'un à Taolagnaro. En cause, il existe des techniciens parmi les centaines de salariés tenus en otage dans le site minier de QMM. Et la mission de ces techniciens est justement d'assurer le bon fonctionnement, sinon aider la JIRAMA dans la distribution du courant dans chaque foyer à Taolagnaro. QMM étant le fournisseur d'électricité de la région, selon des sources d'information locales.
F.R.

Publié dans Société

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Editorial

  • Vouée à l’échec ?
    Le pays est en plein chantier d’élaboration d’une nouvelle Stratégie nationale pour la lutte contre la corruption (et l’impunité), la SNLCC. Celle qui est en vigueur arrivera à son terme à la fin de l’année en cours après dix ans de mise en œuvre dans la bataille contre cette « ennemie » apparemment imbattable. Mise en selle en 2014, la SNLCC actuelle finira sa course incessamment. Mi-figue, mi-raisin, le bilan de la décennie de la Stratégie nationale de lutte contre la corruption balance entre un échec et une réussite. Le Comité pour la sauvegarde de l’intégrité (CSI) se trouve dans l’embarras pour traduire la situation exacte. Sahondra Rabenarivo, la présidente du CSI, déplore plus d’une fois l’existence de certains facteurs de blocage dans le processus normal de la lutte contre la corruption. Il existe un dysfonctionnement perçu comme un frein au bon déroulement du système de lutte contre la corruption.

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