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La une du 26 novembre 2020

Depuis que Donatienne Rasoampamonjy a découvert le rugby à 18 ans, ce sport a changé sa vie. Elle s'est lancée dans une véritable croisade : développer la pratique dans les coins les plus reculés de l'île. Rugby Africa lui a consacré un article entier dans son site pour son mérite.

Pour l’autonomisation des familles en détresse, notamment les femmes. Mialy Rajoelina, Première dame et présidente de l’association caritative Fitia, est actuellement en périple dans le Sud de Madagascar. Une mission qui vise non seulement à constater de visu la réalité sur le « Kere » mais surtout de mener des actions concrètes au profit des victimes. Ifotaka et Tsivory font partie des localités enregistrant le plus de victimes, notamment les femmes, les enfants et les personnes âgées. « Depuis le passage du Président de la République dans cette localité, nous ne cessons d’identifier des solutions pérennes pour faire face à l’insécurité alimentaire, avec l’appui des partenaires, dont le Programme alimentaire mondal (PAM) qui est en charge de cette partie. Pour sa part, l’association Fitia apporte sa contribution, notamment pour les femmes et les mères de famille », avance la Première dame. 

Mais quelle mouche a piqué certains hommes à Ambohibary, dans le District de Moramanga, au point que la folie semble s’emparer subitement d’eux pour abuser des jeunes filles ces deux dernières semaines ? C’est récemment le cas d’un chef de famille de 34 ans d’Ampahitra, toujours située dans cette première localité. Non seulement, il est soupçonné de viol. Mais il y a pire : ce dernier relève d’un caractère incestueux. Car d’après un renseignement, la victime, qui est âgée de 15 ans, n’est autre que sa petite fille. 

Aucune année blanche. Des parents et notamment les élèves et enseignants se sentent perdus quant à la gestion des trois années universitaires dans le pays, à savoir 2018-2019, 2019-2020 et 2020-2021, et cela à cause de la suspension de l'enseignement pendant un certain temps. Cependant, les problèmes sont déjà résolus. Il a été annoncé officiellement, hier, durant la présentation de l'application « Torolalana » à Ankatso, que l'année universitaire 2018-2019 est déjà clôturée. En effet, depuis le 2 novembre dernier, l'université a déjà entamée une nouvelle rentrée, c'est-à-dire celle de 2019-2020.

« Brisons le silence, stop à la violence ». Tel est le thème de la célébration de la Journée internationale pour l’élimination des violences à l’égard des femmes, ce jour. Ce 25 novembre marque également le lancement de la campagne des 16 jours d’activisme pour renforcer la lutte contre les VBG ou violences sous toutes ses formes, touchant à la fois les enfants, les femmes, les hommes, les homosexuels et les transgenres. L’objectif étant d’en parler ainsi que de renforcer les sensibilisations, les plaidoyers et les actions menées par les acteurs. « Les violences persistent à Madagascar, si l’on se réfère aux statistiques. Depuis la mise en place de la ligne d’urgence 813, le 25 avril dernier jusqu’à maintenant, plus de 4 000 appels ont été reçus.

Le dollar au-dessous de la barre des 3 900 ariary et l’euro s’échange à 4 600 ariary. La monnaie nationale commence à reprendre son souffle sur le Marché interbancaire de devises (MID). En effet, le billet vert américain coûte actuellement 3 861 ariary s’il valait 3 951 ariary il y a un mois. Tandis que la monnaie européenne se vend désormais à 4 563 ariary si elle atteignait 4 660 ariary durant la même période. Questionnée sur le sujet, une responsable auprès de la Banque centrale de Madagascar (BFM) a expliqué que «  le taux de change dépend de l’offre et de la demande de devises sur le MID.

Allier la technologie et l’artisanat. Le salon de la créativité « Voatra », organisé par la Chambre de Commerce et d’Industrie d’Antananarivo (CCIA) commence ce jour et s’achève ce samedi à l’annexe CCIA Antanimena. Pour cette septième édition, les organisateurs ont choisi le thème « Le Vita Malagasy à l’ère du numérique. « Cette édition revêt un caractère particulier, dans la mesure où elle est préparée dans le contexte de la relance économique. La crise sanitaire de la Covid- 19 a témoigné l’obligation des entreprises de se redéfinir et de repenser leurs méthodes de fonctionnement pour intégrer les nouvelles contraintes, nées de la crise et les conséquences sur les activités économiques.

Situation alarmante. La semaine dernière, l’eau s’est raréfiée dans la ville de Fianarantsoa. Seuls quelques quartiers ont été approvisionnés « normalement ». Et aujourd’hui, la situation s’est encore aggravée. Les habitants doivent se réveiller à deux heures du matin pour collecter les quelques gouttes sortant de leur robinet. Le lac d’Antarambiby, source d’eau potable pour la ville, est complètement asséché. Et même les puits et les rizières sont à sec. Une mauvaise saison rizicole est même à craindre pour cette année, dans la Région. En effet, les conditions météorologiques des dernières années n’ont pas été favorables. Elles ont donc contribué à cette sécheresse. Les périodes de pluies sont insuffisantes pour la recharge des ressources. 

Statu quo. Les anciens ministres soupçonnés d’implication dans des dossiers actuellement en cours d’examen à l’Assemblée nationale doivent attendre encore quelques temps pour être fixés sur leur sort. Leurs dossiers n’ont pas encore été bouclés par la commission spéciale de mise en accusation auprès de la Haute Cour de Justice. Après un premier report d’une semaine, la séance de présentation des rapports des travaux de commission ainsi que l’examen et le vote d’une proposition de résolution de mise en accusation ont de nouveau été reportés. Actuellement, 4 dossiers concernant 4 ministres sont instruits par la commission spéciale au niveau de Tsimbazaza.

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Editorial

  • Poreux !
    On ne cesse de dénoncer. A l’allure où vont les choses, ce ne sera pas demain la veille où l’on s’arrêtera d’interpeler. Le Chef de l’Etat, Rajoelina Andry Nirina, patron des patrons du régime Orange, plus d’une fois, tape sur la table devant certains faits qu’il juge inadmissibles compromettant l’avenir du pays. Homme ou femme politique proche du régime ou à l’opposé du pouvoir monte au créneau et tire la sonnette d’alarme sur la persistance de certains cas troublants qui frisent la gabegie dans le pays. Société civile, simples citoyens et certains prélats d’église n’ont de cesse d’attirer l’attention de tous en particulier les dirigeants du pays sur le risque d’une dégénérescence incontrôlée. La majorité silencieuse, comme son nom l’indique observe dans le silence. En réalité, préoccupée par les actes quotidiens de survie, la grande majorité de la population n’a pas le temps de voir autour d’elle.

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